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Certes, c’était une promesse de campagne prononcée en 2022. Mais, il semble bien aujourd’hui face à la recrudescence des incivilités et des émeutes à répétition qui secouent régulièrement le pays que le chef de l’Etat ait voulu taper du poing sur la table en prenant cette décision et en l’accélérant coûte que coûte.

Dès le début de la semaine prochaine, en déplacement dans une localité du Lot-et-Garonne, Emmanuel MACRON dévoilera la carte des deux cents nouvelles brigades de gendarmerie qui vont être ainsi constituées dans l’intervalle de 2027 en France.

Qu’elles soient fixes ou mobiles, ces brigades réparties aux quatre coins de l’Hexagone permettront de déployer au plus près des Français plus de deux mille nouvelles recrues, soit 2 144 gendarmes plus exactement, amenées à rassurer et à sécuriser les citoyens dans leur quotidien.

Des citoyens qui n’en peuvent plus de subir les affres des petites frappes dans les banlieues, des dealers et leurs immondes trafics dans les zones urbaines, des cambriolages se densifiant à qui mieux mieux jusqu’aux tréfonds de la rase campagne !

De quoi tordre le cou aux idées reçues et fabriquées parfois de toute pièce concernant le laxisme étatique, et celui de la gouvernance qui ne prendrait pas les mesures adéquates pour endiguer réellement les problèmes.

 

Une mesure historique depuis 1791 !

 

Selon une source élyséenne, cet engagement sécuritaire fort de la Nation n’a d’autre but que d’optimiser les efforts de sécurisation envers les Français. Et, de démontrer en toile de fond que le locataire du Château réaffirme son titre de président des territoires. Même si celui de l’Yonne, en particulier, se sent toujours aussi orphelin de l’absence de visite présidentielle depuis maintenant six ans et le début de la mandature d’Emmanuel MACRON. Il se susurre tout de même dans les chaumières que notre attente ne sera pas vaine très longtemps puisque un prochain congrès national sur la santé, accueilli dans l’antre d’AUXERREXPO le 11 octobre, pourrait voir la venue du chef de l’Etat et d’un quarteron de ministres et secrétaires d’Etat afin d’inaugurer ledit évènementiel ! Mais, là, n’est pas le propos du jour.

Qualifiée « d’effort historique » par le porte-voix de l’Elysée, la mesure est d’importance car jamais une telle décision n’avait été prise depuis l’apparition de la gendarmerie nationale datant de…1791 ! Le 16 février, précisément où fut instaurée la naissance de l’institution nouvelle, résolument plus moderne dans son mode de fonctionnement.

 

 

Brigades mobiles et fixes selon les besoins

 

Si, aujourd’hui, 3 500 brigades de gendarmerie sont opérationnelles sur la France métropolitaine et les DOM-TOM, cela n’était pas suffisant pour répondre aux nouveaux périples d’une société, davantage orientée vers la violence et l’agressivité. Le lot quotidien des faits divers qui ornementent les colonnes de certaines gazettes est là pour le rappeler à nos mémoires : le monde change de peau, comme l’interprétait en 1978 un certain Alain SOUCHON, et il devient laid plutôt que beau.

Dans l’absolu, et la carte hexagonale qui sera officiellement présentée ce lundi 02 octobre dans le Sud-Ouest de la France le confirmera, ce sont d’une à quatre nouvelles brigades qui fleuriront par département. Toutefois, attention, il y a un sérieux particularisme dans ces créations.

Ces nouvelles brigades pourront être mobiles – la majorité d’entre elles, apparemment, pouvant se constituer autour d’une force d’une demi-douzaine de militaires qui pourront se mouvoir à bord de camions ou de véhicules automobile dans les communes ou fixes où dans ce registre-là, elles accueilleront une dizaine de personnels installés dans des locaux à construire, à rénover ou déjà existants. C’est le choix du roi quant à la formule retenue au cas par cas selon les possibilités offertes par territoire en lien avec les élus.

