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650 mètres carrés de superficie supplémentaire ! Un sérieux atout afin d’optimiser l’accueil de nouvelles formations. Celles se rapportant à deux métiers en tension : la chaudronnerie et la soudure. C’est l’enjeu de l’atelier flambant neuf qui prolongera l’un des bâtiments du Pôle Formation 58/89. Objectif : concentrer les moyens pédagogiques au service des industriels en évitant tout risque d’éparpillement…

 

AUXERRE : C’est une stratégie du gagnant/gagnant que développe avec la construction de ce nouvel édifice la Maison de l’Entreprise de l’Yonne, en charge du Pôle Formation 58/89. Répondre aux besoins impératifs de recrutement des entreprises industrielles des deux départements limitrophes. Notamment sur des filières en extrême tension : la chaudronnerie et la soudure.

D’ici le printemps 2022 s’élèvera ce nouveau point d’ancrage des savoirs technologiques distillés sur le campus auxerrois. Le site comprendra des ateliers et des salles de cours. Afin de dispenser le meilleur de l’offre pédagogique, au bénéfice des entrepreneurs du cru.

Le coût de cet investissement n’excède pas le million d’euros. Une enveloppe budgétaire, certes importante, mais qui est intégralement financée par la Région. Via l’organisme « OPCO 2i », l’opérateur de compétences des chefs d’entreprise de la sphère industrielle, en charge des questions relatives à l’emploi, la formation et les ressources humaines.

 

Concentrer les moyens et les charges sur un lieu unique…

 

Un choix que justifie le délégué général de la Maison de l’Entreprise, Claude VAUCOULOUX.

« Il est illusoire de penser que l’on peut développer à l’envie des campus où se pratiquent de l’enseignement et des formations pour satisfaire des besoins territoriaux alors que la population n’est pas suffisante, observe-t-il, la densité industrielle de notre département n’est guère élevée et ne le permet pas. A l’identique de la densité de sa population. La solution pour répondre correctement à toutes les attentes des acteurs de l’économie est précisément de concentrer les moyens sur un lieu unique et déjà existant afin d’en réduire les charges… ».

Fort de ce constat, le responsable du Pôle Formation 58/89 a décidé de se doter de ces nouveaux outils pédagogiques à Auxerre.

 

 

A commencer par l’extension du site qui accueille d’ordinaire des apprenants de tous niveaux, du CAP au cursus d’ingénieur.

« Notre territoire mérite de pouvoir profiter du meilleur, ajoute-t-il, il nous fallait donc définir une stratégie répondant à cet objectif afin d’apporter l’excellence dans une logique industrielle où tout coûte cher ! ».

Une phrase revient en boucle dans ses propos : « Surtout, il ne faut pas prendre le risque de s’éparpiller en termes de moyens… ». D’où la concentration sur un lieu unique.

 

Etre le vivier des emplois industriels de demain…

 

D’ailleurs, au-delà de l’extension du bâtiment dont le chantier a débuté il y a déjà quelques semaines, la direction de l’organisme qui accueille en son sein l’IFAG et l’ITII ainsi que les représentations du MEDEF et de l’UIMM, réfléchit à l’opportunité d’un agrandissement. Celui de l’édifice qui fait face à l’entrée principale du site.  

Côté capacité foncière, le projet intègre le domaine du plausible avec la possibilité d’acquérir des friches pour concevoir sa réalisation.

Il y serait question d’installer les fondamentaux référentiels de l’usine 4.0 de demain afin de former des conducteurs de ligne, des techniciens de maintenance et de futurs ingénieurs. Des métiers qui font figure de denrée rare dans le paysage régional, en proie à une terrible pénurie de main d’œuvre qualifiée.

C’est tout l’enjeu de l’actuelle extension et du futur agrandissement. Une mission presque d’intérêt général que désire mener à bien la Maison de l’Entreprise…

 

Thierry BRET

 


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Ce n’est pas tous les jours que le territoire de l’Yonne endosse le rôle de capitale de la vie politique nationale. Un état de fait qui n’arrive finalement qu’à de trop rares occasions. Lors de la visite d’un chef d’Etat dans l’exercice de ses fonctions ou celle d’un Premier ministre. C’est précisément ce dernier qui honorera, vendredi, le département le plus septentrional de la contrée de sa présence, avec dans ses bagages pas moins de cinq ministres…

 

AUXERRE : Le déplacement du chef du gouvernement dans l’Yonne ne devrait pas passer inaperçu. Côté cortège et déambulation. Sans omettre la kyrielle des services d’ordre et de sécurité, très visibles !

