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La période du « en même temps » serait-elle désormais révolue pour le chef de l’Etat Emmanuel MACRON ? Comme le disait si bien l’amuseur de RTL, Philippe CAVERIVIERE, dans l’une de ses chroniques humoristiques matinales dont il a le secret à l’annonce, cette semaine, du nouveau gouvernement, « la France est gouvernée par huit ministres de droite, deux de gauche et les autres… de droite ! ».

Preuve que le nouveau chef du gouvernement qui lui vient plutôt de la gauche (anciennement parti socialiste) aurait choisi une équipe en concertation avec le palais élyséen qui pencherait significativement plus vers la droite que l’inverse. Une question de déséquilibre, en somme, que le fanfaron du matin n’aura donc pas manqué de railler sur les ondes hertziennes.

Et ce n’est pas l’arrivée de deux poids lourds ayant déjà officié sous l’ère de Nicolas SARKOZY et de Jacques CHIRAC qui vont infléchir ce sentiment de droitisation de la politique actuelle. A trois ans du terme du second mandat du plus jeune Président de la République élu (39 ans), non seulement le locataire de l’Elysée se paie le luxe de nommer un « gamin » de 34 ans à la tête du gouvernement, Gabriel ATTAL, et de muscler ainsi l’aile droite de son exécutif, peut-être en prévision des futures joutes présidentielles de 2027, élections décisives pour l’avenir du pays, présentes déjà dans toutes les têtes.

 

La nomination de Rachida DATI créée plus que de la surprise !

 

Serait-ce la « botte de Nevers » astucieuse à la D’Artagnan – c’est plutôt d’actualité avec la nouvelle adaptation cinématographique du roman fleuve d’Alexandre DUMAS – qu’aura choisie Emmanuel MACRON pour couper l’herbe sous les pieds du Rassemblement National et des Républicains, avant de se lancer dans la course à l’Elysée ?

Peut-être. Ou peut-être pas. Mais, le Président de la République est suffisamment un fin renard de tacticien pour ne pas l’avoir envisagé !

Face à la jeunesse incarnée par les jeunes loups aux dents acérées du RN (Jordan BARDELLA, Laurent JACOBELLI, Sébastien CHENU, Julien ODOUL…), le dirigeant de l’Etat français a donc opté pour un choix stratégique qui lui permet d’occuper le terrain, avec des ministres de droite, tout acquis à sa cause. Dont d’anciennes figures gouvernementales ayant déjà connu les ors du pouvoir grâce à un maroquin sous la présidence de Nicolas SARKOZY et de Jacques CHIRAC : Rachida DATI, ancienne Garde des Sceaux et Catherine VAUTRIN, ancienne ministre déléguée à la Cohésion sociale et à l’Egalité des chances, entre autres.

Certains poussent déjà des cris d’orfraie en s’étranglant à moitié ! Notamment envers la première des susnommées. Surtout, François BAYROU du MoDem qui ne doit plus trouver le sommeil depuis cette nomination surprise et pour le moins inattendue.

 

 

Rachida DATI entre dans un gouvernement de l’ère MACRON ! Elle qui a tellement vilipendé sur les ondes et dans les meetings l’action présidentielle et gouvernementale depuis 2007 se retrouve donc en première ligne, certes avec le portefeuille du ministère de la Culture. Il ne faudrait pas exagérer tout de même ! Il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis, dit-on !

Il paraît que dans les soupentes de la chose politique, tous les observateurs s’accordent à le dire que d’une part François BAYROU – de moins en moins influent auprès de la présidence hexagonale – ne décolère pas à la suite de cette nomination des moins surprenantes. Il pourrait même lancer sa propre liste aux Européennes tellement le garçon semble dépité ! Pire, Rachida DATI personnifie la détestation suprême pour le maire de Pau et leader du mouvement centriste car c’était l’ennemie jurée de feu Marielle de SARNEZ, son égérie, aujourd’hui disparue.

D’autre part, confier la culture à l’élue de l’opposition parisienne équivaut à une sinistre plaisanterie, selon les sbires de la grande prêtresse de la capitale, Anne HIDALGO ! Une autre de ces ennemies jurées. Elle l’accuse ouvertement de ne rien connaître à la cause des artistes ! Bing, ça mitraille à tout va !

