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Âge de départ en retraite, âge légal, âge pivot, âge virtuel, et enfin la dernière trouvaille, pondue par la bien-pensance habituelle : âge d’équilibre ! « Ah, qu’en termes galants ces choses-là sont dites ! » écrivait MOLIERE à son époque. On retrouve cette expression extraite des « Précieuses ridicules ». Il n’y avait alors plus de « fauteuils »  mais « des commodités de la conversation »…

TRIBUNE : Max WEBER, Gustave Le BON, André SIEGFREID…et, dernièrement, Emmanuel MACRON, en visite au Danemark, avaient raison. Les Gaulois, devenus depuis les Français, ne changent pas d’un iota. Il est dommageable que nous ayons perdu certaines qualités des Franken, cette tribu germanique qui nous a donné notre beau nom de France. « Douce France » comme aimait la chanter si bien Charles TRENET ! On préfère trop souvent jouer avec les mots plutôt que de voir la réalité en face.

Voyons les chiffres irréfutables, irrécusables et hélas implacables de l’espérance de vie : elle s’élève aujourd’hui en France à 79,5 ans pour les hommes et de 85,3 ans pour les femmes. Des données officielles produites par l’INSEE.

Alors on se dit benoîtement : « Si un homme prend sa retraite à 62 ans, il vivra encore 17,5 ans et une femme 23,3 ans ». C’est-à-dire, dans le cadre qui nous intéresse, que les caisses de retraite leur verseront en toute logique une pension pendant toutes ces années. Grossière erreur !

La sémantique appropriée à la notion de l’espérance de vie

Il ne faut pas prendre en considération l’espérance de vie moyenne des individus mais l’espérance de vie moyenne pour les individus qui ont atteint l’âge de 62 ans. Alors là, les chiffres tombent comme le couperet de la guillotine à tout va en 1793 !

L’espérance de vie moyenne, au-delà de 62 ans, est en France pour les hommes de 21,8 ans et pour les femmes de 25,7 ans. Eh oui, celles et ceux qui vivent jusque à 62 ans ont échappé à toutes les causes de mortalité qui entrent en compte dans la moyenne d’espérance de vie totale.

Cette espérance de vie au-delà de 62 ans par rapport à l’espérance de vie moyenne signifie que les seniors bénéficieront pendant trois ans supplémentaires de pensions versées par les quarante-deux caisses de retraite.

Au passage, rappelons cette notion qui s’appelle « l’espérance de vie moyenne en bonne santé ». Elle est en France de 62,7 ans pour les hommes et de 64,1 ans pour les femmes. À partir de cet âge, on commence globalement avoir besoin de davantage de soins.

Et, avant de voir ce que font nos cousins germains en matière d’âge de retraite, rappelons qu’en France, en 2019, il y a 1,6 actif pour un retraité. N’oublions pas ce ratio qui s’avère être on ne peut plus important…

Les évolutions en douceur de la retraite…en Allemagne

En 1946, l’âge d’entrée à la retraite était en Allemagne de 65 ans. Comme en France, soit dit en passant. Puis, en 2015, pour les personnes nées en 1950, l’âge de la retraite est passé à 65 ans plus quatre mois.

En 2020, il passera à 65 ans et 9 mois pour celles et ceux qui sont nés en 1955. En 2024 pour les natifs de 1958, il passera à 66 ans. Et ainsi de suite jusqu’à atteindre en 2031 l’âge de 67 ans pour ceux qui sont nés en 1964 et au-delà. Vous remarquez d’emblée que le recul de l’âge d’entrée à la retraite se fait très lentement. Sans à-coups, comme il convient à des gens qui ont la réputation d’être méthodiques. On constate, une fois de plus, que ce qualificatif attribué aux Allemands n’est pas usurpé.

Maintenant voyons le ratio actif par rapport aux retraités en Allemagne : il est de 2,1 actifs pour un retraité. Comparez avec la France. Prenons en référence les visions du général français GAMELIN et celles du général allemand GUDERIAN.

En 1940, le généralissime GAMELIN, pendant la « drôle de guerre » qui ne fut pas drôle longtemps, qualifiait sa stratégie ainsi : « Je les grignote ! ».

C’est ce que nous faisons sur la question de l’âge de la retraite depuis trente ans. Quelques mois plus tard, après le grignotage du général GAMELIN, les « panzers » du général GUDERIAN déferlèrent sur la France à la vitesse de l’éclair (en allemand « Blitzkrieg »). Les blindés furent à Paris en quelques semaines.

Voir ce qui se passe autour de nous…

Les Français ont la réputation d’être en retard d’une guerre dans de nombreux domaines. Ils le démontrèrent une fois de plus en 1940. Le seront-ils encore dans cet épineux dossier des retraites ?

