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Mais qu’est-ce donc que la Société des Membres de la Légion d’Honneur ? L’illustre association qui commémorait son centième anniversaire ce week-end à Joigny fédère plus de deux cents adhérents sur le seul territoire de l’Yonne. L’occasion de vous présenter la structure nous est donnée avec la rencontre du président de l’antenne départementale Baudouin DELFORGE. Explication de texte en quelques questions et autant de réponses…

 

INTERVIEW : Pourquoi vous être engagé dans le comité départemental ?

Baudouin DELFORGE : Il y a eu un flottement au moment de la succession du président défunt, avec quelques personnes qui se déchiraient et j’ai dit non, pas de ça ! La Légion d’honneur mérite mieux. Alors j’ai souhaité reprendre les choses en main, avec l’idée première de rassembler tout le monde.

Par définition, c’est un devoir de recevoir cette distinction, mais cela oblige-t-il le récipiendaire à des devoirs ?

Naturellement, je dirai même des devoirs multiples, à la fois d’exemplarité, de probité et d’entraide.

Pensez-vous que la Légion d’honneur soit quelque peu galvaudée de nos jours, éloignée de son sens premier, à l’image de ce récipiendaire, célèbre pâtissier présent sur les réseaux sociaux ?

Je n’ai rien contre le fait qu’un gars comme Christophe MICHALAK, un artisan lunettier ou un ferronnier d’art la reçoive. Ils participent aussi à leur manière, à faire la promotion de l’excellence française. Je suis beaucoup plus réservé quand il s’agit d’un footballeur qui touche des millions et n’est même pas capable pour le moins, d’entonner « La Marseillaise »…

Vous avez été fait chevalier de la Légion d’honneur en 2007, à qui ou à quoi pense-t-on à cet instant précis ?

J’ai beaucoup pensé à ma fille, naturellement, mais aussi à tous ceux des miens, morts pour la France. Avec une pensée particulière pour cet aïeul, premier légionnaire de la famille, qui fut décoré par Napoléon lors de la retraite de Russie.

 

Propos recueillis par Dominique BERNERD

 


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Des élus de l’opposition à Auxerre veulent davantage de concertation citoyenne avec les habitants. D’autant que les conseils de quartier sont passés de vie à trépas. Pour se faire, « Vivre l’Auxerrois » souhaite devenir une vitrine d’expression apolitique ouverte à toutes celles et à tous ceux qui ont des propositions pour l’intérêt général du bassin de vie…

 

AUXERRE : Première chose à retenir dans la présentation de cette nouvelle structure associative qui vient de déposer ses statuts en préfecture depuis peu, sa signalétique. Si l’appellation au plan sémantique s’intitule sobrement « Vivre l’Auxerrois » (en cela ce n’est guère original mais cela permet au moins d’identifier le lieu géographique et ce de quoi on parle dès la première lecture !), le graphisme du logotype est pour le moins curieux.

Il s’agit d’un double « R » accentuant de manière très visible les deux consonnes des mots « vivre » et « Auxerrois », fait de rouge et de vert.

Faut-il y voir au plan du choix chromatique une indication un tantinet politique ?!

Auquel cas, il aurait été plus judicieux d’opter pour le rose, symbole du socialisme, à la place du rouge pour évoquer cette entité dont la genèse repose sur le rassemblement de plusieurs élus de l’opposition à l’estampille du PS de l’Auxerrois !

Charte graphique mise à part (!), saluons donc dans le landerneau, cette dernière native du milieu associatif qui a désormais pour vocation de devenir un terreau de la parole et de la construction de projets.

Sous l’égide de la citoyenneté et de l’intérêt général de ce bassin géographique qui souffre selon leurs auteurs d’un manque cruel de concertation. Une banderille lancée au cordeau en direction de l’actuelle municipalité et communauté d’agglo !

Partant de ce postulat, nulle autre manière que de se faire entendre par la voix démocratique et républicaine via un outil qui s’y prête à merveille. L’association, ce petit joyau né de la loi de 1901 !

Facile à créer, s’animant avec souplesse et fonctionnant selon le rythme d’un calendrier clairement établi, l’association peut aussi servir de vitrine efficace à la propagation de ses idées.

Et dans ce registre, les fondateurs de ce nouvel organe, espace d’expression et de créativité au demeurant politique sur ses valeurs puisqu’ouvert à tous, n’en manquent visiblement pas. Comme l’ont démontré ses porte-paroles lors d’une conférence de presse explicative sur les attendus de la démarche. Qui n’est pas attribuée au groupe d’opposition à la Ville d’Auxerre.

