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C’est incontestablement l’évènement phare de la rentrée dans le domaine de l’économie, de la transition écologique et…de l’automobile. Très loin d’un simple salon où il serait de bon ton de signer un bon de commande à l’issu d’un essai de véhicule électrique, le concept porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO se veut novateur, didactique et informatif pour mieux appréhender les réels enjeux de la mobilité électrique. Telle qu’elle se présente devant nous…

INTERVIEW : Pourquoi un tel évènement porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO ? On est loin des préoccupations purement industrielles de ces structures ?

Au contraire ! Nous sommes au cœur d’un sujet industriel qui trouve nécessairement des implications au niveau des entreprises du territoire icaunais. La question de la mobilité électrique et plus généralement de la mutation des usages du transport qui s’appuient aujourd’hui presqu’exclusivement sur les énergies « carbone », au profit de moyens décarbonés, notamment l’électrique, constitue aujourd’hui un sujet majeur pour l’industrie française. En ce sens d’ailleurs, les annonces du Premier Ministre Jean CASTEX relatives au plan de relance insistent largement sur la nécessité de décarboner l’industrie française et en font une condition quasi sine qua non pour l’attribution des aides aux entreprises.

 

Avez-vous rencontré des difficultés pour organiser ce premier rendez-vous consacré à ce sujet dans l’Yonne ?

 

Il faut se souvenir que cette manifestation était initialement programmée le 02 avril dernier en point d’orgue de la « Semaine de l’industrie ». Nous avons été contraints de la déprogrammer compte tenu de la situation sanitaire liée à la COVID-19 et nous nous sommes interrogés quant à la pertinence de sa reprogrammation le 10 septembre prochain. Très vite, s’est imposée à nous la nécessité de nous placer dans une dynamique positive et volontariste, en maintenant cette journée qui constituera sans aucun doute le point fondateur de notre positionnement sur ce sujet.

D’ailleurs et d’une manière unanime, l’ensemble des partenaires et parties prenantes réunis autour du projet ont souhaité le maintien de cette journée et n’ont à aucun moment émis la moindre réserve quant à sa pertinence. Nous oublierons donc bien vite les obstacles que nous aurons eu à franchir et nous ne retiendrons que cette volonté unanime d’action !

 

La mobilité électrique impacte réellement les stratégies managériales des entreprises ?

 

La mobilité, quels que soit ses modes, est une nécessité à la fois pour la population, dans des usages privés, comme pour l’entreprise pour des usages professionnels, lesquels d’ailleurs sont souvent de natures très diverses. La mobilité électrique doit donc être considérée avant tout comme un moyen et non comme une fin en soi. Elle ne doit pas modifier les usages mais intégrer l’exigence de décarbonation qui devra être associée aux déplacements. Ce qui compte avant tout pour l’entreprise, c’est donc bien de garantir que la mobilité de ses personnels s’effectuera dans les meilleures conditions. A ce titre, les employeurs se posent encore bien des questions quant aux solutions en général, et à l’électrique en particulier. C’est en ce sens que le sujet touche bien la dimension managériale.

 

Assiste-t-on à une réelle prise de conscience sur les évolutions de notre comportement ou est-ce encore un phénomène modal teinté d’utopie ?

 

C’est tout à fait l’objet de cette manifestation et nous attendons au cours de cette journée, un maximum d’éclairages de la part des experts qui participeront aux différentes tables rondes. La question leur est d’ores-et-déjà posée dans la base line de notre communication : « La mobilité électrique : du rêve à la réalité ? Tournant majeur ou effet de mode ? ».

 

 

Le plateau que vous réunissez est de premier choix en y mêlant les acteurs de l’automobile, l’Agence régionale économique, les spécialistes de l’énergie…L’objectif de ce rendez-vous était-il de posséder une vision la plus globale et transversale possible sur cet item ?

