Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Exercice de communication pertinent, les « Rencontres départementales » se sont rappelées au bon souvenir des sociétaires icaunais de l’assureur mutualiste il y a quelques jours à Auxerre. Comme chaque année, à l’amorce du printemps, ce rendez-vous, décliné sous la forme de table ronde et d’une conférence où la thématique repose sur une réflexion économico-politique, a proposé un état des lieux exhaustif des perspectives de l’entreprise.

AUXERRE : Leader hexagonal dans le domaine de l’assurance et de la prévoyance, GROUPAMA Paris Val-de-Loire n’a pas occulté pour autant, et avec concision, le bilan précis de l’année écoulée. Une saison 2018 qui aura surtout démontré l’accroissement du chiffre d’affaires de l’entité. Cette dernière enregistre une hausse remarquable de 4 % de son chiffre d’affaires, avec une production nette positive évaluée à 15,7 millions d’euros.

Mais au-delà des chiffres et référentiels distillés au gré de ces échanges instructifs, l’essentiel du message se situait ailleurs pour les trois coreligionnaires devant prendre la parole lors de cet évènement. Il concernait le rôle implicatif du groupe mutualiste parmi son environnement territorial. Un ancrage qui prend ses racines autour de l’essor économique de toute une contrée : à savoir la partie septentrionale de la Bourgogne.

Qu’il s’agisse du président de la Fédération départementale des caisses locales de l’Yonne, Pascal MAUPOIS ou du directeur d’établissement Jacques BLANCHOT ; la ligne stratégique de leurs interventions successives convergeait vers cette même cible.

Etre au service de l’ensemble des acteurs du tissu socio-professionnel et des sociétaires représentant la territorialité. Le tandem de l’exécutif de l’Yonne trouva en la personne de Jean-Christophe REMAUD un appui de circonstance qui permit de mieux cerner les orientations positives de ce dispositif, résumé par le seul intitulé, « J’agis là où je vis ».

Un panorama exhaustif de ce qu’est un ancrage territorial…

Le directeur général adjoint de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, au nom de son responsable directionnel Eric GELPE, excusé, brossa un aperçu complet de l’actualité institutionnelle et économique du groupe. Poste par poste, dans un contexte marqué par une recrudescence ambiante de la sinistralité.

Il ne put toutefois manquer de faire allusion à la date du 07 juin 2018. Un point d’orgue capital dans la déjà longue histoire de la structure. Elle correspond à l’adoption du processus de « remutualisation » qui confère à l’enseigne sa pleine légitimité mutualiste et sa cohérence originelle. Celle-ci étant fondée au niveau de trois strates fondamentales mais complémentaires : l’axe local, le régional et le national.

Outre la présence de l’économiste et universitaire Christian SAINT-ETIENNE (il délivrera une brillante analyse et un décryptage affiné des principaux sujets politiques et économiques mondiaux), GROUPAMA Paris-Val-de-Loire se devait d’illustrer ce soutien à l’ancrage territorial en saluant la naissance d’une start-up locale.

« Do You No » est l’une d’entre elles qui œuvre depuis quelques mois dans le Jovinien. Au même titre que PAPY HAPPY, l’autre TPE soutenue par l’assureur mutualiste. Ce sont deux belles pépites issues de ce même écrin, fait de volontarisme et d’abnégation, qui forment ainsi des joyaux économiques nécessaires au rayonnement et à la dimension de notre territoire. Logique, que l’assureur mutualiste les place ainsi sur un vrai piédestal…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La prestigieuse institution fait peau neuve sur son approche immobilière. A Auxerre, mais également à l’échelle de l’Hexagone. Conceptualisée selon un ordonnancement précis qui s’applique à une cinquantaine de pôles contact répartis sur le territoire. Fonctionnelles, mais discrètes, ces agences de proximité new-look  accueillent des particuliers et des entrepreneurs qui en éprouvent le besoin. Celles et ceux de nos concitoyens qui connaissent les affres de la précarité ou la souffrance induite par une charge trop élevée de leur endettement financier. Auxerre est la seconde vitrine qui présente ce visage novateur de l’établissement. D’autres lieux de la Bourgogne Franche-Comté suivront d’ici 2020 sur une veine similaire…

AUXERRE : Adaptée à la taille des équipes qui y travaillent, la nouvelle infrastructure de la Banque de France, opérationnelle depuis le 25 mars dans la capitale de l’Yonne, ne ressemble pas à l’édifice patrimonial qui accueillait depuis 1869 la vénérable institution. Celle-ci, fort connue de celles et ceux qui avaient recours à ses services, était implantée Rue de la Banque : cela ne s’invente pas ! Désormais, c’est dans la rue de la Laïcité, à proximité de la place de l’Arquebuse, qu’il faudra se rendre pour prendre un rendez-vous avec l’un des opérateurs techniques de l’établissement.