Du côté des leaders des Républicains, cette prise de guerre réalisée face au camp adverse par Emmanuel MACRON fait également grincer des dents auprès des instances supérieures du parti de droite, toujours englué dans l’opposition à la recherche d’un véritable chef charismatique en vue des présidentielles 2027. L’excommunication n’est pas très loin ! A défaut, la radiation ou le bannissement, alors que l’intéressée se défend de quitter sa famille politique dont elle incarne une incontestable force.

 

Les inquiétudes des mouvements LGBT avec le retour de Catherine VAUTRIN

 

Ancienne présidente de l’ANRU (Agence nationale pour la Rénovation Urbaine) – à ce titre, Crescent MARAULT, maire de droite d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois, l’avait reçue en juin dernier en grande pompe dans sa ville de prédilection lors d’une signature de partenariat -, Catherine VAUTRIN, adoubée entre-temps par l’Elysée pour s’installer au ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités, suscite bon nombre d’interrogations également.

Réputée ultra conservatrice et bien empreinte dans l’idéologie d’un catholicisme pur jus, les prises de position de l’intéressée, jadis, contre les mouvements LGBT et le mariage pour tous, font couiner aujourd’hui les sphères homosexuelles de l’Hexagone. Un non-sens pour les libertés, clament déjà ses plus farouches opposants même si l’ancienne ministre déléguée à la Cohésion sociale et à l’Egalité des chances (de toutes les chances ?!) a fait depuis son mea culpa sur le sujet. Sait-on jamais : et si un jour on lui avait proposé de gérer à nouveau un  portefeuille ministériel !

A l’énoncé de son patronyme, certains ont carrément parlé de « douche froide » ! Un comble, que cette nomination quand on sait que le nouveau Premier ministre de notre pays est le premier chef de gouvernement à avoir effectué publiquement son « coming out » et à affirmer ainsi son homosexualité !

Mais, au-delà de ces différentes désignations et du resserrement millimétré de la liste ministérielle où l’on prend in fine du vieux pour tenter de nous vendre du neuf, on retiendra tout de même une belle note de positivisme, prononcée lors de la première intervention audiovisuelle du très jeune Gabriel ATTAL : « je veux de l’action, de l’action, de l’action pour obtenir des résultats, des résultats, des résultats… ».

Enfin de belles paroles, audibles à nos oreilles et que l’on aimerait tellement croire dans les faits !

 

Thierry BRET

 


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Il n’y a pas d’âge pour entreprendre. Ni réaliser le rêve de son existence. Encore moins de vouloir prendre sa destinée en main ! A 34 ans, Jimmy GONDET se lance un défi de taille. Mais, pas de quoi l’affoler, lui qui pratique le football depuis bientôt deux décennies. Tout juste, est-il lucide quant à la pérennité de son projet : « j’ai misé gros et je joue ma carrière sur cette entreprise ». Un show-room de belle facture, 300 mètres carrés idéalement situé en zone commerciale à Monéteau où il propose ameublement et agencement de l’habitat sous la marque « ECOCUISINE ». C’est tout frais : les portes se sont ouvertes pour la première fois ce mercredi…

 

MONETEAU: Le vrombissement d’une perceuse altère quelque peu la qualité de la discussion avec notre interlocuteur. Logique : deux ouvriers s’affairent prestement afin de terminer la pose d’un ensemble cuisine, situé près de la porte d’entrée. Certes, tout n’est pas encore installé dans la nouvelle enseigne qui a ouvert ses portes ce mercredi à 10 heures. Mais, cela ne saurait tarder.

D’autant que d’autres corners présentent, eux, une configuration bien différente de la cuisine modèle, avec ses tiroirs offrant le rangement de nombreuses victuailles, son plan travail prêt à l’emploi et de lumineux éclairages qui donnent cette impression d’être chez soi, juste avant de se mettre à table !

Un peu plus loin, le regard se pose sur une cuisine au décorum si british et cosy. On en sentirait presque les effluves d’un breakfast éclectique à la londonienne qui viendrait titiller les narines des plus gourmands.

Prolixe dans ses explications, Jimmy GONDET, hôte de cet endroit, nous propose le tour du propriétaire, histoire de se faire une idée du concept ! Disons, une vision plus approfondie de ce nouveau show-room, terminé après quatre mois de réhabilitation avec des artisans du cru – le bâtiment accueillait à l’origine un revendeur de piscines -, aujourd’hui entièrement consacré à l’ameublement de la cuisine et à l’agencement de la maison.