Non seulement, le pensionnaire de Matignon sera encadré par une cohorte de conseillers et responsables de cabinets de tout ordre mais en outre il n’effectuera pas ce voyage sur le seul fait de sa personnalité !

Pas moins de cinq membres du gouvernement accompagneront Jean CASTEX lors de cette immersion dans ce département rural, ce vendredi 24 septembre. Une visite minutieusement choisie par l’exécutif au moment de mettre en exergue l’action de l’Etat en faveur de la ruralité.

Souvenons-nous : le 22 septembre 2019, le gouvernement lançait un plan d’actions de 181 mesures baptisé « Agenda rural ». Objectif de la stratégie : améliorer le quotidien de plus de 21 millions de nos concitoyens vivant sur ces territoires. Ceux que l’on qualifie parfois de France profonde !

Deux ans plus tard, presque au jour près, c’est l’heure du bilan autour de cette opération.

 

 

Une équipe ministérielle renforcée pour analyser les effets du plan de relance…

 

Statistiquement, plus de 93 % des mesures portées par l’Agenda rural ont été réalisées. Ou pour certaines d’entre elles sont encore en phase d’application. En parallèle, le plan France Relance a consacré 8,4 milliards d’euros aux territoires ruraux pour faire face aux effets néfastes de la crise sanitaire.

Un soutien massif (sans doute l’un des plus généreux parmi les 27 états de l’Union européenne) qui englobe également le déploiement du très haut débit dans les territoires peu denses ou la rénovation de petites lignes de chemin de fer.

Logique donc que Jean CASTEX ne vienne pas seul dans le nord de l’Yonne en ce 24 septembre ! Jacqueline GOURAULT, ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités locales sera de la visite. Tout comme les secrétaires d’Etat Cédric O, en charge de la transition numérique et des communications électroniques, Joël GIRAUD, en charge de la ruralité et Adrien TAQUET, en charge de l’Enfance et des familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé.

Naturellement, le secrétaire d’Etat en charge du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie Jean-Baptiste LEMOYNE n’aurait manqué pour rien au monde ce déplacement ministériel à la puissance 5 en sa qualité de régional de l’étape !

 

 

Un timing serré au cordeau pour une visite 100 % active…

 

Quant au programme, il s’avère copieux pour l’énarque de la promotion Victor Hugo. Jugez-en ! Avant de présider le troisième CIR (Comité interministériel aux ruralités), le Premier ministre se rendra à la maison de santé de Ligny-le-Châtel afin de faire le point sur le déploiement de ces infrastructures en terre de l’Yonne dans le cadre du Ségur.

Puis, le Premier ministre se rendra à Bassou afin de découvrir les bus « France Services » qui sillonnent le terrain pour aller au plus près de celles et ceux qui en ont besoin.

Puis, ce sera le moment d’inaugurer le café « O Délices de Bassou », lauréat du programme « 1 000 Cafés » du GROUPE SOS dont l’objectif est de favoriser le maintien ou l’installation de bars, cafés, restaurants et commerces dans nos villages. Une avant-première pour l’élue locale Dorothée MOREAU qui réitérera l’opération le lendemain avec ses administrés.

Enfin, Jean CASTEX visitera la brigade de la gendarmerie de Migennes afin de faire le point sur les dispositifs destinés à renforcer la sécurité de nos territoires ruraux. Il y est prévu la création de centres de supervision de vidéo-protection mutualisés. Il ne restera alors au Premier ministre que de conclure cette journée vécue dans l’Yonne par un ultime rendez-vous : les travaux de l’Association des maires ruraux de France (AMFR) qui organise son congrès national, le cinquantième, dans la jolie bourgade de Villevallier, forte de ses 427 âmes où le chef du gouvernement prendra la parole…

 

Thierry BRET

 


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Les médias ne parlent plus que de lui. Si le CSA avait souhaité lui donner une nouvelle notoriété en l’interdisant d’antenne sur CNEWS, il n’aurait pas fait mieux. Eric ZEMMOUR s’invite dans les débats de la présidentielle 2022. C’est un grand cultivé pour les uns et un simple natif du 93 (il est né à Montreuil-Sous/Bois) pour les autres. Pour lui, un vrai journaliste se doit de faire de la politique et d’être nécessairement partisan…

 

TRIBUNE : Commençons par Georges Clémenceau, fondateur de « l’Homme Libre » (devenu l’homme « enchaîné ») et qui baptisera lui-même le célèbre article de Zola sur l’affaire Dreyfus du nom de « J’accuse » !

