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A contre-pied de ce qu’il pratique d’ordinaire dans son approche de la relation publique – le maire-président de l’Auxerrois est à ranger dans la catégorie des taiseux sur ce registre depuis sa prise de fonction -, Crescent MARAULT s’est finalement livré à un exercice de style pour le moins insolite, démonstratif et convaincant, soumis à l’interrogatoire, bien huilé, de Jean-Marc SYLVESTRE. De la pure communication, selon ses détracteurs. Que nenni, rétorque l’élu, qui a fait de l’info en jouant les pédagogues et les VRP afin de mieux vendre l’Auxerrois aux investisseurs.

 

AUXERRE: Initialement prévu pour durer à l’antenne une heure et quinze minutes, le journal télévisé de cette « édition spéciale » aux réminiscences de la Une, côté décorum et ambiance bleutée, se sera accordé un peu plus de souplesse au niveau du timing.

Confidences de Yannick DAVOUSE, prises en aparté et à la manœuvre de cette grande première audiovisuelle concoctée depuis la capitale de l’Yonne chez IDXPROD : « on ne se met pas la pression, on peut se donner du temps ! ».

Du temps de parole, Crescent MARAULT qui passait ses arguments à la moulinette de cette interview de longue durée et finement ciselée depuis plusieurs semaines, en aura eu. Largement, malgré les interventions de plusieurs invités, issus de la sphère économique et associative, venant ponctuer de leurs réflexions personnelles tel ou tel item à aborder (à lire notre prochain article à paraître sur le sujet).

Abondamment, pour nous dévoiler un rôle que l’on ne lui connaissait pas celui de « VRP » du bassin de l’Auxerrois, effectuant une fois par semaine des déplacements à travers l’Hexagone en quête de pépites professionnelles et d’investisseurs désireux apporter de l’eau (et surtout des moyens financiers) à son moulin. Celui qui n’a rien à voir avec le monument vétuste narré par Alphonse DAUDET, incarné par ce fameux « Projet de Territoire » dont il défend la moindre ligne programmatique jusqu’au bout des ongles.

 

Vendre l’image de l’Auxerrois bien au-delà de ses frontières…

 

Inhabituelle posture de l’édile, peu enclin à pratiquer l’art de la communication. Ce que lui fit remarquer d’entrée de jeu un Jean-Marc SYLVESTRE décontracté, à plusieurs reprises sur ce point, s’étonnant même d’être assis à ses côtés pour cette émission retransmise sur les réseaux sociaux et les outils numériques de la collectivité.

Si le trac était palpable à vingt minutes du commencement de cette prestation, assurée en direct, force est de constater que l’orateur vedette de cette soirée ayant pour objectif premier de vendre l’image de marque de l’Auxerrois bien au-delà de ses frontières a su au fil des minutes gagner en aisance et en sérénité. Débitant d’une voix claire et sans l’ombre d’une hésitation le fil d’Ariane de ses pensées, parfois tortueuses pour ses adversaires. Construites, on s’en doute, autour de ce « Projet de Territoire », devenu cette boussole indispensable et obsessionnelle à l’accomplissement de son mandat.

 

 

« J’ai commis une erreur mais la justice a tranché… »…

 

Un projet devenu un véritable credo pour l’élu de l’Yonne qui a eu des démêlés avec la justice en décembre dernier. Le thème sera abordé justement par le journaliste économique parisien. Presque sous le sceau de la confidence, voire de la confiance et de la révélation, puisque les deux hommes se faisaient face à face sur l’immense plateau, épuré de tout artifice et auréolé des lumières blafardes des projecteurs.

« Je voudrais vous demander d’aller un peu plus loin dans cet exercice d’information et de transparence que nous vivons. Ce qui n’est pas très facile pour un homme comme vous puisque vous n’êtes pas un adepte de la communication (sic !). Vous avez été récemment condamné par la justice pour des faits qui se sont produits lorsque vous étiez à la tête de la municipalité de Saint-Georges-sur-Baulche. Comment vivez-vous cet état de fait et quelles explications pouvez-vous en donner (alors que plusieurs opposants demandent sa démission pure et simple de ses mandats électifs) ? ».

