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Pour la deuxième année consécutive, les Pyrénées-Orientales possèdent les faveurs du mouvement centriste. L’UDI y a organisé ce week-end, et ce durant trois jours, ses Universités d’été en présence de son état-major au grand complet. L’occasion pour son leader Jean-Christophe LAGARDE de brosser le tableau des prochaines échéances municipales. Présente, la fédération de l’Yonne, conduite par la sénatrice Dominique VERIEN, y était d’ailleurs la plus représentée grâce à une quinzaine de membres mobilisés…

LE BARCARES (Pyrénées-Orientales): Se préparer aux futures échéances électorales en débattant de la stratégie, des enjeux, des orientations et du projet que l’UDI portera en 2020/2021 a constitué le socle prioritaire de ces retrouvailles après la longue trêve de la période estivale.

Temps fort de la rentrée politique pour l’Union des démocrates et des indépendants (UDI), cette université d’été avait choisi comme cadre idéal la station balnéaire du Barcarès pour y jalonner ses différentes interventions, ateliers et conférences. Joindre l’utile à l’agréable, en substance ?

Les nombreuses personnalités du sérail national auront-elles eu pour autant l’opportunité de faire trempette dans la « Grande Bleue » ? On peut en douter à la vue du copieux programme qui attendait les quatre cents participants de ce raout fleurant bon la rentrée des classes.

 

De probables alliances aux municipales pour barrer le RN...

 

Bien sûr, la question des municipales demeurait le point culminant de toutes les discussions. La tête de file nationale, Jean-Christophe LAGARDE, a évoqué la possibilité de rapprochements. Cibles visées : LREM et le MoDem. Dans la pratique, le leader de l’UDI a déjà donné quitus à la candidature de Benjamin GRIVEAUX (LREM) dans la capitale.

Dans d’autres villes, l’UDI adoptera une stratégie similaire pour barrer la route au Rassemblement national, l’adversaire principal à abattre. Des alliances avec les Républicains, LREM, le MoDem, et des non-inscrits, représentent de sérieuses possibilités. Une chose s’avère probante : d’ici novembre, tout devrait être validé au niveau des directives.

Le président de l’UDI a profité de cette rentrée politique pour adouber au rang de secrétaire général des centristes, Olivier HENNO. Sénateur et vice-président du département du Nord, ce dernier a désormais toute la latitude pour faire progresser une formation qui peut s’enorgueillir de posséder parmi ses effectifs près de 300 conseillers départementaux, un peu plus de deux cents conseillers régionaux, une quarantaine de maires élus dans des villes de plus de vingt mille habitants, plus de trois cents maires au total.

Bref, la troisième force d’élus locaux en France compte tenir son rang lors des prochaines municipales. Les participants ont pu s’en rendre compte à maintes reprises durant ce long week-end de travail.

 

 

L'agriculture thème majeur de l'intervention de Dominique VERIEN...

 

Ils eurent le choix de pouvoir se former aux techniques politiques en prenant part à des modules instructif au contact d’exégètes de la communication et des relations publiques. Ainsi, parmi les thématiques, pouvions-nous noter les plus récurrents : la visibilité sur les réseaux sociaux, le soin à apporter à son image, la prise de parole en public ou des médias, ainsi que la gestion des collectivités locales.

Quant à la délégation de l’Yonne, conduite par la sénatrice Dominique VERIEN, il s’avère qu’elle aura été la plus nombreuse à présenter des représentants lors de ce séminaire.

L’élue Icaunaise s’est également invitée à la tribune sur une thématique inhérente à la défense de l’agriculture. Elle a aussi évoqué le devenir du service public. Ce qui mettra un terme à ce week-end studieux pour les représentants de l'UDI malgré le soleil persistant !