 

Privilégier la rencontre avec les citoyens…

 

« Vivre l’Auxerrois » a donc fermement l’intention d’intégrer le paysage de la communication publique locale en multipliant les initiatives, les rencontres et les rendez-vous avec celles et ceux qui veulent réfléchir au futur de leur territoire. Les items s’accumulent déjà en nombre dans la besace avant même de lancer la machine !

Solidarité, écologie, citoyenneté, le mieux vivre dans la société et dans sa ville, humaniser les relations à l’autre…bref, ce vaste patchwork d’intelligence partagée où les cellules grises phosphoreront à tout va s’appuiera aussi sur la venue de conférenciers, de spécialistes, de référents, de conseillers, tous exégètes selon la matière intellectuelle abordée le jour J.

Ce sera un grand cabinet de réflexion où chacun pourra y apporter sa pierre à l’édifice moyennant un modeste pécule de 5 euros, somme dérisoire pour y adhérer de manière annuelle.

 

 

En un mot comme en cent, la vocation de cet organe de libre expression n’aura d’autre but que d’aller à la rencontre des citoyens. De ses administrés de la chose publique qui ont des propositions à faire, des suggestions à souffler, des envies de projets à soutenir, des doléances aussi à transmettre. Des femmes et des hommes qui aimeraient le dire mais qui ne le peuvent pas aujourd’hui, faute d’espaces ad hoc. Et peut-être d’oreilles attentives ?

D’autant que les conseils de quartier développés çà et là dans la capitale de l’Yonne durant la mandature de Guy FEREZ n’existent plus, passant de vie à trépas, et annihilant toute possibilité de faire remonter ses desiderata.

Favoriser la démocratie participative est l’un des axes essentiels qui aura justifié la création de cette illustration palpable d’une société en proie à la non-prise de parole au quotidien.

En privilégiant la relation humaine et l’échange avec autrui au détriment de la concertation binaire, ramenée au seul prisme de la froideur immatérielle grâce aux réseaux sociaux et au numérique.

 

 

Il n’y a pas de calcul pour 2026 !

 

« Vivre l’Auxerrois » souhaite donc replacer l’humain au cœur de la société avec ce qu’elle a de plus enthousiasmant dans l’agir et non pas le subir. Tâtant le pouls d’un terrain parfois désorienté et en totale déshérence.

Le concept mérite d’exister. D’autres s’y sont essayés dans un récent passé pour véhiculer d’utiles réflexions à l’image de l’élu Mathieu DEBAIN et de son outil de référence, « S’Engager pour l’Auxerrois ». La vocation initiale était-elle si différente ? Pas si sûr !

Aujourd’hui, ce projet made 2021 est porté par Mani CAMBEFORT. On ne présente plus le trentenaire trublion de la gauche socialiste, conseiller municipal d’opposition. Intelligent, le garçon possède le sens de la rhétorique et du verbe, talents qu’il exprime dès qu’il en a l’opportunité au premier conseil communautaire et municipal venus. Il a été réélu à l’unanimité en qualité de premier fédéral du Parti socialiste dans l’Yonne le mois dernier.

Chantre de la concertation citoyenne, il n’est pas le seul chef de bord à piloter l’avion. Sa coreligionnaire n’est autre que la conseillère régionale et élue d’Auxerre PRG, Isabelle POIFOL-FERREIRA, ex-adjointe aux affaires culturelles sous l’ère FEREZ. Le débat d’idées, elle entend bien le mener à bon port avec cette structure qu’elle va animée.

Parmi les autres « têtes d’affiche » politiques alors que la volonté de leurs auteurs est également d’ouvrir largement vers la société civile, on retrouve l’élue de PS Sophie FEVRE et le Vert Rémi PROU-MELINE.

Cela ressemblerait presque à la saveur et à la couleur d’une association fédérant les membres de l’opposition, voire d’une formation politique naissante travaillant déjà sur les bases des échéances municipales 2026 !

Démenti formel de Mani CAMBEFORT : « Il n’y a pas de calcul ! Ce n’est qu’une simple association démocratique ouverte à toutes et à tous pour évoquer des grands sujets de la cité autour de propositions concrètes ! ».

Bon admettons ! Même si cela ressemble à s’y méprendre à la lente construction d’un cahier des charges mûrement abouti faisant office de programme de campagne !

