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De passage dans l’Yonne ce 28 octobre et invité à inaugurer l’extension du siège social de la CAPEB à Auxerre, le président national de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment s’est montré optimiste pour les perspectives de sa filière à l’orée de 2018. A condition, toutefois, que les signes favorables à la reprise se maintiennent durablement. Mais, il prévient aussitôt que cette dynamique et le retour aux carnets de commandes mieux garnis sont assujettis aux décisions gouvernementales à valider lors du projet de loi de finances pour l’année prochaine…

 

AUXERRE : « Le mode opératoire de la réussite du bâtiment, c’est simple : cela peut se comparer à un véhicule alimenté au Diesel ayant besoin de préchauffage. Si cela fonctionne bien à l’allumage, alors le véhicule atteindra très vite son rythme de croisière… ».

Muni de ses nombreux dossiers, le président de la CAPEB France constate que la reprise tant attendue est bel et bien là. Mais, sans trop d’exagération. Un frémissement subtil qui se traduit néanmoins par les chiffres. Au terme de l’année 2017, ce sont 4 000 nouveaux emplois qui iront grossir les effectifs des petites entreprises de ce secteur d’activité artisanal ayant souffert de la terrible crise des « subprimes » depuis 2008.

« Si nous relançons l’activité de manière pérenne et que la confiance revienne, alors nous pourrons créer de l’emploi et inciter nos jeunes vers l’apprentissage afin d’inverser la courbe du chômage… ».

En l’espace d’une décade, le bâtiment aura perdu près de 50 000 postes parmi ses entreprises. Sauf en 2016. Où l’actif et le passif en matière de solde d’emploi devaient se stabiliser. Un premier signe devant engendrer l’exercice en cours…

Le crédit d’impôt sur la transition énergétique parmi les priorités…

La reprise actuelle sur le marché de la construction, les programmes incitatifs à la rénovation énergétique, la baisse encore relative des charges dans les entreprises et la hausse du pouvoir d’achat chez certaines catégories socio-professionnelles offrent une conjonction favorable à la relance économique. « Mais, attention, insiste le président de la CAPEB, les crédits à l’investissement s’amenuisent depuis quelques mois : cela est très inquiétant… ».

La sonnerie de son portable ramène Patrick LIEBUS à d’autres préoccupations. Celui des combats quotidiens qu’il livre avec pugnacité à la défense des intérêts de ses adhérents. Le premier d’entre eux concerne le crédit d’impôt sur la transition énergétique, débattu la semaine dernière encore à l’Assemblée nationale. Le gouvernement a déposé un amendement à l’article 8 concernant les modifications immédiates voulues sur la diminution de ce crédit, sur les fenêtres, les portes et les chaudières à fioul. Pour l’heure, rien n’évoluera jusqu’à la fin de l’année. En attendant de nouvelles directives…

« Les artisans doivent le savoir : un client qui a bénéficié d’un devis détaillé de la part d’un professionnel et qui propose un acompte en guise de validation des futurs travaux pourra les réaliser aux mêmes conditions l’année prochaine si les documents sont entérinés d’ici la fin de 2017... ».

Prévue en novembre, une rencontre quadripartite entre les ministères du logement, de la transition énergétique, et des finances, à laquelle seront associés les représentants des syndicats patronaux du bâtiment, CAPEB et FFB, permettra de redéfinir le contenu applicatif du crédit d’impôt en 2018.  Mais, d’autres discussions sont ouvertes sur l’apprentissage, la formation professionnelle et l’assurance chômage avec le Premier ministre Edouard PHILIPPE qui enregistre un déficit de 39 millions d’euros. S’inspirant de l’exemple concret de nos voisins suisses et néerlandais, notamment en matière d’apprentissage, ces rencontres s’effectueraient de manière bilatérale avec les partenaires des filières professionnelles qui auraient leurs opinions à émettre.

Un tour d’horizon des grands dossiers du moment…

Concernant les ordonnances autour de la réforme du Code du Travail, Patrick LIEBUS estime que « c’est une très belle avancée ». Renchérissant à ses propos, il observe « qu’il y a une réelle prise en compte de l’artisanat et de la TPE. Cela correspond à nos souhaits et nous permet de trouver des solutions tangibles afin de sécuriser l’entreprise. Je pense aux embauches et aux risques de désaveu avec un salarié. Pour éviter les problèmes : il y aura l’existence d’un CERFA qui énoncera les règles devant être respectées avant d’engager le processus d’un licenciement… ».