Lorsque certains passent du journalisme à la vie politique, d’autres font le chemin inverse. Bon nombre de femmes et d’hommes politiques sont désormais chroniqueurs ou éditorialistes : Julien Dray sur LCI, Aurélie Filippetti sur RTL, Raquel Garrido sur C8, Henri Guaino sur Sud Radio, Axelle Lemaire sur France Culture ou Jean-Pierre Raffarin sur France 2.

Dans le même temps, Bruno Roger-Petit, chroniqueur politique, et notamment éditorialiste à « Challenges » prend un autre chemin en devenant porte-parole de l’Élysée.

La rédaction de l’hebdomadaire économique serait « soulagée de son départ » selon le témoignage de l’un de ses confrères recueilli par « Libération » daté du 30 août 2017. La société des journalistes du titre s’étant alarmée, en mars 2017 par voie de communiqué, de l’équilibre politique « gravement occulté par le nombre d’articles pro-Macron ou défavorables à ses adversaires sur le site internet de Challenges »

ZEMMOUR dénonce en permanence la tendance « gauchiste » des chaînes publiques (radio ou télé). Soit-dit en passant, on peut s’étonner des sommes démentielles versées par France Télévision à Rachid Arhab et Françoise Laborde pour leur permettre de quitter France Télévision et rejoindre le CSA. Un lien avec ZEMMOUR ? On peut s’interroger…

On peut parler aujourd’hui du phénomène ZEMMOUR. Il suffit qu’il soit l’invité d’une quelconque émission pour qu’aussitôt cette dernière pulvérise ses records d’audience. Il semble évident que les journalistes de CNEWS se comportent en soutien inconditionnel de leur collègue. De Christine Kelly à Pascal Praud, il ne se passe pas un jour sans que l’on parle de son dernier livre (il se vend comme des petits pains) ou de sa nouvelle polémique.

 

Un personnage qui dérange immanquablement...

 

Trublion venant jouer dans la cour des grands, Eric ZEMMOUR déstabilise la classe politique et le monde des journalistes par ses prises de position volontairement polémiques. La forme et le fond sont en cause : des accents de vérité sans tricherie. Il est sincère dans ses réponses, au dire des collègues de travail qui l’ont connu. Sur le fond, notre polémiste est toujours hors de la doxa ambiante et d’un discours convenu, politiquement correct.

Qu’on le veuille ou non, il imprime le tempo avec ses thèmes dans le débat public de la campagne présidentielle ! Il rythme la cadence par ses shows à la télé ou en dédicaces pour son livre. Il se prononce philosophiquement pour la peine de mort, pour la fermeture des frontières aux émigrés, sur les prénoms aux connotations trop « exotiques »…

Aussitôt, les médias demandent aux contradicteurs politiques de se positionner. Depuis deux ans, il dénonce les « faux alliés » de la France, comme l’Allemagne et les Etats-Unis. L’affaire des sous-marins australiens semble lui donner raison…

 

Le nihilisme fait le lit de tous les fanatismes…

 

 

Si tous ses opposants affirment que les Français sont très éloignés des préoccupations soulignées par Zemmour, on est en droit de s’interroger. En effet, si on additionne celles et ceux qui votent à droite (classique ou extrême droite), on se trouve devant une majorité de nos concitoyens, soulignant l’immigration parmi les problèmes dominants.

La gauche, PS, EELV, LFI, refuse d’admettre qu’elle n’a plus le leadership de la pensée et qu’elle est devenue minoritaire en France, comme dans de nombreux pays d’Europe.

La droite extrême se développe en Europe par des revendications communes. Utilisant un discours très populiste, les partis extrémistes dénoncent l’immigration, revendiquent la souveraineté de leur pays, conspuent l’Europe et parfois l’euro. Une composante autoritaire affirmée, particulièrement explicite sur le terrain de « la loi » et de « l’ordre » et qui prône un programme économique composite, faisant la synthèse du néo-libéralisme des années 80 et du protectionnisme des années 90. Pour couronner le tout, l’usage immodéré du discours « antisystème » de dénonciation des « élites venues d’en haut » prolifère.