En la matière, la question ne se résume pas à l’âge d’entrée en retraite. C’est évident. Néanmoins, il constitue l’un des paramètres indiscutables à inclure dans la réflexion. Et, espérons-le, dans la réforme inévitable sur cette question qui va bien au-delà de « l’âge d’équilibre ».

A une époque où l’on parle autant d’Europe qui, par ailleurs vacille, c’est un devoir d’ouvrir grandes les fenêtres et de regarder ce qui se passe réellement autour de nous. Sans rester aveugle par l’inertie qui nous est coutumière…

Emmanuel  RACINE

 


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Activité très prisée du programme des « Vacances sportives 2019 », ce sport aquatique recherche plus de notoriété pour se faire connaître auprès des jeunes mais aussi des adultes. Comme l’a fait savoir le président du MSCY, Denis HACQ, à un interlocuteur de poids : le maire d’Auxerre…

VAUX: Discipline sportive très physique dont les médias ne se font pas forcément écho avec récurrence dans leurs supports, le ski nautique possède néanmoins ses fidèles adeptes dans le landerneau auxerrois.

C’est sur la base aquatique de Vaux que le maire d’Auxerre, Guy FEREZ, les a rencontrés cette semaine lors de sa visite à l’atelier ouvert aux jeunes dans le cadre du programme des « Vacances sportives 2019 ».

Une opportunité intéressante pour l’édile icaunais de pouvoir s’entretenir longuement avec le responsable du MSCY, le « Motonautique Sporting Club de l’Yonne », le président Denis HACQ. Ce dernier devait lui faire part de différents projets favorisant l’essor de la structure associative.

Dont celui, si les conditions requises le permettaient, de pouvoir étendre la zone d’action du club plus en amont du plan d’eau habituel.

Concrètement, Denis HACQ souhaiterait que les embarcations puissent tracter férus ou néophytes de ce sport qui eut ses heures de gloire dans les années 80 grâce à l’indéboulonnable Patrice MARTIN (douze fois champion du monde de la spécialité à la célèbre chevelure blonde entre 1978 et 2001) depuis le pont Paul Bert à Auxerre jusqu’à Vaux.

Et obtenir ainsi, grâce aux abords de rives très fréquentées par le public local, un regain méritoire de notoriété. Projet illusoire ou à concrétiser dès la prochaine saison ?

Le directeur en charge de la culture, du sport et des évènements de la Ville Thierry CRETEUR qui accompagnait le président de la Communauté de l’Auxerrois lors de cette entrevue inopinée est reparti avec les coordonnées de Denis HACQ…Une manière courtoise de ne pas rompre le lien avec son interlocuteur avant de lui apporter les réponses adéquates à ses desiderata…


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Le concept des « Vacances Sportives » décliné pour les enfants de 6 à 15 ans enregistre une hausse significative de sa fréquentation par rapport à l’exercice antérieur. Cet été, ce sont plus de mille inscriptions qui ont ainsi été recensées par la direction du service des sports de la Ville. Profitant de l’ultime journée de l’évènementiel, l’édile d’Auxerre Guy FEREZ a rendu une visite plus que de courtoisie sur trois des sites de la manifestation.

AUXERRE : Fervent adepte de sport et amateur éclairé de la « petite reine », le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre ne s’est toutefois pas risqué à tenter l’expérience du tour de piste sur cycle. Celle, pour le moins inclinée du vélodrome faite de béton, où l’accueillaient les responsables du Vélo Club d'Auxerre, et le président de l'association du Vélodrome, Gérard CLOUSEAU en tête.

Nonobstant, le maire d’Auxerre a pu apprécier l’excellence de l’initiative proposée dans le cadre du copieux programme d’animations de ces « Vacances sportives 2019 ».

L’immersion sur le vélodrome de la route de Vaux et la découverte du cyclisme sur piste (une discipline plutôt méconnue de l’enfance) représentaient un réel pôle d’intérêt.

Plusieurs dirigeants du club auxerrois encadraient une douzaine de jeunes gens devant dompter à l’aide du matériel adéquat (soit un vélo dépourvu de freins !) cet environnement complexe sur lequel ils s’essayaient d’évoluer pour la première fois.

Sous le regard scrutateur et curieux de Guy FEREZ, les jeunes pousses multiplièrent ainsi les circonvolutions à leur rythme avant de s’élever quelque peu et plus haut dans les virages aux courbes impressionnantes.

