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Originaires d’Auxerre ou de localités avoisinantes à l’exception d’une personne habitant Montbard (Côte d’Or), une demi-douzaine de jeunes gens ont rejoint dès le 04 janvier leur lieu d’affectation, intégrant ainsi plusieurs régiments de l’Armée de Terre. Munies de leur contrat d’engagement, de trois à cinq ans selon les appétences de chacun, ces personnes qui étaient sans emploi dans le civil ont ainsi l’opportunité de pouvoir suivre une formation approfondie qui les conduira à l’exercice de nouveaux métiers…

AUXERRE : Ils se prénomment William, Guillaume, Brandon, Thomas, Antoine et Romain. Leur âge oscille entre 18 et 21 ans. Leur situation dans le civil est plutôt similaire. Tous détenteurs de diplômes de niveau CAP, brevet ou baccalauréat professionnel, ils ne s’éclatent pas vraiment dans une vie active peu encline à s’ouvrir à la nouvelle génération, confrontée trop souvent aux marasmes de la conjoncture économique, voire aux refus sine die des entreprises de les recevoir en leur sein pour qu’ils puissent s’épanouir dans le travail.

Un parcours d’intégration suivi aux côtés des spécialistes du CIRFA…

Bref, ces passionnés de l’existence un peu aventurière voulaient vivre autre chose et casser les codes d’un quotidien un tantinet morose. En disposant de quelques garanties non négligeables, notamment la pérennité de leur emploi et un salaire assuré.

Pour remédier à cette stratégie sciemment voulue, les six garçons ont suivi le parcours d’intégration que leur avait expliqué dès le contact initial, l’adjudant-chef Bruno NIRLO, du Groupement de recrutement et de sélection Nord-Est, chef de centre du Centre d’information et de recrutement des forces armées de l’Yonne (CIRFA).

Quelques jours après avoir réveillonné en famille ou avec des amis, les six nouveaux incorporés au sein de l’Armée de Terre avaient un rendez-vous définitif avec le responsable recruteur du CIRFA à Auxerre. Outre l’apposition symbolique de leur signature au bas du document officiel, confirmant ainsi leur engagement, les jeunes soldats du rang prenaient connaissance des ultimes informations avant de se rendre à la gare en quête de trains les menant à leurs garnisons respectives.

Des affectations aux quatre coins de l’Hexagone

Parmi les destinations de cette première cuvée de l’année : le 35ème régiment d’artillerie parachutiste de Tarbes, le 7ème bataillon de Chasseurs alpins dans les Hautes-Alpes, le 12ème régiment de cuirassiers à Olivet, le 1er régiment de tirailleur à Epinal ou le 1er régiment de chasseurs à Verdun, dans la Meuse…

Sur place, ces nouvelles recrues de l’An neuf seront formés pour être combattants TTA, pilotes d’engins blindés, opérateur d’artillerie et même cuisinier. Ce sera le cas concret du jeune Antoine, titulaire d’un CAP professionnel…


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Vice-président de FORD Europe, Roelant de WAARD se veut très optimiste pour l’année 2018 avec le lancement sur le marché de deux nouvelles variantes de la gamme TRANSIT. Lui, qui qualifiait il y a peu sa marque de proposer les véhicules utilitaires les plus jeunes et performants, devrait voir se conforter les excellents résultats obtenus par le constructeur sur ce segment qui s’adresse de prime abord aux entreprises artisanales et industrielles. Mais, attention, les particuliers n’y sont pas insensibles…

PARIS : Le faire-part de naissance adressé à la presse aux derniers jours de l’année 2017 témoigne de ce regain d’optimisme chez les dirigeants du constructeur aux origines américaines. Les nouveaux TRANSIT CONNECT et TRANSIT COURIER représentent deux jolis « bébés » dont les spécialistes de l’utilitaire auront le loisir de découvrir les vertus qualitatives auprès du réseau de concessionnaires français ces prochaines semaines.

En l’espace de quelques années, FORD a su renouveler méthodiquement sa gamme de véhicules destinés aux professionnels de l’artisanat et des industries grâce à ce concept performant et confortable qui s’identifie au TRANSIT CONNECT. La mouture 2018 se présente avec une calandre stylisée, incluant la signature lumineuse conçue à base de LED. Elégant, le tableau de bord offre une vision agréable du design introduit par l’ingénierie de FORD qui s’est inspirée de l’utilisation des smartphones. Gain ergonomique garanti au niveau des écrans d’affichage et de contrôle qui sont très faciles à l’emploi !