 

 

Un maillage de plus de 110 vitrines commerciales à l’échelle nationale…

 

Nom de baptême de la boutique, implantée en zone commerciale près de Cora : « ECOCUISINE ». Un patronyme sobre mais explicite qui allie à la fois la double notion sémantique d’écologie et d’économie. Pas si bête ! Une marque nouvelle ? Oui à l’échelle de l’Yonne mais pas au niveau de l’Hexagone puisque cette licence de marque, apparue dans l’Est de la France en 2005, compte à date plus de cent dix vitrines de la sorte réparties aux quatre coins de notre territoire de cocagne. Jusque-là, les aficionados de ce concept novateur – des cuisines innovantes à base d’un design haut de gamme proposées à des tarifs hyper concurrentiels – devaient se rendre à Troyes ou à Dijon pour y découvrir sa philosophie.

Désormais, c’est chose faite, l’Yonne dispose d’un magasin à l’estampille de cette enseigne fondée par la famille FRANCOIS.

Ici, un terme est à soustraire d’office du vocabulaire à utiliser dans les conversations : « low cost » ! Comme s’en explique Jimmy GONDET, gérant de la boutique, à la tête d’une petite équipe de trois collaborateurs (Charlène FLEURY, chargée de la communication et du marketing, Eva BENTO, commerciale et spécialiste de la gestion et Alban LECOQ, commercial), tous férus de la vente de cuisines et d’ameublement.

« Le terme « éco » est employé pour traduire la parfaite alliance qui existe entre la notion écologique que l’enseigne est fière de mettre en avant et la notion d’économie qui permet de proposer des solutions d’aménagement à moindre coût pour les clients ».

 

 

Proposer des cuisines de qualité au juste prix…

 

Dans les faits, l’enseigne adopte une attitude plus responsable envers sa clientèle. S’intéressant à la fréquence et au panier moyen de ses courses alimentaires effectuées et au retour de la découverte client. Comme autrefois, semble-t-il.

« Notre credo est simple, ajoute Jimmy GONDET, nous souhaitons refaire des cuisines au juste prix, respectueux du budget initial des clients… ».

Des budgets qui peuvent osciller en moyenne entre 8 à 10 000 euros. Bref, de la cuisine et de l’ameublement accessibles à tous.

Pourvue d’une centrale d’achat, « ECOCUISINE » négocie ainsi ses commandes au meilleur prix auprès du principal fournisseur allemand, le groupe NOBILIA. Une structure industrielle qui sort près de 4 000 modèles de cuisine par jour de ses cinq unités de productions outre-Rhin. Précisions : l’industriel germanique va rentrer au capital du distributeur national, preuve de la confiance que le groupe accorde à son partenaire.

Quant au chiffre d’affaires prévisionnel espéré au terme de 2024, il s’élève à 1,1 million d’euros. Un sacré challenge pour Jimmy GONDET et son équipe, mais pas impossible à réaliser selon le patron de cette nouvelle structure qui veut se démarquer de la palette concurrentielle locale, opérant sur ce marché. D’ici six mois, il sera temps de tirer les premiers enseignements de cette nouvelle aventure et si possible d’accroître l’équipe avec une collaboratrice supplémentaire qui ferait aussi de gestionnaire de l’administratif.

Pour l’heure, l’équipe se réjouit de recevoir ses premiers visiteurs dans ce show-room aux allures modernistes, parfois original – il suffit d’admirer les tableaux des quatre singes aux allures rock’n’roll et humoristique pour s’en convaincre accrochés aux cimaises - et dans un univers recherché (c’est l’œuvre d’Eva et de Jimmy) et de préparer la phase inaugurale officielle de cette enseigne, prévue avec moult invités le jeudi 08 février prochain. Un esprit sain dans un corps sain : une maxime qui pourrait s’appliquer à la perfection à cette équipe…

 

Thierry BRET

 

 