 

Nous tenons tout d’abord à saluer l’engagement de ces nombreuses personnalités et leur venue à Auxerre pour cette journée du 10 septembre. Cela montre à quel point le sujet est important et mobilisateur ! Il suscite l’intérêt d’un grand nombre d’acteurs qui gravitent à différents niveaux autour de ce sujet : les universitaires, les industriels, les pouvoirs publics au travers des différentes agences économiques…

Un tel plateau répondra forcément à notre souhait d’aller au fond du sujet grâce à l’éclairage que tous ces experts pourront nous apporter.

 

 

Michel FORISSIER sera le parrain, un peu fil Rouge, de cette manifestation. Un mot sur sa venue ?

 

C’est un grand honneur pour nous que d’accueillir Michel FORISSIER à Auxerre. Par ses fonctions d’envergure internationale, il est un acteur et un témoin majeur du développement de la filière électrique pour l’automobile. Sa compétence, cultivée tout au long d’une carrière entièrement dédiée à l’automobile ; sa connaissance très fine de la problématique de la transition énergétique associée aux mobilités, laquelle se nourrit d’ailleurs de la grande capacité de benchmark que lui offre sa position internationale, lui confèrent une légitimité indiscutable pour être le grand témoin de cette journée.

 

Le gouvernement accroît les initiatives en versant des primes pour inciter à la transition écologique dans nos moyens de locomotion. Pourtant, l’Etat ne sera pas représenté à votre animation. Serait-ce un paradoxe ?

 

Vous avez raison : l’Etat est un acteur majeur de la réussite de cette transition vers l’électrique. Il va sans dire que sans les aides qu’il verse pour l’achat d’un véhicule dit « propre », il serait extrêmement difficile, notamment aux Français les plus modestes, d’acquérir un tel véhicule. La question de l’achat d’un véhicule électrique se situe en toute fin de la chaîne de valeur et elle est bien évidemment très importante. Notre journée quant à elle, interroge plus, finalement, sur la philosophie générale de la mobilité. Bien entendu, il n’y a pas de notre part, la moindre volonté d’exclure l’Etat. D’ailleurs, le préfet de l’Yonne a été invité et j’espère qu’il lui sera possible de participer au moins à une partie de la journée, tout en étant bien conscient du nombre extraordinaire de sujets et problèmes qu’il doit traiter en ce moment. Et puis comme je le disais précédemment, les Agences de développement économique seront présentes.

Comment les organismes que vous représentez peuvent-ils inciter le tissu entrepreneurial de ce territoire à vivre mieux cette transition écologique ?

 

 

La transition écologique ne va assurément pas représenter, une option pour les entreprises. C’est une exigence qui va s’imposer à nous et l’entreprise doit constituer l’un des rouages essentiels de sa mise en œuvre. De par notre mission auprès des employeurs, nous sommes un acteur majeur de leur accompagnement, bien ancré au cœur de notre territoire. L’information, le conseil, l’incitation et l’accompagnement de nos adhérents, notamment sur un tel sujet qui se situe au carrefour des problématiques économiques, sociales et sociétales, va naturellement de soi. Tout au long de l’année, nous organisons, à l’instar de la journée du 10 septembre, des moments où les chefs d’entreprise sont en capacité de s’inscrire dans des actions conduisant leur entreprise vers ces domaines stratégiques. Et puis bien-sûr, notre souci permanent de nous inscrire dans une dynamique de marketing territorial trouve ici naturellement tout son sens.

 

En matière d’exemplarité, est-ce que les cadres de l’UIMM, MEDEF et GISAERO de l’Yonne roulent électrique ?

 

Si tant est qu’il échoit à la Maison de l’Entreprise une obligation d’exemplarité en la matière ! Pour autant et très sincèrement, ce n’est pas le cas aujourd’hui et notre flotte de véhicules de service reste aujourd’hui entièrement traditionnelle. La question, lors de son renouvellement, se posera, et à l’évidence, il nous faudra arbitrer, compte tenu à la fois de nos besoins, mais aussi et surtout des capacités offertes par les matériels, quelle sera la meilleure formule à mettre en œuvre pour répondre à nos usages de mobilité. Je compte d’ailleurs beaucoup sur tout ce qui se dira le 10 septembre pour éclairer ma prise de décision future en la matière.