 

 

Plus de 500 brigades supprimées entre 2009 et 2016

 

Mais, attention, précise la source élyséenne contactée ce vendredi après-midi par voie téléphonique, qui dit brigade mobile, dit qualité et sérieux dans les moyens mis à disposition pour les militaires, tant au plan numérique que technologique ! Il ne manquerait plus que cela que les brigades mobiles soient au rabais par rapport aux autres, les fixes, qui disposeraient des édifices et du matériel adéquats !

Si l’enveloppe budgétaire globale s’élève à quinze milliards d’euros sur cinq ans – la somme est inscrite dans la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur -, il faut savoir qu’à l’unité, le coût d’une brigade mobile à l’année revient à environ 70 000 euros de fonctionnement. Coût nettement plus complexe à calculer pour une brigade fixe qui doit s’appuyer sur les frais inhérents liés aux bâtiments.

C’est à partir de novembre de cette année que les premières brigades mobiles verront le jour. Un sacré pied-de-nez fait aux anciennes gouvernances (surtout celle de Nicolas SARKOZY !) qui avaient largement épuré les forces de l’ordre dite de proximité et supprimé plus de 10 000 fonctionnaires de leurs rôles.

Rendant obsolète et de manière incertaine la présence policière dans les grands ensembles en Ile-de-France ou dans les agglomérations importantes du pays. Sur la période comprise entre 2009 et 2016, ce furent cinq cents brigades qui passèrent de profit à perte, sans crier gare…Or, les mêmes qui avaient pris ces décisions s’étonnent aujourd’hui de la remontée fulgurante des infractions et de l’incivisme dans le pays !

Quant à ces affectations, elles seront déployées dans les territoires ayant besoin de l’Etat et besoin de sécurité. A vrai dire, ce n’est pas ce qui manque dans le landerneau !

Les préfets auront au préalable transmis les dossiers de candidature au ministère de l’Intérieur avant que le verdict ne soit rendu.

Enoncé des réponses : ce 02 octobre avec sans doute des surprises agréables pour certains de nos compatriotes, et son lot de déception pour ceux qui espéraient davantage d’écoute…

 

Thierry BRET

 


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L’opération, à 100 % altruiste, en appelle nécessairement d’autres. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute dans l’esprit de ce chef d’entreprise humaniste. Aider son prochain ne lui pose aucun problème. Y compris en prenant sur soi et son précieux temps de travail ! Quinze jours durant, Jérôme LECOMTE offrira ses services, en qualité d’opticien, au profit de l’association « Pour les Yeux du Monde ». Une immersion à bord d’un bateau hôpital, naviguant sur le Mékong, pour y prodiguer conseils, soins et interventions…

 

AUXERRE : Drôle d’équipage que celui-ci ! Ils seront sept praticiens et professionnels de santé à embarquer sur le navire affrété par la structure associative, « Pour les Yeux du Monde », dans cette belle aventure faite de solidarité et de générosité, sur le Mékong. Ce fleuve, l’un des plus longs de la planète, traverse plusieurs pays de l’Asie du Sud-Est dont le Cambodge, étape privilégiée de cette expédition sanitaire importante.

Il est donc loin le temps du Kampuchéa – ancien nom donné à ce joli pays de l’Asie coincé entre le Vietnam et la Thaïlande par les Khmers Rouges – qui vivait sous un dictat totalitaire. Le Cambodge a repris ses droits dans son appellation et sait accueillir les millions de touristes de passage. Même ceux qui y pratiquent le bienfait lors de missions humanitaires, sous l’égide de la prévention.

 

Une opportunité altruiste à ne pas laisser passer !

