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On est loin, très loin du compte à l’heure du bilan quantitatif de feu la première édition de cette épreuve ludique et sportive qui devait accueillir selon les prévisions les plus optimistes de son organisateur, près de 4 000 participants sur l’Auxerrois. Porté par la société « RUN IN THE WORLD », aujourd’hui dissoute depuis le 24 août, l’évènement n’a en fait que très peu motivé de futurs candidats à cette expérience pourtant unique dans l’Yonne : environ 500 personnes ayant déboursé des tickets d’entrée compris entre 25 et 50 euros selon le package initial choisi. Après avoir justifié ces chiffres face à ses partenaires économiques lors d’une explication de texte douloureuse, le jeune dirigeant de la société organisatrice a rencontré la presse, afin de faire toute la lumière sur une affaire qui trouvera son épilogue auprès de la justice…

AUXERRE : Triste, le regard perdu dans le vide, le jeune responsable de l’ex-entreprise « RUN IN THE WORLD » se retrouve face aux journalistes chez l’un de ses partenaires pour que ces derniers tentent de comprendre les raisons de cet échec pathétique. A quelques jours de la célébration de cet évènement qui aurait dû se transformer en plénitude pour son concepteur (du 07 au 09 septembre), l’annonce, soudaine d’une annulation abrupte, sonnera le glas de celles et ceux qui croyaient dur comme fer en la crédibilité de ce projet.

Mais, cette prise de parole avec les médias ne devait être point comparable avec les échanges tenus en présence des soutiens financiers quelques minutes plus tôt. Rien ou presque ne filtrera de ce premier contact officiel entre les représentants des six sociétés, courroucées par l’absence d’information durant plusieurs jours, et le jeune homme de 21 ans en mal de participants.

Un département de l’Yonne à faible pouvoir d’achat…

S’étant accordé quelques jours salutaires de réflexion et une prise de recul pour le moins curieuse avant de revenir sur le devant de la scène pour s’expliquer et affronter les critiques acerbes, le responsable du CRAZY Race Festival insista sur sa mobilisation acharnée dans le montage de ce projet.

« J’y ai mis tout mon cœur, plaide-t-il, malheureusement, le résultat n’est pas à la hauteur de mes espérances… ».

S’insurgeant envers celles et ceux qui parlent ouvertement d’escroquerie et d’arnaque, voire le traine dans la boue, le garçon réfute tout de go ces accusations. « J’assume l’entière responsabilité de cet échec et les conséquences de la prise de décision ayant abouti à la suppression du CRAZY Race. Ce projet était trop ambitieux pour un territoire tel que celui de l’Auxerrois qui souffre au plan économique. Sans doute, les tickets d’entrée selon les différentes formes de package étaient-ils trop élevés… Car,  au niveau de la communication, tout a été fait dans le bon sens ».

Pour étayer ses dires, le jeune homme ajoutera qu’une étude, commandée par ses soins auprès d’un consultant, étayait cette thèse de la faiblesse du pouvoir d’achat dans l’Yonne. Mais, est-ce vraiment la cause de cet échec ?

Reconnaissant son erreur de ne pas avoir tenu à jour les statistiques (trompeuses) parsemant les réseaux sociaux (il y était mentionné un nombre d’inscrits tutoyant les sommets avec plus de 3 200 concurrents), l’ex-dirigeant de la société, en revanche, ne déroge pas d’un iota à la règle déclinée à travers les lignes de son règlement : aucun remboursement n’est envisageable.

« La société RUN IN THE WORLD ne le peut pas, explique-t-il, elle n’en a pas les moyens ; d’ailleurs, elle n’existe plus… ». Dont acte.

Budget : une enveloppe globale de 130 000 euros…

Poursuivant son discours explicatif, l’organisateur aborda la structure de son budget prévisionnel, in fine déficitaire d’environ 100 000 euros pour être orienté vers le positif.