D’ailleurs, même les journalistes présents à cette conférence sont d’ores et déjà invités à y prendre part, c’est tout dire !

Quant aux autres élus de l’opposition (on pense à Maud NAVARRE, Farah ZIANI, Florence LOURY ou Denis ROYCOURT, Mathieu DEBAIN), si leurs patronymes n’ont pas été cités en tant que fondateurs officiels de la structure, cela ne signifie pas pour autant qu’ils en soient honnis. Si le cœur leur en dit, ils sont toujours les bienvenus pour apporter de l’eau au moulin de la réflexion…

 

En savoir plus :

 

Association Vivre l’Auxerrois

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Tel : 06.95.82.55.22.

Adhésion : 5 euros.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il aime relever les défis l’entrepreneur de l’Yonne, adhérent de la CPME. Non seulement, il participe à l’élection consulaire de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat pour faire gagner la liste dont il est le chef de file (« Fiers d’être artisans ») au soir du verdict le 19 octobre. Mais, en outre, il aimerait bien déloger le président Emmanuel POYEN de son piédestal régional. Un challenge en passe de réussir ?

 

AUXERRE: Qui d’Emmanuel POYEN, actuel président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat ou de son challenger Baptiste CLERIN, à la tête de la liste « Fiers d’être artisans », remportera le scrutin de ces élections consulaires édition 2021 ? Des élections qui soient en dit en passant ne passionnent pas les foules et ne devraient pas mobilisées outre mesure beaucoup de professionnels dans le sérail territorial.

Un peu à l’image depuis plusieurs années de ce qui se déroule lors des autres échéances plus politiques. Ce qui ternit un peu plus à chaque rendez-vous électoral le principe de la démocratie, socle pourtant indélébile de notre patrie et de nos libertés.

Dans le meilleur des cas, selon quelques prévisions optimistes, le taux de mobilisation des professionnels de l’artisanat pourrait s’élever à 12 %. Au lieu de 14 %, chiffre observé il y a cinq ans lors du dernier scrutin. Pourtant, dit l’adage, le secteur artisanal représente la première entreprise de France du fait de son nombre exponentiel de sociétés, d’entrepreneurs et de salariés ! Etrange paradoxe que celui-ci en vérité.

 

Les prérogatives de la Chambre des Métiers ont fondu comme neige au soleil…

 

Cela ne perturbe nullement Baptiste CLERIN. Ce dernier a multiplié les rencontres auprès des représentants de la filière au fil des semaines. D’autant que le garçon, membre de la CPME de l’Yonne, se présente sur deux tableaux : le départemental et surtout le régional.

La profession de foi de l’intéressé est simple : il désire rendre ses lettres de noblesse et son rôle de soutien aux artisans à l’institution consulaire.

« Depuis quelques années, la plupart des artisans de France ne font que verser des taxes à l’organe qui les représente. Ils attendent bien davantage de leur chambre consulaire en matière de retour sur investissement… ».

Le ton est donné, sans fioritures aucunes. Déshabillées par l’Etat, à l’identique de la CCI, les Chambres des Métiers et leurs prérogatives régaliennes ont donc fondu comme neige au soleil au fil des ans. Notamment l’exclusivité de la rédaction des contrats d’apprentissage. Un coup dur, énorme, pour les chambres, synonyme de retrait d’une partie de leur financement.

 

 

Autre désillusion pour le candidat CLERIN : la représentativité qui est mal assurée par la chambre consulaire auprès de ses adhérents.

« Combien de ces acteurs de l’économie au plus près du terrain ont eu de contacts depuis ces douze derniers mois avec leur chambre ? Que font celles et ceux qui sont sensés nous représenter (eux-mêmes des artisans) et qui ne le font pas ?! Sincèrement, ceux qui répondront par l’affirmative positive doivent se compter sur les doigts des deux mains ! ».

Boom, la banderille est décochée. Pas tendre le chef d’entreprise avec ses opposants qui gèrent depuis cinq ans la vénérable institution.

 

 

Etre représenté auprès des EPCI dans les territoires…

 

Puis d’ajouter, récemment, lors d’un meeting de campagne (cela existe aussi dans le milieu professionnel), « la liste « Fiers d'être artisans » n'a pas été constituée par des gros syndicats ou par des gens animés d'intérêts particuliers, mais uniquement par des artisans du terrain qui ont envie de faire changer les choses. D’ailleurs, plus de la moitié des gens qui composent cette liste ne sont pas inscrits dans un syndicat… ».