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La liberté d’expression est l’une des ultimes libertés qui existe encore dans les démocraties. Ce qui en fait une profonde différence avec les régimes autoritaires qui gangrènent progressivement bon nombre de pays de la planète. Sans que cela ne perturbe nullement les Occidentaux, aveugles, que nous sommes ! A l’aune de 2024, nous vivons sur une planète à feu et à sang qui ne demande qu’à imploser devant tous les coups de boutoir sordides et impérialistes des tyrans et autres dictateurs de tout poil. Quand ce ne sont pas les terroristes qui s’y collent. Alors neuf ans après le drame de 2015, demeurons à jamais « Charlie » pour mieux défendre notre liberté…  

 

Lundi 

L’évènement est devenu un rituel pour le plus grand plaisir des mélomanes, épris de musique classique et autres amateurs d’une « sieste canapé », après les excès du réveillon. Chaque année, ce sont plus de 50 millions de personnes à travers le monde, qui regardent et écoutent le concert du Nouvel An de l'orchestre philharmonique de Vienne en Autriche. Un évènement retransmit en direct dans plus de 90 pays. Dirigé cette année par le chef d’orchestre allemand Christian THIELEMANN, il s’est appuyé une fois encore sur ses fondamentaux. A savoir la dynastie STRAUSS et ses valses bleutées. Mais dans l’enceinte de la salle dorée du « Musikverein », l’on est bien loin du célèbre slogan BENETTON et de ses « couleurs du monde ». Que ce soit parmi les musiciens ou dans le public, le type caucasien semble être la seule règle, hormis de-ci de-là quelques silhouettes asiatiques. La distinguée société viennoise se veut « white is white ». Et moi qui croyais qu’en musique deux noires valaient une blanche ! 

 

 

Mardi

Un détenu a été retrouvé pendu le matin de Noël dans sa cellule de la prison départementale. Un drame presque « ordinaire » au regard des chiffres, avec en moyenne, un suicide tous les trois jours en milieu carcéral (125 en 2022), qui fait de la France l’un des pays « champions » en la matière au sein de l’Europe. Ce quarantenaire auxerrois qui avait été condamné à une peine de 14 mois d’emprisonnement après l’agression de sa mère en mai 2023 était libérable dans quelques jours. Diagnostiqué bipolaire, de quel suivi médical bénéficiait-il ? Sa place était-elle derrière les barreaux ou dans un centre spécialisé ? Avec cette question en suspens : serait-il ressorti moins ou plus dangereux pour lui-même et pour la société une fois sa peine purgée… ?

 

 

Mercredi

Partira…? Ne partira pas…? Sur fond de rumeurs et d’incertitudes, l’avenir d’Elisabeth BORNE à Matignon est en suspens depuis les vœux présidentiels du 31 décembre et les « remerciements » qui lui furent décernés par Emmanuel MACRON. Un mot dont le redoutable double sens semble sceller le sort de celle qui le 16 mai prochain, aurait fêté ses deux ans au poste de Première ministre. Quel dommage ! Il ne lui restait plus que cinq séances pour égaler le record d’articles 49.3 déposés, toujours détenu par feu Michel ROCARD, champion toutes catégories qui y eu recours à 28 reprises !

 

  

Jeudi

Une figure historique de la construction européenne s’est éteinte. Jacques DELORS s’en est allé à l’âge respectable de 98 ans, après avoir occupé la scène politique quatre décennies durant. Mais de l’homme, l’on gardera surtout le souvenir de ce dimanche 11 décembre 1994, lorsqu’interrogé par Anne SINCLAIR dans son émission culte « 7 sur 7 », il renonça en direct devant des millions de téléspectateurs à se présenter aux futures élections présidentielles. Un rendez-vous manqué avec le destin, lui qui était donné favori dans les sondages et le seul, alors à gauche, à prétendre pouvoir endosser un jour le costume présidentiel. Une décision intime qui provoquât la surprise et fit débat, mais tout à l’honneur de celui qui sut placer sa vie personnelle et sa famille avant toute autre chose. A l’heure où les prétendants à la fonction suprême sont légion et pour certains déjà dans les starting-blocks, son exemple est peut-être à méditer…

 

Vendredi     

Marées noires et galettes de blé noir d’accord, mais pas d’enfant noir ! Il aura suffi d’une photo d’un enfant de couleur en habit traditionnel pour que la une du nouvel opus du « Peuple Breton », mensuel progressiste publié par l’Union Démocratique Bretonne (UDB) qui fêtera cette année ses 60 ans, déclenche une avalanche de commentaires racistes et mette le feu à la « facho-sphère ». Pour ces nostalgiques de la « race pure », hors de question qu’un enfant métis vienne « souiller » le Gwenn Ha Du, drapeau symbole de la Bretagne créé il y a près d’un siècle qui, comme chacun sait, comporte neuf bandes horizontales, quatre blanches et… cinq noires ! « À chacun, l’âge venu, la découverte ou l’ignorance » écrivait en 1970 l’essayiste breton Morvan LEBESQUE dans son pamphlet, « Comment peut-on être breton ? » .Certains ont déjà fait leur choix…

