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Créer un point de rencontre privilégié autour de l’immobilier et de ses différents corollaires constitue l’ADN de la structure qui rayonne dans l’Auxerrois. Pourvue de nouveaux locaux depuis septembre, l’entité familiale possède une approche transverse et novatrice qui permet aux investisseurs, acquéreurs et vendeurs de converger vers un socle commun d’intérêts. Une vision originale sur un marché plutôt en voie de saturation…

AUXERRE : Deux ans à peine pour occuper déjà une place prépondérante dans le sérail de la transaction et de la négociation immobilière locale : c’est le pari réussi de Julie GENEST, jeune responsable de la société, et de son paternel, Gilles, un exégète aguerri dans ce domaine d’activité.

Incontestablement, l’ATELIER de l’Immobilier s’est fait un nom dans le microcosme auxerrois. Il entend bien le faire savoir en le faisant perdurer sciemment. La structure qui emploie un pôle de six compétences professionnelles a le vent en poupe depuis septembre.

D’une part, sa nouvelle devanture, sise sur l’un des axes névralgiques du cœur de ville, rappelle à bon escient l’image de l’enseigne, présente en ces lieux depuis le 20 septembre.

D’autre part, l’organisation d’un évènementiel en octobre dans l’une des salles du cinéma CGR sous la forme d’un plateau conférence où se pressaient une douzaine de spécialistes de la pratique foncière en France aura tôt fait d’imposer la marque par le prisme d’une communication finement ciselée.

On l’a compris : la structure aime se différencier. Y compris dans son approche pluridisciplinaire de compétences : investissements, défiscalisation, contrats d’assurance, gestions de biens principaux et de résidences secondaires, crédits immobiliers, assurance de prêts…

Le panel représentatif de ces professionnels multi cartes est loin d’être exhaustif. Les idées fusent sans cesse : la dernière en date s’oriente autour de services de conciergerie qui vont être déployés. En outre, la gestion locative de meublés de tourisme de courte durée progresse dans le panel d’interventions. Concept Idéal pour assurer l’hébergement de cadres devant résider dans la capitale de l’Yonne sur de brèves périodes transitoires.

 

 

Des programmes fonciers prêts à être lancés pour 2020…

 

Au plan opérationnel, chacun des six acteurs de l’ATELIER joue sa partition professionnelle en parfaite osmose avec les autres collègues. Seule du haut de son piédestal, Julie s’accorde le droit à la transversalité des fonctions. Normal : son statut de chef d’entreprise devant faire montre d’exemplarité lui somme d’agir en fonction de ce modèle opératoire…

Il est vrai que la jeune femme à la tête bien remplie a pu abondamment profiter des judicieuses recettes que son père, Gilles, lui a transmises au fil d’un temps d’apprentissage s’avérant depuis judicieux.

Capitaliser les vingt-cinq années d’expériences d’un féru en gestion de patrimoine ne peut jamais faire de mal pour construire sa feuille de route entrepreneuriale.

Bénéficiant aujourd’hui des conseils salvateurs d’une agence de communication dijonnaise, « L’AGENCE MOUTARDE » (cela ne s’invente pas !), la société dispose d’une présence forte sur divers outils digitaux. Indispensable pour créer ce flux informatif nécessaire et développer des liens ténus avec les porteurs de contacts précieux se muant en contrats avantageux.

Avant d’entamer 2020 où le recours à un plateau conférence didactique pourrait être réitérer sous une formule donnant accès à des ateliers pragmatiques, L’ATELIER de l’Immobilier est dans les starting-blocks.

Il lance plusieurs programmes de commercialisation destinés aux investisseurs. Notamment à Dijon d’ici le terme de 2019, où aux abords du canal de Bourgogne, les investisseurs pourraient trouver chaussures à leurs pieds dans le cadre d’un programme foncier déclinable autour du neuf.