 

Ce rendez-vous pourrait-il s’inscrire dans le marbre et devenir un incontournable annuellement ?

 

Notre volonté, par le maintien la semaine prochaine de cet événement dont l’audience est nationale, et ce malgré la situation sanitaire, est bien d’en faire l’événement économique de rentrée pour notre territoire.

Il s’inscrit dans notre volonté de déployer en permanence le marketing territorial au service de l’Yonne dont je parlais précédemment. C’est bien sûr l’occasion de mettre les entreprises icaunaises en avant, mais aussi le département. Le succès de l’édition 2020 conditionnera peu ou prou l’organisation d’une nouvelle manifestation à la rentrée 2021. Mais d’ores et déjà, de nombreux sujets sont susceptibles d’alimenter une prochaine édition. Et puis vous le savez, ce ne sont ni la volonté, ni l’imagination qui nous manquent !

 

 

 

Vous faites des émules, puisque le 16 septembre prochain, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat organise sa propre vitrine sur une thématique similaire. Un groupe de presse régional envisage d’en faire autant au printemps…N’y a-t-il pas un risque d’en faire trop sur le sujet et de brouiller les messages en cas d’éclosion de ces évènementiels bien ciblés ?

 

La multiplication des initiatives autour du sujet de la mobilité électrique constitue assurément une preuve supplémentaire, si besoin est, de la pertinence de l’organisation de notre évènement. Il ne m’appartient pas de commenter le bien-fondé ou non, de ce qui est mis en œuvre par les uns et les autres. Mais encore une fois, la manifestation organisée à la Maison de l’Entreprise le 10 septembre prochain ne constitue pas une sorte de « salon de l’automobile électrique » au cours duquel il ne s’agirait que de remplir des bons de commande à l’issue des essais des véhicules des différentes marques. Notre volonté est d’aller au fond du sujet, pour que chacun au terme des débats ait enrichi sa capacité à juger si la mobilité électrique constitue bien le tournant majeur dont beaucoup se font les promoteurs, ou bien s’il ne s’agira finalement que d’un effet de mode qui retombera aussi vite qu’un soufflé sorti un peu trop tôt du four.

 

Enfin, en votre qualité de délégué général, quelles sont vos attentes en termes de bilan de ce rendez-vous ?

 

Au-delà de la qualité des débats et des échanges (dont je ne doute pas) qui auront lieu au cours de cette journée, je souhaite que chacune et chacun qui aura participé à l’événement se dise en repartant qu’il n’a vraiment pas perdu son temps et qu’il aura enrichi sa connaissance sur le sujet. Il me semble que c’est le bon moment pour trouver les réponses aux questions que toutes et tous nous nous posons.

Compte tenu du nombre important d’inscrits (exclusivement décideurs économiques et chefs d’entreprise) au moment où l’on se parle, nos objectifs quantitatifs sont d’ores et déjà atteints et je ne doute pas un seul instant que nos objectifs qualitatifs le seront eux aussi !

 

Propos recueillis par Thierry BRET

 

 


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Première femme agrégée de mathématiques du continent africain et présidente d’honneur de l’association internationale Lune d’Afrique, Joséphine GUIDY WANDJA, professeure de son état, a remis une honorable distinction au responsable de l’antenne auxerroise de la structure associative, l’ancien journaliste ivoirien Dieusmonde TADET…

AUXERRE : C’est une sommité des mathématiques dans son pays, la Côte d’Ivoire. Mais, son savoir et sa prestance de scientifique irradient aussi l’ensemble de la terre d’Afrique !

Mathématicienne à la renommée planétaire, le professeur Joséphine GUIDJY WANDJA était de passage il y a peu dans la capitale de l’Yonne afin de distinguer l’un de ses compatriotes, l’ancien journaliste Dieusmonde TADET.

Ce dernier a reçu une récompense honorifique pour son action à la tête de la section auxerroise de Lune d’Afrique, une structure qui rayonne bien au-delà de sa ville de prédilection.

 

 

 

L’association internationale promeut les valeurs humanistes dans de nombreux états de l’Afrique noire à travers une multitude d’actions culturelles et caritatives : Bénin, Cameroun, Centrafrique, Togo, Burkina-Faso, Côte d’Ivoire, mais aussi dans le Maghreb à l’instar de la Mauritanie.

