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Voilà un chiffre porte-bonheur pour la commune de l’Auxerrois. Dix-sept ! C’est le nombre de réalisations qui sont désormais opérationnelles sur le territoire de l’Yonne, en attendant la phase de concrétisation de nouveaux projets. Figurant néanmoins parmi les mauvais élèves de la Bourgogne Franche-Comté, au niveau de son offre médicale, l’Yonne peut s’enorgueillir de posséder de belles infrastructures, des Maisons de Santé, devant répondre aux attentes de la patientèle et surtout des praticiens…

 

CHEVANNES: Deux mois, déjà. L’édifice, un bâti flambant neuf conçu tout en longueur par le cabinet ATRIA Architectes et sa doublette de spécialistes (Annick WOROBEL et Benoît BAZEROLLES), ne désemplit pas. Premier constat : tous les cabinets sont pourvus de praticiens. Pas si mal, en vérité ! On ne compte pas les projets de maison de santé qui peinent parfois à trouver chaussures à leurs pieds au niveau de l’intérêt des professionnels à l’installation en zone rurale.

Ici, à quelques encablures, à peine d’une dizaine de kilomètres de la capitale de l’Yonne, on ne se situe pas dans ce contexte. Les patients répondent présents ! Il est vrai que sur le papier, la nouvelle infrastructure est plutôt alléchante à la dégustation : généraliste, dentistes, assistants dentaires, podologue, ostéopathe, réflexologue, nutritionniste,…Qui dit mieux ?!

Au total, huit professionnels de santé prodiguant soins et préconisations thérapeutiques afin de soulager du mieux possible la population. Elle n’est pas belle, la vie ?!

 

La maison de santé, un moyen de trancher le nœud gordien de la désertification…

 

Visiblement, elle est belle aussi pour l’édile de la commune, Dominique CHAMBENOIT, qui savoure avec jubilation l’instant. Une cérémonie, mêlant immersion dans les locaux élaborés de belle facture, lumineux et joliment décorés – les quatre espaces dentaires offrent des coloris différents selon les humeurs du jour de la patientèle ? – en guise de hors d’œuvre, juste après que la plaque officielle eut été dévoilée et le ruban tricolore découpé par les autorités institutionnelles et politiques. Tiens, tiens, on a un peu bouleversé les choses au niveau de l’ordre protocolaire !

La visite, à l’intérieur de ces locaux spacieux ne survient qu’après. Autre surprise, le temps des allocutions (fichtre, une demi-douzaine d’interventions à se mettre entre les deux oreilles) s’effectuera un peu plus tard, et un peu plus loin, dans la salle polyvalente, non loin de l’édifice médical. Sous la luminescence murale d’un immense drapeau tricolore qui surplombe de sa hauteur le pupitre où se feront les prises de parole successives des élus.

Que dire de cette construction ? Outre qu’elle témoigne de l’importance fondamentale dont profitera dorénavant la commune, elle est la traduction absolue de ce qui peut se réaliser de mieux pour résoudre le nœud gordien – il faudra bien le trancher un jour – propre à la désertification médicale dans nos territoires. Un terme que la sous-préfète Pauline GIRARDOT reprendra à son compte en citant le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, qui évoque lui le positivisme de la revitalisation des territoires plutôt que de la désertification médicale, un tantinet trop négatif.

 

 

Nous sommes les parents de la maison de santé…

 

Dire que l’élaboration du projet fut une longue promenade de santé (sans jeu de mot) serait vain ! Dominique CHAMBENOIT le rappelait en guise de propos liminaires : « quand le projet devient réalité, cela signifie que ce moment est à la fois la fin d’un cheminement parfois long, consacré à la réflexion et à la réalisation, et le début de vie de l’équipement par ses occupants… ».

Une fois balayée l’hypothèse que cet édifice médical soit envisagé comme une annexe de la maison de santé de Courson-les-Carrières, le projet a pu se concevoir avec l’appui de l’Agence Régionale de Santé (ARS) de manière totalement autonome.