Quant au RSI, le président de la CAPB est favorable à son adossement au régime général mais sous certaines conditions, à savoir sans hausse des cotisations et en conservant les mêmes prestations. « Nous devons rester gestionnaires de cet outil en notre qualité d’indépendants. La mise en place des deux années de transition me semble très importante afin d’éviter les défaillances… ». Enfin, devait-il conclure sur ce thème : « le régime général devra s’assurer que le système informatique soit en capacité de gérer de manière optimale ce futur adossement… ».

Que pense réellement Patrick LIEBUS du compte pénibilité ? Réponse de l’intéressé : « il faut tenir compte des conditions de travail et permettre aux salariés et aux artisans de pouvoir partir avant à la retraite. Cela suppose là aussi des moyens de contrôle accrus et fiables ». La suspension du dossier concernant le prélèvement à la source se justifie pour le président de la CAPEB : « Il n’est pas question que nos entreprises artisanales puissent devenir des préleveurs d’impôts sur le dos de nos salariés, cela engendrait immanquablement des risques de conflit dans nos entreprises… ».

Contrôler les travailleurs détachés grâce à une plateforme européenne…

Reste le dernier volet de ce long entretien : la révision de la directive sur les travailleurs détachés. « A ce propos, beaucoup de travail doit être encore fait en France mais aussi dans le reste de l’Europe. Aujourd’hui, les orientations vont dans le bon sens, avec la limitation du temps de détachement, l’obligation d’un formulaire « A1 » délivré par le régime de sécurité sociale du pays d’envoi qui déterminera si un salarié est affilié au régime général de son pays depuis trois mois, avant d’être détaché dans un autre pays. L’objectif est de sécuriser le salarié détaché lui-même et de lutter avec efficience contre les travailleurs illégaux qui arrivent en nombre sur le territoire. D’ailleurs, à ce titre, la durée de détachement se fera sur un an avec six mois renouvelables grâce à un accord de l’Etat du lieu de détachement. Enfin, la rémunération doit correspondre à l’équivalence du salarié selon sa qualification. Les primes de déplacement et de restauration devant être payés à part…. ».

Patrick LIEBUS en appelle de ses tous vœux à la création d’une plateforme européenne de gestion et de contrôle qui coordonnerait les travailleurs détachés à travers leurs diverses missions professionnelles. Concluant que ce sujet ô combien actuel ne devrait trouver de véritables solutions que lors de sa mise en exergue : en 2022…


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Se rendre chez le 17ème du classement de Ligue 2 ne sera pas chose aussi facile pour les protégés de Francis GILLOT au soir de ce vendredi 27 octobre. Au plan comptable, cinq petits points séparent ces deux formations qui ont connu des fortunes similaires depuis le début du championnat. Même si aujourd’hui, le club bourguignon a repris quelques couleurs en se hissant à la onzième position de ce tableau pour le moins disputé. Mais après son laborieux faux pas contre le Racing Club de Lens (6 à 0), l’équipe de l’Ain aura à cœur de se racheter devant un public chauffé à blanc et en espoir de revanche. Gare à la nasse qui pourrait se refermer inexorablement sur les joueurs auxerrois si ces derniers manquaient d’humilité…

 

AUXERRE : Même si l’international polonais Ludovic OBRANIAK ne sera pas encore aligné sur la feuille de match, les footballeurs auxerrois connaissent néanmoins un net regain de forme depuis plusieurs journées. Et de méritantes victoires obtenues contre des adversaires plutôt coriaces et ayant fait jeu égal avec le team de Francis GILLOT !

Cependant, beaucoup s’interrogent sur la durée de cette dynamique actuelle. Le moral regagne petit à petit le lot des supporters. Quant aux joueurs, ils ont su démontrer sur la pelouse qu’ils étaient capables du meilleur après avoir connu le pire le mois dernier.

Le podium en ligne de mire si les victoires s’enchaînent…

Le coach a retrouvé le sourire même s’il confirme ne pas se contenter que de cela. « Nous ne sommes pas encore à 100 % de nos aptitudes, explique-t-il en conférence de presse, mais nous progressons de manière positive. Les joueurs, y compris les plus jeunes encore peu habitués à ces rencontres de haut niveau, ont su prendre à bras le corps leurs responsabilités. Les entraînements s’effectuent dans le plus grand des sérieux. Si nous poursuivons sur cette lancée, j’ai bon espoir de revenir sur les cinq ou six premiers du peloton de tête…en glanant le maximum de points ».

