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Le G 7 se tient à Biarritz… en avant la musique ! Et qui paie les violons du bal ? Comme d’habitude ne cherchez pas ! Est-ce la France, c’est-à-dire les contribuables que nous sommes, c’est-à-dire vous et moi ? Plus ceux qui prêtent de l’argent à notre territoire et qui en sont à plus de 2 000 milliards d’euros de dettes ? Mais, pour être franc : on ne m’a rien dit ! Peut-être, comme au resto « U », les participants ont-ils acheté des tickets et ce sont les citoyens de ces pays qui paient pour leurs représentants ? Ne  rêvons pas !

TRIBUNE : Beaucoup de politologues, d’éditorialistes, de journalistes écrivent que ce type de sommet donne du prestige à la France. Qu’on m’explique en quoi jouer les amphitryons durant deux jours apporte du prestige à celui qui met les petits plats dans les grands ? Mais, le principal sujet c’est que le monde aura les yeux tournés sur nous et sur notre président !

Ainsi, pensez-vous que Donald TRUMP, une fois retourné dans sa Blanche Maison, après avoir goûté nos grands vins fins va décider de ne point les taxer ? De son côté, Vladimir POUTINE qui, lui aussi, a pu apprécier les vins de l’Hexagone et notre gastronomie au Fort de Brégançon, va-t-il mettre un frein à son action en Ukraine et au Donbass ?

Tant qu’à faire, il va également arrêter son soutien à la Syrie : ses avions cesseront sur l’heure de pilonner de pauvres familles dans le dernier réduit d’opposants à Bachar El ASSAD. Voilà déjà deux questions résolues avec les Russes grâce au G7. Mais, continuons d’avancer...

Le président américain n’aime ni les Chinois, ni les Iraniens. Très certainement lors du G 7 va-t-il décider d’enterrer la hache de guerre avec Xi JINPING. Si vous avez des doutes, vous avez tort. Rien de tel qu’un petit G 7 pour changer d’avis ! Les mêmes causes produisant les mêmes effets, très certainement le même Donald TRUMP tendra-t-il la main aux Iraniens en leur disant : « Tout cela n’est qu’un ridicule malentendu. Effaçons tout et n’en parlons plus. Et faisons d’une pierre deux coups. Cessez vos ingérences en Syrie et de vous opposer partout aux Saoudiens sous prétexte qu’ils sont sunnites et vous chiites. Cela n’a pas de sens… ». Grâce à notre G 7 « basco-mondial », on avance, on avance comme le chantait Alain SOUCHON…

Du pain sur la planche pour résoudre les problèmes mondiaux…


Il y a aussi au menu les accords CETA entre l’Europe et le Canada. Ils ne semblent pas plaire à nos agriculteurs. Et comme cela ne suffisait pas pour organiser une concurrence déloyale contre nos agriculteurs, on a ajouté le MERCOSUR, traité de libre-échange avec des pays d’Amérique du Sud. Cela tombe bien. Donald TUSK, président du Conseil européen, sera là et pourra donner son avis. Ça va faire progresser le « Schmilblick » comme aurait dit le regretté COLUCHE.

Angela MERKEL est venue. Elle aussi ne voudrait pas que Donald TRUMP taxe les belles berlines allemandes … ces autos dont des techniciens habiles et malins avaient quelque peu « trafiqué » les systèmes de contrôle aux gaz néfastes…

Boris JOHNSON en profitera pour parler du BREXIT. Discutant avec le président des Etats-Unis, ils conviendront ensemble que, finalement, on s’entend bien entre Anglo-saxons. C’est comme en 1958 quand la Communauté européenne a été créée. Les Britanniques préféraient déjà le « Grand Large » et leurs liens privilégiés avec les Américains.

Les Britanniques avaient refusé alors de s’associer à cette communauté continentale. A l’époque, il se disait dans les coursives : « Vous ne vous entendrez sur rien et vous vous disputerez sur tout ! » (sic).

« Vous voyez, nous avions raison et nous retournons à la case départ. D’ailleurs, le Premier ministre des « Indes » dont notre reine était impératrice, est venu au G 7… ».

Que dire de la présence de Justin TRUDEAU, Premier ministre du Canada ? Lui aussi, à l’instar de Xi JINPING, a des problèmes de taxes avec Donald TRUMP. L’air de la côte basque aidera-t-il à résoudre les problématiques du moment ?

Ah, j’allais oublier l’essentiel : les incendies de la forêt amazonienne. Il y a aussi l’écologie au menu de ce copieux sommet.

