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Un long-métrage, « Les Petits maîtres du Grand hôtel », sera à l’affiche de l’infrastructure cinématographique d’Auxerre ce vendredi 24 janvier à 13h45. Ce documentaire qui narre les coulisses de la filière hôtellerie/restauration, mâtinée en comédie musicale, est l’œuvre du réalisateur Icaunais, Jacques DESCHAMPS. Les élèves de la section hôtelière du lycée Vauban auront le privilège de le découvrir pour parfaire leurs connaissances de ce milieu professionnel…

AUXERRE : Tourné en Isère dans le lycée hôtelier de Grenoble, entre mai et juin 2017, ce film a pour vocation d’immerger les spectateurs au cœur d’une filière qui porte les valeurs fortes d’un savoir-faire à la française au-delà de nos frontières.

Il relate sous la forme d’un pastiche astucieux de comédie musicale et de documentaire l’univers de l’apprentissage. Vu et vécu par des jeunes gens qui se trouvent confrontés face à la réalité du quotidien. Pour parvenir, peut-être in fine, à exercer l’un des plus beaux métiers du monde ?

Réalisé par le cinéaste originaire de Puisaye, Jacques DESCHAMPS, « Les Petits maîtres du Grand Hôtel » offre un synopsis flamboyant parmi les maîtres d’hôtel, noble profession qui demeure la clé de voûte de l’hôtellerie/restauration.

Pour espérer un jour suivre les traces du champion du monde de la discipline, le Belge Lef VANHONNACKER qui à 42 ans a glaner ce titre suprême lors de l’épreuve organisée à Auxerre, les jeunes pousses du lycée des métiers Vauban ont besoin de comprendre et d’apprendre tous les arcanes liés à cette spécialité de la corporation.

Aussi, leur professeur en hôtellerie/restauration, Isabelle BRUGNON, les accompagnera lors de la séance du début d’après-midi pour qu’ils puissent s’exalter devant chacune des images de ce film révélateur de l’exigence des clients et de la dureté d’un job où il est indispensable de courir, servir et…sourire. Le propre de la perfection hôtelière…

 


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Michelin siffle-t-il la fin de l'ère BOCUSE ? Pas si simple ! Comme autrefois, pour « La Pyramide » à Vienne, où le fameux guide attendit le décès de l'emblématique Mado POINT pour rétrograder la maison à deux étoiles en 1987. Là aussi, c'est après le décès du « Général de GAULLE » de la gastronomie française, puis de son épouse Raymonde, que la sanction est tombée. MICHELIN aurait-il osé le faire du vivant de M. Paul ? On peut en douter...

TRIBUNE : Mais, procédons à un petit retour en arrière. Nous sommes début 1965. Le président de la République est le Général de Gaulle, Premier ministre se nomme Georges POMPIDOU. Quant aux BEATLES, ils sont encore en noir et blanc !

Quelques mois plus tôt, les services du guide, installés boulevard Pereire à Paris, reçoivent un jeune chef provincial, assuré et sûr de lui. C'est qu'il vient d'être titré MOF (Meilleur ouvrier de France). Il est déjà détenteur de deux étoiles. Le MICHELIN demande alors au cuisinier si les travaux dans son établissement ont avancé et si enfin les WC vont quitter le fond de la cour, pour se retrouver à l'intérieur du restaurant !

Le chef répond de façon affirmative, en montrant des photos du chantier. Il n’est autre que Paul BOCUSE !

En cette année 1965, le guide lui attribue ses convoitées triples étoiles pour la terrine de grives au baie de genièvre, la mousse de truite à la Constant Guillot, ainsi que le carré d'agneau à la broche aux herbes de Provence. Le repas y coûte 34/38 francs de la radio et l'usage de la radio est interdit en salle !
Cette proximité avec le MICHELIN sera une des particularités de ce cuisinier entreprenant et visionnaire !

 

 

Et pourquoi pas la sanctification du maître ?

 

On ne se rendait pas au restaurant chez lui ; non, on allait chez Paul BOCUSE ! La façade est clinquante couleur framboise et pistache, les plaques rappellent les crues de la Saône (1955/83).

Entrez donc : tout y brille de mille feux ! Le spectacle peut commencer dans le temple de la Gastronomie française : soupe aux truffes, filet de sole nouille Fernand Point, loup en croûte à la sauce Choron, poularde de Bresse en vessie et autres chariots de dessert...

 

 

Tous ces mets ne méritent peut-être plus les triples étoiles en 2020. C'est vrai, bien que...! Mais, le MICHELIN aurait pu (aurait dû) statufier par une distinction particulière cette maison mythique de la Gastronomie française !
Gageons cependant que Vincent LE ROUX, directeur de la maison et ses équipes truffées de MOF, sauront dans un établissement récemment rénové, se battre pour retrouver cette triple distinction.

 

 

 

Celle qui dès lors deviendra, sous l'œil taquin du Commandeur, la référence éternelle de la cuisine française. 

