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« Argent, trop cher, la vie n’a pas de prix ! ». Forcément, vu la thématique du jour de la conférence de presse proposée par le Rassemblement National 89, on ne peut que se référer au fameux tube de Téléphone, diffusé sur les ondes le 01er octobre 1980. Quarante ans plus tard, l’argent – mais aussi son corollaire le pouvoir d’achat – et la manière dont il est dépensé par la gouvernance étatique, demeure l’un des sujets de préoccupation majeur de nos compatriotes. Surtout en période de crise : alors, pourquoi ne pas l’évoquer en public ?

 

SAINT-AUBIN-SUR-YONNE : Les affiches placardées un peu partout dans la salle des fêtes de la petite bourgade, sise près de Joigny, donnent en préambule la teneur des futurs propos, évoqués par l’état-major du RN de l’Yonne, réuni au grand complet, lors de cet exercice dont il est coutumier : la conférence de presse. Une conférence qui portait très mal son appellation par ailleurs puisque désertée par les journalistes qui n’avaient pas donné suite à l’invitation, pourtant officielle, lancée par la formation souverainiste, quelques jours plus tôt. Un fait caractéristique et bizarre méritant d’être signalé, en termes d’objectivité et de pluralisme intellectuel !

Ceci dit, cela n’aura nullement empêché les deux députés du Rassemblement National, Julien ODOUL et Daniel GRENON, parlementaires des circonscriptions icaunaises de dérouler le fil de leurs pensées autour de cet item, ô combien d’actualité alors que l’inflation ne cesse de s’emballer à tous les étages depuis plusieurs mois : l’argent et ses effets induits sur une société qui en manque cruellement.

 

Un document édité à 10 000 exemplaires dans l’Yonne…

 

A ceci près qu’il n’était pas question du bas de laine de leurs concitoyens dans leurs interventions – celles-ci étaient aussi ponctuées d’éléments analytiques apportés par les lieutenants du binôme parlementaire, à savoir Pascal BLAISE, représentant L’Avenir Français et Audrey LOPEZ, ancienne candidate aux législatives, tous deux conseillers régionaux et le maire, toujours sans langue de bois, de Piffonds, Xavier ROSALIE – mais plutôt de cet argent, dépensé de manière somptuaire voire « outrancière »par l’Etat dixit les orateurs.

« Où passe notre argent ? », campagne d’information à destination des Français, ne tombait donc pas comme cela entre les oreilles de l’assistance du fait du hasard.    

Quatrième campagne hexagonale du RN, elle a été officiellement lancée par le président du parti mariniste, Jordan BARDELLA, lors d’une conférence de presse accueillie au Mans le 25 février dernier. Objectif : décliner une centaine de rendez-vous de la sorte, avec la présence du public ou du noyau exécutif d’une fédération départementale – ce qui était le cas lors de cette halte au nord de Joigny – afin d’expliciter à celles et ceux qui veulent l’entendre les arguties du parti d’opposition à la majorité présidentielle sur la thématique.

 

 

Un vecteur de communication directe qui permettra aux interlocuteurs de rappeler, voire de marteler en les répétant à tour de rôle, les mesures préconisées par le RN pour tenter d’endiguer la vague inflationniste actuelle qui s’abat sur le pays et met en berne les économies de ses habitants. Parmi celles-ci : les incontournables baisses de la TVA de 20 à 5,5 % sur l’énergie et les carburants, la suppression de la TVA sur cent produits de première nécessité ou encore les aides sociales à destiner aux seuls ressortissants français. Histoire d’enfoncer davantage le clou sur les méfaits de l’immigration.

Au-delà des mots prononcés durant près d’une cinquantaine de minutes par les supporters de Marine LE PEN, il y aussi les documents. Edités à dix mille exemplaires, ceux-ci servent de trame à l’opération « tractage », des dépliants vont ainsi prolonger ce besoin de faire savoir vers le plus grand nombre en main propre ou dans les boîtes aux lettres les informations à charge contre l’Etat et le gouvernement.

