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C’est presque devenu une vérité digne de LA PALICE ! Pour se développer et optimiser leur chiffre d’affaires, les entreprises se doivent de trouver de nouveaux financements. Toutefois, il existe un sérieux bémol à l’exercice. Au-delà d’un certain niveau de risque, le dirigeant n’a plus la faculté de pouvoir solliciter les établissements bancaires. Outre de puiser dans son bas de laine personnel, l’entrepreneur peut alors s’en remettre à des particuliers ou des entreprises locales désireuses d’investir et de demeurer au capital de la société durant un temps limité. Comme le préconise de manière officielle KUB…

AUXERRE : Un chiffre, de prime abord pour mieux appréhender le sujet. Chaque année, ce sont au moins une centaine d’entreprises, toute typologie sectorielle confondue, qui sont en quête du Graal suprême afin de pouvoir accomplir leur développement en Bourgogne Franche-Comté. Leur précieux sésame qui ne sort pas de la lampe d’Aladin se nomme les investisseurs !

Mais, ceux-ci ne sont pas légion. Ou plus vraisemblablement assez difficile à détecter. Seuls 10 % de ces dirigeants de société trouveront réellement chaussure à leurs pieds en bout de course.

Or, si le chef d’entreprise soucieux de renforcer ses fonds propres ne possède pas de deniers personnels à injecter dans son affaire, c’est la garantie assurée de rester à quai côté développement. Ou pire encore, de voir disparaître à brève échéance son outil de travail.

Aujourd’hui, un constat est observé par les exégètes en la matière : c’est-à-dire les investisseurs eux-mêmes, réunis dans des structures formalisées. Pour les entreprises à fort potentiel de croissance, il existe une absence quasi-totale de solution en phase d’amorçage pour des besoins inférieurs qui oscillent entre 300 000 et 500 000 euros.

 

Première levée de fonds dès 2016…

 

Depuis quelques années, des pistes opportunes existent. Y compris dans l’Yonne pour subvenir aux besoins des patrons ayant de réelles velléités émancipatrices. L’appel à des particuliers ou aux entreprises locales s’est donc fait grand jour. Avec plus ou moins de bonheur, par ailleurs.

Les prémices d’un tout premier club d’investisseurs, Yonne Business Angels, n’auront durée qu’un temps. Avant que le projet ne s’étiole au gré des doutes et des envies de chacun. S’employant à déployer ce que la structure sœur de « Dijon Angels » avait décliné, Yonne Business Angels aura eu le mérite de poser les jalons initiaux de cette économie participative ouverte vers des poches d’investisseurs non rebutés par le gain de perspectives financières audacieuses et solidaires, novatrices.

Puis, il faudra patienter jusqu’en 2016 pour que le concept d’un agglomérat de bonnes volontés ressurgisse sur la place de l’Yonne. Une soirée de présentation concoctée avec le concours du MEDEF eut tôt fait de sensibiliser près de cent-vingt investisseurs potentiels. Une réussite qui débouchera sur une première levée de fonds permettant à une jeune PME (ROND HOME et ses habitats circulaires insolites) de trouver ses marques. Sur les quinze donneurs de fonds, treize n’avaient jamais réalisé ce type de placement auparavant.

L’idée a depuis fait son chemin. En démontrant qu’il était possible de multiplier les investisseurs potentiels et offrir des solutions de sortie aux entreprises financées dès que la base de projets d’investissement s‘élargissait.

Dès lors, le groupe informel multiplie les rendez-vous. Il analyse les dossiers en présence des chefs d’entreprise. Il se projette sur leur avenir, pesant le pour et étudiant le contre. Rien n’est laissé au hasard.

Conséquence : une dizaine de projets retiennent l’attention de ces investisseurs en herbe qui épaississent leur cuir en matière de prise de risque et d’expériences.

Hormis un seul dossier qui sera passé aux fourches caudines de l’insuccès, toutes les autres candidatures recevront la bénédiction urbi et orbi de ce petit groupe de femmes et d’hommes qui maîtrisent à la perfection la gestion du haut de bilan.

