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C’est par un simple communiqué de quelques lignes, adressé à l’ensemble des réseaux économiques et institutionnels de la région Bourgogne Franche-Comté que le directeur de la structure de développement et d’aide aux entreprises de l’Yonne a annoncé il y a quelques jours son désir d’interrompre une mission professionnelle pourtant entamée il y a déjà dix-huit ans. Soutenu dans son choix par sa présidente Malikha OUNES, Francis MOREAU a décidé de s’orienter vers une carrière 100 % privée après s’être accordé le temps du mûrissement de la décision. Plein de projets et fourmillant d’idées, ce cadre qui aura servi avec abnégation et fierté le territoire régional entend bien accompagner désormais les besoins des entreprises dès l’automne. Il nous a accordé une interview exclusive expliquant son bilan et les véritables raisons de son départ…

AUXERRE : A la date du 04 juin 2018, vous annonciez une nouvelle qui a surpris au sein du landerneau économique et institutionnel de l’Yonne, votre départ au 31 août prochain. Quelles en sont les raisons ?

Elles sont éminemment personnelles. J’ai un profil de développeur. Par le passé, il m’est déjà arrivé d’être sur le point de partir. A chaque fois, il s’agissait d’une période où « Yonne Active Création » était en période de « pause » dans son développement. Et puis, un nouveau projet était à développer : le prêt de transition, le financement d’entreprises en Afrique, l’accompagnement des travailleurs indépendants bénéficiaires du RSA, les levées de fonds…

Aujourd’hui, j’ai d’autres projets de développement pour « INITIACTIVE 89 ». Mais, compte tenu de l’arrivée de la loi NOTRe, ceux-ci ne pourront pas être envisagés avant deux à trois ans. Avant la structure avait trois financeurs principaux : le Département, la Région et la Caisse des Dépôts et Consignations. Il était plus facile de se projeter rapidement sur de nouvelles actions. Aujourd’hui, ce sont une quinzaine d’organismes financeurs auprès desquels il faut faire beaucoup de pédagogie. Il nous est demandé de ne « pas faire plus » pour le moment.

En conséquence, je n’y trouve plus mon compte. Et, encore une fois, attendre n’est pas dans ma nature. Enfin, après une vingtaine d’années, je pense avoir fait suffisamment le job au service du territoire. Il est temps de passer à autre chose…

Cette décision a-t-elle été longuement mûrie et réfléchie ?

Oui ! Cela fait une petite année que l’envie de partir s’est manifestée. Pour une question de calendrier, maintenant, c’est le bon moment.

Comment s’est positionnée votre présidente Malikha OUNES par rapport à la validation de ce choix ?

Elle comprend tout à fait cette décision. Eu égard aux résultats et au service rendu, je ne connais pas de présidente ou président qui n’aurait pas compris ce choix.

Toutefois, on ne peut pas occulter dix-huit années de son existence vécues au sein de cet organisme, qui a su évoluer au fil du temps…Quel regard portez-vous sur cette institution au terme de votre parcours ?

Aujourd’hui, l’Yonne est l’un des rares départements, peut-être le seul d’ailleurs, à disposer d’une structure en capacité de financer les entreprises TPE et PME à n’importe quel stade de leur existence : création, reprise, difficulté, développement, levée de fonds.

Pour une entreprise icaunaise, vous n’avez que trois portes principales auxquelles frapper pour savoir si vous pouvez être aidé financièrement : INITIACTIVE 89, BPI et la Région. Dans la plus part des départements, ce sont de six à dix portes.

Plus de 300 messages de sympathie de la sphère entrepreneuriale…

Vous avez déclaré dans un communiqué que « vous aviez fait le choix de prendre une nouvelle orientation professionnelle 100 % privée ». Pouvez-vous nous expliquer cette phrase ?

Au sein d’INITIACTIVE 89, j’ai un pied dans le monde économique et un pied dans le monde institutionnel et politique. Ces deux mondes ne se fréquentent très peu, voire pas du tout. Tout simplement parce qu’ils fonctionnent avec des objectifs différents. Dans le secteur privé, l’objectif est simple : faire fonctionner un business rentable pour être toujours présent demain. Dans le public, c’est parfois moins rationnel que cela avec une absence de réactivité car les process de décision sont très longs, voire même trop longs. Ensuite, à chaque nouvelle échéance électorale, ce sont de petits tangages…après également…

Suite à l’information de mon départ, j’ai reçu presque trois cents messages de sympathie, d’encouragement,… Enormément du secteur privé, dont je me sens beaucoup plus proche, avec par exemple « Bienvenue chez nous ! ».