C’est d’ailleurs dans la capitale des Ducs de Bourgogne que Julie et Gilles GENEST devraient s’exprimer prochainement lors d’un évènementiel concocté avec le concours de l’ordre régional des experts-comptables. Il sera consacré à la gestion de patrimoine. Le thème de prédilection au concepteur d’un atelier bien différent des autres…

 

 


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La mise à l’honneur des professionnels de l’artisanat de l’Yonne devrait revêtir de ses plus beaux atours ce mardi 12 novembre en soirée dans la salle de Hauterive. Ce sera une occasion exceptionnelle pour les organisateurs de cet événement annuel de saluer les acteurs de la filière. Il s’agira de mettre un sérieux coup de projecteur sur des chefs d’entreprise qui ne font pas beaucoup de bruit autour d’eux mais qui ont le mérite d’avancer avec pugnacité et en rencontrant le succès…

AUXERRE : Les retrouvailles honorifiques tant attendues de la sphère artisanale sont prévues ce mardi 12 novembre dans l’Yonne. La distribution des récompenses imputables aux Prix Stars et Métiers nous promet un joli moment d’émotion et de découverte avec la présence de chefs d’entreprise, pas forcément connus du grand public. Mais, ceux-ci auront le bénéfice de pouvoir profiter de cette mise en lumière sous le feu nourri des projecteurs et des médias.

Avec le concours de ses partenaires historiques sur cet évènement, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, l’U2P (Union des entreprises de proximité) et de la SOCAMA, organisme de cautionnement, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté accueillera le microcosme de la filière artisanale dans le cadre de cette remise de prix dont le jury avait choisi les lauréats il y a déjà quelques semaines.

 

 

Si Mickaël BOUTEILLER, directeur adjoint de l’établissement bancaire de l’Yonne, avait déjà apporté sa pierre à l’édifice lors des précédents exercices de pure communication la saison passée, ce sera un vrai baptême du feu pour le nouveau représentant du groupe financier en poste dans l’Yonne depuis quelques mois, Yann NUNES.

Ce dernier aura pour objectif d’endosser le rôle du « Monsieur Loyal » lors de cette cérémonie de remise de distinctions où il accueillera tour à tour sur la scène les lauréats de cette édition 2020. Verdict de cette nouvelle session dans l’un de nos prochains reportages !

 

 


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Le concept se nomme Cristal. Transparent et conçu sur-mesure, il se veut universel. L’offre se destine aux familles : ces dernières bénéficiant pour la première fois d’un forfait bancaire généralisé. Ce dispositif en phase de test depuis 2018 a obtenu gain de cause de la part de ses instigateurs. Le pilote ayant répondu à ses attentes, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté a décidé de franchir le pas et de le commercialiser sur l’ensemble du territoire. Mise en application dès le mois d’octobre…

DIJON (Côte d’Or) : Répondre aux besoins de tous que l’on soit en couple, avec ou sans enfant, et ceci dans le cadre d’un même forfait packagé, c’est ce que propose depuis peu l’établissement bancaire régional à sa clientèle.

En effet, depuis un an, et après avoir vu ses tests spécifiques corroborer ses attentes, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté est devenue le pilote de ce dispositif novateur à destination des familles.

Aujourd’hui, l’établissement est la première banque à décliner ce type d’initiative bancaire à vocation familiale.

Jugée pratique et économique par ses auteurs, l’offre « Cristal » ne nécessite qu’une cotisation mensuelle unique pour la gestion de tous les comptes bancaires des membres d’une même famille. Et ce, quel que soit le nombre d’enfants !

Ainsi, grâce à ce forfait, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté aborde un nouveau virage dans ses choix stratégiques. En s’inspirant des opérateurs téléphoniques incontournables ou encore de l’opérateur NETFLIX, l’établissement colle au plus près des aspirations consuméristes du moment.

Grâce à cette offre personnalisée applicable à l’ensemble de la même fratrie, la banque mutualiste se donne une excellente opportunité de booster sa relation à la clientèle.

 

Un coût unique pour une multitude de fonctionnalités…

 

L’outil favorise la proximité dans la relation à l’autre. Un item demeurant l’un des credo forts de la société. Mieux : elle permet à un conseiller commercial de suivre chaque relation établie avec le client de manière assidue.

Dans l’absolu, cette offre déclinée intègre un certain nombre de services quotidiens proposés par une banque : un compte, une carte bancaire, diverses fonctionnalités digitales et ce fameux conseiller dédié. Celui-ci faisant office de pivot inaliénable dans la relation à travailler en direct auprès de la clientèle.

