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Les onze étudiants de la promotion 2019 de l’Ecole de Gestion et de Commerce de Sens (EGC) passeront les fêtes de fin d’année avec davantage de sérénité : ils ont déposé au pied du sapin leurs précieux diplômes. Ceux-ci ont été obtenus au terme de leur cycle d’étude de trois années vécu dans l’établissement accueilli par la Chambre de Commerce et d’Industrie. Histoire de satisfaire leurs parents qui ont cru toujours en eux….

SENS : Si leur existence actuelle est toujours dominée par la poursuite des études aux quatre coins de l’Hexagone, il n’empêche que les onze étudiants de la promotion 2019 de l’EGC n’ont pas caché leur joie de tenir dans leurs mains l’attestation officielle du diplôme obtenu à l’issue de leur passage dans l’établissement d’enseignement supérieur du Sénonais.

Au cours de cette cérémonie de remise des prix, et sous les encouragements nourris du président de la Chambre de commerce et d’industrie de l’Yonne, Alain PEREZ et du directeur du Pôle formation, Hervé AUBERGER, ces jeunes gens ont revu le film de leurs souvenirs heureux en présence de leurs parents.

Accueillie dans les locaux de la chambre consulaire, l’Ecole de Gestion et de Commerce reçoit depuis dix ans (la date coïncide précisément avec l’anniversaire du Village d’entreprises du Sénonais situé au même endroit) les futures perles rares des métiers de la finance, des ressources humaines, de la vente, du marketing et de la communication.

Pour en juger, il suffit de se référer aux précieux témoignages de quelques anciens, venus expliquer leur parcours professionnel depuis leur départ de l’EGC.

 

 

 

Responsable achat, ingénieur en conseil viticole, contrôleur de gestion, à la tête d’un service client ou directeur d’une agence de travail temporaire, les anciens diplômés n’ont pu que rassurer les néophytes du jour. Grâce à l’EGC, l’employabilité sur le marché de la vie active est bel et bien là ! Sans omettre la pratique de postes à forte potentialité en termes de prise de décision…

En guise de préambule à cette cérémonie, à laquelle prenait part Clarisse QUENTIN, adjointe à la Ville de Sens, en charge de la formation et de l’enseignement supérieur, Alain PEREZ brossait un état des lieux détaillé de cette décennie constructive qui aura permis à l’EGC de gagner ses lettres de noblesse au cœur d’un environnement professionnel propice aux échanges.

Plusieurs entrepreneurs (AIRGOLINES, STELEC, L’AGE D’OR…) profitèrent de leurs interventions pour saluer cette connexion complice entre le milieu professionnel et la sphère estudiantine.

On notera aussi les explications de Catherine VICHERAT, responsable pédagogique de l’EGC qui expliquera les moyens et méthodes utilisés pour préparer les étudiants à décrocher le sésame qui leur ouvrira les portes à un avenir prometteur.

Mention spéciale enfin pour une jeune fille : Nolwen TURPIN, brillante major de sa promotion qui effectue à l’heure actuelle un master finance à la Kedge business school de Bordeaux.

 

 

 


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Les chiffres définitifs de l’exercice 2018 ont été dévoilés par le comité structurel de l’association d’aide et d’accompagnement aux porteurs de projets de notre territoire. Pourvu d’une palette éclectique d’opportunités financières à destination des créateurs/repreneurs d’entreprises mais aussi de bénéficiaires du RSA en velléité d’entrepreneuriat, l’organisme travaille en étroite osmose avec six EPCI du territoire. En attendant d’accroître ces partenariats en 2020…

AUXERRE : L’heure des comptes a sonné au sein de l’entité associative de l’Yonne. Celle-ci qui, rappelons-le, a pour vocation première d’accompagner les entrepreneurs dans la création ou la reprise de leur outil de travail dévoilait ses chiffres définitifs se rapportant à l’exercice 2018. Une présentation faite, il y a quelques jours, lors d’une réunion de son comité décisionnaire, dans la capitale de l’Yonne.

Autant dire que la levée de fonds et les conseils prodigués à bon escient auprès de celles et ceux qui veulent reprendre leur destinée en main en se lançant dans l’aventure entrepreneuriale figurent parmi les tâches prioritaires de l’organisme, dirigé par Angélique COEURDOUX, et présidé par Malikha OUNES, élue départementale.