Ergonomique, moderne, gagnant en fonctionnalité, l’agence auxerroise s’étale sur 364 mètres carrés. Un sas d’accueil permet ensuite de pénétrer dans un open space où les bureaux des employés bénéficient de systèmes d’information performants. Le concepteur de ce projet se nomme ARTELIA CIB. Il a remporté le marché national après un appel d’offres pour appliquer le cahier des charges dans une cinquantaine de sites. Dans notre contrée, seule l’agence de Nevers, inaugurée en 2018, présente les avantages de la nouvelle configuration. Prochainement, les villes de Belfort, Vesoul, Lons-le-Saunier et Mâcon devraient être pourvues d’une traduction immobilière identique. Sachant que le seul site d’Auxerre aura nécessité une enveloppe budgétaire de 700 000 euros pour adapter les lieux aux besoins de la structure.

Les temps changent ; même pour la Banque de France, une vielle dame sous la tutelle de l’Etat. Le plan 2015/2010 a prévu une diminution de 25 % de ses effectifs. Quant aux dépenses de fonctionnement, elles ont baissé de 10 %. Il y a encore quelques années, une quarantaine de collaborateurs exerçaient leur savoir-faire sur le site icaunais. Ils ne sont plus que huit aujourd’hui. Mais, cette amélioration du cadre de vie répond aussi à une priorité stratégique : gagner en visibilité auprès du public et optimiser la modernisation des outils et des environnements de travail.

« Ce n’est plus vraiment l’image que l’on se fait de la Banque de France… »

Le premier à s’étonner de ce changement identitaire un peu surprenant n’est autre que l’édile d’Auxerre, Guy FEREZ. Lors de l’inauguration officielle de cette vitrine, le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois s’en est fait l’écho. « C’est toujours une surprise d’inaugurer des locaux tels que ceux-ci et qui accueillent de surcroît les bureaux de la Banque de France. En règle générale, l’institution occupe des édifices chargés d’histoire et lourds en patrimoine. Conférant une certaine crainte pour celles et ceux qui la fréquentent sans trop savoir ce qui se cache derrière les murs épais d’un bâtiment. Dans le cas présent, on a l’impression d’être dans un élément architectural qui ne correspond plus vraiment à ce que représente la banque de tous les Français ! Mais, au-delà de cela, c’est aussi le signe manifeste de l’évolution profonde de l’entreprise qui demeure un acteur majeur de l’économie en France… ».

Il est vrai que la Banque de France travaille avec l’ensemble des acteurs institutionnels et économiques du territoire. Qu’il s’agisse des chambres consulaires ou des services de l’Etat, ce que fera remarquer le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, lors de son allocution ; mais aussi aux côtés des citoyens vivant dans une difficulté structurelle.

« La Banque de France permet de parler de surendettement ou de problématiques liées à des sous-ressources, ajouta Guy FEREZ, c’est surtout une structure qui offre un accompagnement dans la cohésion sociale et qui maintient la vie collective… »

Le représentant de l’Etat ne manqua pas de saluer et honorer le travail exercé par cette institution séculaire de la République.

« Discrète et efficiente, la Banque de France demeure prestigieuse dans les missions qu’elle accomplie. Je peux l’attester avec le rôle qu’elle joue au sein de la Commission de surendettement qui favorise la protection de centaines de personnes vivant sur ce territoire avec l’appui de l’Etat. Votre travail est noble car vous le concevez au ras du sol, à proximité de celles et ceux qui souffrent… ».

Et le préfet de conclure son propos en évoquant la grave crise financière de 2008 qui laissa bon nombre d’entrepreneurs sur le carreau : « c’est dans ce contexte délicat que je peux témoigner de la grande utilité d’un tel organisme… ».