Il est vrai que la distance est déjà tangible entre le Stade de Reims qui caracole au sommet du classement avec ses 27 points (dix de mieux que l’AJ Auxerre), l’AC Ajaccio (second) et le Paris Football Club (troisième) et l’ensemble de leurs poursuivants. Mais, à bien analyser le haut de tableau de ce championnat : Nîmes (4ème) et Lorient (5ème) ne sont guère éloignés de l’unique pensionnaire bourguignon en Ligue 2.

« Nous avons une marge de progression importante, ajoute Francis GILLOT, et nous devenons plus serein rencontre après rencontre… ».

De là à dire que l’AJ Auxerre puisse prétendre tenir les rôles de premier choix dans cette compétition au cours de ces prochaines semaines n’est pas improbable. Peut-être, comme devait le suggérer l’entraîneur de l’équipe première, « que certains clubs du haut de tableau connaîtront une baisse de régime avant Noël…».

Se méfier du sursaut vengeur de Bourg Péronnas…

Il faudrait alors en profiter avec efficacité pour accumuler les victoires, synonymes de points salvateurs au compteur. Mais, l’étape immédiate de ce long cheminement vers les sommets se nomme Bourg Péronnas. Après le naufrage de l’équipe face à Lens (6-0), les Bressans n’auront qu’une seule envie : se reprendre avec férocité surtout devant leur public.

« Cette équipe possède de très belles qualités offensives, constate Francis GILLOT, ils vont se créer de nombreuses occasions : nous devrons alors les surprendre par des contres assassins… ».

Mais de l’avis du coach auxerrois, jouer chez eux après un tel coup de semonce ne pouvait plus mal tomber pour lui et ses hommes. L’engagement devrait être total lors de cette partie et gare à la casse côté blessures.

« Nous sommes prêts dans nos têtes afin de ne pas être surpris d’un accueil trop viril…A nous de conserver toute notre vigilance à l’arrière ».

Concluant sur l’adversaire du jour, désigné par le sort à l’occasion du 7ème tour de la Coupe de France (11 et 12 novembre), le club de Chamalières (National 2), Francis GILLOT se montre somme toute méfiant.

« C’est une compétition que j’affectionne beaucoup. Il nous faudra aborder ce premier tour avec de l’enthousiasme et de l’exigence, après on se donnera à fond pour espérer ramener ce trophée à la maison… ».

Et loquace de préciser qu’il demanderait des renseignements plus complets au président Francis GRAILLE, originaire de l’Auvergne, où évolue le club du Puy de Dôme !


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TANZANIE : L’élu breton paraplégique, Yann JONDOT, a vaincu le plus haut sommet d’Afrique, au terme d’un périple époustouflant, conçu et réalisé en compagnie des sportifs de l’extrême, Isabelle CHEMIN et Arnaud CHASSERY.

 

Mardi 24 octobre aux alentours de 15 heures, et sous un temps clair et dégagé, ils ont atteint les 5 595 mètres de ce monstre de l’alpinisme, avec beaucoup d’émotion mais aussi de joie.

 

Ce fabuleux exploit, significatif du dépassement de soi-même, était à la base un défi insolite au service de la cause du handicap et de l’accessibilité nécessaire à tous. Un défi qui fera date indiscutablement !


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Recensant plus de 200 000 clients au niveau national pour un chiffre d’affaires de 840 millions d’euros, l’incontournable spécialiste du contrôle et de la vérification des risques emploie plus de 11 400 collaborateurs dont 8 000 techniciens et ingénieurs. Le premier organisme privé dans la gestion de la sécurité en France n’a rien d’un vieillard cacochyme malgré ses 150 printemps ! L’agence de l’Yonne l’a démontré lors de la cérémonie anniversaire où furent invités partenaires et clients. D’ailleurs, une dizaine de nouveaux emplois sont d’ores et déjà programmés à court terme pour étoffer un pôle de compétence ayant fait ses preuves…

 

AUXERRE : Cent cinquante ans de présence sur le marché et pas l’ombre d’une ride ou d’une patte d’oie ! Au point qu’à l’écoute des perspectives énoncées par le directeur d’exploitation, Xavier PIERRY, venu spécialement de Reims pour célébrer avec ses collaborateurs ce sympathique anniversaire, on a l’intime conviction que cette entreprise séculaire, référence dans le domaine de la maîtrise des risques, a découvert l’élixir de la jeunesse éternelle !