 

 

Le problème, c’est que le refus d’écouter le peuple provoque la colère inextinguible de beaucoup. Xavier Bertrand, comme Eric Zemmour parle d’un risque de guerre civile en France. La gauche veut diaboliser ceux qui ne pensent pas comme elle. On noircit, on dénigre, on calomnie, on « hitlérise » les soi-disant mal pensants !

On a vu des affiches de Zemmour et du président Macron affublés d’une moustache, d’une mèche et d’une croix gammée ! Nier les évidences et caricaturer ignoblement ceux qui sont adulés par certains, c’est attiser les haines et les rancœurs. N’oublions pas que le nihilisme engendre le fanatisme !

 

« La France n’a pas dit son dernier mot »…

 

C’est le titre évocateur du dernier livre d’Eric Zemmour. Tout un programme pour une campagne électorale ?

Mais là où Le « Suicide français » était teinté d’un certain pessimisme fataliste, « La France n’a pas dit son dernier mot », ouvre sur un espoir : l’histoire n’est peut-être pas encore totalement écrite. Il existe encore – et Génération Z en est la preuve – des Français qui cherchent à sauvegarder ce qui a fait de la France un beau pays, fier de ses valeurs et de ses racines.

Avec la liberté de ton qui le caractérise, Eric Zemmour s’apprête ainsi à donner sa vision politique de ce qu’il faut faire pour contrer notre déclin. Ce dernier livre se présente ainsi à la fois comme « une autobiographie politique » où il évoque « l’évolution du pays », à la manière des « Choses vues » de Victor Hugo, et comme une réponse au « Suicide français » en posant finalement la question tant attendue : « comment s’en sortir ? ».

Avec cet opus, nous ne sommes pas très loin d’un début de programme électoral. Un livre qui pulvérise les records : 200 000 exemplaires imprimés, 100 000 programmés en réédition à cause de ruptures de stocks, nos « politiques » refusent de dire qu’ils le lisent !

Un(e) journaliste, sûrement un(e) intellectuel(le) de gauche, avoue l’avoir lu et trouver une faute d’orthographe ! Bravo, il ou  elle a pêché ce lourd péché (lire le livre pour comprendre ce clin d’œil…).

Un seul homme de gauche, vieux routier de la politique, le plus cultivé sans aucun doute, accepte le débat et la confrontation : Jean-Luc Mélenchon. Si depuis longtemps, on connaît les solutions préconisées pour le rétablissement de la légitimité nationale, Zemmour est toujours attendu sur les sujets économiques et financiers. Sur ces thèmes, le livre n’apporte toujours aucune réponse.

La liberté d’expression, gravée au marbre de la révolution, fait partie de notre culture mais semble de plus en plus altérée par les pouvoirs de la Vème République et particulièrement par le locataire de l’Elysée.

 

 

Des thèmes qui parlent forcément aux Français...

 

La France, la culture, le terrorisme, l’immigration, la délinquance, la souveraineté nationale, la justice, les juges…intègrent le catalogue de thèmes les plus marquants du futur candidat ( ?) Zemmour. Il est certain que pour avoir des arguments contraires, il faut une culture que beaucoup n’ont pas. Là va être son problème : se mettre à la portée de chacun, cultivé ou non, et la tentation de la manipulation est grande.

Depuis trente ans, Eric Zemmour n’est pas dans le politiquement correct, hors des pseudos évidences qui polluent les gogos des miasmes nauséabonds de la médiocrité.  On fracture, on divise la France en deux camps : les « pour » et les « contre ». Pour les chasseurs ou pas, pour les sapins de Noël ou pas, pour l’avortement ou pas…

Tous ceux qui souhaitent présenter notre pays comme une France de « gauche » et une France de « droite » se trompent lourdement ! La France, pays des Droits de l’Homme (lire aussi « Les Droits de la citoyenne » d’Olympe de Gouges), c’est aussi une culture judéo-chrétienne-romaine-grecque et issue des divinités celtes. Un pays religieux et spirituel.