 

 

La France, championne d’Europe de la fiscalité et des taxes…

 

A l’intérieur de ce fascicule, figure la liste des dépenses engagées par le président de la République Emmanuel MACRON depuis son accession à l’Elysée qui font pousser des cris d’orfraie les élus du parti « bleu marine » : à savoir les soins gratuits pour les clandestins (1 milliard d’euro), l’accueil des « mineurs » isolés étrangers (2 milliards d’euros), la contribution nette à l’Union européenne (9 milliards), mais aussi les factures du cabinet conseil américain Mc KINSEY pour les études de faisabilité (2,5 milliards), les montants astronomiques de la fraude sociale (20 milliards) et de la fraude fiscale (100 milliards)…Un équivalent global qui tutoie les 135 milliards d’euros, d’après le document.

Des sommes auxquelles s’ajoutent les 60 % de taxes sur les carburants, les 7 % de mieux sur la taxe foncière, les 6 % d’inflation – un chiffre au plus haut de sa forme depuis 37 ans - ; la liste et les exemples communiqués par les acteurs de cette conférence de presse ne sont pas exhaustifs.

« C’est simple, alerte Julien ODOUL, les Français n’ont jamais autant payé d’impôts et de taxes qu’à l’heure actuelle. Ce qui fait de notre pays la championne d’Europe toute catégorie dans ces disciplines ! ».

L’élu du nord de l’Yonne d’énumérer en contrepartie les points sensibles qui titillent de plus en plus les Français : « On dépense beaucoup mais on récolte peu : ce que nous obtenons en retour n’a cessé de se dégrader…Je pense notamment aux déserts médicaux, à la pénurie d’enseignants, la déficience industrielle, la police et la justice en manque de moyens, l’armée française qui a vu ses budgets se réduire comme peau de chagrin… ».

« Argent, trop cher, la vie de prix », une réalité palpable pour de nombreux Français…

 

Thierry BRET

 

 


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Les dirigeants de l’usine sénonaise JACQUET-BROSSARD et des élus de l’Assemblée nationale se sont rencontrés afin d’échanger sur la loi « Descrozaille », relative aux négociations commerciales entre fournisseurs et distributeurs.

 

SENS: Digne représentante de l’industrie agro-alimentaire française, l’usine JACQUET-BROSSARD a ouvert ses portes au député du Val-de-Marne Frédéric DESCROZAILLE ainsi qu’au groupe « Renaissance », représenté par sa présidente Aurore BERGE et Jean-Baptiste LEMOYNE, sénateur de l’Yonne. Des échanges en huis clos plutôt fructueux dont tous sont ressortis satisfaits.

Le texte de loi prévoit dans son premier article un remaniement des conditions de négociations entre industriels et distributeurs. Sachant, que la date butoir pour trouver un terrain d’entente pour chacune des références de produits est fixée au 01er mars.

« Aujourd’hui, si vous ne vous mettez pas d’accord entre industriels et grande distribution, vous êtes obligés de continuer à livrer au prix de l’année d’avant…  précise Aurore BERGE. Les élus estiment que les industriels devraient pouvoir répercuter une augmentation, voire une explosion, de leurs dépenses (matières premières, prix énergétiques, masse salariale, etc.).

 

Un texte de loi qui serait nocif pour les professionnels de l’agro-alimentaire ?

 

Cette loi présenterait donc un danger pour les industriels de l’agro-alimentaire, et risque même d’entraîner même une destruction des emplois, surtout en cette période d’hyperinflation.

Sébastien VIDAL, président du groupe LIMAGRAIN affirme que « le vrai challenge, c’est la sauver l’industrie agro-alimentaire » soit 17 000 industriels - dont de nombreuses TPE et PME - et 400 000 agriculteurs, dont 40 % sont détenus par des coopératives et donc par le monde agricole.

Les dirigeants de JACQUET-BROSSARD et les élus sont également tombés d’accord sur la volonté de la grande distribution de gonfler ses marges sans se soucier du devenir de ces industriels, ni des consommateurs d’ailleurs qui supportent également, en fin de parcours, des hausses de prix démesurées.