J’ai toujours essayé d’avoir cette approche privée au sein d’INITIACTIVE 89. Pour moi, les clients sont les chefs d’entreprises. Il est nécessaire de structurer et organiser un fonctionnement permettant de rendre le meilleur service possible : réactivité, souplesse,… Cela peut créer parfois de l’inconfort, mais nous sommes au service des entreprises, et pas l’inverse. Cette approche est payante puisque la Cour des Comptes a relevé dans son audit que nous avions une production par ETP deux fois supérieures à la moyenne nationale par rapport à mes collègues, consœurs et confrères.   

Quelle sera la mouture de votre projet professionnel ? Exercerez-vous toujours vos activités en Bourgogne Franche-Comté ?

Toujours dans le conseil d’entreprise, en Bourgogne Franche-Comté et au-delà.

Quel est votre meilleur souvenir à la tête de Yonne Active Création, devenue ensuite « Initiactive 89 » ?

Il est difficile de ne parler que d’un seul souvenir. Certains font place à l’émotion. Nous sommes l’un des rares territoires à disposer d’un financement pour les entreprises en difficulté. Lorsqu’au terme d’un comité d’investissement, vous avez les larmes du dirigeant de l’entreprise que vous venez de sauver : c’est l’aboutissement du travail.

De la fierté face au service rendu. Il nous arrive de dépanner BPI sur certains dossiers simplement parce que j’ai créé des outils financiers configurés pour répondre à des demandes précises, émanant des besoins des entreprises. Quand BPI est bloquée depuis quatre mois sur un dossier et que vous rendez possible en quinze jours ; quand les chargés d’affaires BPI mettent en titre de mail « help ! »…  Je suis fier de voir que le gros a besoin du petit.

Concernant mon intervention à l’Assemblée nationale sur le prêt de Transition en début d’année, j’ai échangé au siège de BPI en avril avec un responsable de la création de nouveaux financements. Il est fort probable que je sois sollicité d’ici six mois à un an pour aller plus avant sur le financement par BPI des entreprises en fragilité.

Vous avez dirigé une équipe de plusieurs collaborateurs durant toutes ces années ; est-ce qu’ils vous regretteront ?

C’est à eux qu’il faut poser la question. Je ne sais pas s‘ils me regretteront. Mais pour ma part, j’ai cette satisfaction de les voir arriver au travail le matin de bonne humeur.

« Ne pas trop se prendre au sérieux à l’échelon de l’Humanité… »

Quelles sont, selon vous, les qualités d’un manager pour la tenue d’une fonction aussi importante et stratégique que celle-ci ?

Je ne sais pas si l’on doit parler de qualité. Ce que je sais c'est, c’est que les structures telles qu’INITIACTIVE 89 sur d’autres territoires, sont toutes le reflet de la personnalité des directeurs. Toutes fonctionnent avec des environnements différents et des managers différents. Pour ma part, en interne je considère que pour avoir une équipe performante, il faut qu’il y ait de la bonne humeur. Il faut savoir prendre de la hauteur et se projeter sur du moyen terme.

Sur le plan institutionnel et politique, mon conseil c’est plutôt de ne pas prendre tout cela au sérieux…La terre existe depuis plusieurs milliards d’années. L’homme n’est rien dans cette histoire, et dans cent ans, plus personne ne se souviendra de nous. A part certains de nos descendants intéressés par l’arbre généalogique de la famille, alors…

Dans les messages de sympathies reçus, on m’a dit que j’étais disponible, perspicace, persévérant, téméraire et endurant avec de la droiture,… Visiblement, ce sont des qualités que j’ai développées.

Si vous deviez faire, en quelques chiffres clés, le bilan de vos dix-huit années de présence quel serait-il ?

Trois mille entreprises ont été financées avec la création de 5 500 emplois. Nous représentons 21 % de l’activité régionale Bourgogne Franche Comté

Quels auraient pu être les challenges que vous auriez portés si vous étiez restés à votre poste ?

