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Huit. C’est le chiffre porte-bonheur de ce mouvement associatif très spécial, un incubateur de leaders citoyens qui contribuent à changer les paradigmes de notre société. Ce nombre correspond aux membres du bureau d’une pépinière de talents déjà confirmés n’ayant plus grand-chose à prouver quant à son efficience mobilisatrice sur le terrain. La JCE Auxerre vient de placer Jean-Baptiste HORTON au sommet de la pyramide organisationnelle. Pour le meilleur et surtout pas pour le pire…

 

AUXERRE : Fidèle à ses principes fédérateurs, la Jeune Chambre Economique locale entame l’an neuf en brassant les cartes de la responsabilité individuelle en interne. Histoire d’offrir un maximum d’opportunités et de prises d’initiative en matière de développement personnel pour ses membres (ils sont désormais trente-quatre à avoir adhéré dans l’une des plus puissantes structures de la région si ce n’est de l’Hexagone) préparés à cet exercice du pouvoir.

Toutefois, il ne faut pas se méprendre sur les intentions réelles de ces jeunes gens, à la tête bien pleine et inféodés à la caste encore heureuse des trentenaires, voire de la décennie inférieure.

 

S’appuyer sur de belles pépites intellectuelles et enthousiastes…

 

Ici, le pouvoir ne se traduit pas par une supériorité écrasante, insolente et manifeste sur l’autre. Il se partage de façon collégiale en concertation participative au sein d’un bureau et de commissions bien structurés où chacune et chacun y va de sa petite note musicale, suivant la partition interprétée rubis sur ongles par un chef d’orchestre, le président de l’entité.

Incontestablement, le nouvel impétrant à s’asseoir dans le fauteuil présidentiel cette année (Jean-Baptiste HORTON) pourra compter sur le déterminisme, la volonté et l’implication sans borne d’une équipe aux trois-quarts féminins !

La JCE deviendrait-elle une affaire de jeunes femmes prêtes à en découdre avec leurs armes et leurs atours face à tous les maux incohérents et stupides observés au sein de notre paysage sociétal ?

Toujours est-il que le successeur de Valentin MARTIN pourra s’appuyer sur quelques belles pépites intellectuelles et entreprenantes pour naviguer à vue et sans l’aide d’une boussole vers les rivages de la réussite, identifiée par moult projets en perspective.

 

Une année cruciale avec l’organisation de la Convention nationale en juin…

 

D’autant que l’an 2022 s’annonce crucial pour l’organisme icaunais qui accueillera du 23 au 26 juin la Convention nationale où convergeront à Auxerre et dans sa périphérie plusieurs centaines de congressistes en quête de retrouvailles constructives judicieuses. L’évènement est à la hauteur des attentes de ce nouveau team très soudé qui possède du dynamisme à revendre.

Preuve que ce système immersif au cœur des problématiques actuelles de la société à résoudre par des solutions enthousiastes fonctionne bien à Auxerre : une dizaine d’observatrices (encore elles !) et d’observateurs (enfin !) frappent déjà à la porte, prêts à s’investir et à s’impacter positivement sur le territoire, à travers une kyrielle de projets ébauchés lors des travaux des commissions.

 

 

« Tous les VINgt du mois » fait des émules ailleurs en France…

 

Pour mémoire, citons l’enseignement des gestes qui sauvent auprès du public scolaire en partenariat avec l’Education nationale et le SDIS 89, la promotion du tourisme icaunais via une application, la création de liens sociaux intergénérationnels, la récupération des déchets, la formation des jeunes décrocheurs, l’organisation d’olympiades juniors afin de promouvoir les Jeux de Paris 2024 et la pratique sportive auprès des enfants…

Ce panégyrique à l’initiative et à l’enthousiasme des membres de la JCE ne serait pas complet si l’on ne mentionnait pas parmi les actions quasi régaliennes du mouvement la fameuse opération « Tous les VINgt du mois », qui favorise les retrouvailles en moyenne de trois cents convives désireux de découvrir un domaine viticole du cru. L’animation a même fait des émules parmi les clubs aux quatre coins de notre contrée, voire d’un peu plus loin !

