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Un sondage le confirme. Il émane de l’institut ODOXA pour le compte du quotidien national « Le Figaro ». 75 % des personnes interrogées sur la base d’un panel plutôt conséquent en désapprouvent l’initiative. Ramener la vitesse à 110 km/h sur les autoroutes, même pour des raisons purement sécuritaires, provoque l’ire des automobilistes qui n’en peuvent plus d’être la vache à lait des politiques. La proposition faite par la candidate socialiste Anne HIDALGO a déjà du plomb dans l’aile avant même une hypothétique application…

 

PARIS : Dire que la mesure serait impopulaire équivaut à un doux euphémisme ! Réduire la vitesse de la circulation sur les autoroutes de l’Hexagone en la ramenant de 130 km/h à 110 km/h représente une aberration totale pour une très nette majorité de nos concitoyens, consultés lors d’un sondage d’opinion.

La maire de Paris, candidate à la présidentielle 2022 pour le camp socialiste, vient d’en faire les frais ! Anne HIDALGO a en effet inscrit parmi les priorités marquantes de son programme électoral l’abaissement de la vitesse sur le réseau autoroutier. Pour de pures raisons sécuritaires.

Une idée que certains de ses homologues (et pas forcément du même bord politique) avaient déjà avancé il y a plusieurs mois dans le cadre d’économies énergétiques à réaliser.

Or, force est de constater que les Français n’adhèrent pas du tout à cette idée devant brider un peu plus les automobilistes. Un récent sondage réalisé à la demande du « Figaro » par ODOXA le 27 octobre dernier démontre que 75 % des sondés rejettent en bloc cette proposition.

 

 

A l’instar des chasseurs, les automobilistes représentent un poids électoraliste que les candidats à la présidentielle doivent prendre en considération.

58 % d’entre eux affirment dans la même enquête « qu’ils accorderont une attention très particulière aux propositions des candidats faites autour de l’automobile ».

Que la candidate du PS se rassure : a contrario, sa suggestion de ramener la TVA de 20 à 5,5 % applicable sur les carburants est accueillie favorablement par 88 % des personnes interrogées.

Une préconisation qu’elle partage par ailleurs avec l’autre postulante de ces futures échéances, la tête de file du Rassemblement National, Marine LE PEN. C’est sans aucun doute leur seul point de convergence !

 

Thierry BRET

 


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C’est une véritable immersion parmi les profondeurs de la ville. Dans la pénombre un peu glauque d’un bassin d’orage de près de quatre mille mètres cubes, situé sous une aire de stationnement à Auxerre. Celui des Chaînettes, la bien-nommée ! Un simple exercice de routine, orchestré de main de maître par l’équipe d’intervention du SDIS 89. Sous le regard scrutateur des responsables de VEOLIA qui assure l’entretien du site.

 

AUXERRE : Que faire en cas de situation de crise lorsque l’on évolue à une dizaine de mètres de la surface de la terre dans un boyau extrêmement étroit et guère salubre ? Où la présence d’hydrogène sulfuré à forte dose pour vous faire passer de vie à trépas en un clin d’œil ? Une galerie permettant de circuler dans cet univers si particulier où toute idée de claustrophobie est à proscrire avant même de poser le premier pied sur l’échelle menant à huit mètres de fond. Un endroit où y placer un humain correspond forcément à une prise de risque.

Pourtant, ce bassin de rétention d’eaux pluviales, situé à quelques encablures de l’Yonne et ses quais, est régulièrement fréquenté. Par les équipes de techniciens de VEOLIA, qui y intervient très souvent.

 

 

Des équipements efficaces contre les atmosphères confinées toxiques…

 

Cadre de l’entreprise, Thierry CHANUSSOT assiste attentif avec l’une de ses collaboratrices à l’exercice grandeur nature qui se joue devant ses yeux en cette matinée ensoleillée. Une vingtaine de sapeurs-pompiers du Service départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) de l’Yonne s’activent, équipements spécifiques sur le corps, autour d’une bouche béante sur le vide. Obscure, insondable, peu rassurant pour ceux qui vont s’y engloutir.