Il se vend près de 300 000 utilitaires à l’année chez FORD…   

Avec près de 13 % du marché, le constructeur occupe une place prépondérante sur ce segment convoité aujourd’hui par la plupart des grandes références de l’automobile. Il est vrai que le domaine de l’utilitaire touche désormais les particuliers qui en font usage de manière récurrente au niveau de leur quotidien. Le mentor du marketing, des ventes et des services en Europe sait au fond de lui que les investissements consentis par son enseigne depuis plusieurs saisons s’avèrent payants. FORD n’a d’ailleurs pas ergoté pour revoir sa politique sur la motorisation.

Avec les deux derniers nés, celle-ci apparaît plus économique encore dans le seul but de répondre aux normes d’émissions Euro 6.2. A titre d’exemple, le nouveau moteur Diesel ECOBLUE 1,5l réunit les ultimes technologies en matière de système d’injection, de turbo-compression, et de contrôle d’émissions.

Les adeptes des moteurs à essence s’y retrouveront eux-aussi : le TRANSIT CONNECT version 2018 est équipé du modèle ECOBLUE 1,0l avec notamment la désactivation de cylindre. Un atout supplémentaire qui permet à la mécanique de ne fonctionner qu’avec deux cylindres afin de réduire la consommation de carburant lors de trajets ne nécessitant pas l’utilisation optimale de la puissance.

L’ensemble de ces motorisations sont disponibles de série, agrémentée par la nouvelle transmission manuelle 6 vitesses. Il existe également une version dotée d’une boîte automatique 8 vitesses qui sert judicieusement le moteur ECOBLUE 1,5l.

Appuyées par la présence d’une soixantaine de TRANSIT Centers en France, les forces commerciales du constructeur multiplient les rendez-vous auprès de leurs cibles privilégiées afin de leur expliquer la philosophie de ces deux nouveaux venus dans la gamme.

Privilégiant une large panoplie d’aides à la conduite, FORD souhaite apporter un confort aux utilisateurs de ces modèles grâce, entre autres, au limiteur de vitesse intelligent, le système de freinage d’urgence anticollision avec détection de piétons, le stabilisateur de vent latéral et l’aide au stationnement. Prodige de la technologie : cet auxiliaire de poids détecte les places libres en créneau ou en bataille entre deux voitures avant de diriger automatiquement la manœuvre sans que le conducteur n’interfère en posant les mains sur le volant.

Le TRANSIT COURIER bénéficie d’un sérieux lifting…

Quant au nouveau TRANSIT COURIER, sa physionomie est plus compacte sur cette gamme qui affiche une console centrale ergonomique incluant un grand écran tactile couleur de 6 pouces. Les ingénieurs l’ont positionné au plus près du conducteur afin d’en améliorer sa visibilité et son utilisation.

L’offre de motorisations s’équilibre entre le nouveau Diesel TDCi 1,5 l et le moteur à essence ECOBOOST 1,0l. Ces véhicules bénéficient de la nouvelle transmission manuelle 6 vitesses en remplacement de l’ancienne boîte qui n’en comportait que cinq.

La capacité de charge de ce produit offre aux professionnels des possibilités comprises entre 500 et 590 kg pour un volume global jusqu’à 24 m3 ainsi que le choix entre différentes déclinaisons de carrosseries.


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Après la gamme originale de tagliatelles « I sea pasta », la start-up néerlandaise qui propose à travers ses créations biologiques des bienfaits réels en matière de santé lance aujourd’hui un second produit, un lard d’algues, véritable alternative au traditionnel bacon. Sain et durable, ce produit végétarien issu à 100 % d’ingrédients de la mer possède un goût naturellement salé et fumé. Une fois cuit, il devient très croustillant et offre des saveurs incroyables à découvrir à satiété…Un pari audacieux pour le concepteur de la marque, Willem SODDERLAND.

PARIS : Les spécialistes de la nutrition s’accordent à le dire : aujourd’hui, les algues représentent une réelle opportunité en matière de nourriture saine, tout en étant la plus durable au monde. La France constitue un marché abordable pour la société batave, SEAMORE ; celle-ci ayant décidé de relever le challenge en proposant depuis peu sur le marché consumériste un nouveau concept, « I sea bacon ».

« J’ai testé et je me suis régalé ! » : l’aveu du fondateur de la société d’Amsterdam…

 Alors que la moitié de la production d’algues trouve ses sources sur les côtes bretonnes, la start-up, âgée de 18 mois, commercialise depuis peu dans une cinquantaine de magasins parisiens (NATURALIA) des packs permettant de savourer ces produits maritimes. L’entreprise devrait étendre très rapidement en 2018 son réseau de distribution vers d’autres types de points de vente qui feraient écho à ce légume de la mer aux vertus nutritionnistes intéressantes.

Fondateur de la société, Willem SODDERLAND, explique les raisons qui l’ont poussé à se passionner pour ces algues à la succulence avérée.

« Nous avons entendu parler d’une variété qui pouvait imiter le goût du bacon. Personnellement, j’ai souhaité tester ce produit… ».

Le test s’est avéré concluant pour le responsable de la société des Pays-Bas. « Les magnifiques algues pourpres se sont transformées en quelques secondes en un bacon vert et croustillant après les avoir mises dans une poêle : je me suis régalé ! ».

Les vertus de ce nouveau produit sont ainsi clairement identifiées : « I sea bacon » ressemble à s’y méprendre à la fameuse viande de porc séchée, les graisses saturées en moins.

« D’ailleurs, ajoute le patron de SEAMORE, aucun cochon n’a besoin d’être sacrifié pour nourrir l’humain : la nature est ainsi préservée… ».

Se nourrir d’algues, une réalité qui devrait croître dès 2050…

Utilisé dans des préparations aussi diverses que variées telles que le hamburger, les quiches, les salades et les recettes avec les œufs, ce lard d’algues s’avère très goûteux, voire succulent.

Les Français, fin gourmets et férus de cuisine à la saveur affirmée, devraient y trouver leur compte. Plusieurs chefs étoilés ont déjà intégré le concept dans leur cuisine. A l’instar d’André GERRITS, la toque du restaurant néerlandais « AMSTERDAMMERTJE » aux Pays-Bas. Et ce n’est pas fini…

« Avec une potentielle pénurie de nourriture qui, en 2050 devrait concerner 9 milliards d’individus, SEAMORE désire apporter une réelle solution dans la problématique nutritionnelle », précise Willem SODDERLAND.

Dix-huit mois après sa création, SEAMORE a déjà lancé deux produits dont le « I sea pasta » composé de délicieuses algues organiques sauvages « Himanthalia », aux Pays-Bas mais aussi en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Suisse et en Australie.

La France intègre désormais la liste des pays à satisfaire en priorité pour la jeune start-up ; d’autant que la structure possède à son actif de nombreuses récompenses internationales…


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Parque que la société industrielle du Sénonais a renoué avec la croissance en 2016 de l’ordre de 4 % et que les augures se sont montrés positifs en 2017 avec le renforcement de ses capacités et l’émergence de nouveaux produits, le spécialiste de matériels de production d’eau chaude sanitaire et de chauffage peut entrevoir le nouvel exercice avec confiance et sérénité. Une configuration idéale pour une entreprise qui a célébré ses quatre-vingts cinq printemps l’année dernière…

SENS : Consacrant chaque année plus d’un million d’euros à l’investissement via sa cellule recherche et développement performante, CHAROT s’est fixée comme principal objectif de consolider ses acquis en 2018.

La toujours jeune entreprise de 85 ans, un anniversaire qui fut commémoré dignement à l’automne dernier en présence de plus de 400 convives, devrait connaître de nouvelles réussites. Malgré la baisse de la commande publique qui inquiète quelque peu son responsable, Pascal CHAROT, alors que l’entreprise fournit de nombreuses collectivités.

Mais, ce sont surtout les excellents indicateurs observés sur le secteur privé et ses potentialités à venir qui rassurent l’entrepreneur. Réalisant 26 millions d’euros de chiffre d’affaires avec son outil de travail, l’industriel de l’Yonne qui emploie plus de 150 collaborateurs devrait proposer de nouvelles gammes de ballons d’eau chaude sur le marché. Des produits novateurs dont les grossistes et distributeurs de l’hexagone se chargeront de populariser auprès des cibles habituelles du fabricant.

Une PME où la ressource humaine et la solidarité sont prioritaires…

Structure industrielle qui puise ses fondamentaux au plus profond de ses racines familiales, CHAROT se définit comme une entreprise solidaire où le facteur humain demeure un élément prépondérant. La remise de 62 médailles du travail aux salariés, pour certains ayant une contribution de quarante années de présence, l’a attesté lors de la célébration de cet anniversaire mémorable qui restera gravé dans les annales.