Mais, pour que la forêt primaire, véritable poumon de la planète, ne flambe plus au Brésil, il faut que Jair BOLSONARO arrête de couper les arbres. Là aussi, sur ce dossier, un nouvel ordre mondial doit prendre acte à Biarritz. Quand je vous disais que la France allait régler tous les problèmes du monde au G 7 : il y a du pain sur la planche, en effet…

Emmanuel RACINE

 


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Ile Maurice, Guinée, Canada ou Portugal : la liste de ces pays ne représente qu’un faible éventail de nations où la langue de l’illustre Molière est pratiquée en bonne et due forme. Vendredi après-midi, les ambassadeurs français en poste dans ces états auront l’opportunité de dialoguer avec l’une des structures associatives auxerroise qui porte haut les couleurs de l’Hexagone à travers ses missions : la Maison des jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux. Une séquence, dite de « diplomatie publique », selon l’appellation officielle, où l’essentiel sera de nouer des liens…durables

AUXERRE : L’opportunité est trop belle : il faut savoir saisir la balle au bond ! Rencontrer les représentants officiels de l’Etat français en poste à l’étranger n’est pas une chose aisée d’ordinaire. La venue d’une délégation d’une douzaine d’ambassadeurs, en cette fin de semaine dans la capitale de l’Yonne, placera sur une orbite relationnelle optimale des représentants de la société civile. Celles et ceux qui agissent en leur âme et conscience, et avec beaucoup de pugnacité, au sein de la Maison des jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux.

Entourée de ses deux vice-présidents, Claude LEROUX et Prudence ADJANOHOUN, en charge du développement de la Francophonie, la toujours dynamique responsable de l’entité, Marité CATHERIN, jamais à court d’idées, ne manquera pas lors de cet échange nourri d’une cinquantaine de minutes d’expliciter les fondements mêmes de l’association icaunaise.

Une structure qui regarde déjà vers l’avenir…

Surtout que cette dernière s’est dotée depuis cinq ans d’une cellule à vocation économique, ayant pour objectif d’endosser le rôle de facilitateur entre les villes jumelles (Worms en Allemagne, Ridditch en Angleterre, Greve in Chianti en Italie et Plock en Pologne) et les intérêts d’investisseurs et entrepreneurs de l’Auxerrois.

On se souvient encore du succès des Journées consacrées à l’économie du patrimoine l’an passé (une grande première sur le territoire bourguignon) et de son lot d’évènementiels qui en avait décliné.

Travaillant avec de nombreux partenaires, à l’instar de la Jeune Chambre Economique, des Jeunes Agriculteurs, mais aussi des Conseils de quartier de la ville, la Maison des jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux se projette déjà vers l’avenir.

Notamment l’année 2020 où devrait voir le jour une nouvelle déclinaison de son savoir-faire, sous la forme d’une manifestation grand public orientée autour du terroir, des arts de vivre et de l’innovation.

Un créneau majeur pour sa présidente Marité CATHERIN qui rappelle que la structure se définie aussi comme un « détecteur d’innovation » à part entière…

 


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Spécialiste de la gestion portuaire et aéroportuaire en France, la société EDEIS devrait étoffer son maillage territorial d’ici la fin de l’année, en devenant l’exploitant de l’aéroport franc-comtois à la suite d’un appel d’offres qui lui serait revenu favorable…

DOLE (Jura) : Positionné en qualité de leader de l’exploitation d’aéroports et de l’ingénierie et management d’infrastructures en France, le groupe EDEIS devrait poursuivre ce qui a été brillamment entamé depuis 2016, date de sa création, c’est-à-dire sa croissance exponentielle.

A la tête d’une vingtaine d’aéroports, de treize agences d’ingénierie et de la zone portuaire de Rouen (celle-ci intègre le dispositif HAROPA que connaissent particulièrement bien les gestionnaires de LOGI YONNE ayant à leur charge le devenir du port de GRON près de Sens), EDEIS exploite depuis plus de trois ans désormais l’aéroport d’Auxerre-Branches. Dont l’entité assure le développement économique, via l’essor des vols d’affaires.

Après celui d’Auxerre-Branches et de Dijon, l’aéroport de Dole-Jura, dont les pistes sont situées sur la commune de Tavaux, deviendrait ainsi la troisième structure gérée par l’entreprise en Bourgogne Franche-Comté.

De belles perspectives d’ici 5 ans…

Répondant à un appel d’offres à hauteur de vingt millions d’euros hors TVA, selon nos confrères du Progrès (édition du 22 août), la société EDEIS aurait ainsi décroché la timbale bien que l’information n’ait pas encore été confirmée de manière officielle et par voie de presse par la Chambre de Commerce et d’Industrie du Jura.