 

Priorité au développement des actions et des compétences en 2022…

 

Reste Jean-Baptiste HORTON. Entrepreneur, il exerce le métier de géomètre-topographe, le jeune homme connaît à la perfection les arcanes de la structure. Depuis 2018, date à laquelle il a rejoint les rangs de la JCE, multipliant les postes à responsabilité, en étant tour à tour vice-président de la formation, trésorier et vice-président du développement. Son intérêt dans plusieurs commissions lui ont permis de peaufiner des dossiers importants comme « Sun Quais » et les « Gestes qui sauvent ». Un seul mot d’ordre pour lui avec ce nouveau mandat : l’action dans la continuité au service des différents projets déclinés sur l’Auxerrois.

 

En savoir plus :

 

Le bureau de la JCE Auxerre 2022 se compose de :

Jean-Baptiste HORTON, président,

Valentin MARTIN, immediat past-président et vice-président aux membres,

Laurianne BELLIER, vice-présidente aux partenariats,

Maud DUSSOL, vice-présidente aux actions,

Esther VITO, vice-présidente au développement,

Inès SOMMET, vice-présidente à la communication,

Florian SOBIERAU, vice-président à la formation,

Margot BONNAIRE, trésorière et secrétaire.

 

Thierry BRET

 


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Deux cents postes d’opticien-lunetier sont à pourvoir en ce début d’année au sein du réseau hexagonal de cette enseigne référente dans la filière. Dont sept sont à occuper en région Bourgogne Franche-Comté. Pour y remédier, le groupe dirigé par Eric PLAT innove en développant un cycle formatif en accéléré afin de faire face à la crise des vocations sur ce segment d’activité.

 

PARIS : Tout le monde a encore en mémoire le célèbre spot publicitaire, aux images un tantinet exotique, où était mis en scène le chanteur-aventurier Antoine qui vantait alors la qualité des produits lunetiers commercialisés par l’enseigne. ATOL : un nom qui ne cesse de résonner depuis dans notre inconscient nimbé de slogans empruntés au marketing qui savait faire mouche sur son cœur de cible.

Apparue en 1970, la marque s’est depuis imposée comme l’enseigne d’optique référente en matière de santé visuelle. En imprimant ses valeurs made in France à la suite de l’incubation de la start-up française, ABEYE.

A l’aune de cette nouvelle année, le groupe recherche deux cents collaborateurs à intégrer au sein de sa force de frappe. Deux cents postes disponibles de suite ou presque sur l’ensemble du réseau en France. La Bourgogne Franche-Comté, berceau de la conception de lunettes (le savoir-faire franc-comtois) ne déroge donc pas à la règle. Avec ses sept postes à pourvoir de suite.

 

 

Deux cents postes créés pour alimenter les 730 magasins du réseau…

  

Pourtant, pour faire face à la crise des vocations de cette filière, l’entreprise pilotée par Eric PLAT a conçu sa propre méthodologie lui permettant d’assurer une formation en accéléré.  

Un programme pédagogique qui a été élaboré dans le cadre d’un nouveau plan stratégique, répondant à l’appellation « Accélér’Atol 2021-2026 ». L’apprentissage de la base du métier comprend ainsi l’acquisition des notions élémentaires de la vente optique, la connaissance des conseils à prodiguer à la clientèle en magasin, la maîtrise explicative d’une prescription de l’ophtalmologiste et surtout l’assurance de pouvoir réaliser une vente pour des corrections visuelles simples.

Bref, déclinable sur une semaine, ce cursus fait également l’objet d’un accompagnement individualisé et personnalisé post formation en magasin. Une initiative bénéficiant de la présence d’un coach formateur, pur produit de la maison.

« Avoir créé cette formation sur-mesure constitue un atout pour mieux attirer de nouveaux profils, hors optique, et les former à la technique de l’optique afin de pourvoir les 200 emplois proposés par notre réseau de 730 magasins partout en France, explique le PDG d’ATOL Les Opticiens, l’enseigne entend développer son réseau sur les territoires pour rendre accessible la santé visuelle et le bien-être à tous ».