« Nous sommes les parents de cette maison de santé, affirme un Dominique CHAMBENOIT qui en revendique la paternité, avec son conseil municipal attaché à la validation de ce projet. Ce projet est né d’une rencontre entre les praticiens et les élus autour d’un objectif partagé… ».

Un projet qui prendra forme petit à petit, devenant de facto à l’unanimité de son conseil municipal, le fil d’Ariane de la mandature.

 

 

Un large pan consacré au volet de la RSE

 

Dix-sept mois de travaux auront été nécessaires pour imaginer le concept – on reconnaît bien là la griffe du tandem d’architectes d’ATRIA ! – avant que ne soit livré à la sagacité des citoyens ce complexe finement ciselé ayant coûté in fine, après les aléas successifs de l’inflation, plus d’un million d’euros. Chacun des partenaires y jouant sa partition avec la présence de l’Etat (275 322 euros apportés dans l’escarcelle par la préfecture), le Conseil régional (215 255 euros) et le Département, où 175 000 euros furent injectés à la réalisation du projet. Bref, une enveloppe globale de subventions excédant les 665 000 euros hors taxe. Soit un total de 80 % d’aides !

Le reliquat revient naturellement à la collectivité locale, avec la contraction d’un emprunt engagé sur deux décennies.

Le volet RSE n’aura pas été occulté à l’édification de ce bâtiment de 389 mètres carrés. Installation de panneaux photovoltaïques, pompe à chaleur, construction à énergie positive, le tout proposé dans un périmètre de protection d’un monument classé église : rien n’aura été négligé dans ce concept, synonyme de facteur du « mieux vivre » pour tous les professionnels de santé et leur patientèle. Côté stationnement, il n’y aura pas de besoins supplémentaires : les quarante places de parking utilisées pour se rendre aux consultations étaient déjà existantes.

 

Thierry BRET

 

 


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Protocole oblige, il revient toujours à l’Etat, représenté en l’occurrence par le préfet de l’Yonne ou l’un de ses représentants, de clore la longue suite de prises de parole – parfois très redondantes - lors des cérémonies officielles. Le terme de la phase inaugurale du 6ème Salon des Seniors, concocté par Centre France Parc Expo et le Conseil départemental, n’aura donc pas dérogé à cette règle, respectée dans les us et coutumes à la lettre près comme il se doit. Sauf que là, Pascal JAN a voulu interpeller les personnes âgées sur les risques auxquels elles doivent faire face dans notre société…

 

AUXERRE: Aurait-il cassé bien involontairement l’ambiance tout à fait guillerette de la séance inaugurale, le préfet de l’Yonne ?! Une cérémonie à laquelle devait prendre part la marraine d’un jour, incarnée par la très dynamique (et agréable) Fabienne THIBEAULT, égérie de son compatriote québécois Luc PLAMONDON et de l’excellent Michel BERGER (« Starmania » spectacle et album originels publié en 1977, cela avait du chien sur scène et dans les oreilles avec sa pléthore de vedettes francophones à l’instar de Diane DUFRESNE, Claude DUBOIS, France GALL ou Daniel BALAVOINE, c’était autre chose que « The Voice », non ?).

En tout cas, le haut fonctionnaire, s’il a salué l’excellente initiative des organisateurs de placer sous le feu des projecteurs, le temps d’une manifestation durant deux jours qui accueille plus de 90 exposants les « cheveux d’argent », n’en a pas moins évoqué le rôle des politiques publiques, eu égard à cette frange de la population de plus en plus croissante en France.

 

L’apologie des Maisons France Service qui sont au nombre de 33 établissements

 

Trois axes de réflexion devaient étayer ses propos. Il est vrai que l’Etat, en appui des collectivités territoriales, s’investit pleinement par le biais des financements et de ses actes en soutien de cette population.

Primo, Pascal JAN s’attacha à apporter des explications précises sur les bienfaits des Maisons France Service – l’Yonne en compte deux de plus depuis peu après les inaugurations de Vézelay et de Ouanne soit 33 établissements – qui facilitent le rapprochement entre les citoyens (le plus souvent les seniors) et l’administration étatique.