Le mea culpa de Crescent MARAULT se résumera à une courte phrase : « j’ai commis une erreur mais la justice a tranché ; elle est passée et moi désormais, je reste concentré sur le projet de territoire pour l’Auxerrois en étant déterminé à le mettre en œuvre… ».

Un projet qui représente peut-être une véritable équation à 29 inconnues, s’interroge Jean-Marc SYLVESTRE, faisant allusion au nombre de communes qui composent l’Agglomération auxerroise. Problématique d’ego, intérêt local : comment négocier alors avec chacune de ces entités afin de réaliser le travail dans de bonnes conditions ?  

« La coopération intercommunale existe depuis 1990, répondra Crescent MARAULT, je ne m’inquiète pas pour les échanges entre les maires, habitués à travailler ensemble, à discuter et à dialoguer sur des projets menant vers l’intérêt commun. Ce serait d’ailleurs une hérésie de ne réfléchir aux projets avec la seule vision de sa commune… ».

Une réaffirmation du leadership qu’occupe dorénavant le maire de la capitale de l’Yonne sur ce bassin géographique devenu névralgique du fait de son attractivité impulsée par la station de stockage de l’hydrogène.

 

 

Investir 22 millions d’euros sans avoir recours à l’impôt : tour de magie ou pur réalisme ?

 

N’en ayant pas terminé avec la série des questions qui fâchent, Jean-Marc SYLVESTRE revient à la charge (pas trop fortement !), mettant en exergue certains des arguments véhiculés par l’opposition. L’augmentation de la dette, par exemple, qui est inhérente aux différents volets contenus dans ce projet de territoire. Une feuille de route très ambitieuse ou irréaliste, à vrai dire ?

« Nous avons une opportunité unique de faire rimer l’écologie urbaine et la croissance économique, souligne l’interviewé, un véritable pari pour conserver notre qualité de vie, tout en améliorant la compétitivité des entreprises dans le même temps et créer des centaines d’emplois. Sans qu’il n’y ait la moindre hausse fiscale pour les habitants de l’Agglomération, je m’y engage… ».

« Etes-vous un magicien, renchérit à brûle pourpoint le présentateur vedette.

Je ne suis pas un magicien, répond du tac au tac Crescent MARAULT, je suis un gestionnaire ! On investit et il y a nécessairement un retour sur investissement… ». L’équation expliquée dans la bouche du successeur de Guy FEREZ en serait presque enfantine au niveau de sa compréhension. Professoral, esquissant quelques gestes de la main comme pour entériner ses dires, Crescent MARAULT donne une leçon de pure gestion aux 3 600 internautes qui l’écoutent instantanément derrière leur écran d’ordinateurs, tablettes et autres smartphones. Y compris la poignée d’invités du sérail politique et institutionnel du cru, installés dans une autre salle attenante du complexe occupé par IDXPROD.

 

 

Les recettes fiscales des entreprises exogènes : la clé de la solution !

 

Concrètement, des douze millions d’euros initialement investis chaque année sous la mandature précédente, le besoin en financement s’élève désormais à vingt millions d’euros annuels (voire légèrement plus) pour mener à bien le projet défini par la nouvelle gouvernance. Soit un doublement des capacités budgétaires.  

« Il faut inciter les entreprises exogènes à venir s’installer sur notre territoire, observe le maire-président, plutôt détendu face caméra, 50 % des recettes fiscales dont nous avons besoin sont liées à leur présence. C’est cela la fiscalité sans augmenter les impôts ». Elémentaire mon cher Watson !

Oui mais, alors quid de la dette qui fait pousser des cris d’orfraie aux élus de l’opposition ?

« La dette, reprend Crescent MARAULT, c’est de la dette d’investissement. On la mesure sur sa capacité à pouvoir la rembourser. Toute cette méthodologie s'applique à toutes les administrations publiques ou privées. On peut la mettre en place dans les collectivités et améliorer ainsi la performance, améliorer l'efficience, améliorer l'efficacité des politiques publiques. Quant à ce retour sur investissement, il s’appliquera sur l’urbanisation, la culture, le domaine du sport, le tourisme, le développement économique… ».

Circulez, il n’y a rien à voir ! Les craintes de l’opposition sont balayées d’un revers de la main, non réalisé sur le plateau, mais que l’on perçoit presque intérieurement comme une aura dans l’esprit en effervescence d’un orateur qui tient la longueur côté endurance verbale. De plus en plus surprenant pour un non-communiquant !