Plus loin, d’autres bambins s’affairaient avec enthousiasme sur des VTT en parcourant un circuit peu sinueux et sans aucun dénivelé. Certains ne savaient que faire de leur « monture » une fois l’exercice clôt ! Tandis qu’un petit groupe s’adonnait au tir de précision sur une cible fixe à l’aide d’une sarbacane.

Les vertus d’équilibriste de l’adepte de ski nautique…

Le premier volet de cette visite officielle qui mobilisa l’élu d’Auxerre, son directeur chargé de la culture, du sport et des évènements, Thierry CRETEUR et la responsable de la communication Aurélie LAMBERT, s’acheva ainsi tranquillement sous une température lourde. Satisfaits, les dirigeants du Vélo Club Auxerrois vaquèrent ensuite à leurs occupations pédagogiques auprès de leurs jeunes élèves, laissant la délégation institutionnelle poursuivre sa tournée.

Direction le plan d’eau de la base nautique de Vaux. Là où s’activaient les éducateurs du Motonautique Sporting de l’Yonne, sur l’atelier ski nautique. Une dizaine de gamins n’hésitèrent pas à braver leurs craintes naturelles (un sentiment ressenti pour la plupart), munis de leurs larges spatules aux pieds, avant de s’immerger dans une eau sombre à 19 °.

Malgré la tentative de maintien en équilibre grâce à une barre reliée à l’embarcation, l’exercice s’avéra beaucoup plus délicat que prévu pour se hisser hors de l’eau. Certains gamins n’éprouvèrent aucune difficulté à se mouvoir avec agilité en se tenant bien droit sur le bassin aquatique. D’autres, a contrario, eurent plus de mal à lâcher le filin les reliant au bateau dès que la boucle fut terminée ! Les parents immortalisèrent à satiété ces instants de pur bonheur.

Il ne restait alors qu’un dernier site à découvrir pour l’élu d’Auxerre et ses cadres. Proposé dans une infrastructure à la fonctionnalité remarquable, l’atelier de tir permit à une poignée de gosses de se distinguer armes au poing, mais sous le strict contrôle de leurs éducateurs membres de l’Auxerre Tir Club, en plaçant une trentaine de plombs dans une cible positionnée dix mètres face à eux.

A l’écoute, Guy FEREZ se fit expliquer dans les moindres détails les tenants et aboutissants de cette discipline qui requiert une extrême concentration. Le président de l’association, forte de ses 320 adhérents, Guy THIENPOND ne se fit pas prier de le lui fournir.

Le maire quitta le pas de tir ravi de ces explications et satisfait d’avoir pu faire de petits heureux qui n’auraient sans aucun doute jamais pratiquer ce sport…


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Le plasticien et sculpteur Jean-François BROSSIER dévoile toute la subtilité créative de son travail dans la cour de l’édifice moyenâgeux de Forterre en ce mois d’août. Une rencontre insolite que l’on pourrait presque qualifiée du troisième type avec de curieux personnages de ferraille et d’acier nous délivrant un message d’un autre monde…et d’un autre temps.

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Iconoclaste Jean-François BROSSIER ? L’artiste local, plasticien et sculpteur de son état, aime briser les idées reçues et transgresser les lignes de la créativité à sa guise.

Celles qui s’opposent à un conformisme primaire et à une standardisation banale de l’expression artistique. Des nuances qui n’ont pas lieu d’être dans son univers intellectuel personnel.

Pour s’en persuader, le truculent personnage à l’imaginaire débridé propose ce samedi 17 août le vernissage de sa nouvelle exposition. Au cœur de la curiosité patrimoniale incontournable de la localité de Puisaye-Forterre : c’est-à-dire son château. Celui-ci a été érigé au XIIème siècle.

La vision de ces singulières figurines, issues de la récupération de vis, d’écrous et de boulons, est proprement stupéfiante. La mise en scène de ces personnages, une vingtaine de hérauts d’un autre monde et porteurs de messages symboliques, sera assurée par le créateur lui-même…Pas curieux s’abstenir !

Vernissage de l’exposition de Jean-François BROSSIER

Samedi 17 août

De 18h30 à 22 H00.

Château de Druyes-les-Belles-Fontaines.

 


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Le président démissionnaire du Comité d’organisation de la Franck Pineau recevra les honneurs des milieux institutionnels, politiques et sportifs de l’Yonne lors d’une cérémonie prévue le 20 septembre à l’hôtel Ribière. Ce sera un ultime tour de piste en forme d’hommage appuyé que lui rendront, entre autres, deux de ses plus fidèles soutiens : le président du Département, Patrick GENDRAUD et l’édile d’Auxerre, Guy FEREZ…

AUXERRE : A demi-mot, il évoquait déjà l’éventualité de son départ depuis plusieurs mois. Mais, aujourd’hui, ni le temps des tergiversations ni celui des atermoiements n’a plus raison d’être dans son esprit. Le président du Comité d’organisation de l’un des plus grands rassemblements cyclotouristes de France, disputé sous l’égide de l’UFOLEP, a finalement décidé de jeter l’éponge. Après vingt-deux années de bons et loyaux services, vécus en faveur de la promotion de la discipline.