APAVE demeure une institution inéluctable, gage de sérieux et de professionnalisme auprès de bon nombre d’entreprises, ayant à suivre leurs cycles préventifs de formation ou à profiter de leur expertise. Aujourd’hui, ce groupe qui flirte aussi à l’international vers l’Afrique francophone, se décline autour de ses métiers traditionnels, à base de vérification et maintien des niveaux de sécurité des bâtiments, mais aussi l’accompagnement de la clientèle sur la maîtrise des risques.

Société anonyme depuis une décade, APAVE ne cesse de poursuivre sa progression au niveau de son volume d’affaires. Celui-ci se conforte vers les industries et les secteurs du BTP, mais également vers les collectivités locales et territoriales.

Passer d’un profil de technicien à celui de prestataire de services

« Historiquement, la première des structures qui a amené à la création de l’APAVE date de 150 ans, explique Xavier PIERRY, cela s’est déroulé à Mulhouse. Ce sont des industriels qui, sous le sceau du volontarisme, ont décidé de se réunir et de prendre en compte la plus belle des valeurs de l’entreprise : l’homme. Car, immédiatement, les objectifs de cette structure novatrice étaient de réduire le nombre d’accidents et de garantir un niveau de sécurité optimal au sein des outils de production… ».

Rien n’a changé d’un iota dans la ligne stratégique du groupe français. Dans l’Yonne, APAVE fonctionne avec beaucoup de réussite autour d’une vingtaine de collaborateurs aiguisés à la maîtrise du risque. L’avenir se dessine chaque jour en optimisant le bien-fondé de la structure.

« D’ici trois ans, positive Xavier PIERRY, une dizaine de nouveaux recrutements nous auront permis de répondre au plus près aux enjeux de la formation professionnelle, autre volet sur lequel nous intervenons. Nous possédons un programme de formation vers les métiers en tension sur différents bassins économiques (exemple : conducteur de ligne sur les aspects mécaniques et hydrauliques…) ; nous allons donc proposer à nos partenaires des parcours de formation encore plus aptes à leurs réelles attentes… ».

On le constate l’évolution de l’Association des propriétaires des appareils à vapeur et électrique (APAVE) est palpable à tous les étages. Intégrer l’ensemble des compétences autour des missions d’aides à la décision, afin de booster les niveaux de performance des entreprises constitue le socle fondamental de cette entité dont l’une de ses valeurs essentielles demeure l’humain.

Vers un équipement et des interventions imputables au numérique

Demain, l’impact de l’environnement professionnel sur l’APAVE sera la digitalisation à outrance avec une refonte de l’offre et le reformatage de celle-ci dans une approche Big data. Conscient de ces nouvelles strates intellectuelles dont il faudra s’inspirer, Xavier PIERRY, sait que le métier est susceptible d’évoluer très vite. Mais, le groupe s’y prépare et semble prêt à relever ce défi et balaie d’un revers de la main son âge qui lui offre autre chose qu’une simple notion de sagesse. Grâce aux canaux numériques, à partir du partage des informations collectées çà et là, en proposant des tarifications en ligne, tout en priorisant ce qui a fait le sel de cette entreprise : son ancrage de proximité.

Enfin, sur le volet de la certification, APAVE est encore peu reconnue alors que ce besoin est prioritaire auprès de nombreux entrepreneurs. « Nous avons là une très belle carte à jouer, concède le directeur d’exploitation rémois, notre groupe endossera le rôle d’organisme certificateur au cours de ces prochaines années… ».

APAVE continue sa mue tranquillement en revêtant son habit de prestataire de services où l’accompagnement du client (avec la réactivité, la qualité, l’aide à la décision) devrait lui conférer encore de belles perspectives tant au plan commercial que technique. Une entreprise qui n’a pas l’âge de ses artères, en vérité !


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Le Centre interprofessionnel de formation par alternance des apprentis de l’Yonne est devenu depuis l’inauguration de ses nouveaux modules pédagogiques le 18 octobre à Auxerre l’un des établissements français les plus performants et originaux à bien des égards. Soutenu par le poids lourd planétaire de la cosmétique, « L’OREAL », via le salon de coiffure « Emotion » unique en France, et déclinant par l’intermédiaire du spécialiste de la haute technologie, IDXPROD, la première boutique virtuelle « CLIC STORE », une aide digitale à la vente, le CIFA de l’Yonne mise sur la quintessence de la formation en intégrant modernisme et innovation à tous les étages…  

 

AUXERRE : Parce que la pratique de l’apprentissage et de l’alternance le valait bien, le CIFA de l’Yonne, établissement soutenu financièrement par la Région Bourgogne Franche-Comté et l’ensemble des acteurs institutionnels du département, n’a pas hésité à prendre un virage à 360° dans sa stratégie de développement. Ce chemin qui le propulse désormais vers la voie noble de l’éducation a su contourner moult obstacles et péripéties pour se diriger uniquement vers ce désir louable de modernité. Un modernisme que le président Michel TONNELIER, expliquera lors de son discours inaugural, prélude à de nombreuses arguties justifiant les choix de l’équipe actuelle.