 

Floriane BOIVIN

 


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Menée sur les secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois depuis le début de l’année, l’expérimentation s’est mise en place dans notre territoire avec le concours de Pôle Emploi et le suivi de l’Etat. Permettre aux bénéficiaires du RSA de retrouver le chemin qui conduit à la vie active n’est pas un vœu pieu pour le préfet de Région Franck ROBINE et le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD à l’unisson sur le sujet…

 

AUXERRE : Il ne pouvait pas conclure la conférence de presse qu’il accordait aux médias de l’Yonne, lundi en début d’après-midi, sans faire une allusion au dispositif orchestré dans une vingtaine de départements – dix-neuf avec exactitude dont celui de la Bourgogne septentrionale – relatif aux bénéficiaires du RSA, acronyme se rapportant au « Revenu de Solidarité Active ».

Un item primordial pour le préfet de Région Franck ROBINE. Tant les tensions actuelles sur le marché du travail sont importantes et pénalisent de manière inéluctable les entreprises dans leur besoin à recruter.

Saluant l’initiative du Département de l’Yonne – notre contrée a été choisie par la gouvernance étatique pour expérimenter un nouveau dispositif de retour à l’emploi dans le cadre de la démarche « France Travail » qui vise les bénéficiaires du RSA -, le préfet de Bourgogne Franche-Comté, en visite ce lundi 13 mars dans la capitale de l’Yonne, félicita le président de l’exécutif icaunais, Patrick GENDRAUD, d’avoir bien voulu accepter l’expérience.

 

Près de 2 100 bénéficiaires du RSA sur les secteurs d’Avallon et de Tonnerre…

 

Pour faire simple, l’idée de la nouvelle organisation « France Travail » dont le gouvernement est le porte-étendard dans le domaine de l’emploi, est d’aider les bénéficiaires du RSA à retourner le plus vite possible vers une activité professionnelle.

Un monde du travail qui échappe parfois, sur une très longue période – une étude nationale démontre que cette absence de vie active peut allègrement aller jusqu’à sept années –, à ces personnes qui perçoivent le Revenu de Solidarité Active.

 

 

 

Dans l’Yonne et sous la houlette de la conseillère départementale Sonia PATOURET, très investie sur ce dossier – on se souvient de l’initiative « Brique à Brique » menée par ses soins avec détermination auprès de la filière du bâtiment avec le concours de la FFB, la CAPEB, la FRTP et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat en 2021 -, ce sont près de 2 100 bénéficiaires du RSA (2 070 avec précision) des secteurs géographiques de l’Avallonnais et du Tonnerrois qui se sont donc lancés dans cette nouvelle aventure depuis janvier.

Des personnes qui profitent d’un accompagnement spécifique et adapté à leurs besoins afin de favoriser ce retour immersif dans l’emploi.

« Grâce à cet engagement du Département de l’Yonne, devait-il souligner, ce sont des femmes et des hommes qui vont retrouver du travail. Cette initiative est extrêmement importante dans la vie de ces personnes… ».

 

Le Département a le devoir moral de remettre les gens au travail…

 

Vu par le prisme départemental, le RSA représente une enveloppe de 60 millions d’euros à la charge de l’institution icaunaise. Un chiffre que ne manqua pas de rappeler Patrick GENDRAUD, complétant ainsi les propos liminaires de Franck ROBINE. Une somme versée aux 8 200 destinataires de ce revenu minimal. Un nombre de bénéficiaires qui s’érode légèrement depuis plusieurs années.

Exprimant sa fierté de voir que le département dont il assume la présidence avait été choisi par le dispositif « France Travail » pour cette phase test, élément précurseur sans aucun doute avant le maillage hexagonal qui se fera par la suite, l’ancien maire de Chablis rappela que bon nombre d’offres d’emploi fleurissaient çà et là.  

Il cita, à titre d’exemples, le monde viticole et ses trois cents postes non qualifiés à pourvoir de suite ; les neuf cents opportunités qui ont été identifiées sur le domaine de la restauration et de l’hôtellerie ; etc.

Des arguments faisant dire au patron de l’exécutif que « l’organisme qu’il représentait avait un devoir moral de remettre les gens sur le chemin du travail… ».