Pour conclure, trois citations de ce dernier : « j'ai deux bacs : un pour l'eau chaude, un pour l'eau froide ! » ou encore « Quand je vois une bonne idée,  je ne copie pas mais je fais pareil… ». D’ailleurs, il ne s'en privera pas !
Et puis cette dernière : « Il n'y a qu'une cuisine : la bonne ! ».

Ce sera le mot de la faim, « F A I M », à l'approche peut-être de l'heure du repas quand vous lirez ces lignes.

Et comme il est inscrit sur les menus de cette mythique auberge lyonnaise : « bon appétit et large soif ! ».


Gauthier PAJONA

 

 


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L’agenda du Premier ministre a dû quelque peu s’alléger ces jours-ci puisque la visite d’une quinzaine de professionnels de l’hôtellerie et de la restauration de l’Yonne, espérée depuis près de deux mois, est rendue désormais possible à Matignon, et ce dès la semaine prochaine. Objectif atteint pour le député de l’Yonne, André VILLIERS. Instigateur de la démarche, il souhaite évoquer les difficultés de la filière en haut-lieu, notamment en matière d’emploi et de pénibilité du métier…

PARIS : Il était attendu pour la fin 2019. Il deviendra réellement effectif en date du 22 janvier 2020. Le déplacement d’un petit groupe d’hôteliers/restaurateurs icaunais vers la capitale pour y être reçu par le Premier ministre Edouard PHILIPPE est enfin biffé de manière officielle sur les agendas des futurs participants à cette rencontre importante.

Une délégation d’une quinzaine de professionnels, dont deux membres du conseil d’administration de l’UMIH (Union des métiers de l’industrie hôtelière de l’Yonne), Noémie VIGNAUD et Francis SALAMOLARD, se déplacera donc à Matignon.

Elle sera accompagnée du député de la circonscription d’Avallon et de Tonnerre, André VILLIERS, à l’initiative du projet, pour honorer un rendez-vous, évoqué initialement par ce dernier, lors d’une réunion informative qui s’était déroulée à Chablis en novembre.

 

 

 

Ce jour-là, aux côtés de Marie-Josée VAILLANT, édile de la cité vineuse, mais aussi de représentants de Pôle Emploi et de la Chambre de Commerce et d’Industrie, l’élu UDI avait proposé une séance introspective autour de la formation et du recrutement.

Un travail qui s’est vite avéré nourri d’inquiétudes et de doléances de la part de chefs d’entreprise en proie aux doutes, en vérité…

Au terme de ces échanges, André VILLIERS avait fait entendre à l’assistance, bizarrement éparse malgré l’intérêt de la thématique, que le chef du gouvernement serait sollicité par ses soins dans le but d’accueillir une délégation de professionnels. Ces derniers ayant la possibilité de pouvoir s’exprimer auprès des hautes sphères de l’exécutif.

Interrogée, Corinne ROGUIER, secrétaire générale de l’UMIH 89, pourrait être également du voyage la semaine prochaine pour ce rendez-vous, finalement prévu de longue, avec le Premier ministre.

 


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La fine fleur des brigades de France sera opposée lors du prestigieux concours gastronomique organisé les 20 et 21 janvier dans l’enceinte de la célèbre école FERRANDI à Paris. Sous la houlette du chef triplement étoilé, Gille GOUJON, qui préside ce haut rendez-vous de l’art culinaire concocté par l’enseigne METRO. L’Yonne y sera dignement représentée. La Côte Saint-Jacques et le Rive Gauche, deux établissements d’exception implantés à Joigny, y brigueront les premiers rôles…

PARIS : L’année nouvelle démarre sous de bons auspices pour la famille LORAIN. Le 15 octobre dernier, le Comité de lecture du fameux concours gastronomique national, « La Meilleure brigade de France », dévoilait le nom des six établissements culinaires ayant obtenu leur précieux billet pour disputer la finale de ce challenge, organisé par METRO France.

Et parmi cette demi-douzaine de privilégiés figuraient les noms de deux établissements de renommée internationale qui délectent de leurs savoureuses recettes, savamment préparées, une clientèle férue d’inventivité au fond de l’assiette : la Côte Saint-Jacques et le Rive Gauche.

Ces deux très belles maisons du patrimoine de l’Yonne se retrouveront donc en compétition les 20 et 21 janvier à l’école FERRANDI (le must de l’apprentissage à la grande cuisine hexagonale), au Campus Saint-Gratien non loin de Paris. Face à quatre autres adversaires qui ne s’en laisseront pas compter pour glaner le titre.

Le principe de ce concours vise à récompenser l’excellence du travail d’équipe d’un restaurant et l’engagement de METRO qui fournit la liste des ingrédients, en faveur de la haute gastronomie.

 

 

Une entrée et un plat de résistance pour se départager…

 

Les brigades s’affronteront sur la base de deux recettes, à réaliser pour huit personnes. La première s’articulera sur une entrée dressée sur assiette où les ravioles de langoustines seront à l’honneur. La seconde, le plat principal, titille déjà les papilles gourmandes puisqu’il s’agit d’une poularde de Bresse en vessie (un clin d’œil à M. PAUL). Deux variétés de légumes de saison devront agrémentées ce plat. Dans les deux cas, ingrédients et garnitures proviendront des magasins METRO.