Une manière pour le préfet d’insister aussi sur le désenclavement indispensable des zones rurales grâce à ce dispositif qui a su faire ses preuves depuis son apparition dans le département.

«Des zones rurales qui se caractérisent précisément par la présence d’une population de plus en plus âgée et de moins en moins mobile, soulignait-il.

 

 

Haro à la désertification, terme aux relents négatifs !

 

Et d’apporter un correctif en matière de sémantique qui lui est cher, à propos de la désertification.

« J’ai du mal avec ce terme, devait-il affirmer, c’est un mot négatif ! Je préfère parler de revitalisation des territoires car nous sommes plutôt dans l’action, allant vers le positif ! ».

Bing ! Une petite flèche adressée au passage aux sempiternels pessimistes de tout poil et à ceux qui ne voient que le verre vide même quand il est déjà à moitié plein !

Puis, se retournant vers le président du Département Patrick GENDRAUD, Pascal JAN devait annoncer que l’ultime maison France Service sera inaugurée dans les semaines proches à…Chablis, ville de prédilection de l’ancien édile, aujourd’hui responsable de la collectivité départementale.

La fracture numérique fut l’un des angles intéressants dont voulait parler le préfet devant un auditoire très fourni d’élus et d’institutionnels.

« Tous nos concitoyens, quel que soit leurs âges, doivent avoir accès à la chose numérique, martela le représentant de l’Etat, très à l’aise et volubile comme à son habitude derrière le pupitre.

 

Sécurité routière, cyber-escroquerie : les seniors sont cœur de cible !

 

Puis, plombant un peu l’atmosphère par le côté plus grave du sujet abordé, Pascal JAN ne manqua pas d’introduire la question de la sécurité routière.

« C’est un sujet très sensible dans l’Yonne. Les seniors sont souvent les victimes des accidents de la route – à date, 16 tués dont quatre personnes qui avaient plus de 65 ans - ; il faut qu’il y ait une attention particulière vis-à-vis de cette population… ».

Multiplication des contrôles médicaux ? Informations ciblées sur les nouveaux comportements (le téléphone, notamment) et sur les dangers ? Autant d’interrogations que le préfet livrera à voix haute à une assistance consciente des changements de paradigme.

Autre chapitre, tout aussi « joyeux » mais d’un nécessaire abord dans les propos : la sécurité. Et, plus particulièrement, la vulnérabilité des seniors quand il s’agit d’escroqueries.

« Là aussi, précisait-il, face à la cyber-escroquerie qui touche cette population, il doit y avoir des méthodes permettant de sensibiliser les personnes âgées face à ces risques. Ce n’est pas le vol mais surtout les effets dévastateurs et psychologiques qui en résultent qui sont à prendre en compte. Les personnes s’isolent à cause de la peur ; cela passe par de la prévention au quotidien… ».

S’apercevant que les propos tenus étaient aux antipodes de l’aspect festif de ce salon édition 2023, Pascal JAN ne changea pourtant pas d’un iota son discours, rappelant néanmoins qu’il était de son devoir de le dire haut et clair : « on ne le dit pas suffisamment que les personnes âgées sont exposées à l’ensemble de ces risques… ».

C’est fait ! Un peu dur à entendre dans le contexte inaugural, mais ô combien nécessaire pour faire bouger les lignes !

 

Thierry BRET

 

 


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Les petits plats dans les grands. Sans fioritures et surtout avec réelle gourmandise, pour celles et ceux qui aiment se sustenter lors d’un cocktail avec les délicieux canapés concoctés chez FESTINS ! Voilà ce qui attendait les trois cents cinquante invités du groupe 123 Immobilier qui eurent tout à loisir de mieux appréhender la philosophie et la stratégie de l’un des leaders icaunais de la transaction, venant s’implanter dans l’Aillantais. Une cinquième vitrine commerciale, ouverte depuis janvier, inaugurée dans la convivialité, ce qui n’était pas pour déplaire aux nombreuses personnalités, venues des quatre coins du département…

 

MONTHOLON : Il n’y a pas à dire : on possède le sens de l’accueil dans la commune dirigée par le maire Fernando DIAS GONCALVES ! Surtout lorsqu’il s’agit en substance de célébrer l’arrivée d’une nouvelle enseigne, permettant de renforcer l’attractivité économique du territoire, tout en créant de nouveaux emplois !