 


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Ce qu’il faut, c’est gagner les élections. En France comme partout dans les pays démocratiques. Or, une fois qu’elles sont remportées, il est judicieux de prendre les places partout où l’on peut. Une fois prises, se profilent ensuite les élections suivantes. Tel un coureur de fond face à un effort endurant, il ne faut pas relâcher l’effort. En matière d’élections, la France est un état démocratique particulièrement bien pourvue. Deux ans après les présidentielles, il y a eu les élections pour le Parlement européen. Maintenant, on prépare les élections municipales. Et l’on a déjà, en arrière-pensée, les futures échéances présidentielles qui se profilent à horizon 2022….

TRIBUNE : Or, lors des élections européennes, les écologistes ont obtenu un très bon score de 13,2 %. Tandis que le parti au pouvoir ne glanait que 22,4 % des suffrages juste derrière le Rassemblement national, médaille d’or avec 23,3 % des voix. 

Le parti des écologistes est donc devenu le troisième parti de France. Arriver en seconde position pour LREM, ça fait un peu désordre. Il faut donc surfer sur la vague écologiste pour grignoter quelques voix. À défaut de traverser l’Atlantique à la voile comme notre jeune égérie suédoise Greta THUNBERG, on va évoquer le devenir de la forêt amazonienne. Comme le loto, ça ne coûte pas cher mais ça peut rapporter gros…électoralement, bien sûr !

Est-ce la seule forêt qui soit pillée ainsi dans le monde ? Certainement pas. La forêt équatoriale en Afrique subit aussi les ravages de la déforestation. Elle recèle, il est vrai, des arbres dont les essences sont très recherchées. Elle est moins grande en superficie que l’Amazonie. Mais, il serait plus facile d’intervenir parce qu’elle fait partie de la « Françafrique »...

Est-ce qu’on s’en inquiète ? Pas trop. Ce n’est pas vendeur électoralement. Plus loin, en Nouvelle-Guinée, la forêt pour les mêmes raisons qu’au Gabon est également détruite de façon systématique. Les braves Papous qui ont été livrés à l’Indonésie après la Seconde Guerre mondiale aimeraient bien sauver leur territoire mais ça n’intéresse personne.

La forêt équatoriale qui couvre le Gabon et une partie des pays limitrophes plus Bornéo représentent tout de même 30 % de la forêt amazonienne environ. Mais pour l’effet d’annonce, ça ne compte pas !

 

Une déforestation à l’échelle de la planète mais à géométrie variable au niveau de l’intérêt…

 

Plus près de nous, juste de l’autre côté de la Méditerranée, il y a l’Afrique du Nord et le Sahara. Cette immense zone désertique s’étend inexorablement chaque année vers le nord et vers le sud dans ce que l’on appelle le Sahel. Le sable recouvre les terres agricoles. Les puits s’assèchent. Les arbres utilisés pour chauffer les aliments se font de plus en plus rares. Ce phénomène gagne les pays au-delà du Sahel. Les migrants chassés par la guerre civile et poussés par la faim veulent gagner le paradis, c’est-à-dire l’Europe.

Et nous, Européens, que faisons-nous face à ce phénomène qui ne peut que s’amplifier ? Rien. Pourtant, il y avait un grand et beau projet consistant à créer une forêt allant de l’Atlantique à l’océan Indien. Ce n’est pas simple et ça demande beaucoup d’argent. Ce projet reste dans les cartons d’où il ne sortira sans doute jamais.

Pourtant, c’est la seule solution pour endiguer le Sahara. Est-ce que l’Europe qui craint tant les migrants ne pourrait pas s’unir pour mettre en œuvre ce projet d’envergure ? Ne rêvons pas et parlons de la forêt amazonienne et de l’écologie. Sur le plan politique, pour gagner des villes aux prochaines élections municipales, c’est bien plus utile. Soyons réalistes.

Quelles sont les grandes modes écologiques ? Les panneaux solaires, les éoliennes, l’isolation des combles et les bicyclettes. Donc, le gouvernement fait un grand tapage médiatique et financier pour les panneaux solaires et l’isolation des combles.