 

 

Des recrutements se faisant au niveau Bac + 2…

 

Cette formation est autant adaptée aux personnes venant d’un bac ou BTS optique qu’une personne n’ayant pas forcément les mêmes bases du fait d’allier vente/optique.

De plus, la relation client est clairement abordée, ce qui permet d’avoir moins d’appréhension lors d’une réelle mise en situation.

Concevoir son propre cycle de formation est l’une des réponses concrètes pour attirer de nouveaux talents. Comme le confirme le président-directeur-général de l’enseigne.

« Depuis une dizaine d’années, la filière optique connaît une véritable crise des vocations et peine à recruter. Conscients qu’il est aujourd’hui difficile d’attirer de nouveaux talents dans un secteur de l’optique qui souffre d’un manque d’attractivité, nous avons créé cette formation spécifique qui permet aux personnes ayant un niveau Bac +2 (force de vente) de découvrir le métier d’opticien-lunetier et d’acquérir rapidement les bases fondamentales qui seront ensuite mises en application en magasin ».

Un procédé didactique plutôt astucieux comme on peut l’observer aussi dans le domaine de l’industrie où il n’est pas rare que les acteurs de ce pan de l’économie développent en interne leur école de soudure ou de chaudronnerie afin de combler un manque évident de main d’œuvre qualifiée.

 

 

Un métier qui n’est plus dans les radars des jeunes générations…

 

Pourtant, il existe en France plus de 12 000 magasins d’optique et plus de 40 000 opticiens dont 75 % sont salariés. Depuis quelques années, on observe une légère hausse de l'âge moyen pour la profession d'opticien-lunetier, tout comme un recul continu des candidats au BTS OL.

Entre 2011 et 2020, on rapporte 33 % de diplômés en moins et 70 % des titulaires de ce BTS-OL poursuivent leurs études. Seul un quart entrera in fine  sur le marché du travail une fois le diplôme en poche, selon les sources diffusées par le magazine « Bien Vu ».

Il s’avère que le métier d'opticien-lunetier séduit moins les nouvelles générations à l'heure actuelle. La filière rencontre des difficultés à pourvoir de nombreux postes. D'ailleurs, le nombre d'annonces diffusées par Pôle Emploi et ses partenaires est passé de 13 303 en 2020 à 21 033, rien que pour les dix premiers mois de 2021. Gageons que l'heureuse initiative portée par ATOL Les Opticiens tende à inverser quelque peu la vapeur...

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Lumineuses, agréables, pratiques. Deux vitrines de la banque mutualiste implantées dans le nord de l’Yonne (Pont-sur-Yonne et Villeneuve-la-Guyard) se parent depuis peu de nouveaux atours pour optimiser sa relation avec la clientèle de particuliers et de professionnels. Un accessit bien au-delà de l’esthétisme visuel qui s’inscrit dans le cadre du vaste programme de rénovation, entamé depuis plusieurs années dans l’Hexagone par le réseau bancaire, au nom de code très évocateur : « e-nov’agence » !   

 

PONT-SUR-YONNE : En voilà deux autres qui tombent dans l’escarcelle du modernisme et de la technicité ! Les agences commerciales de Pont-sur-Yonne et de Villeneuve-la-Guyard à l’estampille de la Banque Populaire font peau neuve au niveau de leur configuration architecturale, conformément à l’ambitieux programme de rénovation voulu par le groupe depuis 2015.

Un vaste chantier déclinable à dix ans qui concerne sur notre territoire régional (plus le pays de l’Ain) 185 agences.

Repenser la relation professionnelle avec sa clientèle répond ainsi à ces exigences immobilières qui offrent l’opportunité à la structure de faire montre d’adaptabilité pour y parvenir.

Alors que certains de ses concurrents mettent désormais la clé sous le paillasson en réduisant la voilure en matière de présence dans les zones rurales, question de rentabilité, la Banque Populaire ne déroge pas à sa règle de favoriser la proximité en se maintenant au plus près du terrain.