Certes, et selon sa date fétiche (le 02 janvier afin de mieux marquer le début de la nouvelle année peut-être au plan comptable !), le dirigeant du groupe 123 Immobilier, Baptiste CHAPUIS, dispose déjà d’un certain recul, vieux de quelques mois à peine, pour jauger de la pertinence d’une telle implantation dans la nouvelle localité de Montholon.

Au vu des premiers résultats en matière de transactions immobilières, le patron du groupe icaunais ne regrette nullement son choix, mûrement réfléchi au préalable comme le furent bien avant celui-ci ceux de l’ouverture des points de vente d’Appoigny, de Migennes et des deux boutiques auxerroises.

 

Une belle pépite de plus sur sa zone de prédilection : Mahfoud AOMAR jubile !

 

Nouvel acteur de l’immobilier sur ce secteur occidental du département, le groupe 123 ne s’est pas implanté ici pour y faire de la figuration. Tout cela résulte d’une fine appréciation territoriale de son dirigeant et des maillages potentiellement réalisables à développer sur cet axe compris entre Toucy, Joigny, Migennes et Auxerre.

Une vraie aubaine stratégique qui ravit à merveille le président de la communauté de communes, un Mahfoud AOMAR, toujours aux aguets lorsqu’il s’agit de flairer la belle pépite économique qui pourrait apporter davantage d’eau au moulin de la prospérité et de l’essor de son secteur géographique préféré ! Il n’est pas président de l’agence Yonne Développement pour rien !

Porte-étendard de la structure icaunaise de l’Association des Maires de France (AMF), Mahfoud AOMAR ne s’est pas privé de réagir à chaud à cette installation.

« C’est super, s’enthousiasme-t-il, c’est une entreprise de plus dans l’Aillantais, avec des emplois et une dynamique, et comme cette équipe est intelligente, ils vont nous ramener que des personnes au potentiel immobilier évident sur ce territoire – un clin d’œil appuyé aux Franciliens de plus en plus nombreux à accéder à la propriété dans le nord de la Bourgogne - ; c’est fabuleux ! ».

Entre Baptiste CHAPUIS et le maire de Valravillon, c’est l’osmose parfaite. Leur credo qui résonne tel un dénominateur commun repose sur l’attractivité !

« L’attractivité, explique Mahfoud AOMAR, cela s’applique à un territoire où l’on peut travailler sans avoir trop de problèmes, où l’on peut avoir une vie tranquille, et où l’on mange bien ! Je pense que ce dirigeant a fait le bon choix en venant s’installer ici ! ».

Bref, le portrait idéal de l’Yonne, non ?

 

 

 

Accueillir le plus de Parisiens possible en résidences principales

 

Quant à Baptiste CHAPUIS, il s’est dit très satisfait de l’accueil des élus, des commerçants et des habitants de la localité.

« Cette cinquième agence que nous ouvrons dans l’Yonne permet d’apporter deux choses : la première, c’est la résidence principale pour toutes les personnes qui quittent Paris et l’Ile-de-France vers davantage de qualité de vie, la seconde c’est pour répondre aux gens du cru qui recherchent de l’accession à la propriété mais aussi de la location qui est très demandée… ».

Hectares de terrain autour des maisons, fermettes à vendre, maisons de caractère et très atypiques qui se négocient entre 300 et 500 000 euros, sont des biens que le groupe possède en nombre beaucoup plus restreint sur Migennes ou à Auxerre. D’où l’intérêt pour son responsable d’avoir optimisé sa présence sur cette partie sectorielle de notre département.