Une de leur plus belle réussite à mettre à leur palmarès s’appelle PAPY HAPPY. La société de Joachim TAVARES vient aujourd’hui de bénéficier d’une levée de fonds d’un million d’euros en ayant créé une dizaine d’emplois et exporte désormais son savoir-faire vers l’Espagne !

 

Officialiser la démarche pour recruter des investisseurs qui s’ignorent !

 

Une assemblée générale constitutive, le 13 décembre, a validé les objectifs à poursuivre pour cette entité qui sort de l’ombre. Nom de baptême : KUB ! Pour Kick Up Business.

Outre la mise en place de circuits courts, la jeune structure qui n’a rien d’une néophyte entend apporter sa pierre à l’édifice du développement économique local. Via l’aide à la création d’emplois, d’une part ; mais surtout par le biais de la démocratisation de l’investissement en entreprise. Une aubaine dont pourrait profiter beaucoup de personnes après la connaissance du nouveau taux (crépusculaire) du livret A à 0,5 % !

A ce jour, quarante-cinq investisseurs constituent déjà le premier carré de KUB. Quelles en sont leurs motivations ?

Différentes réponses s’entrecroisent : la nature de l’activité, la localisation du projet, la fiscalité, la plus-value intéressante in fine, la participation et le soutien à un projet entrepreneurial, l’apport de l’expérience, l’aide à apporter avec ses réseaux d’affaires, la liberté totale sur la décision d’investissement et son montant…

D’autant que sur ce dernier aspect, les mises de fonds minimales débutent dès mille euros. Au cours du dernier quadrimestre, trois levées de fonds ont eu lieu pour 700 000 euros avec de jolis projets (METIS, FORMA COMPOST et La Poterie NORMANDE). Quant aux perspectives, elles augurent déjà d’une certaine réalité positive avec de quatre à six projets devant être présentés d’ici les prochaines semaines.

Géographiquement, KUB entend bien ne pas se limiter au seul territoire de l’Yonne. De deux à trois poches d’investisseurs ont été identifiées dans la Nièvre. La Côte d’Or se présente déjà dans la ligne du viseur de ce collectif.

Bref : l’heure est à l’investissement dans les entreprises en entrant au capital des sociétés. Une vraie bouffée d’air pur pour celles et ceux qui croient en un demain ambitieux…

 


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La virtuose s’immergera le temps d’un récital caritatif donné au profit des actions altruistes du KIWANIS Ycaunae de Sens parmi l’univers pianistique national. Histoire de raviver à nos oreilles la douce musicalité de grandes œuvres empruntées au répertoire de Claude DEBUSSY, Camille SAINT-SAENS ou de Gabriel FAURE. Une soirée ouverte aux mélomanes avertis mais aussi aux béotiens qui voudraient coupler l’utile à la l’agréable…

 

SENS : L’artiste sénonaise, pétrie de talent, apporte sa caution personnelle et instrumentale à l’œuvre solidaire déclinée par le KYS, le KIWANIS Ycaunae de Sens. Le 31 janvier, la musicienne donnera un  récital, s’inspirant des trésors de la musique française, au profit du club service.

Les œuvres célèbres mais aussi méconnues de références incontournables du romantisme pianistique à la française (SAINT-SAENS, DEBUSSY, FAURE, SATIE…)  y seront jouées avec maestria par la pianiste icaunaise.

Le second temps fort de ce concert soutenant la cause de l’enfance malheureuse et malade s’articulera autour de l’improvisation. La musicienne se prêtera à cet incroyable exercice où pêle-mêle elle invitera l’auditoire à se promener entre la Belle Epoque et la romance russe. Sans omettre une autre tendance musicale qu’elle affectionne tout particulièrement : le jazz.

Cette soirée ne sera pas placée sous l’emprise de la monotonie puisque diverses surprises viendront la ponctuer !

La soirée aura lieu le 31 janvier à Malay-le-Grand près de Sens, à 19h30, à la salle Prestige (derrière l’hôtel VIRGINIA).

