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Alors que les soldes estivales ont été repoussées à la mi-juillet, les commerçants d’Auxerre tentent tant que bien que mal de sortir la tête hors de l’eau après des semaines de disette. Les élus, à l’écoute, viennent de mettre en place une stratégie afin de les accompagner durant cette délicate période. Objectif : éviter le naufrage pour celles et ceux des indépendants qui ont souffert de la crise sanitaire en y laissant des plumes…

AUXERRE : A l’échelle de l’agglomération auxerroise, il existe plus de 1 300 boutiques (1 321 avec exactitude) qui officient dans la catégorie des commerces de proximité. Ils essaient de reprendre vaille que vaille leur existence d’avant COVID-19.

C’est un enjeu pas aussi simple que cela à organiser. Compte tenu du contexte économique actuel qui ne baigne pas dans l’optimisme le plus affriolant.

Les perspectives communiquées par différents observateurs sont mauvaises. Les statistiques qui émanent des services de l’Etat ne sont guère plus encourageantes.  

Bref : les collectivités sont aujourd’hui dans l’obligation de se pencher avec bienveillance sur ce dossier et de jouer aux pompiers de service à grand renfort d’imagination pour circonscrire l’incendie. Un sinistre qui pourrait ravager des pans entiers de cette économie à l’origine de circuits courts et de petites échoppes s’il n’est pas maîtriser dans les meilleurs délais.

Auxerre n’est donc pas en reste pour éviter un tel désastre. La collectivité a pris la décision il y a peu de lancer un vaste plan de soutien articulé autour de plusieurs items. Ceux-ci se déclineront jusqu’à la fin de l’année.

A l’image de ces aides apportées lors de la prise en charge des loyers (de 50 à 70 % selon les cas) et ce, sur une période de six mois, pour de nombreuses boutiques implantées au cœur de ville. 

En parallèle, des aides à l’investissement vont être initiées pour les créations de nouvelles enseignes. Le programme d’intervention s’annonce copieux et protéiforme.

Ainsi, la réouverture des bars et restaurants a engendré l’exonération des droits de place.

C’est pourtant une manne financière importante pour la Ville qui correspond à 150 000 euros. Des contacts ont été pris avec certains gérants de ces établissements pour qu’ils puissent bénéficier de mètres carrés supplémentaires en terrasse. Une solution astucieuse qui leur permettra de compenser le manque de place à l’intérieur imputable à la distanciation physique.

Certaines rues et ruelles de la ville devraient être également fermées à la circulation routière de façon à faciliter l’accueil et l’étalement de la clientèle en dehors des établissements.

 

 

Des aides financières distribuées sous diverses formes…

 

Une autre suggestion a fait son petit bonhomme de chemin : celle qui se rapporte au coup de pouce au pouvoir d’achat à l’aide de chèques-cadeaux. Ceux-ci favoriseront dès l’automne la relance consumériste.

Un appel à projets vise à attirer les commerces indépendants qui engendrent du flux sera prévu à la rentrée. Le concept se déclinera sous la forme de dotations financières graduées, prises en charge par la municipalité et remises à leurs lauréats retenus en décembre.

L’idée du concept se voulant novateur serait d’accrocher des commerces qui font défaut à l’heure actuelle dans le cœur de ville. On pense en priorité aux enseignes des métiers de bouche mais aussi à celles qui préconisent la consommation de produits bio, étrangement absentes de l’hyper centre.

Les  professionnels bénéficieront aussi d’aides financières directes. Celles, à titre d’exemple, générées en accointance avec les dispositifs de la Région. Une enveloppe de 420 000 euros devrait être injectée dans ce dispositif.

Des aides à la reconstitution de la trésorerie, montées avec le concours de la Banque des Territoires et la Région Bourgogne Franche-Comté, s’ajoutant à celles de l’Etat, sont également envisageables.

Un budget de 280 000 euros est prévu à cet effet avec la mise en œuvre d’un prêt à taux zéro remboursable après un différé de deux ans (15 000 euros de prêt au maximum).

Du côté des commerces non-sédentaires, l’exonération des droits de place sur les cinq marchés hebdomadaires que compte la Ville est une nouvelle très positive pour les professionnels.

D’ailleurs, la fréquentation de ces lieux très prisés d’ordinaire par la clientèle progresse malgré les mesures barrières entre les étals. Cette exonération équivaut à un manque à gagner de 160 000 euros pour la municipalité.

 

 

« Ce plan, il fallait le faire sinon on me l’aurait reproché… »

 

Il est clair, comme devait le préciser l’adjoint en charge du commerce et de la vie numérique, Jean-Philippe BAILLY, interrogé lors d’un récent point presse, « que si la situation le justifiait, ces mesures seraient poursuivies en 2021 ».

In fine, c’est donc un million d’euros, parfaitement finançable, que les élus de la capitale de  l’Yonne débloquent pour soutenir l’activité commerçante.

« C’est notre rôle de le faire, devait d’ailleurs préciser le maire d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois, Guy FEREZ, ce plan est ambitieux et va nous permettre de relancer la machine économique. Le commerce intègre nos priorités : il faut accompagner ces professionnels dans la voie de la reprise… ».