 

 

Un non-communicant sachant communiquer !

 

Et Jean-Marc SYLVESTRE qui annote ses fiches avec méthode d’en remettre une couche supplémentaire, façon RIPOLIN : « On vous reproche (l’opposition, toujours sans la nommer précisément ?), que vous n’êtes pas assez présent dans les rues d’Auxerre et sur les marchés. Est-ce votre méthode de travail ? ».

« C’est vrai, avoue le maire-président, c’est la représentation que l’on se fait de l’élu. Habituellement. Moi, je consacre mon temps au travail et non à cultiver mon image. Une fois par semaine, je sillonne les quatre coins de l’Hexagone pour y rencontrer des porteurs de projets, des investisseurs. L’objectif est de les convaincre de s’installer ou de miser sur l’Auxerrois. Je fais mon job de « VRP » ! Quand j’aurai estimé avoir accompli cette mission, alors je me rendrai sur les marchés ! ».

Voilà. Il est presque 21h30 à la pendule du studio. La messe est dite ou presque puisque l’homélie finale se termine. Les techniciens s’apprêtent à débrancher leurs appareils. Les projecteurs, à s’éteindre.

Paradoxe étrange que celui-ci : ce non fan de la communication et des relations presse dont se vante Crescent MARAULT boucle son édition spéciale en ayant tenu près de 120 minutes l’échange et la discussion, sans qu’il en soit éprouvé. Serein comme un poisson dans l’eau !

Conservant un calme olympien pour asséner une ultime banderille à celles et ceux qui en douteraient encore après avoir ingurgité cette copie du « JT à la sauce TF1 » sur les réseaux sociaux : « ce n’est pas de la communication mais de l’information qui a été proposée ce soir ! ».

Quant au futur projet de territoire, prophétique il ajoute : « ce n’est pas un effet d’annonce : tout ce qui a été présenté durant cette émission va se réaliser, j’en ai la certitude… ».

« Mektoub » aiment à dire les sages qui pratiquent la langue arabe. « C’était écrit…, selon sa traduction plus cocardière…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Discrets physiquement jusqu’alors sur notre département, sauf en termes de collage d’affiches où celles de leur candidat fétiche pullulent sur toutes les surfaces pouvant les accueillir, les partisans d’Eric ZEMMOUR se sont dévoilés au grand jour lors de leur premier meeting officiel. Celui-ci s’est tenu à Joigny ce vendredi. Une centaine de militants sur les 350 adhérents que compte « Reconquête ! » participaient à cette rencontre…

 

JOIGNY: Ca y est : ils se montrent enfin à la lumière des projecteurs, les militants et sympathisants qui soutiennent la candidature de l’ex-éditorialiste, lancé dans sa croisade présidentielle.

Une centaine de partisans et militants de la nouvelle formation, « Reconquête ! », se sont donc retrouvés ce vendredi 04 février en fin de journée à la salle des fêtes de la commune du Centre Yonne afin d’y tenir un meeting.

Et officialiser ainsi le début de la campagne devant conduire leur favori au seuil du premier tour, le 10 avril prochain.

Crédité de 14 % des intentions de vote dès le scrutin initial dans les derniers sondages publiés par les instituts référentiels ce week-end, Eric ZEMMOUR est au coude à coude avec sa rivale de la droite de la droite, la prétendante du Rassemblement National, Marine LE PEN. Dont plusieurs éléments notoires ont déserté le navire à l’instar de Gilbert COLLARD ou de Damien RIEU, se ralliant à l’inattendue démarche politique de l’ex-polémiste de l’audiovisuel.

 

 

Une coordination départementale bicéphale dans l’Yonne…

 

Si le département le plus septentrional de la Bourgogne a observé au cours de ces derniers mois la déferlante de plusieurs vagues d’affichage, évoquant la présence de l’énigmatique « Z », tout au début, jusqu’au slogan plus explicite, « Impossible n’est pas Français », avec le visage du candidat à l’appui ; peu de lisibilité se faisait jour a contrario quant aux identités des personnes qui allaient incarner la représentativité de ce nouveau parti localement.