Un hommage qui ne laissa pas insensible le directeur général adjoint et directeur du réseau national, Jean-Yves HAUSSAIRE, présent à la tribune aux côtés du directeur départemental de l’Yonne, Jean-Claude BOUEROUX.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Institution dont le capital appartient à l’Etat, la Banque de France ne cesse de se transformer à l’instar de son environnement. Dans le souci de réaffirmer son ancrage territorial qui demeure prégnant au cœur de chaque territoire. La structure entend à ce titre être plus accessible et gagner en visibilité. D’où un déménagement récent de son site patrimonial jusque-là implanté rue de la Banque à Auxerre. C’est aux abords de la place de l’Arquebuse, rue de la Laïcité, que siège dorénavant la nouvelle vitrine de la « banque de tous les Français ». Directeur général adjoint et directeur du réseau national de cette enseigne historique, Jean-Yves HAUSSAIRE nous dévoile les enjeux stratégiques de cette évolution…

AUXERRE : En préambule de cet entretien, comment se porte la Banque de France en ce premier semestre 2019 ?

Plutôt bien ! L’établissement vient de dégager des résultats financiers conséquents. Il a effectué au titre de ses bénéfices de 2018 la contribution à l’Etat la plus importante de son existence, soit 5,6 milliards d’euros.

Vous inaugurez ce jour (ndlr : mardi 28 mai) le nouveau cadre auxerrois qui accueille vos collaborateurs. Un site ergonomique, moderne, fonctionnel, bref, différent de ce que présente d’ordinaire une institution telle que la vôtre en matière d’accueil au public. Qu’est-ce qui expliquent ces changements surprenants ?

Nous souhaitons dorénavant être plus accessible et visible aux yeux d’un plus grand nombre. Le monde se transforme ; nous, aussi. Mais, cette transformation n’est là que pour mieux réaffirmer notre ancrage territorial. Bien sûr, au-delà de ces aspects immobiliers, il s’agit aussi d’optimiser notre performance et d’être davantage novateur dans nos initiatives et actions.

La présence de la Banque de France dans l’Yonne, c’est déjà une vieille histoire d’amour…

Oui ! Notre implantation initiale remonte à 1869 ! Soit cent cinquante années d’expériences vécues dans notre immeuble qui est situé dans la rue de la Banque à Auxerre. Ce bâtiment était chargé d’histoire. Nous devons sa création à Napoléon III après une visite faite à la capitale de l’Yonne en 1866. Il a dû être agrandi en 1922, pour devenir un édifice spacieux de 1 500 mètres carrés. Mais, son architecture quelque peu surannée ne correspondait plus vraiment à nos besoins. Nous ne pouvons pas être de grands donneurs de leçon autour de la rigueur de la gestion publique et ne pas nous l’appliquer à nous-mêmes !

Cette mue de la Banque de France répond à des enjeux fondamentaux. Quels sont-ils ?

Primo, il s’agit de réaffirmer la plénitude de nos missions. Voire d’en ajouter de nouvelles. L’ancrage territorial auquel nous prétendons nous offre la possibilité d’être un grand service public de confiance et d’excellence. Secundo, nous souhaitons accroître fortement notre efficacité. En révisant nos organisations, nos processus, nos systèmes d’information. Cela nous a conduits à réduire, sur la période 2015/2020, nos effectifs de 25 % et nos dépenses de fonctionnement de 10 %. Enfin, et pour être tout à fait complet sur la question, l’amélioration du cadre d’activité professionnelle de nos équipes est devenue une priorité. Grâce à une modernisation des outils et des environnements de travail. Ce que nous voyons aujourd’hui à Auxerre en est le reflet. Comme cela l’a été en 2018 à Nevers. Comme cela le sera d’ici quelques mois à Belfort, Vesoul ou Lons-le-Saunier…

Pouvez-vous nous rappeler quels sont les publics concernés par vos activités ?

A Auxerre comme ailleurs, notre action est orientée vers les particuliers, les entreprises et les collectivités. Dans le cadre des particuliers, notre mission est de nous intéresser aux plus fragiles d’entre eux. Pour ce faire, nous avons tissé un réseau de partenariats éclectiques : banques, juges, chambres consulaires, les services de l’Etat et du Conseil départemental, les opérateurs publics. Au titre de l’année dernière, ce sont 1 235 dossiers de surendettement qui ont été déposés dans le département de l’Yonne. Nos services ont accueilli plus de 2 500 personnes autour des droits d’accès aux fichiers, du droit au compte. Depuis peu, les équipes du directeur départemental Jean-Claude BOUEROUX proposent des séances d’éducation financière. Dans le cadre du plafonnement des frais bancaires, la Banque de France a joué un rôle déterminant pour que les établissements s’engagent dans ce processus…

Vis-à-vis des entreprises, la Banque de France intervient au niveau de la médiation du crédit…