Sur Internet, à peine avez-vous cliqué pour ouvrir votre écran, que défilent les propositions d’isoler ses combles pour un euro. Voire pour poser des panneaux solaires pour moins que rien. Quant aux municipalités, à grands coups de peinture, elles tracent sur la chaussée des pistes cyclables.
Revenons au score des élections européennes. La République en Marche a obtenu 22,4 % des voix et les écologistes 13,2 %. Ensemble, cela fait 35,6 %. Toutefois, il y a une statistique qu’il ne faut pas oublier, c’est le taux de participation.

Il s’est élevé à 51,3 %. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’en fait la République en Marche et les écologistes réunis représentent 18,3 % des électeurs en France. Ce qui revient à dire qu’avec 18,3 % des électeurs, on est majoritaire en France. Ça vaut bien la peine de parler de l’Amazonie, de promouvoir les panneaux solaires et l’isolation des combles et de peindre dans toutes les villes de notre douce France des pistes cyclables.

Chers partis politiques, chers candidats aux élections, verdissez bien vos discours. Vive la République, Vive l’écologie, Vive la France !

Emmanuel RACINE


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L’une des conséquences à la récente visite du ministre de l’Intérieur à l’Ecole nationale de police de Sens s’est convertie en un exercice épistolaire pour l’édile de la ville. La présidente de l’Agglomération du Grand-Sénonais a adressé une missive au résident de la Place Beauvau. Lui demandant de porter une attention toute particulière sur la situation du territoire en matière de sécurité. Avec en filigrane, un souhait. Celui de bénéficier de l’intervention du ministre pour obtenir davantage de moyens humains, logistiques et financiers pour le commissariat…

SENS : Signée de la main de l’élue sénonaise, la requête officielle envoyée à l’Hôtel de Beauvau au ministre de l’Intérieur Christophe CASTANER, date du jeudi 29 août. Soit la veille de la venue du patron des forces de l’ordre sur le site de l’Ecole nationale de police. Un déplacement qui se justifiait à l’occasion de la cérémonie de sortie de la 250ème promotion d’élèves gardiens de la paix.

Anticipatrice, Marie-Louise FORT y couche de sa plume la plus fouillée ses craintes sur la situation délicate de la ville de Sens en matière sécuritaire. Attirant l’attention de son auguste destinataire sur cet état de fait.

S’alarmant du nombre de crimes et délits enregistrés sur le secteur géographique où elle y exerce ses mandats, l’édile constate que les trafics de stupéfiants ne cessent de progresser.

Elle qualifie de « véritable fléau » les violences intrafamiliales dont près de 40 % des affaires sont traitées par le Tribunal de grande instance de Sens. Autant de méfaits et nuisances qui viennent jeter le trouble sur le « poumon économique » de l’Yonne tel un lourd pavé tombé dans la mare de la tranquillité pour ses concitoyens…

Pourtant, comme elle le détaille à travers les lignes, l’élue de l’Yonne, dans le cadre du Conseil intercommunal de sécurité et de prévention, a souhaité réagir à ces difficultés récurrentes. L’accent a été porté sur la sensibilisation du public. Dans les écoles, lors de vastes campagnes informatives, voire en procédant à la mise en œuvre de rappels à l’ordre dans certains cas.

 

 

Pas les mêmes moyens que des villes aux difficultés similaires en Seine-et-Marne…

 

Dès 2014, en étroite osmose avec les services de l’Etat, le maire de Sens et président de l’Agglomération du Grand-Sénonais mettait en exergue un certain nombre d’initiatives. Meilleure collaboration entre la Police municipale dont les effectifs ont été renforcés, et la Police nationale. Il y eut aussi la mise en place du dispositif de vidéo-protection qui aura permis de faciliter le travail des agents de police sur le terrain. Ce dispositif aura même reçu la visite du secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Laurent NUNEZ, en début d’année.  