Y accéder est simple par essence. Le coût d’une cotisation mensuelle fixe suppose que chaque client peut personnaliser son équipement en fonction de sa situation personnelle.

Trois services peuvent y prétendre aisément : « Essentiel », « Confort » ou « Premium ». A l’aide de ce concept novateur, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté s’enrichit de cette nouvelle expérience professionnelle pérenne, en optimisant plusieurs fonctionnalités en ligne qui assurent une gestion simplifiée et personnalisée des comptes de sa clientèle.

Un forfait né et testé dans notre région qui devrait s’élargir progressivement à l’ensemble de l’Hexagone dans les semaines à venir...

 

 


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Au cœur de l’actualité depuis plusieurs semaines, la réforme des retraites n’est toutefois pas une obligation. Contrairement à d’autres mesures, prises tout récemment. N’étant pas soumis à une quelconque pression financière sur le sujet, le gouvernement peut se permettre d’évaluer les besoins de chaque régime de retraite à son rythme, et de réfléchir posément. Avant de présenter une série de propositions au cours du premier semestre 2020. C’est ce qu’ont précisé la porte-parole du gouvernement, Sibeth NDIAYE et le secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance, Adrien TAQUET, lors de leur venue à Auxerre, dernièrement…

AUXERRE : Une chose est certaine avant que ne tombent sur les télescripteurs médiatiques les premières propositions faites par le gouvernement au cours des six prochains mois : la réforme des retraites concernera les citoyens nés après 1963.

Elle ne devrait s’appliquer qu’à partir de 2025, en sachant que tout ce qui a été acquis le reste avec un calcul favorable, voire plus avantageux pour le futur bénéficiaire.

La visite en territoire icaunais des deux représentants du gouvernement PHILIPPE n’avait d’autres prétentions que de pouvoir expliquer les grands principes de cette réforme qui fait crée le débat parmi la société française.

Un préambule confirmé par les propos de la porte-parole, Sibeth NDIAYE, qui rappela l’importance de ces rencontres auprès des citoyens pour les membres du gouvernement.

« Nous devons nous présenter à eux et écouter en retour ce qu’ils pensent réellement de ce projet de réforme… ».

Une cinquantaine d’Auxerrois eurent ainsi ce privilège d’en savoir davantage sur les arcanes du pouvoir et les réflexions qui en résultent sur un thème chaud bouillant qui pourrait bien mettre la France dans la rue d’ici peu.

Pédagogue, l’experte es communication du gouvernement prit soin de se lancer dans une explication de texte détaillée autour du mode de calcul de la retraite ; tel qu’il fut statué au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

A l’époque, précisa-t-elle, le chômage était inexistant, avec un régime universel et un quota d’actifs équivalent à quatre salariés pour un retraité.

Puis vint le temps de l’adoption des 42 régimes spéciaux (ceux qui occasionnent autant de remous dans la sphère sociale et corporatiste), avant que le système accuse le coup après l’arrivée du baby-boom et de son flux grandissant de jeunes retraités sur le marché de l’oisiveté. Soit aujourd’hui, un actif et demi pour un retraité. On l’aura compris : le système a du plomb dans l’aile…

 

 

Un retour au régime universel où tout le monde bénéficierait des mêmes droits…

 

Dans un second temps, l’intervention du charismatique porte-voix de l’Etat s’orienta sur les parcours de vie. Ceux qui évoluent avec un profil plutôt linéaire.

«  Auparavant, poursuit-elle, les gens exerçaient un seul métier durant leur carrière professionnelle. Le plus souvent dans la même entreprise. Et ce jusqu’à l’âge de la retraite. Aujourd’hui, nous constatons des changements tant sur les métiers exercés avec des passages du privé au public ou vice-versa, que sur le cumul de plusieurs régimes, entrecoupé parfois de périodes de chômage… ».

Sibeth NDIAYE ne manqua pas d’évoquer la féminisation des carrières. Celles-ci étant souvent interrompues par des grossesses, voire des temps partiels, avec au final en guise de résultante pour une femme sur cinq, une retraite obtenue à 67 ans.

La porte-parole de Matignon aborda ensuite dans ses explicatifs les grands principes de ce projet de réforme.