On appartient à l’histoire des héros, des escrocs, des résistants et des collabos, depuis Clovis, les Capétiens, Danton et Robespierre, Napoléon, de Gaulle…  Les Girondins de la Révolution, plus fanatiques que les Montagnards, plus bourgeois et modérés appellent des révoltes et des contestations politiques dignes de nos clivages. L’Orléanisme du XIXème siècle, classé à gauche s’oppose aux Légitimistes qui rêvent du retour de la royauté. Ce qui était à gauche se retrouve souvent à droite. Les libéraux sont catalogués à droite tandis que Benjamin Constant, homme politique né en 1763, fait figure de gauchiste !

Nous sommes un peuple riche de notre Histoire, turbulent, insoumis et parfois révolté, incapable de tempérance…C’est tout notre charme !

Alors rêvons un peu : j’imagine un square ou une place publique, avec pour décors deux belles sculptures. Celle de Napoléon et celle d’une grande résistante, Joséphine Baker. On pourrait juste l’entendre fredonner : « J’ai deux Zemmour ! »…

 

Jean-Paul ALLOU 

 

 

 

 


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Depuis octobre, en liquidation judiciaire, l’établissement de la rue Paul Doumer, situé près de la gare SNCF, avait tiré les rideaux. Supprimant le peu de vie restant dans ce quartier de la Rive droite. Une opportunité de reprise s’est présentée. Déjà propriétaire de l’hôtel/restaurant « Le Seignelay » et du bar « Le Dilo » à Saint-Florentin, Cyril PARMENTIER s’est engouffré dans la brèche. Le Bar de la Gare, nouvelle appellation, reprend donc du service. De la plus belle manière que ce soit…

 

AUXERRE : Situé à quelques encablures de l’accès ferroviaire, le Bar de la Gare (à défaut d’être original la désignation du lieu est au moins explicite au plan géographique !) vient de rouvrir ses portes.

Après de longs mois de léthargie, imputables à une liquidation judiciaire instruite auprès du tribunal de commerce. Autrefois baptisé « le Saint-Gervais », l’établissement s’est refait depuis un sérieux lifting. De fond en comble ou presque afin d’épouser le principe d’un concept store, l’un des tout premiers implantés de la sorte en Bourgogne Franche-Comté.

Méconnaissable à l’intérieur, le commerce et ses cent mètres carrés de surface ont été profondément remaniés. Avec la bénédiction financière de la Banque Populaire qui a soutenu le nouveau propriétaire des lieux : Cyril PARMENTIER.

Le garçon n’est pas un inconnu dans la filière commerçante locale. Non seulement, il gère la destinée depuis plusieurs saisons de l’un des bars de référence sis à Saint-Florentin, « le Dilo ».

Mais en outre, l’ancien homme de média et communication (« TV Diffusion » dans une vie antérieure) a ajouté dans sa besace parmi ses actifs l’hôtel/restaurant « Le Seignelay » localisé au cœur d’Auxerre.

Désireux de relever un nouveau défi, l’entrepreneur a décidé de se lancer dans ce projet de réhabilitation. Avec à la clé, une première étape qui est synonyme de travaux conçus par des artisans du cru. Selon un cahier des charges 100 % original et jamais vu encore dans l’Yonne : un concept store !

 

 

Un choix éclectique de produits à consommer…

 

« Il en existe une petite centaine en France, explique Cyril PARMENTIER, celui d’Auxerre devient de facto le premier à être fonctionnel en Bourgogne Franche-Comté… ».

Une implantation stratégique importante pour le quartier Rive droite, un peu en manque de vitrines commerciales qui égayent le chaland.

Sur quoi repose ce principe de concept store ? Très simple, le Bar de la Gare comprend différents corners, accumulant des offres de services et prestations pour le moins originales.

Si un kiosque à journaux où sont répertoriés près de cent cinquante titres peuvent satisfaire dès potron-minet l’insatiable appétit des lecteurs en attente de nouvelles fraîches, on trouvera différents consommables comme la papeterie, la téléphonie, la bureautique, de la confiserie, de la pâtisserie, des boissons et même des vins de terroir (Cyril PARMENTIER est un fin connaisseur !), ainsi que du tabac.

Mais, le clou de cet inventaire concerne précisément ce dernier item. Certes, la cigarette électronique tient le haut du pavé avec un choix éclectique de produits à inhaler.

