Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Elle peut bien se nommer Nathalie DELON. Ce n’est pas vraiment elle, la « star » du jour ! Non, le véritable patronyme à retenir, c’est la douce appellation de « Kyrie » ! Le clown, pourraient rétorquer les seniors ayant connu les heures glorieuses de l’antique ORTF diffusée en noir et blanc en pensant à ce fameux dessin animé ? Que nenni ! Il s’agit d’une jeune chienne, aux côtés de sa propriétaire, maître-chien de son état, qui est le « collaborateur » de VEOLIA. Objectif : détecter les fuites sur le réseau de distribution d’eau potable. Pas si bête, non ?

 

SENS : Sacrée « Kyrie » ! A voir évoluer la « bestiole », équipée de son harnais, qui flaire dans tous les sens pour déceler la faille, c’est « Plutô » impressionnant comme aurait pu le suggérer Mickey, affublé de son célèbre compagnon canin s’il avait eu l’usage de la parole !

Le test, qui in fine n’en était pas un, s’est révélé plus que convaincant. Sur un long linéaire d’une canalisation en PVC – elle ne réagit pas en écoute aux fuites avérées du précieux liquide aquatique, contrairement aux canalisations en fonte -, notre amie à quatre pattes a réalisé des prouesses (elles parurent tellement naturelles, en fait) pour trouver là où le bât blessait ! La fuite d’eau, préjudiciable au système de distribution, assurée par l’opérateur et dommageable pour la note à régler au final par le consommateur !

 

 

Une perle rare à la recherche d’une fuite d’eau…

 

La truffe en alerte, le canidé bien éduqué par Nathalie DELON – si, si, c’est quand même un sacré petit bout de femme d’artiste ! – fait des merveilles, sous les regards toujours ébahis des observateurs.

La patronne de KYROC Consulting a réalisé encore un de ces tours de passe-passe réussi dont elle a le secret tel que Presse Evasion avait déjà pu le constater dans les chemins forestiers de la Nièvre lors d’une opération similaire, placée sous l’égide de tests grandeur nature cet hiver. Obéissant au doigt et à l’œil, et aux délicates friandises qui viennent récompenser le labeur de l’animal, Kyrie est une virtuose dans son domaine. Une perle rare qu’une petite goutte d’eau, voire en version flaque, n’effraie pas !

Surtout qu’au final, ce qui avait valeur de démonstration un brin sympathique s’est finalement muée en opération « commando » réussie avec à la clé, en guise de conclusion, un bilan plus que satisfaisant. Une dizaine de points de fuites potentiels ont ainsi été détectés par le flair sans peur et sans reproche de notre joyeux animal réclamant sa « surprise » ! Et affectueux comme un agneau !

 

 

Des humains forcément sous le charme du canidé…

 

Les techniciens de VEOLIA furent stupéfaits de la probité du résultat : certaines fuites étaient très significatives par leurs bruits distinctifs à l’oreille humaine, d’autres l’étaient nettement moins car quasi indétectables, enfin, certains secteurs étaient localisés dans des zones guère accessibles que seule ce « Indiana Jones » à quatre pattes et aux crocs tenaces avait pu repérer dans ses divagations sur le terrain !

Comment concrétiser positivement l’intuition animale en un véritable outil opérationnel : du pain béni pour les stratèges de VEOLIA !

Forcément, les « humains » ne purent que se ravir de l’expérience devant un tel succès. A l’instar de la présidente du SIVOM du Gâtinais-en-Bourgogne, Mme AITA, de sa vice-présidente Mme PASQUIER ou de M. WILLEMIN, directeur général des services de la Communauté de communes du Gâtinais-en-Bourgogne.

 

 

Entre « surprises » à croquer et méthode minutieuse…

 

Durant quatre jours, la « Belle et la Bête », soit ce tandem de choc antifuites insolite, arpentèrent avec méthode, minutie (et surprises à croquer de temps à autre !) un linéaire investigué compris entre 15 et 20 km afin de chercher la faille en direct sur le terrain.

Compte tenu de la chaleur, Nathalie et Kyrie firent équipe dès potron-minet, voire plus tard dans la soirée, afin d’éviter de fortes températures.   