Et, à la lecture des données statistiques fournies, disons-le sans ambages : le bilan se situe clairement dans le positif. En effet, les interventions financières déclinées par INITIACTIVE 89 représentent un montant global in fine de plus d’1,7 million d’euros (soit 1 733 637 euros précisément). Sachant, pour être tout à fait complet sur ce panorama chiffré, que le montant des prêts bancaires levés l’année dernière a flirté avec les neuf millions d’euros (8 900 000 euros avec exactitude).

 

Un panel éclectique de possibilités financières y compris pour les bénéficiaires du RSA…

 

Puisqu’une bonne nouvelle s’accompagne toujours d’une suivante, grâce à ses actions imputables à la sagacité experte de ses conseillers financiers, INITIACTIVE 89 a pu assurer la création, voire le maintien de 239 emplois. Ce qui, compte-tenu des circonstances conjoncturelles de l’époque, est loin d’être négligeable.

Dans son escarcelle, l’association dispose d’une somme de solutions financières adéquates aux besoins des bénéficiaires qui peuvent optimiser leur plan de financement. Avec en guise de point d’orgue capital : l’obtention de prêts bancaires, accordés par les partenaires de la structure. Pour mémoire, citons le prêt d’honneur (produit phare de ce panel d’offres) qui augmente l’apport du dirigeant, le prêt Nacre à destination des demandeurs d’emploi essentiellement, la garantie France Active (l’équivalence d’une garantie de prêt bancaire) ou encore la garantie FGIG (à l’identique de la garantie précédente mais avec une cible féminine).

INITIACTIVE 89 fait également profiter de ses offres tous les allocataires du RSA, porteurs d’un projet de création/reprise d’entreprise. Une intervention qui est assurée en concomitance avec les services sociaux du Département.

L’organisme exerce également ses missions en étroite concertation avec les EPCI (Etablissement public de coopération intercommunale), qui bénéficient depuis l’application de la loi NOTre de la compétence économique territoriale.

Aujourd’hui, six d’entre eux sur les quatorze organismes de référence dans le département de l’Yonne travaillent en osmose totale avec la structure d’accompagnement.

Il s’agit du Tonnerrois, Puisaye-Forterre, Sénonais, Serein Armance, Chablis Terroirs et Vanne Pays d’Othe. L’objectif de la gouvernance actuelle d’INITIACTIVE 89 est de rallier à sa cause l’ensemble des EPCI de l’Yonne. Des contacts sont en cours avec certaines de ses institutions qui manquent encore à l’appel.

Au plan géographique, précisons que le plus grand nombre d’entreprises financées en 2018 par la structure l’ont été sur le Sénonais (33), l’Auxerrois (30), l’Avallonnais (15), la Puisaye-Forterre (13) et Serein Armance (10). De bon augure pour 2020…

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89...

 

 


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La trêve des confiseurs, ô combien salvatrice pour le mental et les organismes des joueurs, se profile à la vitesse grand V. Il ne reste que l’ultime rendez-vous de ce vendredi soir, face à l’offensive équipe de l’AS Nancy-Lorraine, avant de raccrocher définitivement les crampons pour clore l’exercice 2019. Nonobstant, le coach auxerrois n’a qu’un unique objectif en tête : donner l’impulsion nécessaire à ses protégés pour qu’ils repartent sur de bonnes bases positives aux premiers jours de l’An neuf…

AUXERRE : Le credo de Jean-Marc FURLAN pourrait se résumer en un seul mot : le positivisme ! L’entraîneur du club bourguignon qui a su porter le Stade Brestois vers l’accessit suprême la saison dernière ne sombre jamais dans la fatalité.

A contrario de 61 % de nos compatriotes qui se complaisent parmi les limbes récurrentes du pessimisme, lui, le coach de l’AJ Auxerre possède l’âme et le cuir bien rodé d’un gagnant. Et ce n’est pas qu’une impression qu’il dégage à chaque rendez-vous introspectif et sans langue de bois qu’il accorde avec la presse, avant un match.

Ce côté positif des choses, le professionnel ne souhaite qu’une chose : c’est le transmettre, voire l’inculquer durablement auprès de ses troupes. Ces gamins qui ont tout à gagner de l’expérience de ce « sage » qui répète séance après séance que l’offensive est la règle d’or absolue dans l’art de la pratique footballistique.