 

Créée il y a une vingtaine d’années, l’association « Pour les Yeux du Monde » propose ses services sur le terrain en venant consulter les populations les plus défavorisées qui n’ont pas forcément accès aux soins. Son siège est à Saint-Jean-de-Luz. Cela ne l’empêche nullement de recruter parmi ses membres ophtalmos et opticiens, mais aussi infirmières et orthoptistes, voire spécialistes de la logistique, pour assurer ses bonnes œuvres caritatives et salvatrices. Deux cents adhérents composent à date la structure qui a ciblé deux pays du globe pour assurer ses opérations de dépistage autour des problèmes de la vue cette année, Madagascar et le Cambodge. Où se rendra d’ici quelques jours Jérôme LECOMTE, opticien auxerrois : il gère la destinée de la boutique « OPTIC 2000 », pour y vivre sa toute première mission à l’international.

« C’est en juin 2022 que j’ai rejoint l’entité associative, précise le professionnel de santé, une place s’est libérée dans ce projet cambodgien monté avec le concours du responsable national du pôle optique de l’association. Une opportunité que je n’ai pas laissée passer ! ».

 

La quête de partenaires pour optimiser les missions

 

Du 30 septembre au 13 octobre, Jérôme LECOMTE s’envolera aux confins de l’Asie du Sud-Est avec le fol espoir de pratiquer un maximum de dépistages et d’opérations (cataractes, glaucomes…) auprès des populations locales, invitées à se rendre à bord de ce bateau disposant d’un bloc chirurgical et devant effectuer de l’itinérance sanitaire sur l’un des dix plus grands fleuves du monde. En qualité de bénévole – sur la base du volontariat, il prend à sa charge les frais de transport et la nourriture -, l’opticien de l’Yonne lance un message auprès de potentiels partenaires (clubs services, entreprises…) qui seraient intéressés par la cause. Notamment dans le besoin de matériels ophtalmologiques. Le groupe ESSILOR, l’un des leaders intervenant sur les verres de lunettes, a intégré le club plutôt restreint des soutiens inconditionnels de ce projet.

De son côté, Jérôme partira au Cambodge chargé de dix kilos de montures dans ses valises ! Celles-ci proviennent de dons, de collectes, de récupérations offertes par ses fournisseurs habituels.

Durant ce périple, le bateau prévoit d’accoster non loin d’une école près de Phnom-Penh, la capitale, pour y ausculter de jeunes scolaires. De l’altruisme, jusqu’au bout des ongles, ou des lunettes selon le cas !

 

Thierry BRET

 


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Le spectre de la réforme des retraites, viendra-il hanter ces Jeux Olympiques de 2024 ? On est en droit de s’inquiéter de mouvements sociaux importants lors de leur organisation. « Pas de retrait de la réforme, pas de Jeux Olympiques à Paris ! », ont prévenu des militants de la CGT ayant envahi le siège du comité d'organisation de Paris 2024 à Saint-Denis. En guise de galop d’essai, nous attendions le comportement desdits syndicats lors de la Coupe du monde de rugby, accueillie en France depuis septembre. A date, rien n’est venu entraver le bon déroulement de l’épreuve !

 

TRIBUNE : Les syndicats en perturbateurs des Jeux de Paris l’été prochain ? A l’aide de mouvements de grèves, manifestations et autres blocages dans la capitale déjà engorgée ? Cette perspective est bien réelle ! D’autant que ces mouvements sociaux pourraient avoir le soutien du public, et ce pour deux raisons !

La première, c’est que les épreuves seront suivies sur des écrans de télévision, de téléphones portables et autres tablettes. La seconde est d’ordre pécuniaire. Depuis le 11 mai et l’ouverture de la deuxième phase de ventes de billets (à l’unité cette fois), les témoignages affluent sur les réseaux sociaux afin de dénoncer les prix exorbitants pour assister à la majorité des épreuves.

Un premier prix frisant les 700 euros pour des sessions d’athlétisme (680 euros), 500 euros pour la natation, 480 euros pour la gymnastique, l’escrime et le judo à guichets fermés. Sans compter les 2 700 euro minimum pour assister à la cérémonie d’ouverture sur la Seine.

Le tout dans un contexte inflationniste dominant ! Mais, pondérons notre propos ! Si vous souhaitez des places entre 24 et 180 euros, il convient d’être adepte de l’haltérophilie. De plus, il existe aussi des places gratuites : se trouver sur le parcours du marathon et du triathlon… Alors de quoi se plaint-on ?!

 

 

Ne pas ternir la célébration de l’universalisme par le sport

 

Pour les Jeux Paralympiques, 500 000 places seront disponibles à 15 euros. Ensuite, on en trouvera à 25 et 100 euros ! Nos sportifs vivent leur handicap avec beaucoup de pureté, d’humilité, et de force ! Ils ont tous les handicaps possibles mais à l’inverse de nombreux bienportants, certainement pas celui du cœur. On peut appeler les syndicats à mettre en retrait leur velléité revendicative lors de cette séquence des Jeux !  

En 2021, Emmanuel MACRON avait reçu les médaillés français des J.O. : « Si la France ramène une trentaine de médailles (en parlant de 2024), ce n’est pas assez… à la maison, il faudra faire beaucoup mieux ». « Beaucoup mieux », en parlant des stratégies du locataire de l’Elysée, c’est ce que pense aussi la majorité des Français !

Il n’y a pas de doute que les Jeux Olympiques et Paralympiques portent l’image d’une fête sportive de caractère mondial, avec l’idée d’un modèle de fraternité et de rencontre des peuples, mis en avant à l’occasion de chaque olympiade...

Espérons que rien ne viendra ternir cette magnifique manifestation sportive. « Si tu veux courir, cours un kilomètre. Si tu veux changer ta vie, cours un marathon » disait le regretté coureur tchèque, Emil ZATOPEK. Méditons cette phrase en souvenir de lui !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Elles sont 217 victimes de la modernisation technologique. 217 personnes qui auront peut-être un jour leurs noms gravés sur une stèle de marbre, blanc comme un linceul, sur l’autel du souvenir passéiste et du travail mémoriel que l’on sait tant cultiver en France ? Sur l’épitaphe, une formule toute trouvée sera inscrite : « disparu par perte et profit dans l’intérêt de la productivité au nom de la sacro-sainte prédominance technologique ! ».

Même Georges ORWELL n’aurait pas fait mieux dans « 1984 », ouvrage à lire et à relire, sans cesse, dont on pourrait méditer longtemps les théories.

 

Les premiers sacrifiés sur l’autel de la dérive technologique

 

L’information est donc tombée comme une lettre très discrète à La Poste avec un timbre facilitant l’envoi au ralenti : une société spécialisée dans la veille médiatique – c’est très inquiétant pour le devenir de ces métiers intellectuels et de réflexion -, originaire de l’Hexagone, malgré son appellation aux références anglicistes (« ONCLUSIVE »), a pris acte de se séparer cette semaine de 217 de ses collaborateurs, sacrifiés sous le sceau de l’adoption de l’intelligence artificielle.

Cette fameuse abréviation, « IA », dont on nous rabâche tant les oreilles depuis des mois et que l’on porte aux nues de la réussite absolue pour mieux révolutionner le monde du travail à grands coups de modernisme asocial s’avère être un…implacable cancer qui va ronger petit à petit et de manière incurable, la plupart des représentants de l’humanité…

Une humanité, tellement vulnérable et bien trop faible pour réagir devant l’inaltérable alors qu’il est encore temps de bouger et de dire stop à toutes ces dérives que l’homme, premier prédateur de l’homme, sait si bien inventer. Une vulnérabilité qui a atteint son paroxysme comme devant le réchauffement climatique, la dérive totalitaire des autocraties, l’absence de maîtrise de l’inflation voulue par les spéculateurs, la perte des libertés et celle des valeurs civiques qui se font égorgées au coin de la rue.

 

Un XXIème siècle de progrès et d’évolutions sociétales !