C’est exact. Là aussi, toutes nos équipes sont mobilisées auprès du tissu économique départemental. En 2018, mille six cents entreprises ont été visitées par nos soins au niveau de la Bourgogne Franche-Comté dont deux cents pour le seul territoire de l’Yonne. Ces dirigeants de société ont été contactés, rencontrés, autour de l’attribution de leur cotation. Certains, une vingtaine de responsables, ont été accompagnés ou orientés au titre de notre fonction de correspondant TPE (Très Petite Entreprise)…

Reste votre relation constructive avec les collectivités…

Nous travaillons en étroite osmose avec les chambres consulaires, la direction départementale des finances publiques, le Conseil départemental…Le partage de l’information économique est devenu une nécessité. Ce que nous voulons est simple : c’est le financement le plus sain de l’économie et de toutes ses composantes…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A l’heure où s’écrivent ces lignes, nous ne connaissions pas encore le verdict des échéances européennes. Au moment où vous les lirez, nous saurons tout de leurs conséquences sur la composition de l’hémicycle dans le prochain Parlement. Toutefois, avant les élections, les résultats étaient presque connus d’avance. Les sondages, véritables pythies modernes, nous avaient déjà informé(e)s. Voire orienté(e)s ! D’ailleurs, on peut se demander pourquoi on ne remplace pas les élections par des sondages. Cela reviendrait quasiment au même et aurait l’avantage de moins imputer les caisses de l’Etat à les organiser !

TRIBUNE : Quoi qu’il en soit, nous savions déjà que le parti du président, La République en Marche, et le Rassemblement national étaient au coude à coude à la veille du scrutin. Le suspense a donc pris fin au soir de ce dimanche 26 mai. Désormais, nous savons. Alors, où en sommes-nous vraiment sur le devenir de l’Europe et l’impact de ces échéances sur le poids réel du président de la République ?

Dans les faits, environ 12 % des Français auront voté réellement pour l’Europe et le chef de l’Etat. Le même pourcentage de Français se sera, quant à lui, exprimé en faveur d’une formation politique qui utilise le parlement européen à des fins pernicieuses en rémunérant insidieusement ses militants !

Pourquoi, alors, 12 % seulement de votants ont donné leurs suffrages en faveur de ces deux partis ayant désormais le leadership en France ? Tout bonnement, parce que 50 % des Français auront voté avec leurs pieds. C’est-à-dire qu’ils auront choisi d’aller se promener par ce beau week-end du joli mois de mai, loin du marasme politique.

Voyons ce qu’est devenu ce grand espoir qu’a été l’Europe de Jean Monnet, Alcide de Gasperi, Paul-Henri Spaak,  Robert Schumann ? Une sinistre farce ! Un terrain de chasse réservé qui est désormais réservé à Goldman Sachs, au paradis fiscal luxembourgeois, aux GAFA et à la colossale entreprise de la Chine, baptisée « les nouvelles routes de la soie ».

Pologne, Irlande, Italie nous disent merci !

En ce qui concerne Goldman Sachs, tout le monde sait. C’est une hydre financière, à qui les gouvernements grecs successifs, conservateurs et socialistes, ont confié la tâche de falsifier leurs comptes pendant des années. Résultat : le contribuable français, entre autres citoyens européens, a sauvé le peuple grec d’une faillite inéluctable qui l’aurait plongé dans une terrible misère. Des centaines de milliards ont été ainsi engloutis en Grèce sous le sceau de l’Europe.

Comment dès lors le gouvernement grec remercie-t-il l’Europe et ses généreux donateurs que sont ses contribuables ? En se faisant l’une des portes d’entrée du fameux projet chinois grâce à la vente du port du Pirée. Le gouvernement grec fait entrer le cheval de Troie asiatique sur le Vieux continent avec toutes les incidences que cela implique. L’Italie est en train d’agir de façon identique en négociant avec la Chine une opération similaire.

Comment les Polonais ont-ils remercié l’Europe de les avoir accueillis en son sein et, comme pour l’Irlande, en déversant des milliards de fonds européens vers leurs peuples ? En achetant des avions de combat américains. Consternation et illogisme dans des pratiques qui devraient obsolètes au nom de la fraternité qui nous habite !

En ce qui concerne Goldman Sachs, la plaisanterie n’est pas finie. L’ancien président de la Commission européenne, José Barroso, sans la moindre pudeur, est devenu employé de ladite banque américaine. Il va pouvoir utiliser à bon escient son réseau de relations personnelles acquis grâce à son poste rémunéré par les européens.