 

« Nous sommes dans le dur, loin de nos ambitions… »

 

Alors que cette dernière rencontre face à un cador de la Ligue 2 (autrefois la Ligue 1 avec un pensionnaire de luxe qui se nommait Michel PLATINI parmi ses milieux de terrain) se déroule à domicile ne l’émeut pas plus qu’à l’ordinaire. Jean-Marc FURLAN désire terminer sur une bonne note qui doit impérativement se convertir en engrangeant les trois points précieux de la victoire.

S’il regarde dans le rétroviseur, c’est-à-dire la phase aller de ce championnat âpre et si difficile, l’ancien joueur de Bordeaux ne peut se satisfaire d’un tel état des lieux. L’AJA pointe à la quatorzième place, avec un débours de vingt points sur le leader, les Bretons du FC Lorient. Donc, pas de quoi pavoiser.

Le constat de ce personnage charismatique est lucide : « nous sommes dans le dur à l’heure actuelle, loin de nos ambitions…On rêve tous d’être plus haut dans le classement… ».

Néanmoins, le moral rejaillit vers le beau fixe. Le coach, et c’est essentiel, possède la confiance de la présidence (Francis GRAILLE), bénéficie d’une ambiance tonique et agréable dans le vestiaire. Ce qui est plutôt encourageant pour la suite des évènements.

Quant au travail fourni lors des séances d’entraînement, il est intense, afin de porter ses fruits sur une période de longue haleine : il ne pourra se répercuter qu’à l’issue de quelques semaines.

« Du moment que nous soyons au top entre les mois de mars et mai, et nous aurons sauvé notre saison… ».

 

Les matches retour : la même compétition avec des objectifs similaires…

 

Rappelant que le football est une discipline qui s’appréhende comme systémique plutôt qu’analytique, Jean-Marc FURLAN sait que les efforts devront être redoublés en vue de la seconde partie du championnat qui ne reprendra qu’aux premiers jours de janvier.

« Ce n’est pas une autre compétition qui démarre : c’est bien la même qui va se poursuivre avec nos forces et nos faiblesses. Nous travaillons toujours à la réussite du même projet commun, avec l’ensemble des acteurs qui composent ce club… ».

Le retour aux affaires sportives s’effectuera en douceur à l’abbé Deschamps. Dès le lundi 30 décembre. Deux rencontres amicales dont une face aux voisins d’Orléans remettront les joueurs dans le sens de la marche après les excès autorisés pendant Noël.

Très proche de ses sportifs, Jean-Marc FURLAN envisage l’avenir avec une relative sérénité. Même si à Auxerre, il aura vécu pour la première fois en l’espace de vingt-cinq ans de coaching quatre matches où l’équipe n’aura pu terminer à onze au coup de sifflet final sur le terrain !

« Il faut toujours faire face aux circonstances défavorables qui entravent le poids d’une rencontre, commente-t-il un brin philosophe, c’est cette imprévisibilité du jeu qui garantit le succès populaire du football… ».

A l’heure des grandes résolutions que chacun souhaite prendre au cours des douze prochains mois, le coach n’entrevoit qu’une seule alternative pour recréer une dynamique de vainqueur : conserver ce positivisme qu’il possède en lui pour mieux le distiller auprès de ses joueurs. Afin de les faire grandir et surtout de rehausser le niveau du groupe. C’est tout le bien que l’on peut lui souhaiter à l’aune de la nouvelle année…

 

 

 


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Dans la petite ville industrielle de Pernik, située à trente kilomètres de Sofia – capitale la plus polluée de l’Union européenne – les habitants ne peuvent plus respirer. L’air y est saturé de particules fines. Des niveaux record de pollution de l’air…

SOFIA (Bulgarie) : En Bulgarie, la pollution liée à la concentration de particules fines dangereuses est la plus élevée d’Europe. Les centrales à charbon produisent 46 % de l'énergie nationale. 60 % des ménages dépendent du charbon et du bois brut pour leur chauffage. Mais, ceux-ci ne sont soumis à aucune norme de sécurité. Ils sont souvent de très mauvaise qualité et émettent du soufre et des particules fines pouvant être mortelles.

Le nombre estimé de décès prématurés attribués à la pollution causée par les dix centrales bulgares, considérées parmi les plus polluantes de l’Union européenne, pourrait être réduit de près de 80 %. Si les nouvelles normes de pollution européennes étaient appliquées…

La Bulgarie a déjà été condamnée en 2017 par la Cour de la Justice européenne pour ses dépassements fréquents des seuils limites de pollution. Pourtant, le gouvernement bulgare a demandé à l’Union européenne d’être plus conciliante dans ses exigences en matière d’émission de gaz.