Or, il semblerait que les retombées de cette visite n’ont pas eu les effets escomptés quelques mois plus tard. Et, c’est là que le bât blesse visiblement du côté de l’Hôtel de ville de Sens.

« Nous faisons face à des problématiques similaires à celles rencontrées par des villes comme Montereau, Fontainebleau ou Melun, s’en explique de manière manuscrite Marie-Louise FORT, je constate avec regret que nous ne bénéficions pas de moyens équivalents… ».

Pire : le commissariat de l’ancienne capitale des Sénons a subi une réduction inexplicable de ses effectifs. Une baisse qui ne saurait pallier l’augmentation des services rendus par la Police municipale. Et l’élue de l’écrire sous forme d’amer constat : « leurs compétences et leurs métiers, même s’ils sont complémentaires, ne sont pas substituables… ».

 

Un courrier pour faire bouger les lignes…

 

La ville de Sens ne baisse pas les bras face à la hausse des délits et méfaits sur les biens et les personnes. Il y a cinq, la municipalité a installé une assistante sociale au commissariat afin d’offrir une écoute et une prise en charge optimales des victimes.

Prioritairement ces femmes dont on parle tant depuis quelques semaines dans les medias faisant l’objet de violences conjugales. Pour mémoire, l’année dernière, le premier point d’accueil destiné aux femmes victimes de violence dans la zone septentrionale du territoire devenait opérationnel.

En interpellant le ministre régalien par courrier interposé, Marie-Louise FORT veut faire bouger les lignes. Et très vite ! Son exercice scriptural se conclue en faisant l’observation que la carte administrative, régissant les effectifs et les moyens financiers mis à disposition, ne correspond pas systématiquement aux réalités du territoire.

D’où l’intérêt tout particulier que le ministre de l’Intérieur pourrait accorder à cette demande calligraphiée, en lisant de manière attentive ce « devoir » de rentrée…


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Quarante-cinq minutes pour convaincre sur l’usage de la francophonie et son développement pour faire progresser la société actuelle. Si l’exercice oratoire fut maîtrisé par ses auteurs, il avait aussi pour but d’informer sur les réels enjeux qui résultent de ces relations à l’international susceptibles d’engranger des projets de jumelages, de rapprochements culturels, voire, cerise sur le gâteau, de perspectives économiques. Une douzaine de représentants de l’Etat ont écouté les arguties du trio de choc qui préside à la destinée de la Maison des Jumelages, de la francophonie et des échanges internationaux…

AUXERRE : S’adresser directement, et ce dans un cadre solennel, l’hémicycle du Conseil départemental, à une douzaine de représentants de l’Etat en poste à l’étranger est une chose plutôt inhabituelle pour le commun des mortels. Surtout quand le déroulé de cette prose s’effectue face à un secrétaire d’Etat en charge de l’Europe et des Affaires internationales, Jean-Baptiste LEMOYNE, de deux élues nationales, les sénatrices de l’Yonne Dominique VERIEN et Noëlle RAUSCENT. Et pour couronner le tout, sous la tutelle du garant départemental de l’Etat dans l’Yonne, le préfet Patrice LATRON !

Une noria de personnalités institutionnelles qui n’aura pas rebuté plus que ça la présidente de la Maison des jumelages…, Marité CATHERIN qui en matière de discours et d’allocutions officielles en a vu d’autres. L’exécutif de la structure associative auxerroise au grand complet avait pris soin d’honorer ce rendez-vous privé et pertinent. Un espace de prise de parole précieux où purent être présentées en toute liberté de ton les grandes lignes directrices de cette Maison aux multiples contours.