L’édile l’a affirmé : ces mesures ne sont pas des annonces électoralistes alors que les perspectives du second tour du scrutin municipal s’insèrent déjà dans de nombreux esprits.

« Si je ne les avais pas décrétées, ajoute-t-il, on aurait été en droit de me le reprocher ! ».

Pour l’heure, et loin des considérations politiques, le devenir du commerce représente l’une des seules préoccupations de l’élu. Qui stoïque aux critiques, veut se placer entre incarnation et hauteur de vue…

 

 

 

 


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Initié par le réseau régional de la chambre consulaire, le nouvel outil multimédia (www.relancermonentreprise.fr) offre l’accès à un ensemble de ressources très utiles aux entrepreneurs en reprise de leur activité. Il est aussi un espace de contribution astucieux où chacun des utilisateurs peut y déposer une idée ou une suggestion profitable à la relance économique…

AUXERRE : L’après confinement est une étape à ne pas prendre à la légère après les nombreuses semaines d’inertie économique. Fort de cela, les Chambres de Commerce et d’Industrie de Bourgogne Franche-Comté qui ont multiplié les cellules d’appui en soutien des milliers d’entreprises dans le besoin durant les moments les plus cruciaux, poursuivent leur mission sociétale en créant un nouveau site numérique.

Baptisé sobrement (www.relancermonentreprise.fr), l’outil respecte le credo coutumier qui guide les services des CCI au quotidien depuis le début de la crise sanitaire : accompagner à la reprise d’activité des entreprises grâce au redémarrage de l’économie.

Opérationnel depuis peu, ce site présente les diverses solutions préconisées par l’organisme consulaire dans le cadre de la relance, les dispositifs d’aides mobilisables, le cadre réglementaire en matière de réouverture d’activité (on pense volontiers à la filière de l’hôtellerie/restauration/loisirs) ou encore une liste des fournisseurs régionaux d’équipements de protection. On y trouve également la fameuse bourse régionale d’entraide.    

 

 

Facile à manipuler, l’outil encourage les recherches par mots clés, par tags, par thématiques selon les appétences des chefs d’entreprises. Il est aussi un espace contributif puisqu’il recueille les idées et autres suggestions émises par chacun des acteurs de l’économie en vue d’optimiser la relance ô combien nécessaire.

Il suffit d’activer le bouton ad hoc, placé en haut à droite de la page de garde pour que ces éléments à partager transitent par les services des CCI de la région. Ces derniers pourront alors enrichir ces propositions en matière d’accompagnement d’entreprises.

 

En savoir plus :

Les entreprises peuvent aussi contacter le correspondant relance de leur CCI territoriale pour toute précision et accompagnement sur le référent suivant :

www.relancermonentreprise.fr/contactez-votre-cci

 


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Elisabeth BORNE est attendue ce jeudi 04 juin à Dijon pour une visite officielle. La ministre de la transition écologique et solidaire annoncera-t-elle lors ce déplacement le relèvement à 300 kWc du seuil d’appels d’offres du photovoltaïque sur les toitures des bâtiments agricoles ? Evoquée cet hiver, la décision est très attendue de la part de la filière. Mais aussi de la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté qui ne manquera pas d’interpeller la représentante du gouvernement à ce sujet…

DIJON (Côte d’Or) : L’information avait été précisée Porte de Versailles lors du Salon international de l’Agriculture à Paris. Cela se déroulait le 23 février.

Ce jour-là, interpellée par la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY, la ministre de la transition écologique et solidaire Elisabeth BORNE avait annoncé que le seuil d’appels d’offres du photovoltaïque sur les toitures des bâtiments agricoles serait porté à 300 kWC.

Une mesure jugée indispensable pour favoriser le développement de l’énergie solaire dans l’Hexagone. Une mesure qui permettait aussi aux agriculteurs de tirer de cette production énergétique un complément substantiel de revenus.

Or, depuis cette annonce, rien ne semble avoir bougé concernant l’application de ce dossier. Il est vrai qu’entre-temps, la crise de l’épidémie du coronavirus est passée par là.

Se déplaçant dans la capitale des ducs de Bourgogne ce jeudi 04 juin, Elisabeth BORNE est donc priée d’apporter des éléments de réponse par la présidente de la Région.

« Sur ce dossier, explique cette dernière, je me suis beaucoup battue dans l’intérêt des territoires en faveur de l’accélération des procédures administratives. Le solaire photovoltaïque en toiture représente une composante importante de notre trajectoire vers une région à énergie positive et bas carbone… ».

 

 

 

 

Ce jeudi, en association avec le président de la Chambre régionale d’agriculture Christian DECERLE, la présidente de l’exécutif territorial espère obtenir enfin des réponses concrètes à la question.

« Il s’agit de tout mettre en œuvre pour accélérer la procédure de publication du décret d’application et de son arrêté tarifaire. D’autant que nous sommes dans une situation d’état d’urgence sanitaire… ».

On attend avec impatience la réaction de la ministre. Les réponses fournies par celle-ci satisferont-elles définitivement l’élue régionale ?