Il s’agira avant toute chose de conserver le régime par répartition qui sécurise le système, en revenant néanmoins à un régime universel, où tout le monde sera placé à la même enseigne.

« Chaque heure travaillée donnera droit à des points y compris les petits boulots saisonniers tenus par des étudiants, ajouta la représentante de l’Etat, un seuil minimum contributif de mille euros serait également mis en place… ».

Plusieurs interrogations fusèrent de l’assistance dans l’écoute. Ainsi, Sibeth NDIAYE confirma que le montant du point serait fixé par les exécutifs avec les organisations syndicales, que celui-ci serait indexé sur les salaires des actifs et non sur le point de l’inflation.

D’autres idées furent abordées plus en aval de la réunion : la création d’un carnet de travail numérique afin de suivre l’évolution des personnes au travail. Ce qui pourrait englober la connaissance de leurs droits, la pénibilité, la santé, le handicap, le chômage qui serait pris en compte.

Il y aurait enfin la possibilité de proposer une valorisation progressive pour les femmes avec la prise en compte d’enfants, et ce dès la première naissance.

Des pistes de réflexion qui ont nourri une rencontre studieuse et passionnante, avant que ne soit présenté le futur schéma gouvernemental dès le printemps.

Maryline GANDON

 


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Entrepreneur en France, Alan Carey a opté très jeune pour les États-Unis. Attiré par le positivisme des USA, il décide de s'y installer pour y fonder une famille et y bâtir sa carrière. Après une expérience au sein de grands groupes industriels et la création d'une entreprise à Chicago, il aide désormais les sociétés françaises à s'implanter ou à se développer Outre-Atlantique. Dernier projet en date : le développement en Arizona d'un incubateur « sport et tourisme ». Direction les États-Unis pour ce nouvel entretien avec le dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors des moments clés de leur existence. Extraite de son blog « 16h44 », son interview nous procure des éléments de réponse pour mieux comprendre les rêves de cet entrepreneur…

TRIBUNE : Alan, tu nous dis que quand un français a une idée des États-Unis, elle est souvent fausse...

Effectivement, les États-Unis ne peuvent être réduits à une vision unique. Vivre à Paris ou Oslo ne permet pas de connaître l'Europe dans sa diversité, c'est la même chose pour les USA qui renferment des territoires très variés. Chaque état est particulier, avec ses lois et sa culture propre. Certains sont faits pour vous et votre entreprise, d'autres non.

Si vous êtes dans les arts graphiques, par exemple, 80 % de votre marché se situe dans un rayon de sept cents kilomètres autour de Chicago. Si vous travaillez dans les cosmétiques, en revanche, c'est plutôt Los Angeles ou New York qu'il faut viser. Et si votre domaine est l'aménagement de maison, l'automobile, l'aéronautique aérospatiale, l’industrie bio ou encore les objets connectés, choisissez l'Arizona.

Quelles spécificités américaines as-tu pu observer au fil du temps ? 

Déjà, j'ai pu constater que certains mots sont tabous, bien plus qu'en France. Il vaut mieux ne jamais parler de sexe, de politique ou de religion dans le business. Les plaisanteries ou les jeux de mots directement traduits du français ne marchent jamais... Il faut essayer de s'adapter sans transposer le modèle français. D'ailleurs, l'américain moyen ne s'intéresse pas vraiment à la France, qui est pour lui un pays parmi tant d'autres.

Ensuite, j'ai observé que certains réseaux originaux propres aux USA offrent une voie de distribution intéressante. Les lieux de culte, notamment, constituent un réseau très puissant, souvent ignoré des étrangers. Le pays est si vaste qu'un Américain peut vite se retrouver isolé s'il change de territoire. Le lieu de culte demeure alors un lieu de sociabilité, d'ancrage et de confiance. Des relations essentielles s'y nouent. Des grandes églises possèdent des terrains de basket, organisent des dîners de partage, etc. En arrivant dans une ville, il peut être intéressant de faire du « church shopping », pour rencontrer des entrepreneurs. Cela fonctionne aussi avec les écoles, ou les clubs en tous genres. En leur donnant 30 % des bénéfices, vous vendez et faîtes connaître votre produit, tout en aidant le club. C'est une pratique très développée aux États-Unis.