Son successeur à la tête de la Commission européenne n’est autre que l’ancien Premier ministre du Luxembourg. Ce dernier a organisé de façon systématique l’installation de sociétés étrangères dans son pays en leur offrant des avantages fiscaux considérables au détriment des autres pays de l’Union. Parallèlement à cette politique de la honte, le Luxembourg demeure un paradis fiscal. C’est-à-dire un centre d’évasion de l’argent des contribuables que nous sommes au cœur de l’Europe.

L’Europe sombre vers un lent déclin…

Quant à l’Irlande, elle est sortie de sa misère séculaire grâce à son intégration. Et au Mississippi financier qu’a représenté le flot de financements européens déversés sur ce pays. Comment remercie-t-elle l’Europe ? Elle organise une concurrence déloyale vis-à-vis de ses partenaires qui l’ont tirée de neuf siècles de pauvreté en attirant les sièges de grandes sociétés américaines par une fiscalité extrêmement favorable.

Ainsi, entre les groupes américains puissants et dominateurs à l’Ouest et les nouveaux conquérants à l’Est que sont les Chinois, l’Europe sombre petit à petit vers le déclin. Avec l’assistance efficace, à la fois de ses dirigeants à Bruxelles, incapables et malhonnêtes, et l’appui de pays européens qui ont choisi l’ingratitude et la traîtrise à la cause européenne…

Nous sommes le 27 mai 2019 au moment où j’écris ces lignes. Les Français ont depuis voté. Mais rien n’aura changé dans les faits après ce nouveau scrutin. Celui de la poudre aux yeux ?

Emmanuel RACINE

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’ouverture d’un nouveau cursus pédagogique autour de l’énergie renouvelable offre l’opportunité aux acteurs du territoire, engagés dans la transition énergétique, de se mobiliser. Intitulée « Conduite et maintenance des installations photovoltaïques », cette formation est la résultante d’une réflexion conjointe entre l’Etat, la Région Bourgogne Franche-Comté, l’Académie de Dijon et EDF.

MONTBARD (Côte d’Or) : Devenir technicien de conduite et maintenance de centrale solaire photovoltaïque est désormais possible en Bourgogne Franche-Comté. Le 23 mai, le lycée Eugène Guillaume, localisé dans la sous-préfecture de Côte d’Or, a accueilli la présentation officielle de cette future possibilité éducative. Un cursus de niveau Bac + 1 qui a été élaboré en étroite osmose en vertu des axes prioritaires de la transition énergétique.

Même s’il a été présenté en cette période de printemps, ce nouveau cycle ne sera opérationnel qu’à partir de la rentrée. Les partenaires du projet (l’Etat, l’Académie de Dijon, la Région Bourgogne Franche-Comté et EDF) ont profité de la journée spéciale, « Mon avenir, l’industrie », organisée par la Mission locale rurale des Marches de Bourgogne, pour en évoquer les contours et spécificités. Signalons que Pôle Emploi était également associé à ce projet de présentation.

Ce sera donc la première fois dans l’Hexagone que des candidats motivés par cette filière autour du solaire pourront prétendre à ce cursus, menant vers une formation attractive. Ils seront amenés à se rapprocher de la filiale d’EDF, EDF Renouvelables, afin de pouvoir bénéficier de stages parmi les antennes que compte le groupe sur le territoire national.

Près d’un an de gestation pour construire ce nouveau cycle…

Cette formation intègre l’une des premières réalisations du Contrat de transition écologique (CTE) de la Haute Côte d’Or. Son entrée en vigueur avait fait l’objet d’un déplacement, le 17 décembre 2018, de la secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth WARGON. C’est à cette occasion que le CTE avait été paraphé entre différentes communautés de communes (le Pays Châtillonnais, le Montbardois) et les services de l’Etat. Y étaient également associées la Région Bourgogne Franche-Comté, l’ADEME, la Banque des territoires et l’agence de l’eau Seine Normandie.

Un an de gestation et de collaboration entre l’Etat, la Région, l’Académie de Dijon et le fournisseur d’électricité EDF auront été nécessaires pour peaufiner les contenus et modalités pratiques de ce nouveau cycle. Ce projet traduit l’engagement de la Région de s’inscrire dans la trajectoire « Région à énergie positive à l’horizon 2050 ». Un concept qui avait réuni dans le cadre d’une convention de partenariat l’institution régionale, le groupe EDF et sa filiale, EDF Renouvelables. Cette dernière exploite déjà 76 MW d’énergies renouvelables sur le territoire régional.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil