Le collectif « Auxerre_M Sa Collecte en Porte-à-Porte » a réuni une quarantaine de personnes sur la place de la mairie de la localité vineuse, il y a quelques jours. Sujet de préoccupation éminemment important pour ces habitants : l’adoption du projet « Tout PAV » (Point d’Apport Volontaire) dans la commune. Un programme de gestion des ordures ménagères, instauré par l’Agglomération de l’Auxerrois, qui est loin de faire l’unanimité auprès de la population…
SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Ils ont appelé cela, l’action « Poubelles », les membres du collectif « Auxerre_M Sa Collecte en Porte-à-Porte » ! Une de ces initiatives spontanées qui a pour vocation de montrer sa désapprobation de la manière la plus publique qu’il soit ! Et de le faire savoir !
A l’origine de cette opération visuelle, au vu de la longueur de la banderole, plusieurs facteurs primordiaux en ont été les déclencheurs : le débordement des bacs à ordures, la présence de détritus à même le sol, des odeurs pestilentielles qui commencent à incommoder le voisinage et surtout la prolifération des rats, ces petites bestioles chères aux Parisiens qui batifolent désormais en toute liberté dans le cœur du village !
Plus concrètement, la jolie agglomération entourée de vignobles intègre désormais le programme des communes tests – les autres se nomment Bleigny-le-Carreau, Quenne, Laborde, Vaux, Venoy) - ; quant au centre historique, il subit l’organisation de cette nouvelle collecte, autour de points spécifiques entourés de grillage où sont mis à disposition des containers à roulettes à couvercle jaune ou rouge. Sachant que lesdits containers sont vidés normalement une semaine sur deux. Super, par temps de grosse chaleur !
De futures actions déjà prévues dès la rentrée…
Las, les habitants excédés par tant de désagréments envisagent différentes actions de sensibilisation pour alerter les pouvoirs publics sur une situation qui se dégrade. Soutenus par le Collectif, ces derniers vont contacter les parents d’élèves et interroger les services de la préfecture de l’Yonne d’ici peu.
Pourquoi ? Parce qu’un espace PAV est précisément installé juste devant…la cour de récréation où s’ébattent tranquillement les élèves de l’école ! En matière de principes d’hygiène élémentaires, pas sûr que cela semble être respecté dans les règles de l’art, non ?!
Secundo : les habitants souhaitent interpeller l’édile de la commune, Olivier FELIX, et le conseil municipal quant aux choix qui ont été faits.
Tertio : le Collectif entend bien informer les habitants de la bourgade des futures actions qui seront organisées en nombre dès la rentrée.
Bref, le « Tout PAV » semble être un argument très mobilisateur pour les administrés de la commune, cet été. Moralité, comme le stipulait le regretté Frédéric DARD, père du célèbre « San Antonio » : « La poubelle est le meilleur des accessoires de rangement ». En version porte-à-porte ou en point d’apport volontaire ?!
Thierry BRET
Déjà, le nom de l’établissement, c’est de la poésie à l’état pur ! « Jasmin ». Comme la plante, bien sûr ! Symboliquement, la référence végétale à la pureté, la simplicité, la modestie mais également à la force. De toutes celles et de tous ceux qui y vivent parfois depuis très longtemps ? Le village senior offre depuis quelques jours de nouvelles possibilités de logements. Illustrées par la présence de dix-sept maisons de bois, comprenant de deux à trois pièces. Histoire de profiter pleinement d’un havre de paix et de tranquillité…
THORIGNY-SUR-OREUSE : Ce sont de petites habitations individuelles. Idéales pour y couler des jours heureux. Ceux de la retraite. De la sérénité. Du repos, amplement mérité. Seul ou en couple. La « Résidence Jasmin » n’est pas un concept ordinaire. Loin s’en faut. Il est sorti de terre en…1991 ! Ce qui en faisait à l’époque la première résidence services accueillant des seniors ! Une nouveauté aux fortes potentialités de développement en France !