Selon lui, les premiers frémissements se faisaient désormais ressentir dans ces deux secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois, avec l’implication accrue de Pôle Emploi.

« Je pense que nous sommes sur la bonne voie avec cette démarche initiée par « France Travail », devait-il préciser en guise de conclusion.

Une conclusion devant satisfaire un Franck ROBINE pédagogue sur le sujet, mettant un terme à ce deuxième rendez-vous relationnel avec la presse départementale.

 

Thierry BRET

 


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Bon, c’est sûr ! Comme noble cause à inaugurer, il y a nettement plus agréable dans notre quotidien ! Cependant, pour aborder la délicate période du deuil qui tôt ou tard nous affectera tous un jour ou l’autre, mieux vaut être bien encadré professionnellement en disposant d’un espace de recueillement confortable, adapté à ce besoin, et de se sentir presque « chez soi » comme le stipule l’accroche marketing de PFF. Installée à Appoigny, la franchise vient d’y ouvrir sa maison funéraire. Inaugurée par Frédérique CHATON, sa gérante…

 

APPOIGNY : Ce fut les petits plats dans les grands pour « PFF » (Pompes Funèbres de France) ! Présence d’un chapiteau afin d’éviter les gouttes de pluie vengeresses lors des discours des orateurs puisque se déroulant en plein air ; un cocktail de belle qualité gustative comme savent les confectionner les équipes de La Farandole Gourmande de chez Didier BARJOT ; une palette d’invités représentant toutes les coteries des sphères politiques, institutionnelles, économiques et associatives locales ; et enfin, une rayonnante entrepreneuse – cheffe d’entreprise jusqu’au bout des ongles par son professionnalisme et sa rigueur de perfectionniste avérée - qui depuis 2019 rayonne avec sa reconversion réussie dans ce nouveau métier que représente, avec un certain particularisme, la filière des pompes funèbres !

Bienvenue dans l’antre entrepreneurial de Frédérique CHATON, sympathique jeune femme, à l’écoute aiguisée et à la compassion naturelle lorsqu’elle y exerce son savoir-faire coutumier en accueillant les familles éprouvées par la perte d’un être cher.

 

La mort fait partie intégrante de la vie…

 

Une Frédérique CHATON ayant un brin le trac – elle est pourtant habituée à user de son timbre de voix en des circonstances beaucoup plus délicates que celles vécues lors de cette soirée inaugurale ! – qui se fera parfois timide – sans doute la présence de toutes ces personnalités et de ce public nombreux – mais heureuse de recevoir autant de monde dans ce qui est son outil de travail : son espace funéraire.

Il est vrai comme devaient le dire en plaisantant la plupart des convives présents un verre à la main et un canapé dans l’autre que « si l’on pouvait se passer de fréquenter un tel endroit, ce serait bien celui- là ! ».

Nonobstant : la vie est ainsi faite et sans pratiquer l’exercice intellectuel de la philosophie, on sait très bien au fond de soi-même que la mort fait partie intégrante de la vie…  

Ceci dit, c’est avec émotion et fierté que Frédérique CHATON découpera aux côtés des officiels le traditionnel ruban lui permettant ensuite d’accueillir à l’intérieur de cette maison « un peu particulière » ses visiteurs. Un endroit se composant de deux salons aux décorations raffinées et cosy, aux lumières douces, et aux coloris chatoyants. Le fruit de l’architecte et des artisans du cru qui ont œuvré durant quelques semaines pour construire cet appendice supplémentaire à la boutique originelle, visible depuis l’ancienne RN 6.

 

 

 

Le mot « maison » pour mieux se sentir chez soi…

 

« Notre métier nous rappelle que nos existences sont fragiles, soulignera l’entrepreneuse face à un auditoire à l’écoute, mais que cette étape de la mort ne doit pas être négligée. Avec l’apport de cette nouvelle maison funéraire, elle prend tout son sens. Car, c’est un lieu de rassemblement pour les familles et amis des défunts pour que chacun trouve sa place en ces circonstances pénibles dans un espace chaleureux et reposant… ».