 

 

Une hausse des tensions sociales contre la transition énergétique

Si la réalité environnementale et sanitaire est claire, l’incompréhension des mineurs et ouvriers des centrales thermiques, condamnés à perdre leur emploi, est aussi bien réelle. Ces trois dernières années, les manifestations se multiplient pour défendre l’industrie du « diamant noir » qui fut un temps la richesse du pays, contre « des exigences européennes impossibles à réaliser ».

La région de Pernik est l’une des plus vieilles régions minières de Bulgarie. A quelques kilomètres, à Bobov Dol, se trouve la plus grande mine souterraine du pays. La centrale électrique construite dans les années 1970 a permis aux familles de la région de travailler.

Aujourd’hui, les mines et les centrales ferment l’une après l’autre, licenciant des centaines de mineurs, qui ne trouvent que difficilement d’autres emplois dans une région spécialisée dans la production de charbon depuis des années.

 

 

Des projets locaux voient le jour, « Greenpeace Bulgarie » a soutenu la mise en place d’une formation sur l’énergie photovoltaïque dans le lycée professionnel de Bobov Dol. Mais, beaucoup de jeunes ont fait leurs valises et sont partis. Le nombre d’élèves inscrits chute chaque année. Depuis le début des années 2000, des usines textiles  italiennes se sont installées dans les anciens bâtiments des mines, employant 400 femmes. Mais les salaires ne dépassent pas les 300 euros par mois. Les employées n’ont pas le choix : si elles réclament une augmentation, l’usine pourrait fermer et se délocaliser au Cambodge ou au Bangladesh.

La maire de Bobov Dol, Elza VELITCHKOVA, dénonce : « Nous vivons dans un pays où les responsables politiques n’ont pas de vision sur le développement de régions comme la nôtre… ».

Malgré la position géographique stratégique, à quelques kilomètres de la capitale, les pouvoirs locaux peinent à attirer de nouveaux investissements dans la région. Quant au marché énergétique, il est aux mains d’un seul homme : KOVATCHKI, le magnat du charbon. La difficile transition vers une énergie propre et un territoire dynamique est complexifiée par la structure du marché de l’énergie bulgare, entièrement concentrée dans les mains d’un grand propriétaire peu soucieux de justice sociale et d’environnement. Après la chute du communisme en 1989, les mines ont été privatisées. Les nouveaux propriétaires, souvent liés à la mafia, ont acquis les centrales pour un prix dérisoire, réduisant au minimum les salaires des travailleurs. Un mineur ou un ouvrier gagne en 2017 environ 300 euros par mois, lorsque le salaire est payé à temps.

 

 

Sur le papier, la mine est la propriété de Vagledobiv Bobov Dol EOOD. Mais en réalité, les mines et les centrales sont toutes possédées par Hristo KOVATCHKI. En 2018, il est le plus grand acteur dans le commerce de l’électricité dont il détient 39 % de part de marché. Il possède 40,2 % de la production de chaleur et d’énergie au niveau national[1]. Du charbon aux déchets toxiques : la reconversion en toute impunité des centrales des communautés locales s’étaient habituées à l’épaisse couche de poussière recouvrant leurs rebords de fenêtres, leurs voitures, leurs terrains de jeux aux alentours des centrales à charbon. Mais depuis quelques mois, des fumées sombres et nauséabondes s’échappent des centrales thermiques de KOVATCHKI. A Pernik, les citoyens descendent dans les rues et déposent une plainte. Le Parquet entame une enquête, visant six centrales, et découvre que des déchets y sont brûlés sans autorisation.

 

 

KOVATCHKI s’est en effet orienté vers ce nouveau combustible pratiquement gratuit qui lui permet de remplacer le charbon, devenu moins rentable. Ces déchets ont été importés en Bulgarie par la société Ecoexport de l’Italien Sergio GOZZA, poursuivi en Italie pour trafic de déchets et falsification de résultats de laboratoire sur la teneur de substances dangereuses.

Les installations d’incinérations bulgares qui reçoivent ces déchets ne sont dotées d’aucun équipement de séparation des déchets dangereux, ni de système de contrôle des émissions, certaines ne disposent même pas d’autorisations d’incinération[2]. Les installations ont été fermées pour quelques jours puis ré-ouvertes jusqu’à la clôture de l’enquête qui établit que « les recommandations données étaient mises en œuvre », les centrales fonctionnent aujourd’hui de plus belle.