En attendant que la loi NOTRe soit digérée, la création spécifique de financements dédiés à l’agriculture et aux activités para-agricole, la mise en place d’un fonds d’investissement (il est possible que je le fasse à titre privé), la mise en place d’évènements liés à la promotion du territoire, la déclinaison du prêt de transition, …

Eprouvez-vous de réels regrets au terme de cette mission ?

Je ne suis pas d’un tempérament nostalgique ni à revenir sans arrêt sur le passé. Je suis plutôt à regarder vers l’avenir. Donc à vrai dire,  je ne sais pas si en faisant des choix stratégiques différents, nous aurions été encore plus performants, mais non pas de regret.

L’approbation de la Cour des Comptes : une victoire…

La Cour des Comptes a rendu un rapport valorisant le travail de votre structure. Quelle analyse faites-vous de cet avis ?

Il a permis au territoire de prendre conscience du formidable outil de financement d’entreprises dont il dispose. Quand on nous dit qu’il n’est pas courant d’avoir un audit de la Cour des Comptes positif à l’égard de ses activités : performant, pas cher, règles rigoureuses de fonctionnement,… ! Indépendamment de l’aspect quantitatif, la Cour a réalisé un travail qualitatif qui me semble au moins aussi important, sinon plus.

Pensez-vous que l’on peut faire davantage pour les porteurs de projets et les entreprises aujourd’hui ?

Oui ! On peut faire bien plus si les moyens sont correctement utilisés et si on se met à la disposition des entreprises. Et non pas l’inverse…

On dit souvent que l’Yonne ne brille pas au niveau économique malgré les pépites entrepreneuriales qui y exercent leur activité. Est-ce fondé ?

Ce qui manque à l’Yonne, c’est un discours unique et unifiés de la part de nos représentants. La loi NOTRe morcelle davantage les territoires. A cela, il faudrait que chacun fasse ce qu’il prétend faire pour ne pas créer de désillusion.

Votre futur projet professionnel serait-il consacré à la rupture avec ces affirmations ?

Je suis sur un projet personnel donc pour moi, difficile de dire être en rupture. Néanmoins, il est probable que je continue à m’investir en parallèle de manière bénévole sur certains types d’accompagnement d’entreprise.

Prendre une telle décision n’est pas toujours évidente : êtes-vous un homme heureux à la veille de ce nouveau départ ?

Je suis un homme plein de projets !

Qu’est-ce qui vous motive tous les matins avant de débuter la journée ?

La perspective de ne pas faire la même chose que la veille…

Continuerez-vous à travailler indirectement avec INITIACTIVE 89 une fois parti ?

Dans la mesure où je continue à m’investir sur certains sujets économiques icaunais, il est possible que je sois toujours en lien avec INITIACTIVE 89.

Que souhaitez-vous à votre successeur ?

Que l’équipe lui dise : « c’est vachement mieux avec vous qu’avec Francis ! ».


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Les liens de l’amitié sont indéfectibles bien au-delà du temps qui passe et de l’espace géographique où l’on vit. Ceux qui unissent l’icône du Septième art au chef doublement étoilé de « La Côte Saint-Jacques » illustrent ces attaches solides, construites pas à pas et de manière immuable dans notre existence. Une affaire d’hommes, en somme. A l’instar des personnages de tempérament et éternels incarnés par l’acteur fétiche d’Henri VERNEUIL ou de Georges LAUTNER qui a voulu témoigner par sa présence à Joigny son profond respect pour la valeur sûre de cette gastronomie française poussée à son paroxysme au fond de l’assiette. Qui d’autre, en effet, aurait pu remettre une telle distinction, cette séculaire et prestigieuse Légion d’Honneur, au professionnel des arts de vivre et de la table qui procure tant de plaisir aux épicuriens de cette planète ?

JOIGNY : Entre « Le Samouraï » et le subtil créateur de « la poularde de Bresse à la vapeur de Champagne », le tissage de ces liens d’amitié ne date pas d’hier. Au fil des années, entre ces deux personnages charismatiques, ces moments de partage se sont même transformés en liens quasi familiaux. Tant avec les parents de Jean-Michel, Jacqueline et Michel, figures emblématiques de cet univers cosy et référence de l’art de vivre en Bourgogne depuis bientôt sept décennies qu’avec le chef, encore tout auréolé de la Légion d’Honneur, à la tête de cette incontournable vitrine culinaire à l’échelle mondiale dont « La Côte Saint-Jacques » est aujourd’hui le vaisseau amiral.