Munis de systèmes de protection contre les atmosphères confinées toxiques, les soldats du feu se muent en prospecteurs de galeries profondes. Avant d’y pénétrer, ils ont pour objectif de récupérer l’un des trois employés de la société descendus pour une simple visite de routine mais coincé au fond de ce piège, pris d’un malaise. Ceci n’est que fictif, fort heureusement !

 

 

Une sensibilisation permanente des salariés à la sécurité…

 

Alertés par Thierry CHANUSSOT, les sapeurs-pompiers n’ont pas manqué de réagir prestement dans les minutes ayant suivi le drame. Le SDIS a pris soin de mobiliser des équipes de différentes compétences selon la typologie du sinistre. Notamment les spécialistes intervenant en atmosphère confinée. La suite, on l’imagine aisément après la vingtaine de minutes de cette simulation qui aura permis d’extraire le blessé des entrailles de la terre, sain et sauf.

« Il est fondamental de simuler ce type d’exercice, précise Thierry CHANUSSOT, parce qu’on est confronté à la vie réelle de l’exploitant. Or, chez VEOLIA, la sécurité n’est pas un vain mot ! La priorité, c’est la sécurité optimale de nos agents. Nous devons tout faire pour qu’ils rentrent chez eux le soir en parfaite santé ! ».

L’acteur économique multiplie donc les exercices relatifs à la sécurité. Chaque salarié est ainsi sensibilisé à la culture sécuritaire à maintes occasions dans l’année. Des séances répétitives jugées utiles par celles et ceux qui les suivent, histoire de pratiquer l’art de l’anticipation à loisir en cas de réelles problématiques.

Du coté des sapeurs-pompiers, son de cloche identique ! Ils apprécient l’opportunité de pouvoir tester à dimension réelle leurs équipes et les matériels de manière constante.

L’unique bassin de rétention qui permet de stocker les eaux pluviales de la ville d’Auxerre est donc placé sous une étroite surveillance par VEOLIA.

Un site entretenu et contrôlé qui ne présente pas d’aspérités particulières dans son processus de fonctionnement. Plutôt rassurant pour celles et ceux qui s’y baladent munis de torches et masques protecteurs…

 

Thierry BRET

 


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La BGE Nièvre Yonne a le vent en poupe. C’est peu de le dire ! Surtout après avoir analysé les faits marquants de la période tonitruante que l’organisme, ex-boutique de gestion, vient de vivre depuis la reprise des activités. Les larges sourires qui s’affichent sur les visages des membres de la structure, en perpétuelle expansion sectorielle, ne sont pas factices. Il se dégage un réel plaisir, teinté d’altruisme et de volonté, à vouloir faire bouger les lignes. Celles d’un entrepreneuriat réussi, accessible au plus grand nombre…

 

JOIGNY : On l’a déjà ressenti cette chaleur altruiste si particulière qui prédomine chacune des rencontres du BGE Club business ! Un ersatz de rendez-vous d’affaires pour les néophytes de l’entrepreneuriat, dont les premiers pas sont un peu déstabilisés, en mal de reconnaissance et de distribution de cartes de visite à gogo !

Pour beaucoup, l’initiative correspond à de la bienveillance à l’état brut, servie sur un plateau d’argent. Nécessaire, voire très utile à plus d’un titre pour se faire un nom dans ce milieu parfois très hermétique de l’entreprise avec ses codes et usages fonctionnels complexes.

Mais, pour les penseurs de BGE Nièvre Yonne, instaurer une formule club où règnerait le privilège des relations à l’autre et de l’entregent en donnant l’accès à tous au bon trousseau de clés s’avère être un indispensable prolongement de ses fonctions régaliennes. Une sorte de « monde d’après » visionnaire pour cette entité créatrice de tant de richesses et d’emplois. 1 382 sociétés créées sur notre seule contrée Bourgogne Franche-Comté depuis que la structure a vu le jour pour 1 530 nouveaux postes générés…

 

 

Le supplément d’âme de BGE aura séduit la CC du JOVINIEN ?