« Concrètement, les recettes engendrées par le soutien des partenaires et les inscriptions ont financé la campagne de communication (4x3, flyers, dépliants, spots radio…). Ce budget dévolu à la communication s’élève à 30 000 euros. Il nous manquait entre 70 000 et 100 000 euros pour les quatre mille participants… Notre seuil critique avait été fixé à 2 000 participants minimum pour maintenir la manifestation ».

Soucieux de rétablir des vérités, de chercher à découvrir les véritables raisons de ce chaos, le jeune homme assure péremptoire qu’il y aura des dédommagements avec les entreprises.

« Une clause engage la société à rembourser et une seconde clause stipule qu’en cas de force majeure (absence des autorisations préfectorales, nombre d’inscrits insuffisant…), une procédure de négociation pourrait s’enclencher. Mais, ce sont à elles seules de décider de poursuivre ou non leurs plaintes… ».

En revanche, les participants ne peuvent espérer un quelconque revirement de situation dans le cas des remboursements financiers.

« C’est à la justice d’intervenir. J’ai reçu des menaces. Et je condamne cet élan de haine. Tout cela est inadmissible. La justice confirmera que cette affaire n’était pas une escroquerie montée de toute pièce… ».

Souhaitant se faire entourer au plan juridique, le promoteur du CRAZY Race Festival tire sa révérence quant à son avenir professionnel dans ce type d’évènement. « C’est fini : il n’y aura jamais plus de projet de ce type : je ne désire qu’une seule chose. Que tout cela s’apaise ! Je m’excuse auprès de toutes les personnes qui ont cru en ce projet que l’on voulait réaliser au mieux… ».

Clap de fin pour l’interview. Au terme de cet entretien, il devait se rendre volontairement au commissariat de police dans le cadre d’une audition. L’affaire du CRAZY Race Festival n’en est qu’à ses débuts…


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D’ordinaire, lorsqu’ils entreprennent le pèlerinage pour gagner Saint-Jacques de Compostelle, les marcheurs empruntent une voie classique, en partance de Vézelay ou du Puy-en-Velay. Spécialiste de coaching et de ludocoaching, une approche de la connaissance de soi par le prisme de jeux cérébraux, Phileas FIQUEMONT a choisi de vivre une expérience en solitaire sur un chemin inhabituel du pèlerinage, cet été, de Paris à Vézelay. Un cheminement initiatique long d’une dizaine de jours où il a pratiqué le jeûne et la méditation. Première partie d’un voyage sous la forme d’une interview (1/3)…  

AUXERRE : Vous avez pris les observateurs qui vous ont suivi à rebrousse-poil, en effectuant un autre trajet que celui habituellement emprunté reliant Paris à Vézelay. Pourquoi ?

Les chemins de Compostelle sont très nombreux, en France et en Europe. Si les départs de Vézelay et du Puy-en-Velay sont très courus, le vrai chemin comme on le dit dans le monde des pèlerins est celui qui part de chez soi. C’est-à-dire qu’on embrasse les siens sur le pas de la porte et on part rejoindre une voie balisée.

Et si l’on habite à Strasbourg, on aura déjà marché 15 jours avant de passer à Vézelay. Un chemin part de Bruxelles, d’autres serpentent en Pologne, en Allemagne… Nous devons davantage parler des chemins de Compostelle plutôt que du chemin.

Pour ma part, mon projet de « faire Saint-Jacques » date de plusieurs années et cette année 2018 m’était apparue comme année butoir pour une raison qui parlera à beaucoup : je fêterai mes 50 ans en 2019. Je voulais ce chemin avant mes 50 ans. Je le désirais tellement que c’en était devenu une obsession. Seulement partir pour Saint-Jacques depuis chez moi ça représente 1 700 km, soit 70 jours environ. Quand on est encore en activité, il n’est pas des plus facile de s’absenter autant.

Et puis, lors d’une conférence, j’ai rencontré un homme qui porte une association de pèlerins et qui s’est attaché à démocratiser la partie Paris-Vézelay. Je l’ai gardé en tête et à la première occasion, je me suis réservé deux semaines pour « faire mon petit Compostelle ».