En filigrane, cela suppose que bon nombre d’artisans ne se sentent pas ou peu représentés aujourd’hui et ne figurent dans aucun des pléthoriques syndicats qui existent.

Quant à l’hypothétique rapprochement avec les autres chambres consulaires, il n’en est pas question dans la bouche de Baptiste CLERIN.

« C’est à nous de prendre les rênes de notre destinée et de devenir la Maison des Artisans, au service de ces entrepreneurs…».

A contrario, le double candidat souhaite que la Chambre des Métiers soit représentée auprès des EPCI qui possèdent désormais la seule compétence économique sur leurs territoires.

« Si on ne va pas voir les élus en charge de l'économie des territoires, il n'y a pas de raison qu’ils financent les projets de la Chambre pour des actions en faveur de l'artisanat ! ».

Des arguments qui pourraient peut-être porter le candidat de la liste où figurent des poids lourds tels que la FFB, le CNPA ou la FEP au firmament du succès au soir de la connaissance du verdict, le 19 octobre prochain ? Ou pas ?

 

Thierry BRET

 

 


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Bernard TAPIE : une légende de la scène médiatique rejoint le ciel des héros des temps modernes. Décrié par les uns, encensé par les autres, le personnage a vécu à mille à l’heure. Inclassable, cet iconoclaste a toujours assumé ses choix et possédait un registre de talents peu commun. Tour à tour chanteur, comédien au théâtre, acteur de cinéma, homme d’affaires, député, ministre de la ville sous MITTERRAND, et enfin, humain en livrant son ultime combat : un cancer.

 

TRIBUNE: Remarquable à plus d’un titre ! Ceux-là mêmes qui chantent des louanges à son encontre aujourd’hui faisaient aussi partie de ceux qui le dézinguaient dans les médias. Très peu ont bougé pour dénoncer les contradictions d’un pouvoir qui l’indemnise dans l’affaire du Crédit Lyonnais, lors de l’arbitrage de Christine LAGARDE (alors ministre des Finances) puis ensuite lui demande de rembourser les fonds. Christine LAGARDE sera jugée « coupable de négligence » !

Vous savez, une sorte de « rappel à l’ordre » pour avoir dépensé quelques centaines de millions aux frais de la République. Au début de ses ennuis judiciaires, Bernard TAPIE, alors député, debout dans l’hémicycle de l’Assemblée, encaisse sa levée d’immunité parlementaire.

Seul, Jack LANG, près de lui, le prendra par l’épaule en gage de soutient. Trop de députés étaient  heureux de faire enfin tomber l’homme de tous les succès. Quand il était ministre, certains de ses collègues disaient aux journalistes qu’ils étaient gênés de s’asseoir à ses côtés. Il n’a jamais deviné les manipulations de François MITTERRAND à son encontre. On soupçonne le président de l’avoir mis en avant pour écarter Michel ROCARD…

Par contre, Bernard TAPIE avait un sens politique instinctif : c’est le seul qui a osé affronter Jean-Marie LE PEN lors d’un face à face télévisé. En coulisse, on racontait aussi qu’il aurait rencontré le patron du Front National pour éliminer, politiquement, le patron de Marseille, Jean-Luc  GAUDIN, leur ennemi commun…

De nombreux bruits de couloirs, de fuites savamment orchestrées jalonnent la carrière de cet homme charismatique et qui savait entraîner les autres dans ses aventures.

 

 

Un unique combat contre la jalousie des hommes…

 

La presse nous raconte en large et en travers ses histoires, « ses mille vies », comme tous se plaisent à le raconter. Un fils d’ouvrier qui a bénéficié d’une bonne structure familiale et qui a sans doute nourrit la force de son caractère. Des parents aimants, c’est aussi la réussite de l’homme en devenir. N’en déplaise aux féministes, LGBT et autres complotistes !

Si ses débuts dans la chanson furent un échec, plus tard, il montrera ses capacités d’acteur au théâtre (« Vol au-dessus d’un nid de coucou »), au cinéma avec Claude LELOUCH ou encore dans un célèbre feuilleton télévisé, « Commissaire Valence ». Alain DUHAMEL raconte qu’au théâtre, dès que TAPIE arrivait sur la scène, les spectateurs se levaient et l’acclamaient par une salve interminable d’applaudissements. Des cars entiers venaient à Paris pour l’applaudir au théâtre.