Une démarche très raisonnable, tout de même : il n’aurait pas fallu que la recherche fructueuse de fuites sur un réseau de distribution d’eau potable ne se transforme en une véritable corvée, façon « vie de chien » !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« Toi et moi », précise l’affiche. Un simple contact, sur la base d’une rencontre opportune. Que l’on ne s’y méprenne pas : il n’y a rien de libidineux dans la proposition ! Décente et très sérieuse, elle se déclinera ce mercredi 15 juin dans le milieu de l’après-midi à Auxerre dans l’une des entreprises, fort pourvoyeuse en emplois. Entre de futurs candidats et leurs tuteurs ! Chez ARMATIS, un spécialiste de la relation clientèle depuis trois décennies…

 

AUXERRE: Il n’y a pas à couper les cheveux en quatre sur la signification du concept lorsque l’on découvre le leitmotiv de l’opération déclinable, ce mercredi 15 juin, sur l’un des sites d’exploitation de cette entreprise. « Seul, c’est bien, à deux, c’est mieux ! ».

Les adeptes de l’alternance, soucieux de transformer l’essai en accumulant les expériences et le savoir-faire inculqué par la culture d’entreprise, sont les bienvenus sur le site auxerrois d’ARMATIS. Une animation spécifique s’y déroulera, orchestrée avec le concours de THOT LEARNING, une structure entrepreneuriale positionnée sur l’audit, le conseil et la formation qui rayonne sur le territoire de Bourgogne Franche-Comté depuis Dijon.

Ils y seront accueillis par…leurs futurs tuteurs ! Des collaborateurs volontaires de la société qui, au détour d’une kyrielle d’animations ludiques, voire récréatives, profiteront de l’instant présent pour nouer des liens avec les postulants de ce concept qui va faciliter leur immersion en entreprise.

 

Une double mission formative pour le centre de formation THOT LEARNING…

 

Chargée de recrutement chez ARMATIS, Sandrine PELOIS pilote le dispositif. Un processus de « matching » entre tuteurs et alternants testé pour la première fois sur le site auxerrois qui est en quête de nouvelles recrues.

« En fait, explique Aurélie VALLOT, coordinatrice du recrutement au sein du groupe ARMATIS, pour mener ce projet à bien, nous sommes partis du postulat suivant : à quoi peut bien servir un tuteur et dispose-t-on de ces personnes au sein de notre effectif ? ».

Sachant, en toile de fond, que le rôle du tutorat est primordial, l’encadrante de la société, connue pour ses centres d’appel, a pris soin de sélectionner une vingtaine de salariés du groupe, volontaires pour endosser cette responsabilité novatrice sur leurs cartes de visite.

« C’est là, devait-elle ajouter, que THOT LEARNING et son dirigeant, Benoît DRILLIEN, s’invitent dans la danse afin de former comme ils savent le faire ces apprentis tuteurs à leur future mission… ».

Un engagement à double effet puisque le centre de formation dijonnais interviendra en parallèle dans le cadre d’un autre partenariat, se rapportant à la formation de « conseillers relations clients à distance » (CRCD).

Intégrer des jeunes gens (mais aussi des personnes plus âgées) au sein de son unité de production auxerroise fait figure de priorité pour ARMATIS.

 

 

Début de l’immersion en entreprise : dès le 11 juillet…

 

Face à la surcharge de travail, le service des ressources humaines souhaite anticiper en s’appuyant sur de nouvelles forces vives. L’animation prévue ce mercredi est l’une des clés de voûte pour y parvenir.

Une quinzaine de personnes devrait prendre part à cette première expérience qui pourrait en supposer d’autres à Auxerre. Avec à l’issue pour ces alternants, âgés de 17 à 30 ans maximum – il n’y a pas de limite d’âge pour les personnes atteintes d’un handicap -, un contrat d’apprentissage rempli en bonne et due forme.