C’était un moyen pour moi de me tester sur une plus petite distance tout en me joignant à l’esprit du pèlerinage.

Etes-vous parti de Notre-Dame de Paris ?

Je suis effectivement parti de la Cathédrale Notre-Dame, surtout du point zéro, sur son parvis, d’où sont calculées toutes les mesures de distances depuis Paris. Aussi, il me semblait important dans ce contexte de pèlerinage de respecter l’esprit religieux de millions de pèlerins qui ont précédé mes pas depuis plusieurs siècles. En leur mémoire, j’ai brulé un cierge avant de m’ébranler.

Une première anecdote a émaillé votre chemin initiatique vers cette quête de l’âme et de l’esprit : une paire de chaussures quelque peu récalcitrantes au départ de Paris… Expliquez-vous.

C’est vrai. J’ai eu la très mauvaise idée de partir avec des chaussures ultra faites à mes pieds et ultra confortables mais aussi trop usées pour assurer la distance.

Ma deuxième mauvaise idée a été de m’acheter des chaussures neuves avant de quitter Paris. Tous les marcheurs vont hurler en lisant ces mots mais oui, j’ai démarré avec des chaussures neuves (et les vielles dans le sac en secours). Huit kilomètres plus loin, je remettais mes vieux godillots. Et puis, en jonglant avec les deux paires, je m’y suis fait.

Dans tout projet, existe une genèse. Quelle est la vôtre pour justifier ce long périple en solitaire concocté durant une dizaine de jours ?

C’est justement pour me préparer à un vrai long périple que je me suis lancé dans ce « petit Compostelle ». Le vrai long périple dure entre 70 et 90 jours. Il traverse la France du nord au sud et l’Espagne d’est en ouest. Il passe par des plaines, des montagnes, des grandes villes et des hameaux.

Ces dix jours n’étaient qu’une prise de contact avec mon moi profond. Un auto-test de capacité, un entraînement.

La vraie genèse est en processus puisque mon projet reste entier. Je pense m’offrir des plages de temps pour marcher sur le chemin dans les années à venir sans toutefois faire le parcours en entier, les Dieux Chronos et Economicos se disputant mon emploi du temps !

Et puis, un jour viendra où une fenêtre temporelle s’ouvrira et m’offrira tout le loisir de parcourir les chemins à ma guise.

Quels ont été les préparatifs auxquels vous vous êtes soumis pour arriver dans les meilleures conditions physiques sur ce rendez-vous, mais aussi logistiques ?

Je marche quasi quotidiennement. Tous les matins, une heure de marche représentant 6 kilomètres et dès que j’ai un peu plus de temps, je double ou triple le parcours. Ce n’est pas tant de l’entraînement physique mais plutôt un entraînement du goût de la marche.

Je maîtrise la marche à peu près comme tout le monde depuis mon premier anniversaire et je n’en ai découvert les vertus que depuis que je marche. Je m’explique : aller jusqu’à la boulangerie à pieds n’est pas marcher, c’est se déplacer à pieds. Tout comme le déplacement dans les couloirs du métro n’est pas marcher.

J’ai réappris à marcher sur la base de ma capacité à mettre un pied devant l’autre et de recommencer en additionnant les pas sur des dizaines de kilomètres. Concernant la logistique, j’ai ressorti mon sac à dos de voyage qui s’est révélé inapproprié parce que trop grand. Plus on a de place et plus on est tenté de charger. Or, le poids est l’ennemi du marcheur. Conclusion : j’ai vendu mon sac, je ne serai pas tenté de le réutiliser la prochaine fois.

Un budget est-il nécessaire avant de tenter cette aventure pittoresque ?

Un budget est indispensable et dépend entre autres du niveau de confort que l’on souhaite pour ses nuits. Depuis les nuits en bivouac qui ne coûtent que le matériel le rendant possible jusqu’à des hôtels ou des chambres d’hôtes, on peut s’offrir le chemin qui nous ressemble.