Réservation en ligne obligatoire sur le lien suivant :

https://www.helloasso.com/associations/kiwanis-sens-ycaunae/evenements/apero-concert-piano-bar

 

 


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Vecteur d'agrément pour soi, le bien-être est ce joyau spirituel à ressentir et à vivre. Il se conforte à la bienveillance et veille à un état d'être complaisant à la douceur et à la délicatesse envers son être. Il est l'élégance à porter, au détail près, en conformité avec son intériorité…

TRIBUNE: Etre bien avec soi « m'aime »...Une traduction édulcorée et fantaisiste, je ne pense pas. Cette philosophie de la vie, déconcertante à édifier dans son quotidien, détient les fondations pour établir une harmonie dans tous les domaines de sa vie. Ces énergies intérieures et extérieures dont nous nous nourrissons se transposent dans notre quotidien.

Justement, le bien-être est un contrat entre son corps et son esprit. Ce binôme inséparable se marie sur un accord à respecter le deal…Tenir compte de ses désirs et de ses volontés. C'est être ordonné dans sa verticalité. Quand ce duo se confronte, des douleurs variées et avérées de différentes tonalités commencent à arriver.

La douleur n'a pas de classe sociale. Elle se faufile avec douceur et fermeté dans ce qui n'est pas aligné ou acté avec ses propres pour « parlés ». Le défi est d'écouter son intériorité en faisant abstraction de conseils qui ne seraient toujours avisés et qui pourraient nuire à sa bonne santé.

 

La notion de plaisir est vitale…

 

Dans un second temps, le bien-être a cette candeur et cette audace de s'imposer face à des contraintes logistiques quotidiennes. C'est pourquoi, il est primordial de planifier des relais de détente combinés dans différentes activités. Physiques ou méditatives pour apaiser et générer un état de relaxation.

C'est aussi varier et ponctuer des actions de distraction où peuvent s'inviter des contraintes de performances mais limitées. La notion de plaisir est vitale et nécessaire pour fusionner l'équilibre et la paix intérieure entre le privé et le professionnel. Ces distractions doivent être un bonus d'agrément pour que la notion de loisir soit récréative où par effet miroir se déploiera sous une forme de lâcher-prise.

 

 

Ces moments de répit apaiseront le mental au bénéfice d'une meilleure santé. Une trêve salutaire au bourdonnement entêtant des caprices du quotidien. Ciné, musé, sport etc… : c'est le meilleur moyen énergétiquement de festoyer en toute légèreté.

D'autres facteurs mais intérieurs génèrent une plus-value à ce dérivatif à savoir la nourriture.

 

Bien choisir sa base alimentaire…

 

Les aliments génèrent de hautes ou basses vibrations. Plus le corps ingère du « haut de gamme » comme les fruits, les légumineuses, thé de qualité supérieure...plus l'énergie corporelle est bienfaitrice et performante.

A contrario, le sucre raffiné ou toute autre substance grasse est connoté à des flux de basses fréquences. Ingérés de façon journalière, le moral et l’épanouissement personnel s'en ressentiront. C'est la loi de cause à effet. Nous sommes intérieurement ce que nous « mangeons » émotionnellement et culinairement.

Cette sagesse au bien-être se déploie et s'observe sous différents angles stellaires. La vie est un ciel étoilé de mille opportunités. A saisir ou non.

Chacun est maître de sa destinée en étant consistant  de ses propres décisions. De sa santé en étant cohérent dans ses champs d'action. De son bien-être en s'octroyant une halte personnelle. Le premier vecteur d'une vie exponentielle est l'épanouissement personnel alors...

Comme l'exprime avec justesse le daïla lama : « Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel… ».

Lyvia ROBERT

 

 

 


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C’est une équipe de rassemblement. Rajeunie et renouvelée, certes à 64 % mais également experte. Elle bénéficie de la présence de « poids lourds » du cénacle politique auxerrois, déjà très aguerris aux affaires. Ouverte tout en se teintant de modernisme, la liste conduite par Guy FEREZ se projette à la conquête d’un quatrième mandat successif pour l’édile d’Auxerre. Aujourd’hui, sans étiquette. Un pari qui était osé après avoir quitté le Parti socialiste. Libre de ses mouvements politiques, le maire-candidat ne regrette rien avant d’aborder sa (peut-être) ultime campagne électorale, avec le gain intérieur de davantage de sérénité…

AUXERRE : Placé sur le devant d’un demi-cercle qui accueille autour de lui l’ensemble de ses trente-huit colistiers, Guy FEREZ évoque les composantes de sa liste, baptisée « Un Nouvel équilibre pour Auxerre ». Tel un « sage » ayant pris de la hauteur vis-à-vis de la chose politique. Celle qu’il connaît et pratique pourtant depuis tant d’années.

