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Une quinzaine de dossiers de très haut niveau sont parvenus de toute la France et même d’Allemagne. Plus de 400 clics ont été enregistrés sur le site du CIFA de l’Yonne : preuve que cette opération séduit le plus grand nombre de jeunes talents de la gastronomie. In fine, ce sont quatre futurs grands chefs qui ont été sélectionnés pour concourir le 21 mars prochain à Auxerre. Tous les ingrédients semblent être dorénavant réunis pour faire de cette nouvelle édition un très grand cru où il faudra faire montre de patience avant de connaître l’heureux dénouement de cette épreuve unique en France. Pour mémoire : les concurrents devront réaliser des prouesses derrière les fourneaux afin de concocter un menu complet destiné à être servi à un jury de trente-six membres…

AUXERRE : Directeur technique, lui-même étoilé Michelin et nouveau coach de l’équipe de France de la gastronomie, Romuald FASSENET, toque à la renommée internationale et qui a longtemps prodigué ses conseils à l’équipe nationale du Japon, s’est exprimé il y a quelques jours au nom du jury de l’édition 2018, tout en évoquant les contours opérationnels de ce défi populaire proposé par le centre de formation de l’Yonne, le CIFA d’Auxerre.

Le chef du « Mont Joly », établissement culinaire de grande classe localisé en périphérie de Dole à Sampans (Jura), a divulgué face à la presse les résultats de ce choix qui permettra de qualifier quatre candidats à cette compétition hors normes.

Une compétition relevée autour d’un menu en trois services…

Aux côtés des membres du jury où figuraient Daniel AUBLANC, président de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne, Bernard VAUSSION, ancien chef de l’Elysée, Dominique COURTIN, conseiller d’enseignement technique, Jean-Marie LAMOUREUX, vice-président de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne et Eric MOUTARD, président de l’Union des métiers de l’industrie hôtelière de l’Yonne (UMIH), le chef jurassien a dévoilé la liste de ces férus d’Escoffier qui s’affronteront à la loyale et avec beaucoup d’imagination au fond de l’assiette au printemps prochain.

Si le paleron de bœuf avait tenu la vedette lors de la précédente épreuve d’octobre 2017, il n’en sera pas de même le 21 mars 2018 puisque les recettes de ce menu spécial seront articulées autour d’un dos de sandre et écrevisses, avec ingrédients aux choix, en guise d’entrée chaude, une selle d’agneau français, proposée avec trois garnitures dont l’asperge qui est imposée, et des fruits exotiques, servis froids ou chauds pour le dessert. Les candidats disposant d’un budget global de 400 euros TTC pour acheter leurs ingrédients !

Un prix de 5 000 euros récompensera le vainqueur…

Chef de cuisine au club Airbus de Castelmaurou en Haute Garonne, Thierry LAMBERT sera opposé dans cette joute savoureuse à Julien BOUSQUET, chef de partie dans un établissement francilien à Issy le Moulineaux, Loïc VALENTIN, chef de partie au « Jardin de Sainte-Cécile » à Grenoble et à un natif de Bourgogne mais évoluant aujourd’hui en Allemagne, Dominique CHAMPROUX, restaurateur au « Rebstock » à Heilbronn.

Le Défi IRON COOK France est doté d’une enveloppe de 5 000 euros destinée à récompenser le lauréat de l’épreuve. Celle-ci sera présidée par Virginie BASSELOT, meilleur ouvrier de France et chef exécutive du restaurant étoilé « La Réserve » à Genève en Suisse. IRON COOK, concept original dans l’univers des CIFA, est le fruit de l’imaginaire fertile et constructif du directeur de l’établissement auxerrois, Marcel FONTBONNE. Il en a confié l’exécution du projet à Delphine ENGELVIN et à Jean-Luc TABOUREAU, ses proches collaborateurs…


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Titulaire d’un Master en communication et marketing obtenu au sein d’une école de commerce à Paris, Laurine LOUBINETZ (24 ans) a su convertir ses acquis validés par le biais de l’alternance pour rejoindre depuis le 06 novembre le groupe de transport en commun régional. En sa nouvelle qualité de chef de projet marketing, communication digitale et relations presse, la jeune femme originaire de l’Essonne aura pour tâches prioritaires d’accroître la visibilité de ce spécialiste des voyages à l’international et des réseaux urbains…

PROVINS (77) : Adepte des disciplines nautiques et adorant se ressourcer au plus près de la nature, Laurine LOUBINETZ ne devrait pas connaître l’oisiveté au cours de ces prochaines semaines. Cette jeune femme, native de Saint-Germain les Corbeil (Essonne), n’a pas hésité un seul instant à se projeter à soixante kilomètres de là, pour relever le challenge que lui a proposé Frédéric JOUY, responsable de PROCARS, l’un des acteurs clés dans l’univers des transports en commun en Ile de France, Champagne Ardennes mais aussi Bourgogne Franche-Comté.