Autre motif de satisfaction pour le président communautaire : l’emménagement du groupe 123 Immobilier dans un local qui était jusque-là vacant. « Et en plus, il y a des salariés, se réjouit-il la malice dans le regard !

Quant à l’hypothétique afflux trop massif de Parisiens dans le secteur, Mahfoud AOMAR balaie l’argument d’un revers de la main : « On ne craint pas de genre de situation, au contraire, ce qui nous intéresse c’est d’avoir le plus de Franciliens possible en résidence principale ! ».

 

Consolider le capital acquis par la société

 

Dans les faits, l’apport de cette nouvelle boutique commerciale se convertit en quatre postes à taux plein. En outre, dans la partie supérieure de l’édifice, des bureaux sont loués à des professionnels, notamment à une sophrologue qui vient de s’y installer. Une spécialiste de l’hypnose a fait de même dans ce business center. Deux autres locaux sont encore à louer, l’un situé au rez-de-chaussée et le second à l’étage de ce bâtiment. Tout cela dans un esprit bien-être et cocooning, tel que le souhaite Baptiste CHAPUIS.

Avec le site de Montholon, le groupe immobilier dispose désormais de cinq entités, toutes opérationnelles et aux résultats prometteurs malgré les soubresauts imputables au marché. Une cinquième agence, telle une symphonie de Beethoven, parfaitement achevée !

« Cinq vitrines commerciales, je qualifierai cela de très très bien, souligne le jeune dirigeant, il faut savoir demeurer à ce niveau et le consolider avant de penser continuer à augmenter le nombre de ses points de vente… ».

Une manière d’éradiquer avec élégance la sempiternelle question posée à l’entrepreneur, « et à quand la sixième agence ?! ».

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Fléau à l’origine de la destruction massive des récoltes – des centaines d’hectares sont retournés chaque année sur le territoire hexagonal -, le sanglier s’est donc invité au cours de la session de rentrée de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, jeudi matin. Malgré les prélèvements assurés par les chasseurs, les professionnels du monde agricole veulent davantage de moyens pour protéger leurs champs des ravages commis par ces prolifiques mammifères…

 

AUXERRE : Haro sur les sangliers dans les campagnes icaunaises ! Le phénomène ne date pas d’hier mais il semblerait que les prélèvements assurés par les sociétés de chasse ne soient pas suffisants pour en réduire le nombre, la bestiole prolifère à la vitesse du son dans les bois et sous-bois de nos forêts. Et mieux se nourrir au beau milieu des champs de tournesol, de blé ou de maïs des agriculteurs qui déconfits n’ont plus que leurs yeux pour pleurer !

Selon une estimation fournie par la Fédération nationale des Chasseurs, les dégâts occasionnés par ces puissants mammifères aux cultures et aux terres agricoles représentent entre 30 et 50 millions d’euros par an dans l’Hexagone. Par chez nous, les destructions des récoltes sont légion. Les céréaliers ne cessent de signaler les méfaits de ces animaux à leur instance officielle, la Chambre départementale d’Agriculture.

Profitant de la présence du préfet de l’Yonne, Pascal JAN, lors de la séance automnale de l’organisme consulaire réuni en plénière, plusieurs agriculteurs ont exprimé le souhait d’obtenir le droit de protéger leurs cultures. Comble du comble : certains propriétaires ne peuvent pas entrer dans leurs champs en période de chasse !

 

Les loups et les sangliers : même prédation !

 

Un sujet qui est devenu récurrent à chaque session de la chambre agricole et que le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, connaît sur le bout des doigts ! Les témoignages de quelques-uns des adhérents de la Chambre d’Agriculture sont accablants : « Après le passage des sangliers dans nos récoltes, c’est catastrophique, confie Walter HURE, président de la coopérative 110 Bourgogne, on ne peut plus pénétrer dans les champs car il faut attendre le passage des experts. Des délais qui sont parfois longs où l’on ne peut pas récolter… ».