 

Alors quand BGE Nièvre Yonne a hérité en septembre dernier de la direction et la gestion de l’hôtel pépinière d’entreprises du JOVINIEN, tous les acteurs de ce microcosme en phase de conquête territoriale ont eu de sérieux picotements bien agréables au bas de la nuque, synonymes de source de chaleur retrouvée. La même sensation qui fut déjà observée lorsque le BGE Club fut porté sur les fonts baptismaux !

C’est peut-être ce supplément d’âme et ce sens profond de l’humanité, arguments si subtils au particularisme de la structure, qui a sans doute séduit le président communautaire de la zone, le maire de Joigny Nicolas SORET.

Profitant de l’expiration de la délégation de service public liée à l’établissement (il accueille dans son antre une trentaine de structures professionnelles) cette année, le vice-président en charge de l’économie à la Région a déposé dans la besace de BGE un bien joli « bébé » : le pilotage de ce navire qui accueille tant d’entrepreneuses et d’entrepreneurs en besoin de nouvelles conquêtes et de parts de marché !

Propulsant ainsi l’organisme vers une nouvelle dimension pour le moins inhabituelle jusqu’alors dans ses missions : la gestion foncière.

Durée du processus : six années ! Suffisant pour transformer le plomb en or et de réaliser de fait une judicieuse alchimie située entre le développement de ce pôle d’accueil de compétences entrepreneuriales et la maîtrise rigoureuse des comptes pour sa partie immobilière.

 

 

Devenir gestionnaire de biens, un choix stratégique assumé…

 

En guise de capitaine pour surfer sur la vague de futurs succès et emmener les 27 sociétés accueillies à bon port vers les rives de la réussite : un visage connu du sérail local, Christelle EMONIERE. Devenue directrice de la pépinière au premier septembre.

L’enjeu est de taille, elle le sait bien. Mais, l’ancienne gérante d’une société d’auto-école locale, cédée depuis à un repreneur, a toujours su par le passé mener sa barque pour atteindre ses objectifs. Ajouter une corde supplémentaire à son arc ne l’inquiète nullement outre mesure.

Pas plus que cela ne gêne le directeur intervenant sur les départements de la Nièvre et de l’Yonne, Eric FREYSSINGE, de devenir par extension un gestionnaire de biens !

La BGE posséderait-elle cette vocation à enclencher d’autres opérations immobilières de la sorte tôt ou tard ? Sûrement ! A-t-elle pour objectif de reprendre la destinée d’autres pépinières d’entreprises ? Sans aucun doute !

D’ailleurs, une petite phrase résume à elle seule la volonté de l’équipe dirigeante de l’organe associatif sur ces orientations stratégiques : « nous aimerions être aussi bien logés dans la Nièvre que dans l’Yonne ! ».

Prononcée par Eric FREYSSINGE, elle en dit déjà long sur les hypothétiques potentialités de ce partenaire viscéral des porteurs de projets de venir occuper une niche avantageuse à bien des égards…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est l’une des préoccupations essentielles de notre société de consommation et celles de plusieurs filières professionnelles dont les agriculteurs. L’eau présente-elle des qualités suffisantes à son exploitation et à ses usages ? Pour y répondre, l’Union des Productions Végétales de l’Yonne (UPVY) réalise depuis quatre années des essais agronomiques. Les élus de notre territoire connaîtront les premières conclusions ce mardi…

 

GY L’EVEQUE : Les élus ne seront pas les seuls à écouter avec beaucoup d’intérêt les premiers résultats de ce travail de longue haleine mené depuis quatre ans par les représentants de l’Union des Productions végétales de l’Yonne.

Il consiste à réaliser des essais agronomiques très poussés sur des parcelles qui se situent sur la commune de Piffonds dans la partie septentrionale de notre département.