L’immersion en entreprise s’effectuera dès le 11 juillet sur une base de quatre jours en intégration professionnelle et une journée passée en centre de formation.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« Ah, qu’ai-je fait de mon existence ! ». Voilà de sempiternels regrets qui ne cessent de s’additionner aux remords, une fois la fin de carrière aboutie. Toutefois, ce n’est pas au moment de prendre sa retraite qu’il faut se lamenter sur son triste sort à la manière d’un acteur de tragédie grecque ! « Vingt ans déjà… aurait rétorqué Alexandre DUMAS que la V.A.E. est fonctionnelle dans le paysage de la formation hexagonale. Une V.A.E. accessible à tous et dont il faut s’imprégner pour transformer en mieux sa vie professionnelle…

 

AUXERRE : La Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) souffle de la plus belle des manières les vingt bougies de son existence. Elle bénéficie d’une semaine spéciale qui lui est entièrement consacrée en Bourgogne Franche-Comté jusqu’au 17 juin. Grâce à la Région, d’une part, organisme ayant la compétence autour de la formation et de l’apprentissage. Mais, aussi, d’autre part, de Pôle Emploi. Une VAE qui se décline en différents modèles, plus vertueux les uns que les autres et dont ont su profiter, ne serait-ce que par le biais de l’établissement public régional, 146 personnes au niveau de la contrée, dont 23 pour le seul territoire de l’Yonne.

Serait-ce l’argument moteur qui aura justifié le lancement officiel de ladite manifestation depuis le siège auxerrois de Pôle Emploi, ce lundi en milieu de matinée ?

 

Une tangente pour faire rebondir sa carrière…

 

En tout cas, Isabelle LIRON, vice-présidente de la Région, en charge de la formation professionnelle, des demandeurs d'emploi, mutations économiques et dialogue social territorial, mais aussi de la transition professionnelle pour les besoins de prévention sur les secteurs en tension et en difficulté, se sera acquittée d’une visite matinale du site de la rue Guynemer. Elle y rencontrera celles et ceux des demandeurs d’emploi ayant eu vent de cette semaine anniversaire. Pôle Emploi n’ayant pas lésiné sur la communication par ses canaux habituels.

La VAE est un dispositif utile et judicieux qui demande à être connu, et reconnu. Rappelons que cet outil favorise l’obtention d’un diplôme, un titre ou un certificat de qualification à partir de l’expérience professionnelle, ou du bénévolat. Donc, c’est un moyen de progresser dans le cadre d’un plan de carrière, voire de choisir une tangente pour rebondir vers une autre branche professionnelle qui était peut-être jusque-là insoupçonnée.

 

Exploiter toutes les opportunités offertes par le sésame VAE…

 

Alors que le taux de chômage s’établit à l’heure actuelle à 6,5 % - ce n’est certes pas la panacée du plein emploi mais jamais les entreprises tous secteurs confondus n’avaient eu autant de besoin en main d’œuvre -, il est peut-être nécessaire de s’interroger sur son profil de carrière, VAE à l’appui ! Peut-être pour progresser vers une nouvelle fonction dans l’entreprise qui vous salarie ou sauter tout bonnement sur la moindre opportunité qui se présenterait à vous, ailleurs, garante d’un rebond.

Donner un sens aux diverses expériences vécues, tant dans le milieu associatif que professionnel, représente une formidable opportunité de se mettre en lumière aux yeux d’un employeur. Outre la sécurisation d’un parcours carriériste, la VAE se compare un sésame dont il faut exploiter la moindre possibilité.

Parmi les demandes les plus courues, l’année dernière, figurent les filières d’éducateur spécialisé, d’acteur dévolu à la petite enfance, à la mécanique, à la coiffure.

 

 

De six à dix-huit mois d’accompagnement…

 

S’immiscer parmi les 43 rendez-vous que concoctent la Région et Pôle Emploi en Bourgogne Franche-Comté offre un sérieux panel de tout ce qu’il faut savoir et appréhender sur la thématique. Avec le concours d’une trentaine de partenaires, institutionnels, consulaires et entreprises.

Isabelle LIRON le précise, à ce propos, « cet anniversaire – premier du genre -  se compose de webinaires, de rencontres, de mises en situation, de plateaux. Un melting-pot de rendez-vous où seront présentés les acteurs de l’accompagnement, les financements mobilisables, les acteurs socio-économiques du territoire.