Renforcer la présence et l’image de l’entreprise vers les réseaux sociaux

Diplôme calé au fond de sa besace, ce pur produit d’une  école de commerce de la capitale accède ainsi à son premier poste de cadre en contrat à durée indéterminée, forte de ses expériences acquises grâce à la pratique de l’alternance en entreprise. Durant son cursus, Laurine a aiguisé ses connaissances théoriques en tant que chargée de communication auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Essonne, puis à la SYMAG, une filiale de la BNP à Villejuif (Val de Marne).

Soucieux de pourvoir rapidement le nouveau poste de chargé de communication et de marketing qu’il avait décidé de créer en 2017, le dirigeant de PROCARS a conçu la feuille de route stratégique de sa future collaboratrice. Laurine LOUBINETZ aura pour mission initiale de développer un site multimédia, indispensable au rayonnement numérique de l’entreprise aux 300 salariés.

Booster la présence de l’entreprise sur les réseaux sociaux (FACEBOOK avec une refonte de l’existant ou la création de pages informatives vers LINKEDIN) constituera un autre volet du cahier des charges inhérent à la jeune femme. L’optimisation des relations publiques à travers la mise en place d’événementiels et les contacts envers les représentants des médias seront abordés en parallèle.

A terme, le pôle communication et marketing devrait s’étoffer avec l’apport de nouvelles compétences qui assureront la dynamique de l’entreprise en interne et au sein de ses différentes filiales (ACKERMANN, Cars MATHIEU, PROCARS Sénonais…) mais aussi vers l’externe.


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Portée sur les fonts baptismaux de la création entrepreneuriale le 27 mars 2014, cette société par actions simplifiées (SAS) de MILLY, bourgade proche de Chablis, est aujourd’hui l’une des rares structures sur ce segment d’activité à proposer une alternative originale d’interventions matérielles destinées aux professionnels de la vigne dans leurs travaux d’entretien. Broyage de serments, rognage, épandage de traitements phytosanitaires…la SAS, dirigée par Ludovic BARAT, lui-même cogérant du domaine viticole éponyme avec sa sœur Angèle, et responsable de la CUMA de la Côte de Léchet, poursuit son parcours professionnel sans l’ombre d’une fausse note. L’embauche récente d’un collaborateur aura été nécessaire en vue d’amplifier le potentiel de cette entité…

CHABLIS : Se définissant comme une entreprise de prestations de services viticoles, la SAS JANE doit son acronyme aux prénoms des enfants de la famille BARAT. Elle réalise depuis sa mise en fonction de nombreux travaux mécanisés qui se destinent aux professionnels du vignoble local.

Si le chiffre d’affaires (non communiqué par le chef d’entreprise) se situe néanmoins dans une courbe de progression ascendante confortant ainsi les axes stratégiques déclinés depuis le démarrage de l’entité, c’est qu’il traduit le besoin de nouveaux services à prioriser vers des viticulteurs qui ne peuvent se résoudre à tout faire par eux-mêmes, faute de temps. Voire par absence de moyens mécaniques pour certains.

Une excellente connaissance des besoins des vignerons…

S’inspirant de ce qui se pratique depuis plusieurs années avec succès dans le Bordelais ou plus près de chez nous, aux confins de la Bourgogne Franche-Comté et de Rhône Alpes Auvergne, le Beaujolais, Ludovic BARAT, lui-même co-gérant du domaine familial depuis 1993, a su très tôt appréhender les attentes réelles des viticulteurs face aux problématiques exigeantes de l’exploitation de parcelles.

Testant sa propre offre de services au sein du domaine, qui est par ailleurs l’un des clients essentiels de la jeune SAS, Ludovic décide de se projeter plus en amont en initiant son concept d’interventions mécaniques vers ses coreligionnaires. Outre des travaux usuels et non exhaustifs dans les vignes, la SAS JANE conçoit également l’épandage de traitements phytosanitaires ainsi que les opérations de labour. Au moment des vendanges, la jeune société propose ses services en mécanisant celles-ci.

De l’embauche nouvelle et un parc matériel qui s’agrandit…

Devant l’affluence des demandes d’intervention, Ludovic a eu recours à la création d’emploi. Un poste de chauffeur de tracteur a été créé cette année dans un esprit pragmatique de temps partagé, entre les activités propres à la SAS à 80 % ; le reliquat revenant au domaine BARAT qui exploite 22 hectares de vignes réparties en dix hectares de premier cru, autant en chablis et deux en petit chablis. L’établissement de MILLY produit 70 000 bouteilles annuellement dont 60 % s’exportent vers les destinations classiques du marché chablisien : Etats-Unis, Canada, Pays de l’est, Brésil et Europe continentale.