Puis, poursuivant sur les explications de texte très utiles à la compréhension schématique et stratégique de l’entreprise, Frédérique CHATON rappela qu’elle aurait pu désigner cet endroit par des vocables plus conventionnels de « funérarium » ou de « chambre mortuaire ». De cela, elle ne voulait pas !

« J’ai préféré le mot « maison », insistera-t-elle, parce que je désirai que les familles se sentent comme chez elles,  au domicile de la personne disparue… ».

Une Frédérique CHATON qui agit toujours avec le cœur et le sens de la personnalisation, pour le bien des familles comme devait le préciser par la suite le maire et conseiller départemental, Magloire SIOPATHIS ému – ce dernier éprouvé par le départ de son épouse Marie-Aimée avait fait appel aux services de la professionnelle il y a un an à peine - ; une maison funéraire qui a pour objectif d’être complémentaire à cette volonté de personnalisation aux moments des adieux définitifs avec l’être aimé.

C’est par une citation empruntée au répertoire livresque d’Antoine de Saint-Exupéry que se résuma toute la portée de cette cérémonie inaugurale : « Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve une réalité… ».

Un rêve que vit les yeux grands ouverts une Frédérique CHATON comblée par son nouveau métier après celui de l’assurance, en véritable « passeuse d’âme » et fière de l’être en vérité…

 

Thierry BRET

 


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Les pages de la plaquette se tournent à la simple pression de son index. Le résultat lui procure un petit sourire de contentement. L’ensemble se veut qualitatif et le bilan de l’année écoulée, résumé en une douzaine de feuillets que contient ce fascicule, est à la hauteur de ses espérances. Avec sa double casquette de trésorier (Yonne Développement) et président (Yonne Equipement), le Conseiller départemental François BOUCHER sait apprécier ce qu’il a sous les yeux. Un vadémécum satisfaisant dont peuvent être fiers les Icaunais…

 

MIGENNES: Il y croit dur comme fer. Il aurait tort de s’en priver ! Outil à forte potentialité d’attractivité économique pour notre territoire, le binôme Yonne Développement/Yonne Equipement vient de dévoiler sa plaquette institutionnelle, présentant ses excellents résultats obtenus sur l’année 2022. En qualité de président de la SEM (Société anonyme d’Economie Mixte) Yonne Equipement, l’édile de Migennes, François BOUCHER prend un peu de son timing très serré pour évoquer cette belle réussite du développement économique décliné sur notre département. Un concept qui fait équipe en toute logique avec l’association Yonne Développement dont il gère la trésorerie.

L’élu s’exprime, en résumant d’un trait pédagogique la genèse de ce dispositif d’accompagnement de projets immobiliers, qualifié par ses soins de « sur mesure », au bénéfice des porteurs de projets et entrepreneurs de tout horizon désireux de s’implanter en Bourgogne septentrionale.

« Le concept a pour vocation de construire des bâtiments ou de rénover des édifices existants afin de répondre aux besoins des chefs d’entreprises, souligne-t-il, dans un souci d’aménagement territorial qui ne peut être que profitable à notre département ».

 

Un binôme efficace et très complémentaire au service du territoire…

 

Visiblement, François BOUCHER se sent très investi par cette mission éco citoyenne. En qualité de « président bénévole », insiste-t-il le sourire aux lèvres.

« Vous savez, avec ce type de structure, on ne demande pas de dividendes sur les parts des actionnaires – 74,6 % d’entre eux sont issus du public et le reliquat provient du privé -. Tout est réinjecté dans les projets, nombreux, que nous engrangeons… ».

Parmi ces actionnaires de poids qui soutiennent la prolifique démarche favorable à l’attractivité économique : citons la Caisse d’Epargne, la Banque des Territoires, le Crédit Agricole, la Banque Populaire, la Région, le Département, de multiples EPCI, EDF, etc.