Au sortir de ce premier grand rendez-vous de campagne, c’est chose faite. On y voit donc plus clair quant aux patronymes des porte-étendards qui délivreront dans l’Yonne les messages du postulant à l’Elysée.    

Il incombait à Franck GAILLARD, responsable régional de « Reconquête ! » de présenter l’organigramme de ce comité de coordination départemental, à l’initiative de cet échange.

Deux noms émergent. Il s’agit d’Augustin FROT, ayant la qualité de responsable et d’Emmanuel BERTHELIN, qui officie en tant que coordonnateur.

 

 

Une adaptation de circonstance d’une citation de KENNEDY !

 

Mais, ils ne seront pas les seuls à manœuvrer avec la baguette décisionnelle. Les représentants locaux d’autres partis associés à la candidature d’Eric ZEMMOUR ont été présentés, avant d’être copieusement applaudis.

Ainsi, on vit tour à tour le Mouvement Conservateur qui était représentée par Maryse SANGUINET-TONNERRE, le VIA La Voie du Peuple (la formation de Jean-Frédéric POISSON) symbolisé par le Sénonais Xavier POINSARD ou encore le CNIP, Centre National des Indépendants et des Paysans, promu dans l’Yonne par Paul TEQUI. Une illustration concrète de l’union de la droite (ou du moins de l’une de ses franges), rhétorique invariable du candidat ZEMMOUR.

Parmi les personnalités marquantes ayant fait le déplacement en terre icaunaise, signalons la présence de Bruno NORTH, chef de file national du CNIP (Centre national des Indépendants et des Paysans), qui lors de sa prise de parole où il saluait les militants, a adapté une citation propre à JKF, prononcé sur un balcon berlinois en 1963 : « Nous sommes tous des ZEMMOURIENS ! ».

Quant au premier des intéressés, il est annoncé en Côte d’Or, à Saulieu, ce samedi 12 février, où il s’exprimera dès 15 heures à l’espace Jean Bertin-Forail. Une intervention qui devrait durer près de deux heures, selon les premières informations obtenues…

 

Thierry BRET

 

 


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Lutter contre les freins à l’emploi et accompagner les personnes en recherche d’un travail est le principe fondamental de ce cycle formatif d’un trimestre qui accueille une douzaine de stagiaires à la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Sous l’astucieux vocable de « DIGIT’ELLES », clin d’œil référentiel à la maîtrise du digital indispensable pour retrouver le chemin de la vie active, la chambre consulaire a reçu la visite de la sous-préfète d’Auxerre, Dominique YANI, ce vendredi.

 

AUXERRE : Depuis le 16 décembre, une douzaine de jeunes femmes sont immergées dans un cycle pédagogique intense à la CCI de l’Yonne. Nom de code de ce parcours : « DIGIT’ELLES » !

S’adressant à un public exclusivement féminin, ce dispositif de trois mois n’a d’autres objectifs que de remobiliser et réinstaurer la confiance en soi de ses bénéficiaires. Soit un total de 329 heures de cours théoriques à suivre au centre de formation du vénérable organisme.

Soixante-dix heures de ce copieux programme étant destinées à l’incursion en territoire entrepreneurial pour mieux humer et s’imprégner des tendances actuelles, côté professionnel.

Composé de découvertes numériques, mais aussi de communication et de bureautique, ce stage va permettre à 70 % de ses suiveuses d’accrocher un emploi à leur escarcelle dès son terme. Sachant que les 100 % de ses participantes auront pu peaufiner du mieux possible leur projet professionnel pour y parvenir.

Le cycle accueille des personnes inscrites à Pôle Emploi, ainsi que les bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés. Bref, des femmes ayant l’envie de bien faire et de booster leur quête d’un job en accumulant de nouvelles expériences didactiques enrichissantes.

 

 

Des personnes motivées et déterminées pour relever les défis…

 

Vendredi, le groupe a reçu la visite de la sous-préfète d’Auxerre et secrétaire générale de la préfecture Dominique YANI. Celle-ci a été accueillie par le président de la CCI de l’Yonne Thierry CADEVILLE. Signalons également la présence à leurs côtés de Marc LEPRETRE, délégué régional d’OPCO-EP, l’organisation paritaire administrée par des représentants des employeurs (U2P, CPME ou fédérations de branche) et des représentants de salariés (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, CGT-FO). Les correspondants de Pôle Emploi et de la Direction départementale de l’Emploi, du Travail, des Solidarités et de la Protection des Populations de l’Yonne (DDETSPP) assistaient à cette rencontre.