Présidé par le chef trois étoiles (L’Auberge du Vieux Puits), Gilles GOUJON, le jury composé de grandes toques mais aussi de maîtres d’hôtels et de journalistes de la presse culinaire, rendra son impitoyable verdict à l’issue de l’épreuve afin de désigner la meilleure brigade de l’année.

Les prix sont tout aussi gouleyants que les recettes proposées. Les trois premiers lauréats ne repartiront pas bredouilles de la région francilienne, empochant au passage des chèques d’une valeur de 10 000 euros, 7 500 euros et 5 000 euros ; sans omettre les prix spéciaux du jury qui récompensera le meilleur chef, maître d’hôtel et apprenti.

Ce concours existe depuis 2013 à l’initiative de METRO France, premier fournisseur des restaurateurs et des commerçants indépendants sur le territoire national.

Interrogé à ce propos, le chef Jean-Michel LORAIN espère que les deux établissements de Joigny (Le Rive Gauche est dirigé par sa sœur, Catherine) puissent se situer en haut du panier pour obtenir les sésames mis en jeu…

 

 

Les participants :

 

  • « Le Fanal » situé à Banyuls-sur-Mer dans les Pyrénées-Orientales sera représenté par le chef Pascal BORREL, le maître d’hôtel Stéphane CHAMPIN et l’apprenti Thibault LESTANG,
  • « JA Evénements » à La Garenne-Colombes dans les Hauts-de-Seine sera représenté par le chef Alexis BLANCHARD, le maître d’hôtel Florian DEMAY et l’apprenti Nicolas LINGET,
  • « Le Rive Gauche » à Joigny dans l’Yonne sera représenté par le chef Jérôme JOUBERT, le maître d’hôtel Edwige COUPERY et l’apprenti Nicolas GIRARD,
  • « La Côte Saint-Jacques » à Joigny dans le département de l’Yonne sera représentée par le chef Alexandre BONDOUX, le maître d’hôtel Pascal BONDOUXet l’apprenti Nicolas KELLER,
  • « Les Fresques » à Evian-les-Bains en Haute-Savoie seront représentées par le chefCésar CROUZET, le maître d’hôtel Jonathan FERNANDES et l’apprenti Alexandre TRITTEN,  
  • « La Casa Restaurant » située à Labenne dans les Landes sera représentée par le chef Oumar CIEUTAT, le maître d’hôtel Caroline GOUJON et l’apprenti Raphaël SIMONIAN.

 


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Meilleur ouvrier de France cuisine, triple étoilé au Michelin, cet orfèvre de l’art culinaire n’est pas forcément le patronyme le plus connu de la gastronomie française. Ce natif du Berry,  très tôt orphelin de père, a vécu une enfance pas forcément facile. Mais, il a eu le privilège d’être entouré d'une mère aimante. La cuisine semblant couler dans ses veines depuis son plus jeune âge,  c'est donc tout naturellement qu'il emprunta cette voie pas forcément bordée de roses à ses débuts…

PARIS : Jeune homme, il se marie avec sa muse,  Marie-Christine. Elle exerce le métier de coiffeuse. Gilles s’est constitué un parcours professionnel, parsemé de belles maisons.

En Bourgogne, un rapide passage à « L'Espérance », sise à Vézelay, ne le marqua pas vraiment. Il fut notamment second au restaurant « L'Escale » à Carry-le-Rouet (double étoilé Michelin) où chef CLOR l'initia à la finesse poissonnière. 

Puis dans les années 90, les GOUJON ont un coup de cœur pour le village de Fontjoncouse dans l'Aude (120 habitants).

 

 

« Ce sera là où nulle part » assène le tonitruant Gilles, un caractère au grand cœur mêlé d'un indéfinissable talent.

Dans ce village de bout de terre, les débuts ne furent pas forcément faciles tandis que de bons produits se morfondaient dans la chambre froide. Ils attendaient vainement de finir dans l'assiette des clients qui ne venaient pas ou si peu.

 

 

Le rêve absolu est atteint : décrocher les trois étoiles au Michelin…

 

Pour conjurer le sort, l'énergique Marie-Christine déposait même des bougies allumées sur les quelques marches du restaurant, s'inspirant d'une coutume indienne lue dans un magazine. Mais, c'est bien connu : après la pluie vient le beau temps !  

A sa seconde tentative, Gilles est titré  MOF. Puis en 1997, « L'Auberge du Vieux Puits » obtient sa première consécration au Michelin. Notamment pour sa petite cocotte de cochon aux olives de Lucques.

Ensuite tout va s'enchaîner goulûment ! En 2001, le célèbre guide double la mise, appréciant entre autres la galette d'estofinade en crème de verjus.  En 2010, le rêve de Gilles - partagé forcément par sa muse !- se réalise : il obtient enfin la quête du Graal pour son œuf de poule pourri de truffes, son filet de rouget Barbet, sa recette de pomme bonne bouche fourrée d'une brandade  à la cèbe en « bullinada ».

Toque basse à ce bel artiste, véritable filigrane de cet exigeant concours.

Gauthier PAJONA

 

 


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