Quoi qu’il en soit, le chemin lui-même se chargera de nous ramener vers nos valeurs profondes. La simplicité et la modestie semblent les meilleures alliées du marcheur au long court. L’autre budget qui ne m’a pas concerné et que l’on va développera dans la seconde partie de l’interview est l’alimentation. A chacun ses exigences.

Qu’est-ce qui pousse l’entrepreneur que vous êtes dans votre état civil à procéder à un break dans votre existence afin de répondre à cet appel du cœur ?

Je suis entrepreneur récidiviste depuis plus de 25 ans et je n’ai pas encore trouvé le Graal. J’innove sans discontinuer depuis toutes ces années sans toutefois rencontrer mon public parce que toujours en avance ou décalé vis-à-vis du marché. Aujourd’hui j’ai une telle expérience d’entrepreneur que je suis en mesure d’accompagner des porteurs de projet grâce à mon regard extérieur.

Concernant mes propres projets, j’ai besoin de prendre de la distance pour mieux revenir dans la course. La marche booste ma créativité et apaise mes ardeurs. Partir pour plusieurs jours me permet de revisiter, de peaufiner ou même d’abandonner mes idées au fil des pas…


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La journée de mobilisation pour une prise de conscience de la production des déchets au niveau mondial se déroulera le samedi 15 septembre. Organisée dans de nombreuses villes françaises, dont celle d’Auxerre pour la Bourgogne Franche-Comté, l’initiative a été expliquée par les responsables de la Jeune Chambre Economique locale, en présence de leurs partenaires…

AUXERRE : Sensibiliser le grand public à la conservation de notre environnement. Tel est le principe intellectuel de cette future opération, « World Clean Up Day », proposée à l’échelle du globe le samedi 15 septembre prochain. Cent cinquante pays relaieront cette démarche positive.

L’Yonne ne sera pas étrangère à cette initiative collective où il s’agira pour ses participants de promouvoir des actions durables en faveur de la réduction des déchets à travers le monde. Et ce, d’une manière très pragmatique.

Pour se faire, le président de la Jeune Chambre Economique d’Auxerre, Edouard LEPESME, a initié une réunion d’informations dans les locaux de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne afin de dévoiler le déroulement des actions menées à cette occasion.

Celle-ci s’appuiera sur le ramassage de déchets sauvages sur les deux rives de la rivière qui traverse la capitale de notre département. Le collectif Collect’89 et l’association World Clean up Day France apporteront leur précieux concours au bon déroulement de cette action se déroulant de 8 h à 12 h.

Le projet de cette action pourrait inscrire la ville d’Auxerre dans une dynamique globale à l’avenir…


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Organisée dans le cadre de la Démarche de gestion prévisionnelle des emplois et compétences territoriales (GPECT), la conférence sera accueillie dans les locaux du Phare le mardi 02 octobre en matinée. Ce sont les spécialistes en management et en médiation du cabinet national PSB CONSEIL qui apporteront des éclaircissements précis sur ce sujet ô combien stratégique en terme de ressources humaines pour les entreprises…

AUXERRE : Après le succès observé lors de la précédente conférence (celle-ci avait eu lieu le 15 mars sous la forme d’un forum consacré à la meilleure compréhension de la génération « Y »), la Maison de l’Emploi de l’Auxerrois récidive cet automne. Une seconde initiative verra le jour en date du mardi 02 octobre au Phare au cours d’une matinée propice à la réflexion.

Le management des juniors et des seniors en entreprise en sera la pierre angulaire. La puissance organisatrice a fait appel à deux professionnels de PSB CONSEIL pour en assurer l’animation. Sylvie LERIBLE, consultante en management et en médiation, accompagnée de Bernard DANEY, directeur associé de ce spécialiste de la gestion du capital humain en entreprise, devraient répondre aux nombreuses interrogations qui ne manqueront pas de fuser parmi le public.