 

 

Samedi

C’est Dallas à Douchy ! Le paisible village du Loiret auréolé du prestige de compter parmi ses habitants l’un des plus grands acteurs du cinéma français n’en finit pas de servir de scène aux déchirements de la famille « DELON-Ewing »… Alain, le patriarche, en passe de porter plainte contre son fils Anthony, après que celui-ci ait effectué la même démarche à l’encontre d’Hiromi ROLLIN qui, se présentant comme la « compagne d’Alain, a elle-même porté plainte contre toute la fratrie. Sans oublier la fille, Anouchka, dénonçant dans le même registre les deux précités… Même un « Samouraï » n’y retrouverait pas ses petits ! Il est toujours triste de voir un clan se déchirer ainsi, en privé comme en public. Pauvre « Clan des Siciliens » !

 

Dimanche

 

Neuf ans après, la douleur est toujours aussi présente et le combat contre toutes les formes d’obscurantisme plus que jamais d’actualité… Neuf ans jour pour jour, que les frères KOUACHI décimaient la rédaction du journal « Charlie Hebdo », laissant derrière eux douze cadavres et un traumatisme aux accents d’éternité. Son directeur et rescapé du massacre, RISS, le confesse douloureusement : « Je crois qu’on ne guérit pas vraiment… ». Rien n’est jamais acquis sur le terrain de la liberté d’expression. Le combat ne fait que commencer, n’en déplaise à certains élus qui ont fait d’un prétendu « religieusement correct » un cheval de bataille mettant à mal la liberté d’informer et de rire. A jamais Charlie !

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Sera-t-il laid ou bien beau ? Déjà dans les années 70, le chanteur Alain SOUCHON, un brin pessimiste et nostalgique comme à l’accoutumée dans ses textes si mélancoliques, s’interrogeait sur le sens de la vie, au fil du temps qui passe. Force est de constater que les années défilent, les décennies s’accumulent et que la même ritournelle revient inlassablement à nos oreilles : que nous réservera l’année prochaine ?

2024, la belle année ? Cela pourrait peut-être seulement se résumer et se souhaiter aux termes des douze coups de minuit, le soir de la Saint Sylvestre ! Parce qu’il est vrai que dans le monde actuel où l’on vit sur cette bonne vieille Terre, les sujets anxiogènes et d’inquiétude ne manquent pas !

Depuis que le monde est monde, les crises et les conflits habitent notre planète. Pire, jadis, il y avait aussi les dinosaures et des monstres marins ! Mais, il est vrai que cette année 2024 sent quand même la poudre. Pas d’escampette, malheureusement, mais bel et bien le souffre du canon – pas de ceux que l’on boit un soir d’hiver au coin de la cheminée -, celui de la guerre.

 

Pour vivre heureux aujourd’hui, il faut être carpe diem !

 

Il ne faut pas être prophète en son pays pour dire que 2024, à l’instar de 2023 qui s’achève sans regrets éternels, ni fleurs ni couronnes, risque de se présenter dans la même veine que les années de la décennie 2020. Chaud bouillant.

Le monde semble totalement déstabilisé, balloté, sans pilote dans l’avion. Ou alors avec trop de prétendants, plus désaxés les uns que les autres, qui espèrent tous devenir tôt ou tard les maîtres de la planète avec leurs bombinettes nucléaires. Une planète qui ne tourne plus vraiment bien rond : il ne manquerait plus que l’astéroïde qui nous fonce dessus et baptisé avec force humour « Chaos de la Création » par les ingénieurs de la NASA ne viennent à nous percuter de plein fouet d’ici quelques mois et cela en serait terminé de cet éditorial et de tout ce qui l’accompagne ici-bas !

Carpe diem, disent les philosophes, emplis de sagesse. Oui, la vie qui vaut la peine d’être vécue, ne doit pas nous faire oublier les bons moments à couler dès que les instants se présentent à nous, loin de la fureur des hommes et de leurs perpétuels bruits de bottes, synonymes de guerre.