 

Une kyrielle d’animations tout au long de la saison…

 

Spécificité à ne pas négliger, la Région Bourgogne Franche-Comté apporte son soutien à l’essor de la francophonie à l’instar de la Ville d’Auxerre. Slides à l’appui, la présidente déroula son exposé introductif le ponctuant de nombreux exemples de réalisations tangibles. Caravane de la francophonie, opération menée en étroite osmose avec la Région, le Département et la DRAC, Journées européennes consacrées à l’économie du patrimoine (une première en Bourogne Franche-Comté au printemps 2018 avec le concours de l’Europe et l’ouverture vers le Bénin), accueil d’étudiants étrangers (roumains, russes…) eurent tôt fait d’interpeller des ambassadeurs à l’écoute. Il fut aussi question de se projeter plus en avant. En l’occurrence en 2020, date de la future manifestation d’envergure qui sera porté par le groupe associatif. Nom de code à retenir d’ores et déjà : « Terroir, Arts de Vivre et Innovation » ! Un triptyque hétéroclite où devraient être mis en exergue les illustrations palpables de ces trois items, valeurs représentatives de l’Yonne, au gré de présentations assurées par des acteurs du sérail.

Jean-Baptiste LEMOYNE salua autant d’initiatives prises par les adhérents de cette association volontaire qui a même ajouté dans son escarcelle depuis quelques années une corde économique à ses compétences. Une commission ad hoc a pour objectif de faciliter le développement de contacts entre investisseurs, entrepreneurs et institutionnels, en priorité avec les six villes jumelées à Auxerre dont deux situées dans l’Hexagone.

 

Se rapprocher des centres culturels et instituts français comme force d’appui…

 

De leur côté, plusieurs ambassadeurs déposèrent de précieux ingrédients dans la corbeille de la mariée. Invitant le trio de responsables à prendre attache auprès des centres culturels et instituts français dans leurs pays de résidence. L’ambassadeur de l’Ile Maurice profita de son intervention pour rappeler qu’il était en quête de partenariats croisés et constructifs, notamment dans le cadre d’échanges scolaires. « Il est aussi possible d’inviter les références de la littérature mauricienne (riche de par sa qualité d’expression) par les canaux de l’ambassade, devait-il ajouter… ». Reste évidemment en filigrane l’indicible problématique budgétaire à résoudre par le biais du mécénat ?

Favorables à la mobilisation des jeunes grâce aux thèmes se rapportant à l’évolution du climat, d’autres ambassadeurs français en poste en Equateur ou au Pakistan ont fait montre de leur intérêt à cette conversation utile. D’anciens étudiants étrangers (Pakistan), désormais repartis dans leur pays d’origine, désirent accentuer la promotion de la France sous l’angle éducatif ou culturel. C’est le cas, précisément à Peshawar, où les anciens universitaires mettent tout en œuvre pour rouvrir une nouvelle alliance française qui avait été fermée au temps des Talibans. En Slovaquie, la francophonie prend racine. Comme en Bulgarie ou en République tchèque. Particularisme intéressant : le lycée Carnot de Dijon enseigne la langue parlée à Prague, ce qui est peu courant.

Quant au Canada, où 80 % de la population est anglophone, les autorités proposent un accord de mobilité pour la jeunesse. Ainsi, 14 000 places sont réservées à celles et ceux qui veulent découvrir le pays, par le prisme de voyages, de stages mais aussi de premiers emplois. Douze mille Français se sont déjà engouffrés dans cette brèche de plus en plus béante. Des établissements scolaires régionaux, à Besançon mais aussi à Auxerre (groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle) s’aventurent dorénavant de l’autre côté de l’Atlantique pour y souder des liens éducatifs durables.

Enfin, en Irak, le réseau francophone est épars. Toutefois, le désir de relancer la pratique du français dans ce pays miné par la guerre est grand. Notamment à partir d’un programme culturel qui se décline petit à petit à travers cet état. Y compris dans de grandes villes comme Mossoul ou Bassorah, l’un des fiefs chiites. L’attente s’y fait ressentir…


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Pourvu depuis peu d’une nouvelle agence fonctionnelle à La Chapelle Saint-Luc (Aube), ce leader régional de la gestion et de la prévention des risques pour assurer la sécurité des biens et des personnes étend un peu plus chaque jour sa zone de chalandise. Hormis la Bourgogne où la SARL possède déjà un solide ancrage depuis 2005, la structure pilotée par les frères BOUCHROU croît aussi en Ile de France où ses perspectives de développement apparaissent comme exponentielles…

APPOIGNY : L’effervescence est constante lorsque l’on s’immerge au beau milieu de cette entreprise qui assure des prestations de service bien au-delà de sa zone originelle. Un axe naturel qui englobe l’Aube (le secteur de Troyes vit une belle mutation économique) et l’Yonne. Mais pas seulement.

PACK SECURITE n’a jamais hésité à bousculer les codes du professionnalisme et de la performance ainsi que les frontières géographiques pour réussir, selon la volonté opiniâtre et affichée de son principal chef de file, le toujours dynamique Karim BOUCHROU malgré quinze années d’entrepreneuriat.

Aujourd’hui, la Côte d’Or et la Saône-et-Loire (avec des interventions estivales récentes déclinées autour de la célèbre manifestation des arts dans la rue à Chalon-sur-Saône) constituent l’un des terreaux privilégiés de l’entité sur le territoire bourguignon. Pour autant, la SARL où travaillent également en étroite osmose les deux frères du dirigeant, Nordine et Hafid, n’occulte jamais l’étude de nouvelles possibilités où son savoir-faire serait mis en exergue.

La nouvelle saison qui débute ne devrait en rien déroger à cette règle élémentaire : celle d’une croissance obtenue dès que possible.

« Nous sommes positionnés sur plusieurs segments d’activité, explique Karim BOUCHROU, notre objectif est de les conforter en y développant les services associés… ».

Dans la besace de ses prestations et services, PACK SECURITE déploie une véritable panoplie d’opportunités destinées à répondre aux desiderata des professionnels.

 

L’une des rares structures indépendantes de ce secteur d’activités…

 

Surveillance, gardiennage, alarme, sécurité incendie, sécurisation des évènements, y compris ceux du domaine sportif (les rencontres importantes de football disputées dans le quart Grand-Est) représentent le panégyrique hétéroclite de cette société très discrète qui n’occupe pas la tête de gondole des médias. C’est un tort !

Dans ce long inventaire à la Prévert, PACK SECURITE se développe aussi sur des secteurs où on ne l’attendait pas, à l’instar de la conciergerie ou des espaces verts. Et ce depuis près de deux ans maintenant. Là aussi, les idées se bousculent pour aller encore plus loin…

« Notre philosophie est simple, résume Karim BOUCHROU, la meilleure protection à apporter à nos partenaires passe par la prévention des situations dites de crise et surtout par la souplesse des interventions plutôt que par le déploiement d’un excès de force aveugle et qui, in fine, se révèle impuissante… ».

Membre à part entière du SNES, le Syndicat national des entreprises de sécurité privée, l’enseigne se targue d’être l’une des rares entreprises indépendantes de l’Hexagone à ne pas avoir à subir l’influence d’autres groupes dans le choix de ses orientations. Un positionnement qui sied très bien à la stratégie mise en place par Karim et ses frères en vue de faire perdurer longtemps une affaire à fort potentiel.

Eclectique, la clientèle de la société comprend des entreprises issues de l’aéronautique, de l’assurance, de l’automobile, des banques, des collectivités, du secteur de l’évènementiel et de la communication. Auxquelles il est indispensable d’ajouter le secteur industriel, la distribution, l’immobilier, le numérique, la logistique et la filière pharmaceutique.

Bref : un champ d’actions qui frise l’indécence tant les possibilités sont nombreuses !

Signalons enfin que la structure a aussi déployé un pôle audit, conseils et formations en parallèle de son panel de vastes prétentions.

Le groupe emploie au bas mot plus de trois cents salariés. Une force de frappe indéniable qui lui a permis de gravir progressivement les échelons conduisant au succès et de présenter un prometteur chiffre d’affaires de cinq millions d’euros au terme du dernier exercice.

 


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