La transition énergétique réclamée par l’UE est nécessaire dans ce petit pays des Balkans. Mais, elle reste loin d’être garantie dans un contexte de collusion entre les propriétaires des mines à charbon polluantes, les pouvoirs politiques et la justice.

Aria RIBIERAS

compte twitter @ariaribieras

#ariaribieras  

[1] Greenpeace, Financial Mines, 2018

[2] bivol.bg, Sega, 3 septembre 2019. https://bg.ambafrance.org/Mardi-3-septembre-8370#Des-dechets-d-importation-incineres-dans-les-centrales-thermiques-de-Hristo-nbsp

 


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Prétendre au label Villes et Villages Fleuris n’est pas une affaire à prendre à la légère pour les collectivités. Si son obtention traduit la volonté intrinsèque des communes lauréates à vouloir respecter l’environnement dans le souci d’améliorer la qualité de vie de leurs résidents, les retombées de la manne touristique ne sont pas négligeables. Celles et ceux qui se déplacent à travers l’Hexagone ne sont pas insensibles à ce symbole de qualité supplémentaire. Pas étonnant que 94 localités icaunaises aient eu envie de participer à ce concours cette année…

VERMENTON : Le palmarès départemental des Villes et Villages Fleuris a été dévoilé il y a déjà quelques semaines lors d’une cérémonie conviviale organisée dans l’une des salles de réception de l’Abbaye de REIGNY. Un site exceptionnel, hanté par la mémoire des moines qui y vécurent aux siècles précédents. Il a offert ce cadre idyllique et fonctionnel si appréciable au bon déroulement de ce raout populaire, toujours très suivi.

Au-delà des résultats (une liste abondante de récipiendaires qui salue l’opiniâtreté et la créativité de celles et ceux qui concourent à ce label), ce fleurissement, qu’il s’agisse de celui exercé par la collectivité ou celui des particuliers, voire des scolaires, suscite toujours autant d’enthousiasme de la part de ses fervents supporters.

Soixante ans après qu’il ait été porté sur les fonts baptismaux, ce concours élevé au rang national passionne les amoureux de la nature et de la pratique horticole. Et c’est tant mieux !

Nonobstant l’embellissement d’une localité, il y a désormais un réel attrait à concourir chaque année dans cette épreuve de savoir-faire à la pratique végétale et de bon sens afin d’y obtenir le précieux sésame.

Embellir le territoire de l’Yonne, c’est lui donner l’opportunité, au détour de l’amélioration d’un cadre de vie, d’accroître son attractivité touristique auprès des voyageurs venus en visite sur celui-ci.

 

 

Il y a 60 ans, l’Yonne ne présenta que trois dossiers !

 

Pour cette édition 2019, ce schéma tactique était nécessairement dans toutes les pensées. Quatre-vingts quatorze communes de l’Yonne avaient déposé un dossier de candidature. Elles eurent droit à la visite du jury officiel devant statuer durant la période estivale. Précisons que quatre nouvelles localités se lançaient pour la première fois dans ce challenge. En parallèle, plus de deux cents particuliers avaient également instruit des dossiers qui furent présentés aux membres du jury.

Un cru de bonne facture comme l’avait précisé la présidente de l’agence de développement touristique et relais territorial des offices du tourisme et des syndicats d’initiative, Yonne Tourisme Anne JERUSALEM. On est loin en effet du temps ancestral où notre département ne recensait la présence que de trois participants !

La vice-présidente du Conseil départemental en charge du tourisme salua l’importance de cet évènement.

« Une soirée de remise de prix est l’occasion de souligner l’implication et la mobilisation des municipalités et des Icaunais, au fil de toutes ces années, pour embellir notre territoire. Je tiens également à mettre à l’honneur les très belles réalisations des enfants et leurs professeurs, c’est-à-dire de cette douzaine d’écoles et de centres de loisirs qui ont concouru pour le prix des Jardins des écoles de l’Yonne… ».

Une distinction honorifique qui, pour la sixième année consécutive devait être décernée conjointement par l’association Romarin et l’agence de développement touristique de l’Yonne.

Un prix qui revêt de la plus grande importance pour les instigateurs de cet événement puisqu’il contribue à sensibiliser les plus jeunes à la préservation et l’amélioration de notre cadre de vie.

 

 


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