En ce temps-là, le père du docteur Hubert AHANG, Louis, était considéré si ce n’est comme un précurseur, tel un visionnaire. Un constat similaire avec l’intervention de Christophe FOGEL.
Directeur de l’établissement depuis plusieurs années, il a su également apporter sa marque de fabrique, sa griffe personnelle dans l’élaboration de ce concept unique en son genre. Avec ce village « seniors ». Original, insolite, ergonomique, fonctionnel, et moderne dans l’esprit.
Un concept moderniste élaboré autour de 17 maisons individuelles…
Ce 29 juin, l’inauguration officielle du site a permis à plusieurs partenaires historiques du projet d’être présents. On y aura vu, notamment, des représentants de la Caisse d’Epargne, de la société « Horizon Bois », des « Constructions SIMON », de « Présence Verte », établissement de veille sécuritaire chère à Pierre HIPEAU son directeur, de l’architecte Hervé GRANDJEAN. On notait également la présence de l’ancienne députée de la circonscription, Michèle CROUZET, alors en campagne électorale.
Articulé autour de six modules, ce village pour seniors accueille dix-sept maisons individuelles. Elles sont faites de bois. Parfaitement adaptées au public qui s’y installe. Des pièces qui facilitent l’autonomie. Un concept qui propose tout un tas de services autour, de la conciergerie, aux animations détente et loisirs, la préparation des repas élaborés sur place, l’aide à domicile et la surveillance des résidents. Cerise sur le gâteau : les animaux de compagnie sont les bienvenus chez « Jasmin » ! Un régal.
Reste les jardins. Un espace arboré, champêtre, calme. D’ailleurs, à terme, les soixante-dix résidents bénéficieront d’une terrasse bois et d’un espace vert privatif. Elle n’est pas belle la vie ?!
Thierry BRET
Sans doute, le Silex fera salle comble. Comme au plus beau soir de sa programmation artistique et culturelle. Mais, là, il s’agira d’écouter une toute autre musique pour l’auditoire Avec une partition bien singulière jouée au pupitre de chef d’orchestre par une Florence LOURY qui forte de ses 25,34 % de suffrages exprimés en sa faveur, au soir du premier tour, espère bien gonfler la voilure de son « vaisseau » où la rejoignent à bord de plus en plus de soutiens républicains pour faire barrage au Rassemblement National.
AUXERRE : L’équipage ne cesse de grossir pour un embarquement immédiat au Silex, programmé ce mercredi à 19 heures. Plusieurs noms circulent déjà parmi la liste des invités : Nicolas SORET, Guy FEREZ, Mathieu DEBAIN, Mani CAMBEFORT. Quant à Pascal HENRIAT, malgré ses divergences politiques avec la candidate en lice, il apportera son suffrage dimanche à Florence LOURY. Tiens, on y ajoute aussi celui de Victor ALBRECHT, un autre candidat malheureux du tour précédent qui aura loupé le coche de la triangulaire pour un déficit de…quatre cents voix. Une paille !
Mais, là, est le jeu et le respect de la démocratie. Même si cela fait mal au ventre, après coup ! Céline BAHR et la sénatrice Dominique VERIEN seraient aussi de la partie ? Le mot d’ordre est simple pour celle qui affrontera au second tour, ce dimanche 07 juillet, le candidat du RN Daniel GRENON dans un match qui sent le parfum de revanche, l’écologiste Florence LOURY. Un remake de l’été 2022.
Certes, elle faisait grise mine, la candidate du NFP devant la porte d’entrée du bâtiment préfectoral, à la fin de cette longue journée dominicale, où les résultats d’Auxerre se faisaient attendre comme à l’habitude.
De très longues minutes, aussi très insupportables pour Victor ALBRECHT qui espérait encore passer le cap de la qualification, à l’identique de la représentante du Nouveau Front Populaire qui voyait petit à petit l’écart avec le premier, Daniel GRENON, se réduire un peu mais pas suffisamment pour inverser la tendance.