Créé en 1975, le CIFA de l’Yonne aura accueilli plus de 21 000 élèves, devant se former dans les filières de l’hôtellerie/restauration, de la coiffure et de l’esthétisme, de la mécanique, de la gestion et du commerce, des métiers de bouche. Obtenant au passage des taux de réussite de bon aloi : 80 % de jeunes diplômés à l’issu de leur séjour et 85 % d’intégration dans la vie active au bout de six mis avec un emploi dans sa besace.

Cap vers la modernité et les hautes technologies !

Proposant une charte pédagogique basée sur les principes de l’excellence (organisationnelle, logistique, matérielle, humaine, civique, éducative et même vestimentaire), le centre de formation d’Auxerre dirigé par Marcel FONTBONNE n’a pas ergoté lorsqu’il aura fallu faire des choix sur son adaptabilité au monde moderne. En particulier, celui des nouveautés technologiques.

Premier temps fort : le rapprochement avec les équipes marketing de L’OREAL. De ces contacts fructueux naîtra le concept du salon « Emotion », dont l’établissement icaunais peut se targuer aujourd’hui de posséder l’unique fleuron en France. Il permet aux jeunes filles de découvrir le métier de la coiffure dans des conditions optimales.

Seconde étape : la rencontre providentielle avec l’entrepreneur d’Auxerre, Yannick DAVOUSE. Le responsable de la société IDXPROD élabore un projet exceptionnel ayant pour nom de baptême : « CLIC STORE ». Cette boutique virtuelle de vente entraîne à l’aide d’un programme à haute technicité les jeunes gens en quête de savoir vers des pérégrinations ludiques et éducatives insolites mais ô combien réalistes, immergeant les apprenants au cœur de commerces, certes fictifs, mais occupant l’espace d’images murales saisissantes.

A cela, on pourrait ajouter le nouvel équipement du pôle mécanique avec l’acquisition d’un banc d’équilibrage et une maquette de climatisation en 3 D, soutenue par l’ANFA (Association nationale pour la formation automobile) ; la présence d’une cave de maturation pour affiner la viande à la manière d’un Jean DENAUX, le célèbre boucher de Sens spécialiste de ce procédé ou encore l’antre chaleureux de la boulangerie/pâtisserie décliné sous l’appellation appétissante : « Mille Feuilles N’Co »…

Un budget de 88 millions d’euros émanant de la Région

Au-delà des considérations pédagogiques, le volet modernisation des infrastructures n’aura pas été oublié pour autant avec la création du City Stade (complexe de sport où peuvent se défouler les jeunes gens entre leurs cours théoriques et pratiques), la réhabilitation du foyer et de l’internat (450 000 euros de budget), etc.

Le CIFA de l’Yonne accueille chaque année plus de mille adolescents en quête d’un avenir meilleur. Plus d’une centaine d’adultes y suivent également des cours dans le cadre de cycles de formation continue. Tous profitent à l’unisson de cet environnement qui aura aussi émerveillé les élus, les représentants des corps institutionnels et les entrepreneurs conviés à cette manifestation.

A l’instar de Murielle CAULLET-VERGES, représentant la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, qui devait procéder sous le feu nourri des flashs photographiques à la découpe du ruban officiel. Elle devait évoquer le rôle primordial joué par la Région au service de l’apprentissage avec une enveloppe budgétaire de 88 millions d’euros allouée aux besoins des 18 880 apprentis qui fréquentent annuellement les 53 centres de formation.  

Petit clin d’œil du hasard, qui fut relevé par l’élue régionale : le CIFA de l’Yonne inaugurait ses nouveaux locaux au moment même où se déroulaient bien loin de là, à Abou Dhabi, les finales des olympiades des métiers auxquelles participait une délégation bourguignonne. Un signe du destin pour les jeunes pousses du CIFA d’Auxerre ?


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