Satisfait d’avoir pu enfin briser les chaînes qui le liaient à sa famille politique (PS) (« on se sent nettement mieux quand il n’y a plus d’attache officielle »), le président de l’Agglomération de l’Auxerrois et Conseiller régional se sentirait presque libre comme l’air. Un bien-être intérieur et communicateur qui lui fait pousser des ailes !

Car cette fois-ci, pour ce futur tour de piste qui se nomme les municipales, le personnage public qui pilote la destinée de la Ville depuis 2001 désire mettre toute la gomme. Et lâcher les gaz, en vérité, en s’appuyant sur une « Dream team » de luxe dont il a pris soin de composer durant plusieurs mois les arcanes, méthodiquement, avec sa garde prétorienne.

D’ailleurs, dès les premières minutes de son long monologue qui lui permet d’exposer dûment sa stratégie, Guy FEREZ ne parle pas de « projet de ville », mais plutôt de « vision de ville ». S’inscrivant ainsi dans la durée.

« Etre capable d’embrasser le long terme, c’est se donner la volonté de se projeter dans le temps et de relever les défis qui se présentent à nous…. ».

Dans l’intérêt des citoyens, il va s’en dire qui expriment de l’attente à ses dires.

 

 

 

Cinq axes prioritaires qui forment l’ossature du programme…

 

Le programme de « Nouvel équilibre », quant à lui, est d’ores et déjà arrêté. Même s’il n’a pas été dévoilé dans le moindre de ses détails (ce n’était pas encore ni le lieu ni le moment choisi), le candidat à sa propre succession en déflorera néanmoins les orientations stratégiques principales.

Ce projet construit en totale voie de convergence avec les diverses représentativités politiques de la liste (La République en Marche, MoDem, Parti radical, Agir La Droite constructive, Nouveau Centre, Parti socialiste, représentants de la société civile…) se décline en cinq axiomes majeurs.

Devant s’appuyer sur des politiques publiques fortes, ces thèmes concernent les aménagements de la ville et ses constructions (« bâtir, c’est mon dada », plaisante Guy FEREZ), le développement durable (« je préfère parler d’écologie urbaine »), la vitalité de la ville à travers le sport, les loisirs et la culture (édification d’une maison des associations), sûreté et solidarité et enfin, le renfort de la politique de santé.

« Je désire que la Ville soit l’amie des seniors, confie Guy FEREZ, cela nous renvoie également à un cahier des charges qui va optimiser à l’avenir l’accessibilité des personnes victimes de handicap en leur donnant l’accès aux activités… ».

D’ailleurs, s’il devait émettre un regret sur le bilan de son mandat actuel, c’est à l’instant !

« Nous avons pris de gros retards au niveau de l’enfance et de la petite enfance, concède-t-il, et ce n’est pas normal. Je vous annonce d’ores et déjà la construction d’une nouvelle école dans le quartier des Piedalloues… ».

Voilà un peu plus de grain moudre, côté projets ! Une deuxième graine tombera quelques minutes plus tard de la bouche du maire : « Le site du collège Bienvenu Martin, aujourd’hui en friche, va devenir un campus de l’enfance destiné à accueillir des centres loisirs, halte-garderie et crèche… ».

 

Un chef d’orchestre qui va distribuer les partitions…

 

Il faudra encore s’armer d’un peu de patience pour en savoir davantage sur le catalogue de préconisations concrètes et estimées financièrement que le maire sortant proposera aux électeurs.

Pour l’heure, Guy FEREZ, en chef d’orchestre qu’il est, n’a pas défini les rôles de chacun de ses « instrumentistes » munis de leur partition. Une chose apparaît comme une évidence : il mettra en face de chaque dossier celles et ceux de ses colistiers qui ont les compétences requises.

Quant à l’éclectisme politique de sa liste, il en explique le fondement sur le principe harmonieux du travail et de la capacité à gérer des projets collectivement. Sans le recours à des recettes miracles hypothétiques qui laisseraient la part au pur hasard.