Le nombre de place étant limité, Olivier HEMARD, responsable du Centre de ressources de la Maison de l’Emploi à Auxerre, incite les futurs participants à s’inscrire dès que possible par courriel ou par téléphone. L’organisme a décidé de reconduire ce type d’évènement cette saison à la suite de nombreuses demandes des chefs d’entreprises.

Précisons, pour être tout à fait complet, que ce forum reçoit le soutien très actif de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME), du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté et de la DIRECCTE Yonne.

Pour tout renseignement : 03 45 89 00 02 

www.mdeauxerrois.com


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Souhaitant une totale transparence de l’organisateur « RUN IN THE WORLD » depuis l’annulation du festival annoncée ce lundi 27 août par un simple e-mail, sept sociétés partenaires exigent des éclaircissements nets et précis sur la genèse des faits ayant conduit à ce délicat dossier. Une demande qui est portée à la connaissance des participants lésés et du grand public grâce à la publication d’un communiqué de presse…

AUXERRE : « Nous attendons tous de véritables explications de la part de la structure organisatrice de ce festival… ». Responsable de la communication et du marketing au sein du groupe de concessionnaires JEANNIN AUTOMOBILES, Sophie SANCHEZ demande des comptes au dépositaire de cet évènementiel, subitement disparu des écrans radar au beau milieu de l’après-midi de ce funeste lundi 27 août.

La jeune femme n’est pas la seule à se poser des interrogations. Les dirigeants de six autres entreprises (DOMANYS, BIGMAT Groupe GOURMAND, PASSTIME 89, PHOTOBOX 89, RABASKA OUTDOOR et V and B Auxerre) désirent tout autant le grand déballage en matière de communication de la part de l’intéressé. Une communication de crise, parce que manifestement, celle-ci arrive un peu trop tard. Le mal étant déjà fait…

Ce vendredi 31 août, une rencontre entre le responsable de l’ex-société « RUN IN THE WORLD » (celle-ci a cessé officiellement ses activités le…24 août !) et les partenaires économiques est prévue afin, semble-t-il, de faire toute la lumière sur cet épineux dossier qui donne des sueurs froides aux structures professionnelles ayant injecté, pour certaines, pas mal de numéraire dans ce projet de sponsoring, depuis avorté.

Une désolidarisation totale des partenaires avec l’organisateur…

« Tout comme les nombreux participants ayant payé pour participer à cette manifestation, il nous a été informé par un simple e-mail que nous ne percevrons aucun remboursement des sommes que nous avons engagées pour soutenir cet évènement. Nos tentatives pour joindre l’organisateur et obtenir plus amples explications sont pour le moment restées vaines.

Nous tenons à informer les nombreux participants que nos entreprises n’ont aucun lien avec la société RUN IN THE WORLD, responsable de l’organisation de cet évènement et que nous subissons, en tant que sponsor de cet évènement, également un fort préjudice.

Notre confiance, tout comme la vôtre, a été trahie par l’organisateur et nous regrettons très fortement que nos entreprises soient associées à ce type d’agissement qui va à l’encontre de nos valeurs ».

Diffusé depuis mercredi, le communiqué de presse clarifie la situation des partenaires en renforçant ce sentiment de trahison.

Un manque évident de concertation avec les sponsors…

« A ce jour, renchérit Sophie SANCHEZ, nous ne disposons d’aucun élément tangible qui justifie cette prise de décision. Si ce n’est que faute d’un nombre suffisant de participants, l’organisateur ne pouvait honorer la manifestation... ».

Surprise à la lecture du mail adressé à l’ensemble des participants et des sponsors, ce lundi, la spécialiste de la communication du groupe JEANNIN AUTOMOBILES estime qu’il y eu un manque de concertation manifeste dans ce dossier avec les soutiens économiques.

Outre les sponsors et les participants, les prestataires de service (restauration, sécurité, sonorisation, communication, logistique…) ne doivent pas être oubliés de la liste des grands perdants de cette manifestation qui, in fine, ne verra jamais le jour et aura fait pourtant parler d’elle.


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