Un simple courrier, daté du 27 juin et adressé aux trois co-présidents de l’AJA Omnisports dont dépendait la concentration cyclotouriste, a acté de manière définitive la décision de Serge le DOUSSAL. Irrémédiable, celle-ci ne suppose manifestement aucun retour en arrière.

Résultante de causes multifactorielles, la démission de l’emblématique personnage correspond à la fois à un déchirement et à un soulagement pour son auteur. Serge le DOUSSAL n’avait pourtant rien laissé paraître le 08 juin dernier au soir de la cérémonie de remise des trophées sur la scène du parc des expositions d’Auxerre. Tout juste était-il peut-être un peu plus pensif que d’ordinaire au gré du déroulement de la manifestation.

C’est en 1997 aux côtés de son ami Jean JAROUSSE que cet adepte de la « petite reine » posa les jalons d’un concept populaire qui allait devenir l’une des plus attrayantes réussites dans l’univers cyclotouriste national. Migennes fut la première commune de l’Yonne à accueillir la Franck Pineau. Logique, en vérité puisque le cycliste Icaunais y était alors employé au sein de l’enseigne Leclerc, alors dirigée par Michel CHAUFOURNAIS. Le charismatique cycliste en devint tout naturellement le parrain.

Puis, la Franck Pineau se déroula pendant cinq ans au gymnase de Brienon-sur-Armançon. Le maire de l’époque, Guy LOYER, ne se fit pas prier pour recevoir de la manière la plus favorable possible ce rassemblement sportif alors en réelle montée de puissance.

Enfin, après avoir conclu un partenariat avec la municipalité auxerroise et reçu le soutien de son édile Guy FEREZ, Serge le DOUSSAL et le Comité d’organisation optèrent pour une nouvelle orientation stratégique donnée à la manifestation : l’accueil de celle-ci au parc des expositions, AUXERREXPO. Un accord de principe qui reste en vigueur : il aura permis de faire exploser les records d’affluence au fil des années.

Une logistique et des contraintes de plus en plus délicates à gérer…

Le succès répété de la manifestation n’édulcora pas, cependant, la complexité organisationnelle de ce rendez-vous printanier. Premier sujet de préoccupation pour sa figure de proue : la sécurité. Croissante, celle-ci suppose des moyens humains et matériels importants. Même si parfois, quelques incidents émaillèrent le bon déroulé de l’opération.

Second volet à ajouter dans l’escarcelle de l’équipe organisatrice : la recherche de financements. La Franck Pineau nécessite à chaque édition un budget prévisionnel d’environ 150 000 euros. Ce qui peut très vite se révéler comme une véritable gageure, délicate à appréhender avec le nombre des saisons qui s’égrènent. Même si le réseau relationnel existe et se construit pas à pas. Mais, la conjoncture économique change et l’implication financière des partenaires aussi.

Enfin, diverses contraintes administratives, notamment sécuritaires, complexifient le montage de l’évènementiel. Ces différents aspects ont-ils eu raison de la célérité de Serge le DOUSSAL malgré sa très grande maîtrise du dossier ?

Peut-être. Las de ne pas trouver de prétendant de manière naturelle et légitime à sa propre succession (il n’y avait pas pléthore de candidatures à signaler au poste de président chaque année), le responsable du Comité d’organisation a pris soin d’accélérer le processus de son remplacement. En présentant lui-même et de manière écrite sa démission.

Depuis le 27 juin, Serge le DOUSSAL a donc laissé vacante la chaire de président du Comité d’organisation de la Franck Pineau. Une nouvelle équipe se prépare à reprendre le flambeau et à poursuivre le besogneux travail des préparatifs en vue de l’édition 2020.

« Mon souhait, conclut Serge le DOUSSAL dans le communiqué officiel qu’il a adressé à l’ensemble des contributeurs et partenaires de la manifestation, serait que les nouveaux dirigeants puissent compter sur vous tous. Ce serait le plus cadeau que vous puissiez me faire… ».

Le président de la Franck Pineau recevra une dernière fois les honneurs qui lui sont dû au terme d’une cérémonie officielle le 20 septembre à l’hôtel Ribière à Auxerre en présence de celles et de ceux qui ont toujours cru en lui. Ce sera l’occasion de lui dire un vibrant au-revoir mais certainement pas un adieu…


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