Cette dernière assurait la gestion jusque-là de la structure au sein de la Société d’exploitation de l’aéroport, aux côtés de KEOLIS (51 %). Précisons que le complexe aéroportuaire jurassien est détenu par le Conseil départemental du Jura.

EDEIS intervient également à l’international en apportant son savoir-faire et ses services auprès des réseaux insulaires (Mayotte, Saint-Martin) mais aussi sur la péninsule ibérique (Espagne).

Le plan de développement de l’entreprise pilotée par Jean-Luc SCHNOEBELEN prévoit la gestion d’une quarantaine de petits aéroports régionaux d’ici cinq ans. En Europe mais aussi sur le continent africain.


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Le déclic tant espéré par les supporters était-il au rendez-vous de la précédente journée. Celle qui a vu l’équipe de Jean-Marc FURLAN recoller aux basques des Bretons de Guingamp en partageant les points. Le destin de ce match a été forcé de très belle manière. En tordant le cou à une défaite assurée après une première mi-temps complexe où le score était en défaveur des Icaunais (0-2). La rencontre en terre auvergnate face au premier du classement de Ligue 2 ne sera pas une promenade de santé ce vendredi soir.   

AUXERRE : Un match nul faisant office de victoire ? Après la prestation de ses joueurs face à l’En Avant Guingamp (2-2), le coach auxerrois ne peut se montrer au final que satisfait. De bon augure juste avant de tenter de vaincre le « Puy-de-Dôme » de ce championnat : le Clermont Foot sur ses terres.

Une formation que l’ex-entraîneur de Brest connaît bien. D’autant que de nombreuses analogies existent entre les deux équipes, proches l’une de l’autre en matière de possession et de stratégie.

La prudence demeure toutefois de rigueur. « Nous sommes dans l’observation, précise Jean-Marc FURLAN, la question est simple : quelles sont nos capacités d’adaptation face à ce genre d’adversaire qui possède déjà dix points au compteur alors que notre besace n’en accueille que quatre ? ».

Depuis le début de la saison, Auxerre est confronté à un manque de réussite chronique malgré une domination constante sur le terrain.

« Le travail est la réponse idéale à cette malchance, assure le coach, il n’y a ni scoumoune ni malédiction au-dessus de nos têtes. Transmettre l’enthousiasme et l’envie à mes joueurs est une priorité avant chaque rencontre… ».

Il est encore trop tôt pour se faire une réelle opinion de la méthode FURLAN sur l’équipe. Mais, une chose est sûre : tout cela progresse dans le bon sens.

« Je n’ai pas encore assez de recul vis-à-vis de mon effectif, concède le responsable de la team, mais au vu des CV de certains, je sais qu’ils peuvent faire beaucoup mieux… ».

Ne pas se mettre la pression…

Patient, Jean-Marc FURLAN ne se met pas la pression. Il possède la parfaite maîtrise de l’exercice, lui qui a disputé 300 matches de Ligue 1 en qualité de coach.

« Laissez-moi un peu de temps avant de faire des analyses analytiques, ajoute-t-il, on reparlera de tout çà au bout de quinze journées… ».

Si l’on parle de philosophie de jeu, l’idéal serait de pratiquer une possession du ballon durant les quatre-dix minutes de la partie. Sans trop se livrer et en espérant glaner quelques points de manière éparse.

« C’est totalement utopique dans le milieu du football, affirme-t-il. Souvent la différence de jeu ne se fait pas au niveau de la technique mais bel et bien avec le cerveau. En France, on sépare le corps et l’esprit dans la pratique du sport. Ce qui est une hérésie. Il faut bien au contraire utiliser ses capacités intellectuelles au maximum et prôner l’art du dépassement de soi pour réussir… ».

Gageons que ce raisonnement soit nourri d’efficacité lors de cette cinquième joute du championnat.


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L’information devrait bientôt lui arriver aux oreilles sous une huitaine de jours. La ministre du Travail Muriel PENICAUD découvrira alors à distance, et avant pourquoi pas si elle en éprouve le désir un futur déplacement en terre icaunaise, les bienfaits déontologiques et pédagogiques de l’un des centres de formation les plus en pointe de l’Hexagone. Celui du CIFA d’Auxerre. Le tandem à la tête de l’établissement aux mille cents apprentis, le président Michel TONNELLIER et le directeur Marcel FONTBONNE, vient de bénéficier du salvateur coup de pouce du président de la Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et de fabrication (CNAMS) Bernard STALTER. Conquis par ce qu’il a découvert lors de son immersion dans cet antre du savoir, celui-ci a décidé d’endosser le rôle vertueux d’ambassadeur de cette structure où l’excellence se vit et se respire au quotidien pour le plus grand bien des apprentis…

AUXERRE : Bluffé Bernard STALTER ? La réponse positive ne fait pas l’ombre d’un doute ! Et pourtant le président aux multiples casquettes (CNAMS pour Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et de fabrication, UNEC pour Union nationale de la Coiffure et APCMA pour Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat) a pour habitude de rendre des visites de courtoisie régulières à moult établissements répartis un peu partout à travers l’Hexagone.

Enchanté par ce qu’il a vu lors de sa matinée de découverte en terre icaunaise, l’homme fort de l’artisanat français s’est investi d’une nouvelle mission dont il a fait part publiquement à ses hôtes : devenir l’ambassadeur du CIFA de l’Yonne. Et ce en plus haut lieu, vers des strates insoupçonnables !

Prochainement, l’agenda plutôt chargé de l’entrepreneur alsacien à la tête de quatre salons de coiffure lui permettra dans le cadre des négociations liées à la réforme de l’apprentissage de croiser la route de la ministre du Travail, Muriel PENICAUD. « Croyez-moi, assure-t-il, je vais lui relayer ce que j’ai pu constater de visu en ces lieux car le CIFA de l’Yonne fait figure de précurseur en bon nombre de domaines…Il faut donc le faire savoir ! ».

 

Découverte des pôles névralgiques du centre de formation…

 

A commencer par cette appétence à la discipline retrouvée dont ont su cultiver avec élégance et maîtrise depuis plusieurs exercices les duettistes de cette belle maison du savoir : Michel TONNELLIER, son président, et Marcel FONTBONNE, le directeur expérimenté, jamais à court d’idées.

Le port de l’uniforme représente précisément l’un de ses traits de civisme et de respect envers autrui qui a ainsi trouvé grâce aux yeux de Bernard STALTER. Ce dernier était accompagné d’une délégation représentative de la filière artisanale de Bourgogne Franche-Comté, forte de dix-sept personnes.

Parmi celles-ci, on notait la présence de Christophe DESMEDT, président de la CNAMS BFC et président de l’U2P BFC, Jean-François LEMAITRE, président de la Chambre des métiers et de l’artisanat de l’Yonne, Emmanuel POYEN, président régional de la chambre des métiers, David MARTIN, délégué national de l’UNEC Dialogue Social ou encore Martine MICHEL, présidente de l’UNEC Yonne.

Accueillis par le président Michel TONNELLIER qui exposa dans une brève allocution les axes stratégiques du centre de formation icaunais, les visiteurs découvrirent plus en détail la physionomie actuelle de ce site éducatif opérationnel depuis 1975.

S’appuyant sur quelques slides explicites, Marcel FONTBONNE déroula ses arguments. Présentant tour à tour les pôles névralgiques des lieux avant que chacun ne les découvre in situ.

L’espace e-learning (il comprend seize postes spécifiques), le laboratoire de langues, le virtual store (le fameux Clic Store que toute la France des CFA nous envie !), les univers esthétiques de la boucherie et de la boulangerie, le salon Emotion, conçu en étroite osmose avec L’OREAL (une première nationale), le City Stade, le restaurant d’application « Com’des Chefs » qui mériterait un Bib gourmand, la création d’une chambre d’hôtel…autant de pièces à conviction fonctionnelles prouvant que la banalisation de l’excellence peut s’envisager à satiété et devenir le cheval de bataille de tout centre de formation vertueux !

 

Une statue qui résume la déontologie du site…

 

Devant une telle avalanche démonstrative d’un savoir-faire maîtrisé, comment ne pas s’enthousiasmer alors à la cause de cet apprentissage appréhendé sous ses meilleurs auspices ?

Même le statuaire placé dans l’enceinte principale de l’édifice, fruit de l’imaginaire créatif de Marcel FONTBONNE s’inspirant de l’œuvre atypique de GIACOMETTI (« L’apprenti qui avance croisant le jeune étudiant qui se cherche… ») est en ce sens révélateur de la philosophie qui est inculquée ici !

Une approche éducative qui a su faire ses preuves au fil des ans. Elle a subjugué une délégation régionale et un président national, peu enclins à oublier ce qu’ils ont découvert en si peu de temps…Gageons que tôt ou tard la ministre du Travail, en personne, vienne aussi s’en imprégner !


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