L’entreprise gérée par Pascal qui avait pris la suite de son père Michel et de son grand-père Gabriel, se projette avec enthousiasme vers un avenir prometteur gage de sa pérennité. Cette longévité ne manque pas d’étonner les observateurs au vu d’un contexte économique parfois complexe sur un segment très concurrentiel.

Fervent adepte du développement régulier de son unité de production tout en maîtrisant les risques, Pascal CHAROT aura consacré pas moins de dix millions d’euros ces dix dernières années afin d’occuper le rang de leader national sur son marché. Celui de la conception de chauffe-eau, de réservoirs, de chaudières mais aussi d’échangeurs et de tampons, tout type d’énergie, en acier ou en inox qui se destinent ensuite au marché national, voire européen.

Un florilège d’innovations techniques pour inonder le marché

Précisons que le pôle R&D de l’entreprise a été particulièrement gâté cette année avec le doublement de surface de son laboratoire dédié aux essais et aux tests grandeur nature.

En 2017, la gamme de produits s’est considérablement élargie avec le lancement d’une nouvelle unité de pasteurisation d’eau chaude sanitaire anti-légionnelle pour l’eau chaude et froide (Pastorclean), la vente du système de production d’eau chaude sanitaire collective avec la pompe à chaleur haute température (le + Ecodyn2), le générateur tout inox de 45 à 65 kilo/Watts à condensation (le Max’O Gaz Condens) ainsi que les nouvelles gammes d’échangeurs à plaques qui offrent davantage de choix et de performances tout en renforçant la puissance. Celle-ci étant portée à 2 500 kilo/Watts.

On le constate : à 85 ans, CHAROT est une entreprise plus jeune que jamais et compte bien profiter encore longtemps de sa cure de jouvence créative…


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La nouvelle année débutera au théâtre d’Auxerre avec la représentation assurée par les Compagnies « FLYING FISH » et « A&O Cirque » le dimanche 14 janvier en matinée. Précisément à 11 heures, un horaire peu commun pour jouer un spectacle. Celui-ci prendra d’ailleurs ses marques dès la semaine suivante sur le site culturel avec plusieurs sessions destinées aux scolaires…

AUXERRE : Du 14 au 18 janvier, les Compagnies « FLYING FISH » et « A&O » poseront leurs valises dans la capitale de l’Yonne afin d’y présenter leur dernière création, « Love Box ». Ces séances, une petite dizaine au total, se répartiront entre les accès à la culture orientée plus spécifiquement vers le public scolaire et le tout public.

Quant à la thématique du spectacle, elle narre les tribulations de deux êtres qui s’aiment à la folie. Malgré certaines contradictions.

Il est clown, elle est équilibriste et acrobate. Est-ce une raison pour se mettre en boîte ? Oui et plutôt cent fois qu'une !

Partenaires dans la vie comme dans le travail, Joël COLAS et Miriam de SELA ont créé « Love Box » pour nous faire partager le sel de la vie à deux. Ce qui les rassemble ? Le langage du cirque, de la pantomime et de l'objet.

Quant au reste, il diverge : elle aime les courbes, lui préfère les angles. Elle est à son aise sur quelques centimètres carrés quand lui se trouve à l'étroit. Elle aime l'espace libre alors qu'il cherche désespérément à combler les vides.

Dix-huit briques de bois manipulées avec agilité dressent entre eux des murs ou des passages, des îlots et des emboîtements. De tableau en saynète, on voit l'un se mettre à la hauteur de l'autre, épouser son corps ou sa volonté, faire semblant pour lui faire plaisir, quêter son attention...

Au fond, il existe mille et une manières d'habiter un espace si petit soit-il et autant de façons de s'aimer, pourvu que les esprits soient aussi agiles que les corps.

Cette comédie si fine et attachante est aussi un condensé de malice et d'ironie, un petit bijou muet comme le cinématographe d'antan, mais coloré et ô combien parlant ! Bref, une quête ordinaire de l’amour imaginée avec beaucoup de fantaisie autour de deux personnages qui rêvent de filer la parfaite harmonie…

Une programmation à noter sur les agendas : le dimanche 14 janvier à 11 h, le lundi 15 janvier à 10 h et 14 h / séances scolaires, le mardi 16 janvier à 10 h et 14 h / séances scolaires, le mercredi 17 janvier à 10 h / séance scolaire et 18 h 30, le jeudi 18 janvier à 10 h et 14 h / séances scolaires, studio / à partir de 5 ans.


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