Exit, cette première manche. Place à l’entre-deux tours.
Des jeunes de 16 ans prendront la parole…
Même si l’inquiétude est toujours là, la conseillère municipale d’opposition de l’Auxerrois est bien décidée coûte que coûte à réaliser le front républicain avec le plus grand nombre de partisans et d’adversaires d’hier pour faire barrage au Rassemblement National, en passe peut-être de remporter la manche, ayant à son actif, 40,40 % des voix.
Mercredi soir, dans la salle du Silex, un ultime meeting permettra d’offrir une tribune à des jeunes, âgés de 16 ans, qui adresseront des messages à leurs aînés. Avant que la candidate verte, accompagnée de son suppléant, Bruno CANCELLA-BRAULT, ne vienne au pupitre pour y donner ses dernières recommandations : elles auront pour prétexte la mobilisation générale pour éviter la réélection de Daniel GRENON dans la circonscription.
Le lendemain, le Nouveau Front Populaire prévoit des rassemblements républicains devant toutes les mairies des communes de la circonscription, englobant une partie de l’Auxerrois et la Puisaye-Forterre. A 20 heures, il s’agira de permettre aux citoyens d’échanger dans le calme sur le moment historique vécu dans l’Hexagone devant les « Maisons du peuple », porteuse de la devise, « Liberté, égalité, fraternité ». Un véritable rendez-vous républicain, qu’on se le dise…
Thierry BRET
On connaît la formule coutumière. « Trop tôt disparu… ». Mais, là, la phrase prend tout son sens et résonnera longtemps dans les mémoires de celles et ceux qui ont connu le conseiller municipal de la localité de l’Auxerrois, commune aujourd’hui en deuil après la perte de son élu. Alain CREPIN a quitté les siens et ce monde, de manière trop rapide et imprévisible. Normal, que Chevannes rende hommage à l’un de ses fidèles serviteurs…
CHEVANNES : Les chouquettes et les jus de fruit, servis au terme de la cérémonie, n’y changeront rien : ils auront bien du mal à distiller un peu de réconfort à cette assistance attristée, réunie dans la grande salle de la mairie, afin de se souvenir de l’un de siens.
Pour certains, il était un membre de la famille, un représentant de l’équipe municipale, un humaniste parmi tant d’autres, un vrai républicain avec ses valeurs, bref, un véritable serviteur de la chose publique.
Emporté il y a quelques jours par la maladie, de celle que l’on qualifie d’incurable, Alain CREPIN a été honoré de la manière la plus officielle par l’édile et ami, Dominique CHAMBENOIT, lors d’une brève cérémonie hommage, en présence de sa maman et de sa proche famille.
Aux côtés d’un grand portrait du défunt, le maire a invité l’auditoire à un moment de silence et de recueillement en mémoire de ce collègue qui aura marqué les esprits. Auparavant, Dominique CHAMBENOIT avait retracé les aspects caractéristiques de l’homme enthousiaste et chaleureux qu’incarnait le disparu.
Discret, fidèle, pugnace : Alain CREPIN était tout cela à la fois, faisant preuve d’une remarquable constance dans sa fonction d’élu municipal.
« Il était toujours présent aux réunions du conseil y compris jusqu’aux derniers instants de sa vie, constata l’édile de Chevannes. C’était un élu dévoué pour l’intérêt général, avec le courage, la simplicité et le respect des vertus cardinales… ».
Un personnage qui avait aussi de fortes convictions et des idées visionnaires pour le développement de sa commune, une localité où il aura donné toute son énergie.
« Alain CREPIN aimait la vie, renchérit Dominique CHAMBENOIT, il aimait la vie parce que la vie lui a permis de s’engager, de donner, de servir et d’aimer… ».