Enfin, ce qui me semble être caractéristique des USA, c'est ce qui m'a attiré ici avec ma famille et que j'appelle le positivisme. Dès l'école notamment, la norme est d'atteindre l'objectif et d'obtenir des A ou des B. Le F est une exception et cela génère moins d'anxiété pour les élèves. Au contraire, ça favorise la motivation et l'envie de réussite. Tout est mis en place pour que l'élève comprenne et qu'il ait envie de s'investir. D'ailleurs, il est courant que les étudiants fassent une activité sportive, du théâtre, participent à une fanfare, le matin avant les cours. En France, l'échec d'un élève sera facilement affiché, alors qu'ici au contraire, on n'hésitera pas à convoquer un élève pour le complimenter à propos d'un bon résultat.

 

 

Pour implanter mon entreprise aux États-Unis, ou exporter, quels sont les fondamentaux ?

Même si chaque cas est particulier, il y a quelques points à retenir : d’abord, il est vraiment plus efficace de s'implanter en profondeur dans un état que de façon diffuse sur l'ensemble du territoire. Pêcher à la ligne plutôt qu'au filet. Il faut prendre en compte les spécificités de chaque état, et ne pas sous-estimer les distances, qui augmentent les frais de prospection. Et puis votre client de la côte Est n'attendra probablement pas quatre jours un colis envoyé depuis la côte Ouest, s'il peut obtenir un produit concurrent semblable plus rapidement.

Ensuite, il faut savoir qu'un salarié est souvent plus adapté qu'un réseau de distribution pour diffuser votre produit. Le distributeur a, par définition, d'autres produits à vendre et peut être moins impliqué qu'un employé qui connaît plus précisément le produit. Le code du travail est moins contraignant qu'en France et le formalisme minimal : une lettre d'embauche suffit et l'employeur définit le niveau de couverture sociale qu'il attribue. Pour créer une société, il suffit de quarante-cinq minutes et de cent dollars.

Il faut également s'engager de façon durable. Les premières commandes ne sont que le début du processus et la prise d'un marché demande du temps. Mais, le marché américain a un fort potentiel et vaut les efforts investis. C'est comparable à une partie de baseball : en France, quand la première base est gagnée (qualité du produit), vous avez quasiment remporté le match. Ici, la première base est facile d'accès, mais il faut ensuite gagner les suivantes (disponibilité du produit ou du service, livraison, satisfaction du client) pour remporter la partie. En fait, il faut se concentrer davantage sur la demande du client que sur la qualité du produit. Votre produit peut-être d'une grande qualité, s'il ne correspond pas aux attentes du client, il ne se vendra pas.

Le relationnel sera également déterminant dans la réussite de votre implantation. C'est important partout mais vraiment essentiel ici. C'est sur le terrain de golf que se créent les relations. L'intégration des spécificités culturelles est, en ce sens, fondamentale. Que votre produit soit Made in France peut être un avantage, mais il faut faire attention à une certaine forme de réticence vis-à-vis des produits étrangers. Pour faire tomber certaines barrières (liées à la crainte du retard dans les transports, complications à la douane, monnaie différente...) pensez à offrir des garanties du type « 100 % satisfait ou remboursé ». Il faut toujours être honnête et transparent.

Enfin, soyez direct et proactif. Inutile d'être présent à un salon si vous restez derrière votre stand. À l'instar de l'américain, entreprenant, il vous faudra capter l'attention d'un potentiel client en quelques secondes.

En quelques mots, comment réussir son implantation aux États-Unis ?

L'ouverture aux changements culturels profonds est la clé. Motivation, envie d'apprendre, ouverture d'esprit et adaptabilité sont les attitudes de la réussite sur notre territoire. C'est l'expérience que j'ai vécue quand j'ai découvert les États-Unis, et je suis prêt à la partager pour votre réussite.

L'Application  

Téléchargez " whats app ". Considérez que la qualité de votre produit est un paramètre important parmi d'autres, pas le seul critère de réussite. 

Ouvrez-vous aux différences de culture sans vous arrêter à la partie visible de l'iceberg. 

Contactez Alan CAREY pour tester confidentiellement les chances de succès de votre projet, et recevoir sa newsletter mensuelle. 

 

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com

 


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