A ce titre, la VAE ne s’improvise pas. Elle se prépare de façon méthodique, engageant le bénéficiaire sur de longues périodes d’introspection professionnelle pouvant osciller de six à dix-huit mois.

 

Un taux de réussite qui excède les 60 %...

 

Face à cela, les professionnels de la Validation des Acquis de l’Expérience sont parfois confrontés à des craintes, des atermoiements de la part d’un public ne croyant pas à la méthodologie. Un processus trop austère, très long et difficile à aborder, exigeant aussi puisque sanctionné par un diplôme. La réponse de ces spécialistes ne se fait pas attendre.

Yves HUTIN, directeur départemental de Pôle Emploi, le martèle à maintes reprises : « notre objectif est de rassurer ces publics sur le concept en le démystifiant. Il est question de remise en confiance. D’aides financières, aussi… ».

La Région y pourvoit. Sachant que le tarif peut allègrement osciller entre 500 et 1 500 euros selon le niveau de la formation. Rien qu’en 2021, 33 demandeurs d’emploi ont eu recours à un financement spécifique pour mener à bien leur opération. Pôle Emploi, intervenant quant à lui, sur les frais annexes.

« Au bout du compte, lâche Séverine DUTREIX, directeur de l’antenne auxerroise de Pôle Emploi, c’est le demandeur ne paie rien… ».

A l’échelle de l’Hexagone, 500 000 personnes ont déjà choisi ce moyen de revalorisation de leur carrière depuis 2002. Mais, il ne faut jamais oublier que 60 % de suiveurs de cette VAE, à l’époque sans emploi, ont pu se « vendre » mieux auprès d’un employeur et retrouver le chemin de la vie active.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Venue à Joigny, en convalescence pour prendre le bon air, la jolie parisienne qu'était Jacqueline, ne quittera plus dès lors la cité des maillotins, en y ayant rencontré l'amour, en la personne du jeune cuisinier Michel LORAIN. Désormais,  Michel et Jacqueline ne feront plus qu'un…

 

JOIGNY: Après leur mariage, en 1958, le jeune couple reprend « La Côte Saint-Jacques », à la suite de Marie et Louis, les parents de Michel. De leur union naîtront Jean-Michel, puis sa sœur, Catherine. Dans cette bonne auberge de bord de route, on se régale d'une excellente cuisine soignée et traditionnelle. Le menu y précise même : le steak tartare sauce anglaise,  préparé à votre goût par Mme LORAIN ! Le restaurant ne désemplit pas, et nombre de Peugeot 404, Simca 1300, et autres Citroën DS stationnent le long de la  RN6 d'alors.

Mais en 1966, l'ouverture du premier tronçon de l'A 6 entre Paris et Avallon (sans limitation de vitesse !), diminue drastiquement le trafic routier de la mythique nationale.  Pour l’établissement, le compte n'y est plus, avec un chiffre d'affaires divisé par deux. Les LORAIN ne sont pas du genre à baisser les bras. Ils se rendent même en Angleterre, pour y contacter des voyagistes londoniens Michel, le chef-bâtisseur, se dit aussi, que pour faire sortir les automobilistes de l'A6, il serait ingénieux de raffiner sa cuisine, la rendant plus gastronomique. 

 

Un palais raffiné dans l’art de la sommellerie…

 


Au cœur de ces  grandes années du guide Michelin d'alors, Michel et sa brigade vont se battre entre deux voyages au marché de Rungis pour y dégoter les meilleurs produits. En 1971, « La Côte Saint-Jacques » décroche sa première étoile, et double la mise cinq ans plus tard. Mais, Michel veut plus pour sa ville natale. Alors, toujours fidèlement secondé par Jacqueline, il va s'en donner les moyens. Durant toute cette progression « pneumatique », Jacqueline part à l'assaut de la sommellerie, un monde essentiellement masculin jusqu'alors. Elle s'y fait une place de choix, plutôt de précurseur et y est reconnue en qualité de palais raffiné lors des dégustations !