 

Les premières victimes en France ont donc chuté cette semaine, dans une relative et discrète indifférence médiatique, entre le voyage papal faisant halte au vélodrome de Marseille – il n’y a donc que les supporters de l’OM à croire encore au miracle alors que leur équipe vit une de ses pires crises entre dirigeants ! - et les fastes culinaires permettant aux monarques de Grande-Bretagne de rejouer les grandes eaux de Versailles en se sustentant richement à nos frais.

Mais, symboliquement, les « grandes eaux », ce sont sans doute les pleurs de ces 217 sacrifiés et de leurs familles dont les têtes sont tombées sur le billot du progrès et de la modernisation à tout crin, de la froide rentabilité et des économies à rationnaliser à tous les étages de la société, et surtout dans les moindres recoins de la vie entrepreneuriale. Mais, dans quel monde vit-on ?! Et, on ose parler de XXIème siècle et de ses évolutions !

La statistique fait froid dans le dos, car évidemment, sur ce sujet qui fait saliver d’aise tous ces petits génies de l’électronique, des « big data » et du numérique déshumanisés, le pire est devant nous. Comme l’inexorable fonte des icebergs et des glaciers devant disparaître d’ici une cinquantaine d’années.

 

 

 

La perte de plus de 300 millions d’emplois à moyenne échéance

 

Plusieurs études l’attestent : il est dit que l’intelligence artificielle remplacera 85 millions d’emplois d’ici 2025 de par le monde. Et, les spécialistes, tout de go, d’ajouter que cette même intelligence artificielle au cœur décharné et au sang de navet (!) devrait créer 97 millions d’emplois sur la même période, soit un différentiel en solde positif de 12 millions de jobs à ajouter dans l’escarcelle de la valeur ajoutée.

Oui mais…cela reste naturellement à prouver et ce ne sont pas les 217 premières victimes officielles de France qui diront le contraire lorsque d’ici quelques jours elles quitteront la tête dans les chaussettes et le moral en berne leur lieu de travail avant de se remettre sur le marché de l’emploi, en tentant de se reconvertir tant bien que mal selon les âges ou à défaut d’aller pointer au chômage jusqu’à percevoir le salvateur RSA, synonyme de précarité et de misère!

Dans l’absolu, toutes les projections réalisées par les plus grandes structures de l’économie américaine se rejoignent dès qu’elles anticipent l’avenir de l’emploi. Ce sont au bas mot plus de 300 millions de postes qui devraient être supplantés par l’intelligence artificielle d’ici une génération. Combien de temps, en fait, dix ans, vingt ans, un peu plus ou un peu moins avant que le couperet ne s’abatte sur les gorges offertes au sacrifice ?

Seul point de satisfaction qui pourrait redonner le sourire – il est plutôt jaune citron acide en vérité -, c’est le coup de booster apporté aux entreprises au niveau de la productivité. L’intelligence artificielle pourrait faire augmenter le produit intérieur brut mondial de…7 % !

A la bonne heure pour les multimilliardaires de la planète et autres spéculateurs qui s’enrichissent aux dépens des malheurs des autres et qui en verront les fruits en espèces sonnantes et trébuchantes, n’en doutez pas !

 

 

Deux emplois sur trois impactés par ce fléau technologique

 

Mais alors, quid de toutes ces personnes actives, vous et moi, aujourd’hui menacées par l’expansion inévitable de ces « chatGPT » et consorts de la même veine qui équivalent au quart de l’activité économique mondiale à supprimer ?

45 % des tâches administratives et des fonctions support ne seront plus effectués par des humains à l’avenir dans les entreprises. Cela fait peur ! L’automatisation des processus va gangréner progressivement des pans entiers de l’économie à l’instar des filières de l’industrie, des banques, des assurances, des services, du commerce, de la presse, des arts, de la musique, de la gestion, du droit, de l’agriculture, de l’automobile, de la mobilité, de l’énergie…La liste est loin d’être limitative, sic !