En avril dernier, les médias furent conviés sur site à assister à une démonstration de ces essais. Qualifiés de très utiles pour disposer d’une photographie précise de la situation. Et surtout dans le but de maintenir les cultures de colza tout en participant à une ressource en eau de qualité pour tous.

Mais, cette fois-ci, il s’agit pour les responsables de l’UPVY de tirer les enseignements liminaires de ces quatre années d’études et d’analyses en présentant aux maires des communes rurales un état des lieux le plus pertinent possible.

Une véritable explication de texte devant susciter nécessairement de nombreuses interrogations parmi l’assistance présente ce mardi 02 novembre après-midi à la salle des fêtes de Gy L’Evêque.

Les représentants de la Chambre départementale d’agriculture de l’Yonne y prendront part à l’instar de plusieurs techniciens agronomes soucieux d’apporter leurs lumières afin d’aider les élus de notre territoire pour y voir plus clair sur le sujet. Limpide comme de l’eau de roche !

 

Thierry BRET

 


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Performante pour assurer la collecte des productions agricoles des territoires du Centre et du Nord de l’Yonne, la coopérative YNOVAE l’est également en matière de mobilité écologique. La structure vient d’adopter une nouvelle manière de faire circuler sa flotte de poids lourds. A l’aide d’un carburant végétal 100 % made in France baptisé OLEO !

 

VERON : L’initiative est géniale. Quant aux premiers chiffres annoncés, ils séduisent ! Ils affichent des réductions d’émission de gaz à effet de serre équivalent à 60 %. Du côté de la diminution des particules, c’est encore mieux. Les analyses des bureaux d’étude sont formelles : le gain est de l’ordre de 80 % ! Et tout ceci pour un coût identique à celui du gazole…

Depuis peu, les poids lourds de la coopérative agricole de l’Yonne roulent en mode « écologie ». Grâce à un carburant obtenu à l’aide de colza, l’OLEO 100.

Responsable des transports, David ROUSSEL se veut enthousiaste : « Dans notre démarche d’accompagnement pour la production de céréales à haute valeur ajoutée, il nous semblait indispensable de modifier certaines habitudes de consommation. L’utilisation d’un biocarburant pour faire rouler notre parc de poids lourds représentait une réelle opportunité… ».

 

 

Un projet au double effet « Kiss Cool » économique…

 

En substituant le carburant fossile par le liquide issu de végétaux (une démarche initiée par le groupe AVRIL et sa filiale SAIPOL), YNOVAE réalise une belle opération à effet gigogne.

Non seulement, le projet contribue à brève échéance à utiliser les productions des agriculteurs adhérents à la coopérative. Mais, en outre, d’en assurer la fabrication à peu de distance de là, de l’autre côté de la frontière auboise sur le site du Mériot. Soit une économie plus que substantielle pour la coopérative qui évite ainsi de se faire livrer du gazole venu du Moyen-Orient !

Le choix stratégique voulu par la direction a nécessité cependant quelques aménagements structurels. A commencer par la pose d’une cuve sur un terrain entièrement stabilisé près de Sens.

Equipée d’un automate fonctionnant à l’aide d’un badge, la station-service alimente ainsi les treize camions de la flotte.

Précisons que c’est le groupe CHAROT, spécialiste des ballons d’eau chaude sanitaire et des cuves qui a assuré la fabrication et la pose de celle de très grande capacité accueillie sur le site.  

 

 

 

En savoir plus :

 

L’OLEO 100 est un carburant uniquement destiné aux véhicules diesel homologués de plus de 7,5 tonnes.

Ce carburant représente à ce jour la seule alternative envisageable aux carburants fossiles, capable d’offrir une autonomie équivalente à celle du gazole et sans changement majeur à apporter sur les flottes de véhicules.

Ce biocarburant n’est pas distribué en station-service accueillant le grand public.

On peut en savoir davantage sur ce carburant en consultant le site : https://oleo100.com.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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