Un élu toujours sur le chemin du bien commun, déclara en substance le maire de la commune périphérique à Auxerre. Un vibrant hommage, amplement mérité, pour cet homme de passion, de rigueur et de sympathie…que Chevannes n’oubliera jamais.
Thierry BRET
Les correcteurs de l’Education nationale ne s’ennuient jamais. Surtout, quand ils font passer les oraux du bac. Les réponses de nos chers étudiants dépassent parfois l’entendement et la réalité se situe bien au-delà de la fiction. S’amuser un peu, rire et sourire, sûrement. Mais, il n’est pas question de se moquer : nos aînés n’ont pas nécessairement fait mieux !
Non, c’est plutôt une réflexion à mener sur la pédagogie et le mode d’enseignement qu’il serait nécessaire de réaliser. Peut-être que celles et ceux qui ont confondu Simone VEIL (l’ancienne ministre) avec Simone WEIL (la philosophe, anarchiste et spécialiste de la condition ouvrière), proposée cette année dans un sujet du bac philo, devront-ils atterrir aux oraux de rattrapage !
C’est au XIIIe siècle qu’apparaît pour la première fois le bac qui se divise alors en « filières ». Élèves latinistes, vous les avez probablement entendus lors de vos cours dans le secondaire. C’est ce que l’on appelait « Trivium » (arts de la parole) : la grammaire, la rhétorique, la dialectique ou « Quadrivium » (arts du nombre), avec l’arithmétique, la géométrie, la musique et l’astronomie.
En 1809 se déroule la première édition du « bachot » (ancienne appellation du bac), uniquement composé d’épreuves orales avec cinq disciplines : droit, lettres, médecine, sciences, théologie. Trente-et-un candidats obtiennent le diplôme. En 1924, les femmes peuvent enfin passer l’examen. C’est un grand tournant dans la société française !
Notons tout de même qu’une exception s’est produite à notre insu : Julie-Victoire DAUBIE, jeune femme de 37 ans, a eu la possibilité de passer son baccalauréat en 1861, appuyée par l’impératrice Eugénie.
Intéressons-nous un instant à l’étymologie de « baccalauréat ». Il est intéressant de revenir sur le mot en lui-même. Il provient du latin « bacca laurea », qui signifie « couronne de laurier ». Cette fameuse couronne de laurier est le couvre-chef des héros de l’Antiquité.
Quelques perles de nos chers candidats
Nous avons donc, face à face, un examinateur et un candidat. Règlementairement, il faut qu’il y ait dans la salle au moins un autre étudiant. Un témoin en cas de problème. Que la séance commence : « quelle est la capitale de l’Argentine ? ». L’étudiante semble sécher et l’examinatrice veut l’aider : « ça commence par Buen… » et réponse spontanée de la jeune fille : « Buenos Dias » ! Bravo, mademoiselle et « Buenos Noches »…
Parlez-moi du réchauffement climatique. Réponse : « c’est quand les pôles fondent et que la « capote » glacière disparaît ». Le prof veut rattraper l’élève : « vous voulez dire « la calotte» ? Non, non répond l’effrontée, de toute façon l’un ne va pas sans l’autre ! » CQFD…
Comme ce croustillant fait historique : « qui était le chef de la Résistance française en 1940 ? ». Une réponse à méditer : Louis De GAULLE ! Vous voulez dire Charles de GAULLE ? réplique un prof qui croit tout savoir. Non, non Louis comme tous les rois !
Avouons qu’au second degré, la réponse a de la saveur. Restons-en à 1940. Et le début de la Seconde Guerre mondiale. L’étudiant inspiré : « ça commence par les Etats-Unis qui déclarent la guerre à l’Amérique ! Ensuite, les Français se font prendre par derrière par les Allemands ! Mais, tout se termine en 1918 par la signature du traité de Versailles ! ».
Hors du temps mais propos rigoureusement authentiques.
Un florilège d’âneries à faire sourire !