Que n’a-t-on pas raconté sur l’homme d’affaires qu’il incarnait. Il a repris de nombreuses entreprises au bord de la faillite. Son fils aime souligner que sur mille emplois, si 300 étaient supprimés, c’est 700 qui étaient sauvés ! ADIDAS, un fleuron qui allait de pair avec l’Olympique de Marseille. Guy ROUX se souvient qu’un soir, il avait débarqué à l’aéroport d’Auxerre et était venu rencontrer Eric CANTONA pour lui expliquer que s’il était né à Marseille, il devait jouer à l’OM. En outre, il aurait toujours un franc de plus que la meilleure rémunération qu’on pouvait lui proposer…

Avec l’OM, TAPIE offrait la première Coupe d’Europe des clubs à la France et avec la Vie Claire, il engageait Bernard HINAULT et Greg LEMOND pour gagner des Tours de France…

Quand il deviendra ministre, on exigera qu’il quitte le monde des affaires : il se sépare alors d’ADIDAS et quitte la présidence de l’OM : un vrai crève-cœur ! 

 

 

La jalousie : mal endémique de nos sociétés...

 

Quand un aristo achète un meuble « Boulle », on dit : « voilà un homme de goût », si c’est TAPIE, on s’exclame : « c’est un arriviste ! ». En guise de consolation, si à l’époque l’aristocrate n’avait plus les moyens de s’offrir un tel luxe, TAPIE si !

Tout cela pour dire que la jalousie sera permanente à l’encontre de l’homme d’affaires. La jalousie de ses réussites dans le business, réussites dans les  sports, dans le spectacle… Quand ses collègues payent quelques millions pour des campagnes publicitaires, lui Bernard TAPIE se fait payer pour animer des émissions de télévision pour parler de quoi et de qui ? De lui bien sûr ! Certains ont jalousé le foyer heureux qu’il forme avec son épouse et ses enfants. Chaque soir, quand il était en prison,  avec sa femme, ils avaient convenu d’une heure de rendez-vous, pour être virtuellement ensemble. Quel beau témoignage d’amour…

Il nous fait  remarquer que les freins au bonheur sont en nous.  Il a brisé toutes ces barrières qui obstruent le passage à l’accession au bonheur. Chaque défaut possède sa qualité et inversement, nous le savons. Trop souvent on les oppose.

Pourtant, il ne s’agit pas d’antagonisme ou d’antonyme. Par exemple, lorsque nous identifions l’orgueil, le pendant positif, c’est l’humilité. Orgueil et humilité sont sur le même axe. Le curseur se déplace vers le bas (orgueil). Il faut travailler sur soi pour le faire remonter vers le haut : l’humilité. Orgueil et humilité n’ont pas la même vibration pour le corps et l’esprit : deux extrémités que certains appellent le principe de « polarité ». A l’opposé de la jalousie, nous avons la générosité et le désintéressement.  Pour approfondir on peut lire le « Kybalion ». Très ancien texte emprunté à la sagesse égyptienne (pour les connaisseurs, liée à Hermès Trismégiste).  

« Pour détruire une mauvaise période de vibrations, mettez en activité le principe de polarité  et concentrez votre pensée sur le pôle opposé de celui que vous voulez annihiler. Tuez l’indésirable en modifiant sa polarité ». Le Kybalion. Livre écrit par « trois initiés » et téléchargeable gratuitement.

TAPIE n’a jamais été un jaloux. Mais une victime de ce sentiment qui pourra peut-être le conduire à déclencher son cancer.

 

La jalousie c’est plus de l’amour propre que de l’amour…

 

La jalousie nous fragilise corps et âme. La jalousie est encore appelée « petite fenêtre » au Moyen-âge. Une petite fenêtre qui permet de regarder sans être vu. On regarde qui ou quoi ? Ce que l’on imagine ! Une ouverture qui permet de mélanger la haine, l’agressivité avec des pulsions de mort ! En conséquence, elle tue l’amour par manque d’amour ! Ce n’est plus une fenêtre mais une meurtrière…

Dans des textes communs aux traditions judaïques et chrétiennes, Dieu choisit Abraham pour conduire son peuple et il bénit Isaac en chassant Ismaël et sa mère. Ismaël engendrera le peuple musulman. Le conflit israélo-arabe, une guerre liée à la jalousie ?