 

 

La clientèle au cœur des priorités de ce nouvel édifice…

 

Mais, pour ce faire, il fallait donner un sérieux lifting à l’ensemble de ces vitrines commerciales en les équipant de possibilités digitales à la pointe tout en préservant la relation en b to b avec les clients dans des espaces dédiés. Surtout dans les secteurs géographiques les plus reculés.

Territorialement, la Banque Populaire Bourgogne-Franche-Comté et Pays de l’Ain a donc décidé d’injecter une enveloppe de cent millions d’euros (voire un peu plus avec le temps) pour transformer au cours de cette décennie l’existant en points de vente compétitifs et très novateurs.

Nouveaux moyens de communication, nouvelles méthodes pour travailler : chacun y trouve son compte, tant le client qu’il soit particulier, collectivité et professionnel que le collaborateur qui se sent à l’aise parmi cet univers imaginé selon ses attentes. Entretiens à distance, signature électronique, rendez-vous personnalisé, facilitation de contact avec un conseiller : la Banque Populaire à l’aide de cette conceptualisation mirifique de l’agence commerciale a su réinventer les rapports entre un spécialiste de la finance et du placement et celui qui en attend ses services.

En plaçant au cœur de cet édifice le client.

 

 

Dans notre département, les vingt-deux agences que compte l’établissement sont ou seront progressivement transformer à l’identique de ce que celles des deux localités septentrionales de l’Yonne proposent désormais.

Les prochains points de vente bénéficiaires de ces travaux sont déjà connus : il s’agit des agences de Charny et de Monéteau. D’autres infrastructures suivront à l’instar de Vermenton ou de Bléneau dans les mois à venir.

Président du conseil d’administration de l’entité régionale, le Sénonais Michel GRASS a pu se rendre sur place courant décembre, accompagné du directeur régional des établissements de l’Yonne, Yann NUNES, afin d’apprécier l’ergonomie des lieux. Une appréciation qui se conjugue avec la satisfaction…

  

Thierry BRET  

 

 


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S’il y avait un mot, un seul, à retenir de la conférence de presse, organisée à l’occasion de la naissance officielle du comité de soutien à Valérie PECRESSE pour le rendez-vous présidentiel 2022, ce serait celui-là : « mobilisation ». A 93 jours de ladite échéance électorale et de son premier tour, le 10 avril, les élus Républicains et UDI de l’Yonne se sont réunis à Saint-Clément pour affûter leur stratégie avant de livrer ce qu’ils pensent être l’ultime combat pour sauver la France…

 

SAINT-CLEMENT : On se croirait presque dans un QG de campagne. Non pas, électoral. Mais, bel et bien, militaire. Toutefois, toute proportion gardée, il n’est pas question d’en découdre physiquement et de manière belliqueuse sur le terrain ! Sauf sur celui des idées et de la prospective puisqu’il s’agit de sauver la France ! De qui, de quoi, en vérité ? De sa paupérisation chronique, de son apathie économique, de son manque de fermeté à l’international, de son déficit de brillance et de rayonnement intellectuel, de son leadership européen !

Bref, derrière la « générale en chef » de l’armée tricolore, Valérie PECRESSE, qui prétend relever ce défi au nom de la droite et du centre en prenant les rênes du pouvoir élyséen au printemps prochain (si les citoyens lui donnent le nombre de suffrages nécessaires), ses fidèles lieutenants se préparent à mener bataille au plus près du terrain. Deux objectifs dans cette campagne qui s’amorce dans les semaines à venir : convaincre et rassembler !

Or, à un plus de trois mois du scrutin, il n’y a plus une minute à perdre pour déployer avec finesse et abnégation les tactiques subtiles pour y parvenir. Le temps presse, d’autant que les candidats à ce zénith suprême du pouvoir exécutif se bousculent au portillon. Certains rivalisant à une poignée de points près dans les derniers sondages, relayés par les médias.