L’expansion économique devenant réalité, le président de la SAS JANE a acquis un deuxième tracteur pulvérisateur cette année, complétant ainsi sa gamme d’engins mécanisés. Elle est aujourd’hui l’une des rares entreprises de prestations de services viticoles dans l’Yonne et entend bien accroître encore son leadership à l’avenir. Tout en bénéficiant des avantages d’un matériel à la pointe de la technologie. C’est aussi en cela que le concept décliné depuis 2014 par la SAS JANE est innovant et séduit…


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Devenir chef d’entreprise ne s’improvise pas ! Le cheminement du porteur de projet, s’il ressemble parfois à un parcours du combattant hérissé d’embûches, repose sur un balisage affiné de connaissances et méthodologies ponctuées par des étapes incontournables à la réussite. Lors de l’ultime session explicative concoctée dans le cadre de la Semaine régionale de la création/reprise d’entreprise en Bourgogne Franche-Comté, la Chambre économique de l’Avallonnais (CEA) s’est adjoint les bons offices des partenaires institutionnels et professionnels légitimes pour éradiquer les incertitudes planant encore au-dessus des têtes de ces néo-entrepreneurs en quête d’informations pratiques…

AVALLON : Après vingt-et-une séances similaires organisées sur le territoire régional, la Semaine de la création/reprise d’entreprise a donc trouvé son épilogue à Avallon, ce vendredi 24 novembre, dans les locaux de l’hôtel d’entreprises. Combinant la complémentarité du travail offert par les organes consulaires sur ce dossier, la Chambre de Commerce et d’Industrie et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, l’évènement, prévu l’après-midi, se soldait par l’accueil de trente-et-une personnes, préalablement inscrites.

Toutes étaient désireuses de bénéficier des renseignements nécessaires, dispensés sous la forme d’entretiens individuels ou à l’occasion d’ateliers collectifs. Dont celui de la troupe théâtrale EXPONENS où les comédiennes de l’Yonne simulèrent un échange très instructif, à la limite de la caricature entre un conseiller bancaire peu enclin à ce type de rendez-vous et un client, futur créateur/repreneur d’entreprise, contenu dans une certaine réserve.

Des ateliers et des conférences orientés vers la découverte ludique de l’information…

L’adoption des bonnes attitudes et surtout du discours qui fait mouche pour convaincre le professionnel de l’établissement bancaire à accorder un soutien financier au projet constituaient le socle de cet exercice oral, pas si aisé au demeurant. Les commentaires avisés de Christophe de OLIVEIRA, spécialiste du marché de la viticulture au sein du Crédit Mutuel Centre Est Europe, faciliteront cette interactivité voulue par les organisateurs de la séance, auprès de la quinzaine de participants.

Autre temps fort  de ces ateliers ludiques : la découverte de la clé de voûte de toute réussite entrepreneuriale, la gestion d’entreprise. La présence d’un représentant de la Chambre des experts-comptables de l’Yonne n’était donc pas une surprise en soi, d’autant que ce dernier évalua les connaissances de son public à l’aide d’un quizz plus ou moins ardu.

La dernière heure de ce tantôt très constructif fut confiée à plusieurs conseillers de la CCI et de la CMA dont le spécialiste des études de marché au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie icaunaise, Julien SISSOKO. Celui-ci dévoila quelques données quantitatives sur la consommation actuelle des ménages sur notre territoire. De précieuses tendances indicatives pour les futurs commerçants. Chacune des étapes majeures de la création/reprise d’entreprise fut ensuite abordée par petits groupes.

Quant aux autres partenaires, ils occupaient de petits espaces d’accueil où ils purent recevoir en face à face le public avide de renseignements. Ainsi, on nota la présence de la Chambre départementale des experts-comptables, des avocats, des réseaux tels que Entreprendre Bourgogne ou INITIACTIVE 89, de Pôle emploi, du Régime social des indépendants (RSI), du Crédit Mutuel, etc.

Une année 2017 à la baisse alors que 2016 établissait un nouveau record…

La tenue d’un atelier de présentation orale de dossier, sur une durée d’une quinzaine de minutes pour convaincre les acteurs indispensables au montage financier, donna un aperçu quasi réel des possibilités offertes par les futurs prétendants à l’entrepreneuriat. Certains devaient se sortir des pièges parsemés çà et là sans connaître trop de difficultés ; d’autres, en revanche, eurent beaucoup plus de mal à trouver les mots justes et à les argumenter face à jury spécial articulé autour d’un avocat et d’un expert-comptable !