Quel est l’impact d’Internet dans l’économie ? « Ben oui, c’est les sites de rencontre qui provoquent des divorces. Après, il faut déménager, acheter de nouveaux équipements ». C’est bon pour l’économie. On sent du vécu familial… Quel est la taille de Hong-Kong ? « Environ 10 mètres, il était très grand ». Logique : quand nos gamins jouent à King-Kong…bien sûr !
Quant aux littéraires qui deviennent cinéphiles : « parlez-moi d’Arthur RIMBAUD ». Réponse sur le ton de la certitude : « Rambo, il a fait plein de choses. D’abord Rambo 1, puis Rambo 2, 3 et 4 avec Julie Benz… Il n’y aura pas d’entracte ! Léonard de VINCI était, quant à lui, un grand écrivain, selon un amateur de littérature, il a écrit « Da Vinci Code »…
Comment est formé un sonnet ? Et l’étudiant spécialiste de répondre : « un quatrain et deux tiercés ! ». Le prof désabusé de rétorquer : « tiercé gagnant bien sûr et dans l’ordre ! ». Et c’est dans l’ordre, pas de désordre… Parlez de l’âge de pierre. C’est environ 35 ans. Le prof d’insister : l’âge de bronze ? 50, 55 ans…
Parlez-moi d’Albert CAMUS et particulièrement de la difficulté à exprimer ses sentiments. Oui, les hommes ont du mal à exprimer leurs sentiments. Les chiens, c’est facile, ils remuent la queue et on sait qu’ils sont contents ! Pour les hommes, c’est pareil ! Heureusement, le prof était une femme car elle avait du mal à cacher sa joie…
L’économie « circulaire » correspondrait au secteur des roues de vélo, de moto et d’auto ; tandis que le libre-échange, pour un adepte de l’économie libérale : « c’est quand tout le monde couche avec tout le monde »…La palme revient à ce spécialiste des sciences : « quelle est la composition de l’air ? ». 70 % d’azote, 50 % d’oxygène, 40 % d’hydrogène et 30 % de gaz rares, comme le xénon… Quand on aime, on ne compte pas !
Une « Foire aux cancres » parfois faite de bon sens !
Pas question de moqueries, juste de se détendre et sourire un peu dans un monde de plus en plus complexe. Jean-Charles, dans son célèbre livre « La Foire aux Cancres », a montré que nos aïeux, des années 50 et 60 n’étaient pas moins hilarants.
Nos jeunes, c’est notre avenir et les défis de demain, pour aborder le marché de l’emploi. Notre jeunesse est pleine d’enthousiasme ! Comment adapter notre enseignement à la révolution technologique ? Donner des cours, hors de ce qu’ils peuvent trouver dans les livres. Enseigner des contenus que nos étudiants ne trouveront pas sur Internet, c’est un défi compliqué, mais c’est aussi son charme.
Un enseignement proche de l’humain, du contact direct, d’une interaction émotionnelle, loin de l’Intelligence Artificielle, qui va venir encore compliquer la manière d’enseigner. Un étudiant venait de recevoir la copie corrigée de son partiel : zéro. Il me croise et me dit : « je suis nul, Monsieur ». Ai-je dit cela ?
« Non, votre copie est nulle mais personne n’a le droit de vous dire que vous êtes nul ! ». Il est important de l’affirmer, de redonner du tonus à cet étudiant, et ça, aucune Intelligence Artificielle ne pourra lui offrir la dignité nécessaire à sa vie d’homme.
Je laisserai la parole à cet autre étudiant, qui me donna l’illusion, un court instant, de me sentir utile. Avant de corriger sa copie (copie blanche) de son partiel de gestion financière, je pus lire ce que l’étudiant avait écrit en marge : « je n’ai rien compris à la gestion financière, mais avec vous j’ai compris comment ne pas se laisser abattre et relever la tête »…Plutôt encourageant pour l’avenir, non ?
Jean Paul ALLOU