L’une des solutions pour endiguer ces dégâts repose sur l’accès facilité au permis de chasse pour les agriculteurs. Tous, c’est le cas de Walter HURE, n’y accèdent pas, d’ailleurs. Bref, après la prédation occasionnée par le loup et les grands canidés – le sujet fera l’objet d’une réunion organisée par la Chambre d’Agriculture et les services de l’Etat le jeudi 05 octobre à Avallon -, ce sont les sangliers qui posent de sérieux problèmes à l’existence quotidienne des professionnels. Pas facile d’être agriculteur, aujourd’hui !

 

Thierry BRET

 


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Il est copieux, le menu pédagogique proposé par le CNFPT, le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale de l’Yonne ! Se déclinant dans ses versions théorique et pratique, il se compose de 400 heures de formation à assurer auprès des collectivités locales. Celles et ceux des demandeurs d’emploi qui souhaitaient embrasser un jour le métier de secrétaire de mairie en commune rurale sont donc servis. Royalement, au vu des seize modules du cursus ! Gare à l’indigestion !

 

AUXERRE : Elles et ils écoutent en silence les propos liminaires tenus par le président de la vénérable institution, Jean-Pierre GERARDIN, lors de la phase de présentation. La nouvelle promotion des quinze demandeurs d’emploi, débutant ce cycle de formation au métier de secrétaire de mairie en commune rurale, assise autour de tables placées en U, est donc dans les starting-blocks, prête à en découdre avec le volumineux programme didactique qui l’attend.

Au bas mot, ce sont seize modules de formation qui permettent de préparer les stagiaires aux arcanes du poste de secrétaire de mairie, une fonction essentielle par excellence, dans les rouages d’une collectivité rurale.

Pêle-mêle, on y trouve dans le contenu (très bien ordonné, quant à lui !), la connaissance du milieu territorial, celle de la fonction publique qui s’y rapporte, la gestion des rémunérations, la comptabilité et les budgets – le nerf de la guerre de toute collectivité qui se respecte ! -, la rédaction administrative, l’état civil, les élections, l’urbanisme, les marchés publics ou encore la gestion des archives. Il y a même un chapitre pédagogique concernant la gestion du stress en situation d’accueil. A croire que les secrétaires de mairie sont exposées à la vindicte populaire ! Plus sérieusement, ce métier aux multiples tâches n’est pas si facile à exercer car en première ligne face aux revendications parfois agressives de quelques citoyens réfractaires au respect du droit et de la loi !

 

 

Répondre aux besoins des localités rurales

 

Souvent, le secrétaire de mairie – seul collaborateur de l’élu parfois dans certaines communes – est un précieux auxiliaire qui ne ménage pas sa peine. Son absence, même temporaire, peut engendrer des dysfonctionnements importants en raison de la diversité et multiplicité des tâches. Quant à la réglementation, sa complexité aurait pu en rebuter plus d’un : ce qui ne fut pas le cas, lundi matin, dans l’une des salles municipales auxerroises où le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale (CNFPT) a pris habitude de recevoir lors de ses sessions de recrutement régulières.

Pour ces demandeurs d’emploi, c’est donc une excellente opportunité de pouvoir transformer l’essai – ils seront des agents de remplacement dans un premier temps – mais ils peuvent avoir l’opportunité de pérenniser leur poste par voie de concours ou par recrutement direct. D’autre part, l’initiative, judicieuse, du CNFPT est aussi de répondre aux besoins des territoires, plus particulièrement ceux des zones rurales.  

Lors de cette prise de contact, ce fut le temps des explications dans le détail avec la présentation du cursus aux stagiaires et du métier de secrétaire de mairie. Etaient présents les tuteurs qui ont évoqué leur métier avec moult témoignages, les élus et les candidats. Un échange nourri et constructif pour faire toute la lumière sur ce métier indispensable où les pré-acquis sont la loyauté, la discrétion, la disponibilité et…les compétences pour tenir le poste, tout de même !

 

Thierry BRET

 


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