Dominique YANI s’est félicitée de la mise en place de ce processus pédagogique, en phase avec les objectifs de l’Etat de lutter contre les freins à l’emploi.

« Ces douze personnes sont motivées et ont montré lors de nos échanges toute leur détermination pour relever ces nouveaux défis, devait-elle déclarer par le canal des réseaux sociaux.

Quant à Thierry CADEVILLE, il a insisté sur l’importance pour les entreprises de trouver des ressources assurant des fonctions tertiaires, formées, polyvalentes et rapidement opérationnelles.

Ce dont ont le plus besoin aujourd’hui les entrepreneurs de l’industrie, de l’artisanat, du commerce et des services de notre territoire !

 

Thierry BRET

 


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Une de plus à mettre dans la besace. Autrefois sous les couleurs de la Grande-Bretagne, la marque MG bat aujourd’hui pavillon chinois depuis que le puissant groupe SAIC a mis la main dessus. Cela n’empêchera nullement le distributeur automobile JEANNIN, l’un des plus représentatifs sur son secteur d’activité dans la région, de la proposer bientôt à Troyes. Après l’avoir déjà placée parmi ses objectifs de vente dans l’Yonne.

 

AUXERRE: Il est prescrit le temps où MG et ses sémillants roadsters s’affichaient sur nos routes avec cette dimension identitaire toute britannique qui était la sienne. Rattachée à une autre référence mythique de la construction automobile : ROVER, depuis disparue bel et bien des radars de la commercialisation !

Nous étions alors en 2005. Le leader du marché automobile et du poids lourd de Chine, SAIC, basé à Shanghai, engloutissait dans son empire ce vestige mécanique de la perfide Albion ! La multinationale pèse désormais 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires, emploie près de 145 000 collaborateurs et vend près de 6 millions de véhicules à l’année. C’est par le truchement de l’une de ses filiales, NANJING, que ce puissant consortium possède par ailleurs la marque qui nous interpelle ce jour : MG.   

En 2020, 230 000 automobiles à l’estampille de ces célèbres initiales ont été vendues hors de Chine ! La priorité est donnée désormais au 100 % électrique. Premier essai concluant avec le ZS EV qui demeure l’un des SUV électriques les plus abordables du marché. Nouvelle approche de pure séduction avec le Marvel R dont on devrait entendre bientôt parler dans le landerneau puisque distribué à Auxerre et à Sens, et prochainement dans l’Aube, à Troyes, par le concessionnaire JEANNIN Automobiles.

 

 

Implantation d’une nouvelle vitrine commerciale à La Chapelle-Saint-Luc…

 

Plus précisément à La Chapelle-Saint-Luc, en proche périphérie de la capitale auboise. C’est là que l’ex-star des sixties so british va pouvoir s’écouler auprès des consommateurs en recherche de nouveautés à partir d’une nouvelle vitrine commerciale, devant s’ériger de terre.

« Nous avons remporté le panneau de l’enseigne, explique Cathy TOZEYRE, la spécialiste de la communication interne/externe du groupe JEANNIN qui caracole loin devant sur le marché, avec plus d’une dizaines de marques à commercialiser ! Nous n’avions pas encore obtenu la marque sur l’Aube : c’est fait ! ».

 

 

Dans un premier temps, les futurs acquéreurs de ces modèles fabriqués dans l’esprit de la transition écologique devront fréquenter une structure éphémère, le temps que la future concession prenne corps dans l’une des zones très attractives et industrielles de La Chapelle-Saint-Luc où est prévue l’implantation de la construction. Cela ne sera que passager.

 

 

Une puissance s’affirmant dès le démarrage !

 

Devant débutés au printemps, ces travaux devraient s’achever quelques douze mois plus tard dans un environnement ergonomique et fonctionnel de huit cents mètres carrés où seront accueillis deux marques, MG et MAZDA. Mais, dans l’Yonne, les concessions du groupe JEANNIN sises à Auxerre comme à Sens proposent déjà à l’achat la fameuse marque.  

Que dire de ce Marvel R électrique, qui possède une planche de bord insolite avec un grand écran vertical de près de vingt pouces, qui ne devraient pas déplaire aux férus de technologie !  

Offrant une autonomie de 400 kilomètres, ce concurrent des SUV produits par KIA, TOYOTA et DACIA, embarque à son bord sous le capot deux motorisations électriques cumulant 180 chevaux. Voire de 288 chevaux selon une autre variante ! L’obtention du cent kilomètre/heure au démarrage est obtenue en moins de cinq secondes : c’est tout dire sur la réelle capacité de puissance de cette petite merveille. Quant à la charge de la batterie, elle est annoncée par le constructeur à 43 minutes pour passer de 5 à 80 % ! On peut la toucher entre 40 000 et 50 000 euros. Un modèle idéalement bien positionné sur le segment de l’électrique…

 

Thierry BRET

 


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La pédagogie était à l’honneur à l’occasion du conseil municipal qui préfigurait le débat d’orientation budgétaire (D.O.B.), voulu par le premier des élus. Une oratrice de la préfecture de l’Yonne est intervenue en préambule de ces travaux pour apporter de judicieux éclaircissements sur l’endettement de la commune et ses capacités à pouvoir générer de l’emprunt. Des propos très instructifs pour les conseillers qui devaient ensuite débattre de la future ligne budgétaire…

 

APPOIGNY: Les férus de gros chiffres n’ont pas été déçus de la séance municipale accueillie jeudi soir dans l’une des salles de la mairie. Avant que ne soit porté au vote le budget définitif du nouvel exercice – une décision examinée le 31 mars prochain par le conseil local -, Magloire SIOPATHIS, dans un souci de transparence et de pédagogie, a souhaité provoquer, alors qu’il n’y était pas obligé, un D.O.B., acronyme se traduisant par « débat d’orientation budgétaire ».

Une manière de mieux s’imprégner de ces lignes comptables, parfois très nébuleuses à la compréhension pour les béotiens de l’exercice, que sont les dépenses et les recettes d’une collectivité territoriale.

Pour se faire, l’édile avait convié l’une des spécialistes de cette « rigueur budgétaire » à respecter vaille que vaille pour l’équilibre financier d’une commune à venir s’exprimer lors d’un exposé, en amont de la séance publique d’échanges et de discussions.

La fonctionnaire de la préfecture de l’Yonne, slides à l’appui, a pu ainsi durant une bonne trentaine de minutes s’épancher oralement sur des données arithmétiques précises, propres à la commune : son endettement (792 000 euros, soit un équivalent de 246 euros par habitant bien loin de la moyenne nationale qui s’élève à 671 euros !), sa capacité d’autofinancement (des ressources internes qui permettent de recouvrir les capacités d’emprunt de la collectivité) et ses possibilités en matière de crédits. A date, Appoigny peut sciemment lever un emprunt de trois millions d’euros afin de subvenir au financement de ses projets structurels.

 

 

Beaucoup de boulot qui nécessite des dépenses…

 

Au-delà de ces chiffres qui éclairèrent un auditoire studieux et annotant les remarques, cette incursion parmi les mécanismes budgétaires de la collectivité permit de poser les jalons des échanges instructifs qui allaient suivre autour du budget 2022.  

Magloire SIOPATHIS ponctua cette causerie qui n’avait rien de soporifique en rappelant que la localité avait su économiser. Mais que le respect de la rigueur ne pouvait être remis en question face aux grands chantiers d’aménagement ou d’amélioration qui se profilaient devant lui.

Puis de citer que l’eau potable, l’assainissement, l’éclairage et les bâtiments publics allaient occasionner, selon son expression, « beaucoup de boulot » ! En filigrane, cela suppose aussi des dépenses !

D’où les arbitrages et le sens des responsabilités que l’élu a demandé à son équipe pour parvenir à tenir ces engagements.

« On peut différer les choses comme on peut faire les choses, ajoutera calmement le maire-conseiller départemental, j’en appelle donc aux arbitrages les plus objectifs possibles, dans l’intérêt général des habitants d’Appoigny ».

Des mots que chacun conservera en tête alors que débat d’orientation du budget s’engageait après coup…

 

Thierry BRET

 

 

 


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