C’est pour son investissement et la qualité de ses actions que le résident auxerrois a reçu le trophée du prix Afrique Connexion de l’homme de culture et de paix 2019.

 

 


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Depuis le début de l’année, une trentaine de juments, étalons, poneys et ânes ont été attaqués et sauvagement mutilés : oreilles coupées, lacérations, yeux arrachés, museaux tranchés, mutilations génitales. Ces actes d’une extrême cruauté sont en explosion depuis le début du mois d’août et la Bourgogne Franche-Comté n’est pas épargnée par ce phénomène aussi invraisemblable qu’abominable.

TRIBUNE: Lundi 24 août, deux poneys et un cheval handicapé ont été lacérés à l’arme blanche au refuge « Le Ranch de l’espoir »  à Charny-Orée-de-Puisaye. En voulant protéger ses bêtes face aux deux agresseurs, le président du refuge, Nicolas DEMAJEAN a été blessé. Le portrait-robot de l’un des barbares a été diffusé par la presse.

Le week-end dernier dans le Jura, les tortures infligées à trois chevaux dans les communes de Courlans, Ranchette et Leschères s’ajoutaient à l’attaque d’une jument à Thoiria.

A Cluny en Saône-et-Loire, une jeune pouliche de 18 mois a été retrouvée avec un œil en moins et l’ensemble de l’appareil génital arraché. Mardi 25 août, un habitant de Saint-Vallier a découvert sa ponette de 14 mois morte dans son pré. L’autopsie a révélé que l’animal avait eu l’oreille coupée, le crâne explosé, le museau tranché et le diaphragme explosé.

 

Que les pouvoirs publics agissent vite et fermement…

 

Les élus du groupe Rassemblement national apportent leur plus vif soutien aux propriétaires de chevaux, éleveurs et directeurs de centres équestres victimes de ces raids immondes. Ils témoignent leur solidarité à tous les amoureux du cheval qui n’est pas seulement la plus noble conquête de l’homme mais aussi et surtout un animal domestique attachant qui illumine le quotidien de nombreux Français.

 

 

A la suite de la multiplication de ces sauvageries, les conseillers régionaux RN demandent aux pouvoirs publics d’agir rapidement et fermement pour enrayer cette série macabre.

En visite en Saône-et-Loire, le ministre de l’agriculture Julien DENORMANDIE a déclaré que « justice sera faite ». Pour protéger les animaux et lutter contre cette barbarie d’un nouveau genre, il est urgent de durcir les sanctions contre les individus qui font le choix de la « décivilisation ». 

 

Passer aux actes pour arrêter le massacre…

 

Par l’intermédiaire d’une proposition de loi de son député Bruno BILDE en date du 11 septembre 2019, le Rassemblement National avait demandé la modification de l’article 521-1 du code pénal : « Le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de quinze ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende. »

Dans la lutte contre l’ensauvagement, passons des mots aux actes !

Julien ODOUL

Président du groupe Rassemblement National

 


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Une rareté, encore une décidément, évolue sur les routes du département septentrional de la Bourgogne. Mais, peut-on raisonnablement parler de véhicule ordinaire ? Ce n’est ni une automobile. Pas davantage une grosse cylindrée, bien campée sur ses deux roues !

BREVE : Ce moyen de locomotion très étrange muni de trois roues a pour nom de baptême le « Slingshot ». Littéralement, le « lance-pierre » dans la langue de Shakespeare !  

Son constructeur n’est autre que l’américain POLARIS. Une enseigne méconnue du grand public qui s’est pourtant spécialisée depuis des lustres dans la conception de véhicules de loisirs motorisés. La société a su aussi abattre la carte de la diversité en devenant propriétaire de marques de moto (Indian, Victory) et de voiturettes électriques. De celles qui fleurissent sur les nationales françaises lorsque le capital de points sur le permis de conduire a fondu comme neige au soleil ! A l’instar de la française AIXAM MEGA qui en est une de ses ramifications en Europe.