A qui appartient la Palestine, auquel des deux fils d’Abraham, Isaac ou Ismaël ? A méditer…Puisque Dieu préfère le présent d’Abel à celui de Caïn : la jalousie de Caïn pousse au meurtre du frère…

L’antisémitisme est poussé aussi par le sentiment de jalousie qui se relèvera après le génocide de 1945. On envie la force des juifs, leur courage, leurs réussites, intellectuelles, financières, artistiques… Freud, Marx, Rothschild, Mendelssohn, Kosma… Heureusement Einstein a déclaré : « tout est relatif »…

La jalousie, concernant le peuple élu peut-elle nous conduire à la Shoa ? Je ne sais pas, c’est juste une intuition…

Le Coran dans la troisième Hadith nous  dit : « Méfiez-vous de la jalousie (Al hassad en arabe,) car elle consume les bonnes œuvres, comme le feu consume le bois ».

Le prophète interdit la jalousie et prévient : « chaque personne qui a un bienfait aura un jaloux ». Le prophète invite à nettoyer son cœur de la médisance et de la jalousie.

Par ses combats et sa mort, Bernard ouvre une voix à la réflexion et à la méditation sur les routes possibles vers le bonheur, sur ses freins et ses boosters. Dans une ultime interview sur CNEWS, il devait déclarer : « Les gens m’aiment, alors la vie est belle » ! 

Alors bravo l’artiste. Tu t’es éteint et  tu as rejoint le ciel au milieu de ceux que tu aimais, serein et paisible. Ultime provocation où ton dernier clin d’œil, tu as fait que l’histoire se passe à Paris, rue des Saints Pères…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Restaurer la fierté française et remettre le pays en ordre de marche ! C’est le leitmotiv de la présidente de l’Ile-de-France, à la tête du mouvement « Soyons Libres » créé depuis juillet 2017. Démontrant ainsi ses velléités à appliquer une ligne plus centriste et fédératrice au sein de la famille des Républicains. La prétendante à la fonction élyséenne tiendra une réunion publique ce mardi à VENOY…

 

AUXERRE : Attention, horaire inhabituel pour le déroulé d’un tel évènement ! Valérie PECRESSE ira à la rencontre de ses partisans (et pourquoi pas les autres) ce mardi 12 octobre à 11 heures.

Une séance publique qui est orchestrée dans l’un des lieux emblématiques voyant défiler de nombreux ténors de la droite depuis plusieurs années : la salle des fêtes des Joinchères dans la commune périphérique d’Auxerre, à VENOY. Un sacré coup de projecteur pour l’infrastructure de Christophe BONNEFOND !

A l’invitation du député de l’Yonne Guillaume LARRIVE, la présidente de la Région limitrophe de l’Ile-de-France se posera à la tribune de longues minutes afin d’évoquer les motivations qui la pousse à candidater sous le sceau des Républicains à la présidentielle 2022.

Face à l’auditoire, la tête de file du mouvement « Soyons Libres » qui incarne une forme de renouveau modéré au sein du parti gaulliste évoquera dans les grandes lignes son projet politique, permettant de sortir l’Hexagone de l’ornière. Une vision qui supposera sans aucun doute un temps de partage et de concertation avec le public ?

 

 

Après Michel BARNIER et Valérie PECRESSE, à quand le tour de Xavier BERTRAND ?

 

Après la venue de Michel BARNIER, il y a quelques jours lors des « Rendez-Vous pour la France » accueillis à l’abbaye Saint-Germain à Auxerre, c’est le second candidat déclaré des Républicains qui fait halte dans la capitale de l’Yonne.

Une vitrine intéressante pour notre territoire souvent boudé par les représentants de l’exécutif et les chefs de file de la politique qui n’y font que rarement étape.

Promoteur du néo-concept culturel « Auxerre, Cité des arts de la parole grâce à l’abbaye Saint-Germain », Guillaume LARRIVE entend bien appuyer sur le champignon de l’accélérateur pour faire de notre territoire un passage obligé de la réflexion intellectuelle. Sous le prisme de la politique au service des citoyens.

A l’initiative de cette double visite à quelques jours d’intervalle (Michel BARNIER et Valérie PECRESSE), le parlementaire a par ailleurs confirmé à leurs termes que les « Rendez-Vous pour la France » se réitéreraient dès l’année prochaine avec de nouvelles thématiques suscitant du questionnement.

Il ne lui reste désormais plus qu’à accueillir le dernier poids lourd de ces candidatures de la droite républicaine pour boucler la boucle avant l’échéance de la présidentielle : recevoir Xavier BERTRAND en nos murs…

 

Thierry BRET

 

 


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