Aficionados de ces succulences gastronomiques qui émerveillent le palais, Alain DELON fréquente l’établissement de Joigny depuis fort longtemps. Il y possède ses habitudes, tout en exprimant ses préférences culinaires et ses coups de cœur gustatifs.

Une remise de décoration entre deux habitués des distinctions honorifiques…

Lui-même Officier de la célèbre distinction imaginée par Napoléon Bonaparte le 19 mai 1802 ainsi que Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres, le comédien sait ce que peut procurer pour un nouvel impétrant la remise de la médaille et le fameux ruban rouge.  

Fait chevalier dans l’Ordre national de la Légion d’honneur en juillet 2016, Jean-Michel LORAIN a eu parmi ses titres de gloire l’immense mérite d’être l’un des plus jeunes chefs de l’Hexagone à décrocher les trois étoiles au Michelin en 1986, à l’âge de 27 ans. Une récompense inoubliable pour le protégé de Freddy GIRARDET, avec qu’il a appris à faire ses gammes dans le métier. Cela se passait en Suisse, à « L’Hôtel de Ville » à Crissier.

Fier de cette reconnaissance nationale et heureux de la partager aux côtés de ses proches et de ses amis (plus de cent-cinquante convives assistaient à cette cérémonie émouvante), Jean-Michel LORAIN n’a pas fini de nous surprendre par la qualité inouïe de sa cuisine et son appétence aux relations humaines épanouies…


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AUXERRE : Le spécialiste de la maîtrise des risques techniques, humains et environnementaux dans les milieux professionnels procède à l’heure actuelle au renforcement de son effectif dans l’Yonne.

Implantée à Auxerre, l’agence départementale APAVE vient de recruter deux nouvelles personnes afin de grossir les rangs de ses équipes de techniciens. La première des deux embauches concerne un poste en électricité et mécanique.

La seconde offre d’emploi se rapporte à une fonction d’ingénieur susceptible d’intervenir sur des machines qualifiées de « dangereuses ».

Les deux nouveaux postes à pourvoir de suite seront complétés dès le mois de septembre par une arrivée supplémentaire au sein de l’entreprise.

En effet, Jean-Luc VIET, chef d’agence d’APAVE Auxerre, a confirmé son besoin d’une assistante commerciale. Cette dernière viendrait compenser un départ à la retraite survenue dans cet intervalle.

Enfin, le quatrième emploi est, quant à lui, programmé au cours de l’automne. Il s’agira d’un poste d’électricien qui lui aussi se substituera à un départ volontaire d’un collaborateur désireux de profiter de son inactivité légitime.

L’effectif se renforcera à l’amorce de la nouvelle saison. Cela permettra au nouveau responsable de l’agence icaunaise de décliner une politique stratégique efficiente. Celle-ci s’articule entre le contrôle et la vérification des risques parmi les milieux professionnels mais aussi le développement de cycles de formation.

Rappelons que l’entité APAVE Auxerre s’est dotée d’un centre spécifique, créé il y a trois ans. Un investissement que le dirigeant de la société qualifie d’opportun car très opérationnel depuis sa mise en service.


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Le spécialiste de la maîtrise des risques techniques, humains et environnementaux bénéficie depuis peu du savoir-faire de l’ancien chef d’agence de sa vitrine auboise. Affecté dans l’Yonne, cet ingénieur en mécanique pilote aux côtés de ses vingt-deux collaborateurs la ligne stratégique d’une entreprise dont la pérennité est devenue un précieux sésame. Celle-ci a commémoré son cent-cinquantième anniversaire en 2017…

AUXERRE : Accordant un vif intérêt aux relations humaines, le nouveau capitaine du vaisseau APAVE Auxerre a rappelé lors de son mot introductif qu’il serait très respectueux et à l’écoute constante de ses partenaires durant sa mission.

Ceux-ci étaient précisément conviés à prendre part à un après-midi récréatif de bon aloi dans le complexe du karting local. Ayant au préalable débuté par un cocktail de bienvenue, cette prise de contact informelle avec les clients et partenaires de l’entreprise a eu les effets escomptés : optimiser des liens relationnels déjà en étroite osmose.

A la tête d’une équipe de 22 collaborateurs, Jean-Luc VIET souhaite, après un temps légitime de quelques semaines d’observation, apporter de la valeur ajoutée à son unité de travail.

Natif de Seclin (Nord) où il est né il y a quarante-deux ans, le garçon possède dans ses gênes ce sens profond de la sympathie et de l’aisance oratoire. Qu’il dégage à la première prise de parole avec autrui.

Occupant une fonction similaire à Troyes, ce diplômé en ingénierie de la mécanique possède une excellente maîtrise de l’univers industriel. Il l’a fréquenté de près, étant intégré auparavant chez ALTRAN.

Marié, ce père de famille de trois enfants a également exercé ses talents dans la capitale. Avant de rejoindre le groupe APAVE, il y a une décennie de cela.

Un ADN composé de principes éthiques…

Premier organisme à avoir su valoriser la valeur ajoutée de ce segment économique (le monde de la maîtrise des risques professionnels), APAVE n’en oublie pas son métier de base. C’est-à-dire tous les paramètres ayant attrait au contrôle et à la vérification des risques techniques, humains et environnementaux. Cela englobe les secteurs du tertiaire, de l’industrie, du bâtiment, des services et des milieux sanitaires.

Nonobstant, la société a su ajouter des cordes supplémentaires à son arc. La formation qualifiante, aboutissant à la délivrance d’un diplôme, en est la parfaite illustration.

Saine et indépendante, l’enseigne ne se reconnaît pas dans la pratique de la culture du mercantilisme. Même si le chiffre d’affaires de l’antenne icaunaise a enregistré une hausse de 3 % au terme de l’exercice 2017. Soit plus de 5 % de progression au cours de ces trois dernières années.

« Notre ADN, se plaît à dire le dirigeant de l’agence auxerroise en évoquant l’éthique de son entreprise, c’est que APAVE a été portée sur les fonts baptismaux grâce à une association de techniciens ingénieurs spécialisés dans leur domaine de compétences. Dans le respect de valeurs humaines fortes… ».

Depuis peu, la structure a marqué de sa griffe le marché des seniors. En développant une certification unique et reconnue : le label « HS2 », via la déclinaison du programme « Mieux vieillir chez soi »…


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Conforter son rôle d’entrepreneur du territoire. C’est ainsi que se définit cet acteur majeur de la transition énergétique à l’issue de la présentation de son bilan d’activités 2017. Alors que le groupe aux 749 collaborateurs (hors ENEDIS) poursuit le développement tous azimuts d’une énergie 100 % renouvelable et bas-carbone, des perspectives importantes se présentent à lui, comme devait l’énoncer lors de la conférence de presse sa déléguée régionale Christine HEURAUX. L’année 2018 s’annonce particulièrement intense pour EDF Bourgogne Franche-Comté avec des dossiers novateurs comme l’essor de la transition énergétique en milieu rural, la mobilité électrique, et un anniversaire haut en symbole à célébrer : les cinquante ans du fameux barrage de Vouglans (Jura), érigé sur la rivière de l’Ain.

DIJON (Côte d’Or) : Jean-Bernard LEVY avait parfaitement analysé le contexte économique vers lequel évoluerait en 2018 le leader mondial des énergies bas carbone lors de la présentation annuelle des résultats de l’entreprise. L’année en cours se présentait de manière particulièrement intense et intéressante de l’avis du président-directeur-général du groupe EDF.

Cette similitude d’esprit analytique devait être partagée tout récemment par la déléguée régionale d’EDF Bourgogne Franche-Comté, Christine HEURAUX, au cours de sa rencontre avec la presse dans le cadre de la présentation du bilan d’activités 2017.

Un ancrage territorial très prégnant…

Qualifiant l’exercice en cours « d’année de rebond », la présidente et directrice générale d’EDF Bourgogne Franche-Comté a salué la vocation primordiale de son groupe de s’inscrire durablement dans une mission d’entrepreneur au service des territoires. Il est vrai que la lecture des données statistiques qui étayent ces propos se révèle très flatteur pour l’énergéticien.

L’investissement d’EDF Bourgogne Franche-Comté dans le soutien à l’optimisation territoriale se renforce chaque année. Vingt-cinq sites de production d’énergies renouvelables sont ainsi opérationnels dans ce grand bassin régional. Le nombre de chantiers se rapportant à la rénovation énergétique dans l’habitat flirte avec les dix mille réalisations. Soucieux de favoriser l’altruisme, en direction des ménages à faible revenu, la délégation régionale d’EDF a distribué 143 200 ampoules LED.

Côté financement, EDF Bourgogne Franche-Comté a reversé une coquette enveloppe de 707 700 euros au Fonds social solidarité. Quant aux subsides orientés vers le développement de l’emploi via le FAPE, le Fonds agir pour l’emploi, ils s’élèvent à 212 500 euros !

Un engagement efficient en faveur de la formation et de l’emploi…

Très impliqué dans l’innovation ouverte, favorable à l’éclosion de start-ups françaises notamment dans les sphères du numérique (sa participation au premier « Big Up for Start-up » de Besançon l’atteste), EDF continue son engagement en faveur de la formation et de l’emploi, notamment auprès des jeunes. Le groupe aux 6 000 emplois induits a procédé en 2017 à la signature d’une convention de partenariat, à l’échelle de la région, avec le Rectorat et l’Ecole de production de Chalon sur Saône.

Evoquant un autre volet des ressources humaines et de l’emploi au niveau du groupe, Christine HEURAUX a rappelé que « des évolutions étaient engagées à la suite de l’intégration en début d’année de FRAMATOME, devenue filiale à 75,5 % du groupe EDF, et dont l’implantation en Saône et Loire est fondamentale pour l’activité régionale ».   

Produire une électricité 100 % renouvelable et bas carbone : l’objectif prioritaire…

Quant aux projets liés au développement de la transition énergétique, ils se poursuivent. En Bourgogne Franche-Comté, EDF produit une électricité 100 % renouvelable en valorisant les ressources naturelles de la région : l’hydraulique, l’éolien, le solaire et la biomasse.

Portées par la filiale EDF Energies Nouvelles, de nouvelles perspectives de développement, notamment pour le solaire photovoltaïque et l’éolien, vont progressivement émerger sous l’impulsion du vaste plan solaire lancé par le groupe en 2017.

L’énergéticien exploite vingt-cinq sites dans sa zone de prédilection. Dont 23 centrales hydrauliques qui ont produit 462 millions de KWh l’année dernière. L’un des parcs solaire photovoltaïque les plus puissants de l’Hexagone, installé dans l’Yonne à Massangis, comprend environ 700 000 panneaux. Le rendu énergétique en matière de production équivaut à la consommation électrique de 26 000 habitants !

Quant au parc éolien implanté en Franche-Comté, celui du Parc de Lomont dans le Doubs, il permet une production énergétique de 20 MW.

Christine HEURAUX a aussi parlé de la valorisation apportée par les quatorze réseaux de chaleur d’une autre filiale du groupe, DALKIA. Ceux-ci étant principalement alimentés par la biomasse, dont l’entité poursuit le développement avec une nouvelle unité de cogénération opérationnelle à la chaufferie de Péjoces de Dijon Métropole. Nevers dispose également d’une nouvelle chaudière biomasse tandis que Montbéliard a vu son réseau se moderniser.

Précisons que l’usine biomasse ECOCEA, exploitée par la filiale de DALKIA, TIRU, à Chagny a traité en 2017 64 563 tonnes d’ordures ménagères résiduelles et de déchets verts. Soit l’équivalent de 21 millions de KWh injecté sur le réseau.

Toujours plus de projets innovants…

L’an passé, avec le concours des équipes EDF, le groupement BOUYGUES Energies & Services et CITELUM, filiale de l’énergéticien, ont remporté le projet novateur de ville intelligente et connectée (smart city) de la métropole de Dijon. Ce concept de gestion connectée de l’espace public prévoit la création fin 2018 d’un poste de pilotage pour gérer à distance l’éclairage public et les équipements urbains de vingt-quatre communes de la métropole dijonnaise. Les économies d’énergie seront très importantes de l’avis des experts : de l’ordre de 65 % au terme du contrat. Sachant que la rénovation de l’éclairage public sera réalisée avec des solutions 100 % LED…


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