 

 

 

Fabricant de quads et de motoneiges pour le marché nord-américain, POLARIS possède toutefois 25 % des parts de la société KTM, entité autrichienne bien connue des motards.

Si ce joujou vous interpelle (on peut en voir un exemplaire stationné en permanence devant la devanture d’un restaurateur de Brienon-sur-Armançon), il vous en coûtera une enveloppe financière de près de 30 000 euros pour se faire plaisir. Histoire de se démarquer des autres, assurément !

 

 

 


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On attendait avec impatience la venue du président de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture (APCA) dans l’Yonne. Malheureusement, un ennui de santé de dernière minute aura privé la belle initiative de la FDSEA et de la Chambre d’agriculture de cette visite ô combien importante pour une filière professionnelle en souffrance économique prise en étau entre sécheresse et faibles rendements des récoltes. Qu’importe ! L’absence de Sébastien WINDSOR n’aura entaché en rien la qualité de ces débats suivis par un aéropage de premier choix : les représentants de la sphère politique départementale…

NOYERS-SUR-SEREIN : Sur le papier, le monde agricole devait effectuer le grand coup médiatique de la rentrée en accueillant le président de l’APCA Sébastien WINDSOR, destinataire d’un courrier d’invitation qui en disait long sur les attentes des professionnels de la filière avec cette visite.

Associées dans cette initiative judicieuse, la Fédération départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles et la Chambre d’Agriculture de l’Yonne n’avaient qu’un seul et unique objectif avec ce déplacement concocté sur la journée dans la région de Noyers mettre toutes les cartes sur la table pour aborder les préoccupations du moment.

 

 

Elles étaient légion eu égard à l’actualité entre la sécheresse qui sévit, le faible rendement des récoltes céréalières, la difficile construction de la Politique Agricole Commune à l’échelle de l’Europe, la perte de revenus des agriculteurs, etc.

Dommage, trois fois dommage, l’absence de Sébastien WINDSOR, patron de l’APCA, aura quelque peu refroidi les participants venus en nombre sur les deux exploitations choisies par les organisateurs pour faire office de lieux de réception. Le matin à Annoux chez Jacques PIAULT ; l’après-midi dans l’infrastructure de Franck MENARD à Noyers-sur-Serein.

 

 

Pléthore de sujets et pistes de réflexion…

 

Malgré cela, l’animation répondit à toutes ces promesses. Avec une mobilisation hors normes de la sphère politique qui prit soin d’écouter avec intérêt les doléances de la filière en proie à une récurrence d’aléas depuis pas mal de temps.

Problématique de l’eau, diversification nécessaire des cultures, handicaps naturels de la Zone intermédiaire dans laquelle se situe le territoire de l’Yonne (une zone synonyme d’oubli pour certains), réintroduction de l’élevage (ovins) malgré la présence du loup, rééquilibrage de la PAC ou inadaptation du système assurantiel des risques climatiques furent autant de points d’interrogations abordés librement par cet échantillon représentatif du monde agricole en présence des élus.

Un large temps de parole fut aussi consacré au développement du photovoltaïque au sol, une démarche novatrice « Yonne » qui doit être déclinée en charte départementale à l’avenir. Un cas précis de hausse de revenus que commenta l’exploitant Franck MENARD fort de son expérience.  

 

 

Les représentants de CER France firent une longue analyse sur l’évolution des résultats enregistrés par les exploitations icaunaises en système spécialisés grandes cultures sur la période 2012/2019. Avant de brosser les perspectives espérées en 2020.

Pour Arnaud DELESTRE, président de la chambre consulaire agricole et Damien BRAYOTEL, son homologue de la FDSEA 89, la journée devait se conclure par un débriefing général en présence de tous les acteurs de la filière. Avec en toile de fond une question devant tarauder les esprits : quelle poursuite d’action aux niveaux départemental, régional et national pour remettre la filière agricole sur de bons rails ?

Les réponses ne devraient pas tarder à se révéler dès la session de reprise de la Chambre départementale le 10 septembre prochain…

 

 

 

 


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