Deux emplois sur trois seront impactés par l’intelligence artificielle, d’après les projections émises par tous les spécialistes. Mieux que le réchauffement climatique, les coronavirus et les menaces belliqueuses des états impérialistes proches de déclencher la Troisième Guerre mondiale, voilà l’IA et son insidieuse déclinaison qui va détruire l’homme dans ce qui lui est le plus cher : son travail, auxiliaire nourricier de toute son existence, et de sa famille…

Tous les métiers dits « intellectuels », condamnés à disparaître, sont les cibles potentielles de ce nouveau fléau des temps modernes, véritable cancer de la société d’aujourd’hui et de demain.

Souhaitez-vous vous laisser guider avec un sourire béat à l’abattoir, sans protester comme des moutons de Panurge ? Il est grand temps de changer de paradigme, de revenir aux fondamentaux des valeurs humaines… et d’arrêter enfin ce jeu de massacre planétaire qui nous guette !

 

Thierry BRET

 

 


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Des mois de préparatifs. Mêlés d’inquiétude, de doute, de stress et d’angoisse ! Sombre tableau, en vérité ! Mais que l’on ne s’y méprenne pas : c’est grâce à la somme de tous ces ingrédients, vrais stimulants pour les organisateurs, pour qu’un tel évènement arrive à produire de l’exceptionnel. Ce sera sans doute le cas en cette journée dominicale du 24 septembre, entre Saint-Fargeau et Toucy, tout au long de 170 kilomètres de course…

 

TOUCY: C’est le troisième acte de cette dramaturgie sportive locale. Un de plus, pourrait-on dire, mais qui va gagner encore en incertitude quant à son résultat final et surtout en qualité, du fait d’un plateau de coureurs très relevé. La plupart viennent de l’Hexagone. Mais pas que ! On dénombre des natifs de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de Biélorussie…

De jeunes pousses qui ne rêvent que d’exploits et de triomphes lors de cette épreuve à multiple épisode qui se nomme la Coupe de France cycliste. Celle de Nationale 2, pour être plus précis. Un cinquième opus – le dernier de la saison – qui à l’instar d’une bonne série audiovisuelle va livrer son verdict définitif au soir de ce premier dimanche automnal (mais de surcroît plutôt ensoleillé selon les prévisionnistes de la météo) du côté de Toucy, après s’être disputé au détour de différents endroits de l’Hexagone.

Pour mémoire, et il est toujours important de la saluer, ce rendez-vous en terre de l’Yonne est donc le troisième que l’on doit à l’appellation de « Classique Puisaye-Forterre Souvenir Philippe GERBAULT ». En hommage au regretté ancien président du Vélo Club de Toucy dont il prit les rênes quelques années avant sa disparition accidentelle tragique...

 

 

 

Ce dimanche, ils seront donc 138 coureurs représentants 23 équipes qui s’élanceront à 12h35 précises de Saint-Fargeau. L’épreuve se déroulera sur une distance de 170 kilomètres (pas mal !) dont 118 kms en ligne et 13 kms sous la forme d’un circuit final, soit quatre passages où le public, amateur de cyclisme, pourra applaudir les tentatives d’échappées et les coureurs les plus combatifs.

L’an passé, le Belge Louka MATTHYS avait empoché la mise en coiffant sur le fil deux coureurs français, Justin DUCRET et Kevin LE CUNFF. Qui pour lui succéder cette année ? Sachant que c’est le team de Bricquebec Cotentin qui occupe à date la tête de leader du classement général de cette coupe hexagonale…

En mars, dernier, Jérémy MAISON, ancien coureur professionnel et chef de file de l’organisation de cette course de belle facture avait présenté lors d’une soirée conviviale à ses sponsors et partenaires la physionomie de cette édition 2023. Cette fois, c’est chose faite : les organisateurs sont dans le dur, la course se lancera dans 48 heures !

 

Thierry BRET

 

 


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