Aujourd’hui, les conflits sont légion. Comme au temps de Rome ! Pas un continent n’y échappe même la bouillonnante Amérique du Sud s’en mêle avec la nouvelle possibilité d’opposition entre le Venezuela et la Guyana, soutenue par la perfide Albion – le Royaume-Uni – qui est loin d’être prude sur le sujet. Un remake de la guerre des Malouines ou des Falkland comme en 1978 ?

 

 

Un monde en perdition avec des points conflictuels…

 

Et que dire de la situation au Moyen-Orient où la trêve des confiseurs n’a pas été respectée, à la manière identique de l’Ukraine qui a reçu un tapis de 110 missiles meurtriers entre Noël et Nouvel An, provoquant une fois encore son lot de deuils, de drames et de rancune farouche.

Et comme si cela ne suffisait pas – avec la Serbie ultra nationaliste qui aimerait bien en découdre de nouveau afin de prendre sa revanche sur le Kosovo et la Bosnie – voilà que le grand leader de Corée du Nord évoque lors de l’assemblée générale du parti unique qui l’a porté au pouvoir les nécessaires préparatifs à la guerre que son peuple doit accepter au nom des principes de cette tyrannie familiale sans nom !

Un conflit qui pourrait même être nucléarisé selon le dictateur de Pyongyang et qui s’en féliciterait presque avec un regard enfantin de gros nounours, enfant gâté de la dynastie des Kim !

Tandis qu’à Taïwan où l’on subit toujours l’influence de Pékin afin de perturber les futures élections présidentielles, on s’inquiète de la présence de moins en moins rassurante de ces navires de guerre battant pavillon rouge, représentant une menace grandissante pour les insulaires qui ne désirent pas être avalés par l’empire du Milieu.

 

S’accommoder de 2024, le sourire aux lèvres ou pas !

 

Quant à la Mer Rouge, théâtre de multiples opérations des groupuscules terroristes à la solde de l’Iran visant à saper le commerce international en coulant les pétroliers et méthaniers, elle est devenue un nouveau pôle géographique d’instabilité de ce monde en perdition.

Vous en voulez encore dans cet inventaire à la Prévert, sinistre et lugubre ? Non, stop ! De grâce, profitons de l’instant présent et pensons plutôt à réveillonner en famille ou avec des amis, en sirotant une coupe de champagne ou un Américano ! Demain, et l’année prochaine, seront d’autres jours à vivre pleinement. Avec ses moments d’allégresse et de folies dont il faudra bien pourtant s’accommoder, le sourire aux lèvres ou pas !

Au gui l’an neuf, comme le veut la tradition et bonne année 2024 !

 

Thierry BRET

 


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Dis donc, Père Noël, et si tu nous apportais plein de jolis cadeaux à déposer au pied du sapin en cette fin d’année 2023 ? Mais, pas nécessairement, ces jouets venant des confins de l’Asie bourrés d’électronique, des bouquins dénués d’intérêt à mettre au pilon, des CD inaudibles à l’écoute, des vêtements que l’on se débarrassera à la première occasion sur un site Internet parce que trop moches ou pas à la bonne taille, et toutes ces choses totalement inutiles, ringardes, voire obsolètes avant même de les déballer que l’on n’oserait même pas offrir à son pire ennemi !

Non, Père Noël, ce que les Françaises et les Français désirent le plus au monde en cette belle fin d’année 2023, si particulière et chaotique, c’est du rêve ! De l’espérance à en revendre, du civisme et du respect à l’état brut ! Du tangible et pas de l’a peu près !

Période de trêve et d’espoir, la célébration de la Nativité et ce, quel que soient les religions, se veut aussi porteuse de fraternité, d’amour, de paix, d’amitié, de promesses. Celle de vivre en paix dans un monde qui se délite un peu plus chaque jour. Celle de connaître des jours meilleurs quand on est dans la peine, la souffrance psychique et morale, la maladie, le handicap.

Cette croyance en ce personnage imaginaire qui aura bercé toute notre petite enfance – du moins l’espère-t-on car le mythe est magnifique à bien des égards quand on l’examine de plus près ! – représente toujours une bulle d’oxygène pour ces parents qui gâtent leur jeune progéniture en leur offrant des cadeaux. Certains, utiles ; d’autres si futiles !

 

Et les adultes dans tout ça ?

 

Et si les adultes se prenaient à y croire, à nouveau ? Que pourrions-nous demander par lettre interposée et sans l’oblitération d’un timbre postal parmi nos souhaits ? Après avoir vécu une telle année 2023, la liste pourrait être très longue, pour combler nos désirs les plus fous et les plus sincères.

L’avancement de la retraite à…60 ans et non à 64 ans tel que cela nous a été imposé de la manière la plus brutale et sans notre consentement – il y a le mythe du Père Noël, assurément, mais en France, il y a aussi le mythe du référendum dont on ne voit jamais la trace ! - ; on y ajouterait parmi les paquets cadeaux la maîtrise de l’inflation et la hausse du pouvoir d’achat !

Merci, par ailleurs, aux valeureux spéculateurs de tout poil de s’enrichir de manière éhontée, abusive et immuable sur le dos de tous les pauvres couillons que nous sommes, nous autres les consommateurs lambda devant satisfaire nos besoins consuméristes ou ceux de notre progéniture !

 

 

Des « bons cadeaux » pour obtenir la paix

 

Sur le plan international, et avec le lot de gabegies planétaires que nous vivons en mode accéléré et que nous avalons telles des couleuvres depuis 2022, on pourrait voir le Père Noël apporter dans sa hotte des « bons cadeaux » donnant enfin droit à la paix et à la sérénité pour des pays et des peuples en déshérence qui en auraient bien besoin.

Bien sûr, le premier d’entre eux serait l’Ukraine qui ne connaîtra pas de trêve des confiseurs, même le jour de la Nativité sous les bombardements meurtriers et aveugles de l’envahisseur russe.

Une simple histoire de famille et de disputes entre Slaves, pourrait souffler Vladimir POUTINE pour qualifier un conflit qui plombe l’économie mondiale – mais pas trop la sienne malgré les sanctions économiques adressées en paquets de douze – et qui menace l’Europe et les pays de l’Est, même si vu de la France, en particulier, cela ne soit guère probable dans les faits. Curieux que nos concitoyens aient la mémoire aussi transparente et si courte quand il s’agit de se remémorer les affres de l’Histoire, période du début des années 1940…au hasard, l’année 1938 !

Le second territoire à y prétendre est évidemment la Palestine. Avec une bande de Gaza, aujourd’hui totalement dévastée et laminée par une puissance militaire, Tsahal, qui ne répond qu’aux principes de la loi du Talion, chère à l’Etat hébreu.

On ne pourra jamais cautionner les actes terroristes et assassins des membres du Hamas – la couverture légitime et suppôt de l’Iran dans cette partie du Moyen-Orient en train de sombrer vers la désespérance et la guerre -, mais ces milliers d’enfants, de femmes et d’adultes palestiniens doivent-ils payer le prix fort de cette barbarie d’un autre âge qu’ils n’ont pas commis ?

Dans les deux cas, cher Père Noël, une simple question à ajouter en additif à notre lettre revendicatrice : jusqu’à quand le massacre ?

 

 

Conserver notre âme d’enfant : le « meilleur est pour demain »…

 

Bien sûr, d’autres régions brûlantes de la planète pourraient aussi bénéficier de la mansuétude et des largesses du fameux bonhomme rouge, faisant le tour du globe avec son traîneau et ses rennes. Ce ne sont pas les conflits qui manquent et qui risquent de se propager dès 2024 avec la crise de l’eau et le réchauffement climatique sur notre bonne vieille Terre ! Non ?

On dit toujours que « le meilleur est pour demain ». C’est peut-être cela, la vraie maxime de Noël, que nous devons tous conserver au fond de nous-même. Une phrase simple à se répéter mille fois, comme une litote qui a force de volonté finira bien par s’ancrer dans nos neurones fatigués et nos rivages où nous vivons au quotidien.

C’est peut-être cela la magie de Noël qui nous permet encore, nous autres les adultes, d’entretenir notre âme d’enfant. Joyeux Noël à toutes et à tous ! Happy Christmas, comme le chantait si bien en 1972, le regretté et pacifiste, John LENNON. Peut-être, certaines et certains parmi vous, ont encore envie de croire au Père Noël…

 

Thierry BRET

 


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