Déjà en 2008 et 2014, Guy FEREZ avait fait appel à des partis progressifs (MoDem, Nouveau Centre…) pour former sa liste.

Aujourd’hui, l’homme aux multiples étiquettes (c’est lui qui l’affirme) ne semble nullement usé par l’activité politique.

« J’adore les différences, et conduire cette liste mosaïque de par sa coloration me va à ravir… ».

Comme aux premiers jours de sa longue carrière d’homme public, Guy FEREZ se lance dans ce nouveau challenge, avec envie et passion.

« Et surtout sans narcissisme, je pense d’ailleurs que je ne l’ai jamais été assez ! », conclut-il dans un dernier sourire…

 

 


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Beaucoup espéraient en savoir davantage à l’issue de la récente cérémonie de vœux de l’édile de Sens et présidente de la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais le 12 janvier. Malgré un discours fleuve sur les perspectives et avancées  futuristes de la ville, certains sont pourtant restés sur leur faim. Le leader emblématique des Républicains de l’Yonne septentrionale n’a, en effet, pas lâché la moindre bribe d’information quant à son choix de poursuivre ou pas l’aventure municipale dès le mois mars prochain…Se faire désirer répond-il à une volonté tactique ?

SENS : Rien. Nada. Que nenni ! Pas l’ombre d’une petite référence ou de la plus simpliste allusion aux futures échéances électorales qui attendent la cité sénonaise à l’amorce du printemps prochain.

Comme si Madame le maire de Sens avait pris un net recul et une hauteur de circonstance vis-à-vis de cet évènement qui pourrait au demeurant en cas de victoire lui garantir un troisième mandat.

La fable de La Fontaine (« Le Lièvre et la Tortue ») nous rappelle, toutefois, « que rien ne sert de courir, il faut partir à point… ».

Sage vérité, souvent démontrée, que l’ancienne députée de la troisième circonscription de l’Yonne a donc choisi de s’appliquer à elle-même. Sans que ne transpire la plus petite indication qui viendrait corroborer une prise de décision quant à la suite des évènements.

D’autant que cela gesticule pas mal dans le landerneau politique local depuis quelque temps. Investie à la surprise générale par La République en Marche, Claude VIVIER LE GOT s’est jetée dans la bataille. Coiffant la vedette de la parlementaire Michèle CROUZET, ex-LREM, qui se positionne dans son sillage, avec des envies diamétralement opposées après la déconvenue de la non-investiture du parti présidentiel.

 

 

Du côté du groupe d’opposition Le Bon Sens, c’est Laurent MOINET qui s’y colle. Le dernier à s’être déclaré officiellement n’est autre que l’un des porte-voix médiatiques du Rassemblement national, Julien ODOUL. Le conseiller régional de Bourgogne Franche-Comté ne cache pas ses intentions de s’emparer du fauteuil de maire.

Bref dans cette mosaïque qui se construit de façon progressive, il ne manquerait plus qu’une seule pièce pour y parfaire le tableau. Pièce magistrale, tout de même dans ce jeu qui ne pardonne pas : celle jetée sur le tapis par le maire sortant !  

 

Les colistiers actuels sont déjà prêts à en découdre…

 

Si les observateurs attendaient impatients que ne tombe enfin la précieuse information au terme de la prise de parole de l’édile le jour des vœux, ils en furent pour leurs frais !

Silence radio sur toute la ligne de la part de la chef de file de la droite républicaine qui n’en dira pas plus, quelques jours plus tard, lors de la cérémonie des vœux de la Chambre économique départementale.

Les services ad hoc de la Ville, questionnés, sont tout aussi diserts sur le sujet : même eux, ne savent pas !

Bref : connaître aujourd’hui la décision définitive de Marie-Louise FORT flirterait presque avec le mystère et l’énigmatique, faute d’éléments concrets. Pourtant, il semblerait que bon nombre de ses colistiers actuels seraient déjà dans les starting-blocks, prêts à repartir et à en découdre à la perspective de ces nouvelles joutes électorales.

Sans leur charismatique tête de pont comme point d’ancrage territorial ? Ce n’est pas crédible une seule seconde, convenez-en !

 

 

     


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