« Ce que j’apprécie dans ce mode de fonctionnement, poursuit le président de la Communauté de communes du Migennois, c’est cette dualité entre Yonne Développement qui détecte en amont les besoins entrepreneuriaux des dirigeants économiques en prodiguant ses conseils pertinents et Yonne Equipement qui s’attache à trouver les solutions adéquates dans leurs réalisations par le biais du foncier et de l’équipement infrastructurel à financer. C’est une vraie complémentarité au service de notre territoire… ».

 

Les friches industrielles et leur réhabilitation : une manne à exploiter…

 

Une stratégie qui s’avère payante à tous les étages et qui ne se cantonne pas aux seules limites de la terre icaunaise ! Bien au contraire, les cinq collaborateurs de ce binôme si spécifique, placés sous la houlette managériale de leur directrice, Clarisse MARTIN, multiplient les déplacements hors de nos frontières départementales, afin de se faire le relais utile lors de salons et autres événementiels de toutes ces initiatives, pavés de bonnes intentions.

Ce dispositif fer de lance pour le département de l’Yonne se promeut au quotidien en multipliant les salons et autres évènementiels nationaux afin d’attirer de nouvelles entreprises sur le territoire.

« On s’aperçoit, précise François BOUCHER, qu’il est nécessaire de se spécialiser dans la réhabilitation des friches industrielles. Nous le faisons depuis l’année dernière et cela est très vertueux au niveau économique afin de pouvoir bénéficier des aides de l’Etat. Redonner vie à un vieux bâtiment permet d’économiser du budget et de modérer les loyers des entrepreneurs… ».

Par chance, l’Yonne dispose de belles réserves foncières de ce type que compte bien exploiter à bon escient la SEM Yonne Equipement. Une réhabilitation de vieux bâtiments qui devient prioritaire compte tenu des contraintes inhérentes à la loi ZAN (Zéro Artificialisation Nette) et sa réduction drastique des surfaces constructibles pour les collectivités à l’avenir.

 

 

Une présence au SIMI 2023 à Paris déjà confirmée…

 

Parmi les autres avantages dont sont bénéficiaires les entrepreneurs : la possibilité de choisir son futur lieu d’implantation. « On peut présenter de trois à quatre sites différents, ajoute le président de la SEM, en prenant en compte des critères de sélection qui englobent le bassin de vie, les aspects routiers et les voies de circulation, l’accessibilité. Et puis, un autre aspect proposé par la SEM c’est de n’avoir aucun endettement sur la partie immobilière – les charges locatives – et de profiter de l’obtention de prêts, de la gestion des sinistres et de la possibilité d’acquisition du bâtiment grâce à une option d’achat… ».

Autant d’arguments qui font tilt dans les oreilles grandes ouvertes des néo-investisseurs intéressés par une implantation dans l’Yonne.

En 2023, le binôme institutionnel va poursuivre ses phases de prospection auprès des entreprises tout en veillant à répondre avantageusement aux attentes des décideurs économiques avec l’offre immobilière. L’organisme a d’ores et déjà biffé sur son agenda sa présence au SIMI 2023 (Salon de l’Immobilier d’Entreprise), programmé du 12 au 14 décembre prochain à Paris.

Mais, le côté lyonnais intéresse aussi le président BOUCHER. « On ne joue pas assez cette carte de visite vers l’axe méridional de l’Yonne pour nous promouvoir, explique-t-il, nous allons y remédier à l’avenir… ».

D’autres idées germent dans sa tête. L’accentuation de la stratégie digitale, le renforcement de la communication, la valorisation positive de notre département.

« La bonne tenue de la SEM Yonne Equipement est un baromètre positif pour le territoire icaunais, conclut-il, notre processus de fonctionnement est validé grâce à la certification Iso 9001, gage de qualité…c’est primordial ! ».

Les chiffres, quant à eux, plaident en faveur de l’organisme. En l’espace de deux décennies, il se sera édifié plus de 85 bâtiments sous l’égide de ce tandem Yonne Développement/Yonne Equipement que beaucoup de territoires nous envient. Soit 80 millions d'euros en investissement pour 150 000 mètres carrés de bâtiments construits ! 

Un cocorico synonyme de succès, tout à la gloire de l’Yonne…

 

Thierry BRET

 

 


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