C’est le cas précisément de la présidente de l’Ile-de-France qui se situe au coude-à-coude avec Marine LE PEN (RN) dans l’obtention de la seconde place qualificative pour le crucial deuxième tour, juste devant l’imprévisible Eric ZEMMOUR. Emmanuel MACRON faisant encore cavalier seul devant…

 

 

Un Guillaume LARRIVE à la pointe de la manœuvre en sa qualité de conseiller politique…

 

« L’avenir de l’Hexagone est en jeu ». Le député de la première circonscription de l’Yonne Guillaume LARRIVE le martèle en guise de préambule de cette rencontre stratégique face à un parterre représentatif d’élus icaunais inféodés à la cause du jour.

Lui qui vient d’être touché par la grâce de la candidate, première représentante de la gent féminine au sein du parti gaulliste à pouvoir briguer la fonction suprême de présidente de la République. Même Simone VEIL ou Françoise GIROUD ne s’y étaient pas frottées !

Le parlementaire de l’Yonne fait partie intégrante de l’équipe de campagne devant propulser la candidate LR/UDI sur orbite élyséenne. Il a été nommé conseiller politique et lui prodiguera sans doute de précieux avis sur bon nombre de dossiers qu’il a eu à traiter par le passé, au détour de son parcours en politique.  

 

 

Mais, le lancement de ce comité de soutien fait aussi la part belle aux symboles. Celui de l’union et de la réciprocité en matière d’engagement entre Les Républicains et l’UDI ; celui de l’appel à la mobilisation fait à l’ensemble des élus de droite et du centre que compte le département de l’Yonne à les rejoindre dans les jours qui viennent. Un message qui se véhicule également vers les citoyens lambda et les acteurs de la société civile.

« Cet appel ne se cantonne pas aux appétences des personnes qui se reconnaissent dans les valeurs de la droite et du centre, lancera de manière énigmatique le conseiller départemental Gilles PIRMAN, force invitante de la réunion, tenue dans la salle des fêtes de Saint-Clément. Sans doute ce dernier voit-il plus large encore cet esprit de rassemblement ?

 

 

Un organigramme bien établi pour répondre aux besoins du comité…

 

« Notre conviction profonde, c'est que nous pouvons changer l'avenir de la France en élisant Valérie PECRESSE à la présidence de la République, devait ajouter l’orateur LARRIVE, dans sa prise de parole introductive, elle a la force de diriger l'Etat, de réconcilier les Français et d'incarner la France en Europe et dans le monde… ».

Structurellement, deux co-présidents animeront ce comité qui n’aura rien de « Théodule », selon la formule chère au Général de GAULLE.

Bien au contraire, les deux présidents de partis que sont Dominique VERIEN,  sénatrice UDI de l’Yonne et Guillaume LARRIVE, aux manettes directionnelles pour Les Républicains de l’Yonne, impulseront le mode opérationnel de cet outil de relais et de communication.

Figurent dans le premier cercle de ce comité les poids lourds de la droite et du centre de la zone septentrionale de la Bourgogne : Marie-Louise FORT, présidente du Grand Sénonais et maire de Sens, Gilles PIRMAN, conseiller départemental de l’Yonne et maire de Saint-Clément, Grégory DORTE, premier vice-président du Conseil départemental et maire de Pont-sur-Yonne, Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne, Crescent MARAULT, président de l’Agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département et maire de Venoy ou encore François BOUCHER, conseiller départemental et maire de Migennes.

L’organe fera entendre sa voix par le truchement de deux porte-paroles, des figures féminines connues du landerneau : Céline BAHR, conseillère régionale et élue à Auxerre, et Clarisse QUENTIN, conseillère départementale et élue de la ville de Sens.

Pour être tout à fait complet, trois jeunes pousses du sérail politique de l’Yonne joueront également un rôle intéressant, en leur qualité de délégué de ce comité sur les trois circonscriptions : Kevin LEGENDRE-BONIFACE, le bras droit de Dominique VERIEN et président des Jeunes UDI désigné dans la première circonscription, le conseiller départemental de l’Avallonnais Jordan HEITZMANN, dans la seconde et Nicolas BOURSIN, responsable des Jeunes Républicains 89 dans la troisième.