 

 

Une nouveauté rare à tester : le CBD…

 

Mais, c’est surtout la présence de CBD qui positionne l’estaminet sur un tout autre registre !

Celui de la nouveauté, pour ne pas dire de la rareté dans l’Yonne ! Nouveauté autorisée par l’Etat, le CBD se présente sous la forme d’une huile, concentrant diverses composantes du chanvre (cannabinoïdes, terpènes et flavoïdes), diluées dans une base d’huile de coco. Un produit aux vertus relaxantes et thérapeutiques qui pointe le bout de son nez timidement en France.  

Outre les activités habituelles de brasserie et de dégustation de boissons, le Bar de la Gare accueille dans un espace salon, un peu à l’écart autour d’une vingtaine de sièges, celles et ceux des consommateurs souhaitant suivre les courses hippiques sur écran plat, en toute tranquillité.

Côté emplois, trois postes 100 % féminins ont été créés. Avec aux manettes des salariées qui accueillent le client avec le sourire !

D’ici quelques semaines, la devanture de la vitrine commerciale se fera un look en conformité avec la nouvelle signalétique.

In fine, ce sont 70 000 euros qui ont été injectés pour la réalisation de ces travaux. Une partie émanant de la banque. La holding que dirige Cyril PARMENTIER a fait le reste, en apportant le complément financier nécessaire à la création de ce projet. Un projet que les habitants du quartier de la gare SNCF ont déjà adoubé depuis l’ouverture du site…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Ils étaient une cinquantaine à manifester à vélo récemment. Répondant à l’appel de l’association « La Roue libre ». Le cortège, vêtu de gilets de sécurité bleus, a parcouru le centre-ville, appelant à une «vélorution». Un néologisme pour désigner une révolution des pratiques de déplacements urbains. Privilégier les déplacements doux, à vélo, à pied ou en trottinette, donc sans émission de gaz polluants, est aux yeux des adhérents une priorité. Voire une nécessité…

 

AUXERRE : Toutes les villes de l’Hexagone ne sont malheureusement pas logées à la même enseigne en ce qui concerne les aménagements qui facilitent ces modes de déplacements.

Auxerre n’est, assurément, pas à la pointe dans ce secteur. Tant il est vrai que l’on a dans les années 70 cherché plutôt à adapter la ville à la voiture. Le fait est que le nombre d’usagers de la route en ville a considérablement augmenté depuis cette époque, rendant l’utilisation de la voiture individuelle souvent problématique.

La première démarche de « La Roue libre » a donc été de rencontrer les élus de la Ville et de la Communauté d’agglomération. Si la C.A. dispose bien d’un adjoint à la mobilité et aux transports sur l’ensemble des 29 communes, il n’en va pas de même pour la Ville d’Auxerre.

Ce qui a amené le président de l’association, Yves LE GOFF, à rencontrer Sébastien DOLOZILEK, chargé de la Sécurité, et Nordine BOUCHROU, adjoint en charge de l’Urbanisme, des travaux et de l’accessibilité.   

De là naît la question : « Qui s’occupe réellement des aménagements vélo à Auxerre ? ».

Car, des aménagements, il en existe ! Que ce soit les consignes à vélos pour les personnes résidant en appartements, ou les voies cyclables, presque toujours discontinues, qui font partie des équipements demandés par la loi Laure de 1996 (Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie) et par la loi LOM de 2019 (Loi d’Orientation des Mobilités).

 

 

Un baromètre numérique pour connaître le classement d’Auxerre…

 

La question est là aussi celle du nombre d’usagers : beaucoup hésitent en effet à utiliser davantage le vélo en ville car ils ne se sentent pas vraiment en sécurité.

D’où l’appel de l’association à répondre massivement à la consultation lancée par la Fédération des Usagers de la Bicyclette. Depuis 2017, le baromètre des villes cyclables permet d’établir un classement des villes basé sur les réponses des cyclistes.

Au terme des trois ans du Plan national pour développer le vélo, débuté en 2018, et qui a conduit à une hausse de 30 % des pistes cyclables au niveau national, le moment est favorable pour faire un bilan sur la situation à Auxerre, à travers cet outil unique en son genre qui a totalisé en 2019 185 000 réponses sur 763 communes.

Nul doute que l’année 2021 verra une augmentation significative du nombre de participants à cette consultation, accessible depuis le site www.fub.fr.

 

Claire CIUPA

 

 


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