Pour l’animatrice de la Chambre économique de l’Avallonnais, Céline LO, cette manifestation, la première du genre conçue au sud de l’Yonne, aura créé une synergie positive entre les professionnels et les apprentis chefs d’entreprise. Constatant une légère érosion du nombre de porteurs de projets sur le territoire depuis janvier, la représentante de la CEA rappelle que 217 personnes ont été accompagnées l’année dernière. Seules 64 d’entre elles installeront réellement leur entreprise sur l’Avallonnais dans des registres corporatistes aussi divers et variés que l’artisanat, le commerce et les professions libérales, soit 49 créations et 14 reprises.

Mais, et même s’il ne reste encore que quelques semaines pour inverser éventuellement la tendance, l’année 2017 ne sera pas aussi aboutie au niveau des résultats. Le nombre de porteurs de projets s’élève à 158 à ce jour avec seulement 29 créations et 7 reprises. Un différentiel qui dénote légèrement après les deux dernières années de progression observées en 2015 et 2016…


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Avec un nombre de commandes dépassant les 11 500 véhicules sur le seul mois d’octobre, le constructeur nippon a réalisé plus de 29 % de volumes de vente par rapport à la période équivalente de 2016. Cette progression historique repose pour l’essentiel sur les ventes de modèles hydrides qui représentent 67 % des achats plébiscités par les consommateurs de véhicules particuliers de la marque. Au cumul sur les dix premiers mois de l’année, TOYOTA atteint une hausse trois fois supérieure à celle du marché avec 16,5 %. Des statistiques qui confortent le constructeur asiatique à la sixième place en volume par marque sur le mois d’octobre. Sur le canal des ventes aux particuliers, TOYOTA occupe une cinquième position en France avec une part de marché de 6,2 % à l’issue de cette période automnale…

PARIS : Acteur majeur de l’industrie automobile sur la planète, le constructeur japonais TOYOTA produit au plus près des marchés sur lesquels sont commercialisés ses véhicules. C’est le cas de la France depuis 1967. Le groupe y conçoit, fabrique et distribue de nombreux véhicules comme viennent de le rappeler les statistiques des ventes du mois d’octobre.

Sur un marché en hausse de 13,8 % par rapport à l’an dernier, les immatriculations de véhicules particuliers subissent une forte poussée de 23,3 % en octobre. Avec 7 900 immatriculations sur le mois, la part de marché de TOYOTA sur ce segment commercial atteint 4,5 % et même 6,2 % sur le canal des particuliers. Depuis le début de l’année 2017, le constructeur de l’archipel du Soleil Levant a vendu 72 862 unités, soit + 16,5 % par rapport à la même période en 2016.

La nouvelle YARIS stylisée remplit ses objectifs…

Mais, ce mois d’octobre demeurera dans les annales pour l’industriel japonais qui dispose d’une unité de production ultra moderne à la périphérie de Valenciennes (Nord). Cette forte progression des ventes coïncide avec la réalisation d’un mois record en termes de commandes avec 11 500 unités, soit 29 % de mieux qu’en octobre de l’année dernière. Soit le meilleur mois d’octobre en matière de vente depuis cinquante ans !

L’explication est rationnelle et se résume au regain d’intérêt des consommateurs autour des modèles hybrides, à commencer dont la part s’élève à 67 % en octobre. Une mention particulière peut être accordée à la YARIS hybride qui a confirmé son succès depuis la présentation de sa nouvelle ligne en avril. Ce modèle bat tous les records de commandes à l’heure actuelle, avec 2 900 exemplaires : 70 % du total des commandes de YARIS.

Près de 90 000 véhicules des deux marques commercialisés en France en 2016

Par ailleurs, la marque du sud-est asiatique enregistre de très belles performances en utilitaires avec 300 commandes de PROACE, soit la meilleure opportunité commerciale depuis le lancement en 2016. Concrètement, ce modèle très prisé des artisans a bénéficié de la seconde édition des « Journées Plus utilitaires » déclinées dans le réseau sur tout le mois d’octobre.  Au niveau de la location longue durée, TOYOTA poursuit sa progression et atteint désormais une part de marché de 3 % sur ce canal. Autant de données chiffrées ayant de quoi satisfaire les neuf mille collaborateurs de l’entreprise dont 4 300 qui interviennent à travers le réseau de 300 sites de distribution autour des deux marques, TOYOTA et LEXUS. Rappelons qu’en 2016, le constructeur japonais a vendu plus de 88 000 véhicules de ses deux marques en France dont plus de 35 000 étaient équipés de la technologie hybride.


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