 

 


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L’enseigne de restauration rapide accueille ses premiers consommateurs ce mercredi dès 11 heures dans la ville la plus septentrionale du département. A peine le confinement levé ! De quoi réjouir les aficionados de recettes de poulet cuisinées à la sauce du Kentucky, l’état de naissance de ce pionnier opérationnel à travers le monde depuis 1939. Une cinquantaine d’emplois ont été créés. Une petite bouffée d’oxygène après cette période de disette où plus personne n’osait sortir…

SENS : Le restaurant est flambant neuf. Il recevra ses premiers clients en cette belle journée de mercredi à partir de 11 heures. Une ouverture espérée, attendue et enfin concrétisée pour de nombreux férus de l’emblématique « Bucket » et ses délicieuses recettes de poulet élaborées sur place. Ils semblaient perdre patience. La faute à ce satané coronavirus qui aura quelque peu retardé l’évènement…

Localisée dans la zone commerciale de Champbertrand, l’enseigne ne se présente plus. Elle possède une aura internationale. Son symbole, image de l’archétype Amérique à la réussite si affriolante, est représenté par ce charismatique personnage du colonel SANDERS. L’homme providentiel par qui le succès culinaire est arrivé : il a, dit-on, inventé les recettes de ce poulet qui ne possède pas la même succulence qu’ailleurs.

Filiale du groupe YUM, KFC est l’une des marques vedette que compte cette holding de la restauration de niveau mondial. Pizza Hut et Taco Bell en sont les deux autres composantes.

Avec plus de 48 000 restaurants thématiques implantés dans 145 pays, le groupe YUM surfe irrésistiblement sur la vague de la réussite : l’entité KFC possède à elle seule plus de 23 000 établissements à service rapide dans cent-quarante états.

 

La neuvième boutique en Bourgogne Franche-Comté…

 

Dans l’Hexagone, la marque est plutôt bien lotie. Elle y a développé un maillage façon puzzle où s’imbriquent 266 commerces sous franchise. Le propriétaire de la nouvelle vitrine sénonaise n’est autre que Gian-Marco AMENDOLA. Déjà gestionnaire d’un autre KFC à Bourges.

Précision : la Bourgogne Franche-Comté comprend déjà un petit réseau d’une dizaine de points de vente. Il n’est pas exclu qu’Auxerre soit un jour la cible privilégiée d’une future implantation.

Mickael PINTA, directeur de l’établissement, se dit très enthousiaste à l’idée d’ouvrir ce concept autour d’une équipe forte de cinquante collaborateurs très motivés.

Pour cette nouvelle ouverture, KFC a travaillé en partenariat avec les services locaux de Pôle Emploi afin de recruter ses employés. Un plan de carrière existe pour les salariés qui bénéficient d’une formation adaptée afin d’acquérir les compétences nécessaires à leur progression.

L’un des objectifs avoués de l’enseigne sera d’atteindre les cinq cents restaurants à horizon 2025 sur le sol français.

 


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Juin est d’ordinaire synonyme de la tenue de la traditionnelle conférence agricole régionale. Un évènement très attendu par les suiveurs de l’actualité de la filière qui en analysent les données statistiques livrées par l’Observatoire régional. Le contexte si particulier de ce printemps 2020 ne permet pas d’organiser cette manifestation. Qu’importe ! Les résultats technico-économiques seront dévoilés dès le 04 juin via le lien numérique habituel…

DIJON (Côte d’Or) : La COVID-19 aura eu raison d’un énième évènement régional : la conférence agricole qui aurait permis si elle avait été au programme de dévoiler les pistes de réflexion de l’Observatoire d’un milieu professionnel éprouvé lui-aussi par cette crise sanitaire sans précédent.

Fruit d’un travail aux multiples partenaires (Chambre régionale d’agriculture, CER France, Conseil régional et l’Etat), l’édition 2020 de cette restitution avait pour vocation première de présenter l’ensemble des résultats technico-économiques de la filière établis au cours des douze derniers mois.

Un autre volet aurait dû être abordé de visu si les conditions sanitaires l’avaient permis : des pistes de réflexion et des témoignages venant corroborer tout ce qu’il aurait été souhaitable de faire pour améliorer les conditions d’installation et de transmission des exploitations.

Avant que la crise n’éclate, c’est précisément cette thématique (le renouvellement des agriculteurs) qui figurait à l’ordre du jour prioritaire de cette conférence régionale.

Habituellement, cette conférence annuelle accueille les décideurs du monde agricole et des représentants institutionnels des territoires.

Sa tenue est primordiale pour les observateurs car elle offre des repères précis sur les revenus des exploitations et sur les dynamiques des différentes filières à long terme.

A défaut de pouvoir partager l’ensemble de ces données de visu, les organisateurs ont décidé de mettre à profit leurs éléments informatifs de manière dématérialisée.

Dès le jeudi 04 juin, il sera possible à l’identique de ce qui se pratique les autres années de consulter les travaux de l’Observatoire régional en se référant au lien suivant : https://bourgognefranchecomte.chambres-agriculture.fr/


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