Dans les jours prochains, le comité de soutien passera à l’offensive en multipliant les actes de présence sur les réseaux sociaux. A défaut de grands raouts publics contraints d’être abandonnés du fait de la crise sanitaire.

Toutefois, Guillaume LARRIVE promet quelques réunions publiques dans le respect d’un cadre législatif spécifique à la tenue de cette élection présidentielle qu’il a fait voter via un amendement par l’Assemblée nationale il y a peu. Moralité : on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même !

 

Thierry BRET

 

 


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Impératif horaire oblige, devant regagner Paris où l’attendait d’autres rendez-vous professionnels dans la soirée, le directeur de la Banque des Territoires Olivier SICHEL ne s’est malheureusement pas trop attardé dans la capitale du Centre Yonne où il fut accueilli par son édile Nicolas SORET. Qu’importe ! Le plaisir de venir apposer sa griffe sur plusieurs documents officiels engageant l’établissement dans le soutien financier à la collectivité n’en fut que plus intense.

 

JOIGNY : La venue du numéro un de la Banque des Territoires dans la ville la plus importante du Centre Yonne ce jeudi 06 janvier 2022 ne s’est pas trop éternisée, la faute incombant à un agenda trop chargé. Nonobstant, Olivier SICHEL a pris soin de souligner le plaisir qu’il avait à signer les différentes conventions de partenariat qui engagent l’établissement national aux côtés de la collectivité icaunaise.

Une rencontre entre vieilles connaissances en fait, comme devait le préciser tout de go lors de sa prise de parole le responsable de l’entité, organe directionnel du groupe Caisse des Dépôts.   

« Nous avions déjà eu l’occasion de nous croiser à maintes reprise, devait-il déclarer à l’issue de la cérémonie protocolaire, accueillie dans l’un des salons de l’hôtel de ville de Joigny, on s’est même retrouvés en Gironde lors d’un évènementiel il y a deux ans ».

Invité par le troisième vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté à s’immerger au cœur d’une des « Petites Villes de Demain » (PVD), programme visant à améliorer la qualité de vie et l’accompagnement des transitions en milieu rural lancé le 01er octobre 2020, Olivier SICHEL ne pouvait répondre à cette sollicitation que par l’affirmative. Honorant ainsi son premier déplacement de l’année en Bourgogne du Nord, un petit cocorico des plus sympathiques pour nos couleurs !

Précisons que le programme PVD permet aux villes de moins de vingt mille habitants (c’est le cas de Joigny) de bénéficier d’un soutien spécifique de l’Etat et de ses partenaires (la Banque des Territoires) pour élaborer et mettre en œuvre leurs projets de revitalisation. Une stratégie qui s’intègre parmi le Plan de Relance et qui vise à assurer le développement des territoires ruraux.

 

 

« C’était très important pour ma part d’être présent à Joigny, ajouta le directeur de la Banque des Territoires, de me nourrir de ce qui se réalise concrètement sur le terrain. Voir comment on pense la mobilité, la manière dont on se projette dans l’aménagement. On a pu évoquer également avec Nicolas SORET la transition énergétique ou le développement des circuits courts… ».

En substance, Olivier SICHEL ne voulait pas manquer également le contact privilégié qu’il aura eu avec deux de ses collaborateurs, chevilles ouvrières du relais opérationnel de la structure sur le terrain.

« Rencontrer les équipes qui effectuent le travail de proximité est une évidence pour moi, devait-il conclure, c’est très important d’aller soutenir l’artillerie… ».

Un clin d’œil appuyé à Mathieu AUFAUVRE, directeur régional de la Bourgogne Franche-Comté et à Aurélie GAUCHEY, chargée de mission et de communication. Puis, le « général » de la Banque des Territoires pouvait regagner Paris par la voie ferroviaire, dare-dare !

 

Thierry BRET

 

 


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