 

  

Trois étoiles au Michelin : « La Côte Saint-Jacques » est au firmament…



En 1986, rejoint depuis peu par Jean-Michel,  « La Côte Saint-Jacques » de Jacqueline et Michel LORAIN décrochent alors les convoitées trois étoiles Michelin (établissement qui vaut le voyage dixit le guide !) qui trente ans durant, brilleront le long de cette RN 6 qu'ils auront tant servi. A la fin du siècle dernier, avec élégance, les parents transmirent le relais de la succession à Jean-Michel, leur fils. Joigny, grâce à la famille LORAIN, est connue de par le monde aujourd’hui...
Cette dame élégante, aimée de ses enfants et petits-enfants, s'en va rejoindre son cher Michel, disparu l'an passé. Au revoir Madame, la gastronomie française et la ville de Joigny peuvent légitimement vous dire merci.

Gauthier PAJONA

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La Puisaye, c'est la Corse de l'Yonne, m'affirma voici quelques années un boucher qui en était originaire ! Il est vrai que cette atypique région icaunaise ne manque pas d'un charme certain, avec entre autres, ses multiples hameaux, ses axes routiers montants et descendants, bordés d'arbres majestueux, qui donnent l'impression de nous enserrer de façon protectrice !

 

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Après une petite halte  rafraîchissante toucycoise, au « Bistrot de l'Atelier » tenu par la souriante Corinne et l’excellent Thierry (deux très bons commerces voisins sont à signaler avec la charcuterie ainsi que la  réputée pâtisserie Durand), direction Saint-Sauveur-en-Puisaye, en passant par Fontenoy ! Il fait bon se promener dans cette petite cité chargée d'histoire ! Las : comme partout en France, nombre d'échoppes commerciales y sont désormais fermées à tout jamais, dont la maison de la presse. Entre la majestueuse Loire et la tranquille Yonne, le cœur balance ici !

En contrebas de la place principale, se trouve « A Table », un discret restaurant à la jolie terrasse. Cela tombe bien tandis que midi sonne, en ce jour ensoleillé. Installons-nous paisiblement ! Après l'affluence récente de la fête des mères,  la quiétude est de mise en ce mardi ! L'ambiance locale, plus ligérienne, incite à goûter un Sancerre rouge de belle tenue.

 

 

 

Un excellent tartare mais pas coupé au couteau…

 

 

En entrée, la croustade de fruits de mer est accompagnée de façon plutôt originale par des crevettes roses de type bouquet, à l'impeccable fraîcheur. C'est bon, même si du coup, la croustade refroidit tandis que l'on déguste les crevettes.  !
En plat principal, le tartare est agrémenté de bonnes frites non grasses, ainsi que d'une salade bien assaisonnée. Evidemment, on eut préféré un tartare minute coupé au couteau (mais ne rêvons pas, cela  n'existe plus guère !) plutôt qu'une viande directement sortie d'un emballage d'une marque, que je ne peux vous citer que par charade interposée ! Premièrement, le fait d'être à deux. Secundo, un département où nombres de villes comprennent des arènes !

Pour terminer l'assaisonnement, il est proposé une bouteille de Tabasco, en version barbecue sauce, qui outre-Atlantique accompagne les travers de porc, ou plutôt les baby back ribs !

 

 

 

Le petit geste commercial appréciable : la gratuité du café !

 


Tout comme l'entrée,  le plat est plutôt copieux. En dessert, l'île flottante est bonne. Elle semble être faite maison, notamment grâce à l'onctuosité de la crème anglaise.
Les cafés sont offerts aimablement, avant le plaisir de retrouver nos artères poyaudines !

 



En savoir plus

Les - : en entrée, la salade de chèvre est proposée à 18 euros. Ce qui semble un tarif excessif pour pareil mets. Peut-être pourrait-elle être déclinée moins chère, en version moins copieuse aussi, une salade en guise d’entrée ou de plat principal.

Les + : le service est aimable, la quiétude de la terrasse est appréciable.

Contact :

A Table

7, Grande Rue

89520 Saint-Sauveur-en-Puisaye

Tel : 03.86.74.22.95.

La première formule est servie à 22 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil