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Son mandat d’élue régionale en charge de la transition écologique et de l’environnement, Frédérique COLAS le vit avec une passion viscérale chevillée au corps et un enthousiasme communicatif dont elle a le secret. Sa présence, en qualité d’intervenante lors de la récente assemblée générale de la Fédération départementale du Bâtiment de l’Yonne, ne constituait donc pas en soi une réelle surprise. Surtout lorsque la thématique de la soirée se focalisait plus particulièrement sur l’évolution concrète de cette transition appliquée au cœur de ville et à l’habitat…

AUXERRE : On le savait depuis longtemps : le « dada » stratégique de la Région Bourgogne Franche-Comté tient en trois mots, « la transition écologique » ! Qu’il s’agisse de mobilité, de formation, d’apprentissage, d’aménagement du territoire, d’habitat et de bâtiment, celle-ci se décline à différentes sauces, la plupart appétissantes tant les enjeux sociétaux qui en font la substantielle succulence sont importants et prioritaires à l’amélioration de notre qualité de vie.

Aussi, Frédérique COLAS n’éprouva aucune difficulté à captiver un auditoire déjà conquis par le préambule de sa future intervention lorsqu’elle gagna le pupitre qui l’accueillait.

Fustigeant d’entrée de jeu ces passoires thermiques et les logements insalubres au niveau énergétique qui n’ont plus lieu d’exister dans notre monde, la conseillère régionale évoqua le changement de cap climatique actuel. Se  révélant très inquiète si rien ne devait être entrepris pour modifier la courbe d’une trajectoire nous menant tout droit à la catastrophe.

« Fort heureusement, renchérit-elle, la filière du bâtiment a pris pleinement conscience de la problématique… ».

Une phrase millimétrée au cordeau qui fit sans doute chaud au cœur du président Xavier PAPIN, attentif à la moindre virgule distillée par la représentante de l’exécutif régional.

La Région Bourgogne Franche-Comté, vraie région à énergie positive…

Faisant ensuite allusion au scénario « REPOS 2050 », Frédérique COLAS en expliqua les grandes lignes directionnelles. Prouvant ainsi la responsabilité positive de la Région en matière de mobilisation des acteurs économiques et des collectivités.

« Notre objectif est de rénover un volume de 38 000 logements chaque année d’ici 2050, précisa l’oratrice. Ceci implique une baisse de 26 % des besoins en énergie ce qui induit la généralisation des constructions très basse consommation et la massification de la rénovation énergétique… ».

En terme clair : il y a du pain sur la planche ! Mais, cet objectif n’est pas pour rebuter la collectivité régionale qui veut être le chef de file de cette stratégie dans les domaines de l’air, de l’énergie et du climat.

Tout ceci est également conditionné à l’obtention d’aides et de crédits européens qui ne peuvent qu’encourager ce vaste chantier qui se présente devant nous.

Néanmoins, le porte-voix du pouvoir régional ne manqua pas de rappeler la vulnérabilité de notre territoire qui, selon les chiffres officiels de l’INSEE, présente la plus grande densité d’exemples concrets de précarité énergétique.

Le rôle prépondérant du SPEE : le service public de l’efficacité énergétique…

La conférencière insista sur les vertus du SPEE, le service public de l’efficacité énergétique. Ce dispositif vise principalement à soutenir les ménages dans la rénovation énergétique de leur logement.

Depuis 2018, et ce pour un delta de trois ans, huit territoires s’inscrivent dans cette démarche intéressante. Sélectionnés par la Région, l’ADEME et l’Etat, ces territoires sont ceux de Dijon-Métropole, la Communauté d’agglomération du Grand Besançon, le Pays de Montbéliard Agglomération, la Communauté de communes Haut-Jura Arcade, la Communauté d’agglomération du Grand Chalon, le Pôle d’équilibre territorial et rural (PETR) Mâconnais Sud-Bourgogne, la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et Communauté d’agglomération de l’Auxerrois.

Chaque année, de nouveaux « territoires moteurs » peuvent être intégrés. Avec un guichet unique d’accueil dans ces territoires, le SPÉÉ est ouvert aux particuliers propriétaires de maisons individuelles, propriétaires occupants et bailleurs. Il leur permet d’accéder à un premier niveau d’information et de s’orienter vers les bons interlocuteurs pour un accompagnement de leur projet, allant du changement de chaudière à la rénovation globale de niveau Bâtiment basse consommation (BBC). Plusieurs millions d’euros d’aides sont ainsi alloués par la Région aux territoires pour optimiser son intervention. Ce fut par exemple une enveloppe de trente millions en 2016. L’utilisation de matériaux bio-sourcés est aussi encouragée. Quant à la formation des plus jeunes, elle s’inscrit dans une approche légitime : la Région ayant la compétence décisionnelle pour gérer les lycées et les adultes en formation continue vers ces nouveaux métiers issus de la croissance verte. Frédérique COLAS ne pouvait conclure son propos autrement qu’en parlant de la politique du zéro déchet. Ceux de la filière du bâtiment. « Il est indispensable de travailler cet aspect de la réutilisation et du recyclage de certains matériaux. Via l’économie circulaire… ». Au final, l’exposé de Frédérique COLAS  permit de brosser un large éventail de ce qui attend désormais les professionnels du bâtiment dans leur approche professionnelle au quotidien. Pour que la Bourgogne Franche-Comté puisse atteindre ses objectifs de devenir une région à énergie positive et imprégnée via ses filières économiques du développement durable…

 


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Il y a déjà vingt ans que le Conseil d’orientation des Retraites (C.O.R), initié par le Premier ministre de l’époque, Lionel JOSPIN, existe. Véritable comité « Théodule », autant dire un énième dispositif de plus dont les prévisions stratégiques n’ont pour objectif que d’intéresser celles et ceux qui les produisent, émet des hypothèses de tout ordre sur les équilibres financiers des retraites pour les prochaines années. Voire les futures décennies, bien au-delà même de l’horizon 2050. La matière grise des esprits éclairés de ce comité atypique puiserait-elle sa source dans l’histoire exotique d’un personnage sorti de l’univers des « Mille et une nuits » de la Perse ? On peut le supposer à la lecture des lignes qui suivent…

TRIBUNE : Je vais vous narrer l’histoire de Nasr Eddin HODJA. Il proposa un jour au Shah de Perse d’apprendre à lire à son âne dans un délai de dix ans. A la fois intrigué et séduit par cette proposition fort curieuse, le Shah l’assura de lui verser une pièce d’or à la fin de chaque mois jusqu’à ce que l’âne parle. Mais, il l’avertit en parallèle que si l’âne restait muré dans le silence à l’issue de ces dix années, lui, Nasr Eddin HODJA serait alors décapité.
À la sortie du palais, les amis de ce personnage furent consternés : « Comment as-tu pu faire une proposition aussi insensée ? » s’exclamèrent-ils !

« Ne vous inquiétez pas, répondit-il calmement le sage, d’ici dix ans ou le Shah ou l’âne ou moi, l’un des trois de toute façon, sera mort… ».
Ainsi, le Conseil d’orientation des retraites prévoyait dans son rapport de 2007 que les caisses de retraite complémentaire, AGIRC ARRCO, seraient en déficit autour des années 2020.

Comment décrire l’improbable : la vision du monde de 2050 ?

Dans l’absolu, l’AGIRC l’est depuis 2010. Malgré tous les artifices comptables possibles et inimaginables. Cette prévision du C.O.R. est à mettre au regard de la dure réalité : en 2016 la somme des déficits AGIRC ARRCO atteignait la bagatelle de quatre milliards d’euros.

Elle s’élevait à trois milliards l’année suivante. Fin 2018, on embouchait les trompettes pour dire qu’elle n’était que de deux milliards. Soit au total, neuf milliards d’euros sur trois ans. Mais, qu’en sera-t-il avec exactitude en 2019 et 2020 ?

Quelqu’un a eu l’idée géniale de fusionner les caisses ARRCO et AGIRC du fait du déficit de cette dernière. Mais, le contraire eut été impossible. Surtout lorsque l’on constate qu’il y a quatre millions de cotisants pour 2,8 millions de retraités ?

Est-il nécessaire d’avoir fait un jour des études à Polytechnique pour comprendre cet exercice d'arithmétique purement élémentaire ?

Cette fusion, dans mon modeste essai intitulé, « Des retraites nous n’en aurons pas ! A moins que … »,  je l’ai qualifiée « de trou dans le trou », comme le fameux trou du célèbre sapeur Camembert.

Aussi, est-il logique qu’un think tank prévoit que « si rien ne change, la dette vieillesse de 2050 pèsera plus des trois quarts de la richesse nationale… ». 

Quand on sait, selon une enquête du Comité Economique, Social et Environnemental, que près de la moitié des Français ne possèdent même pas cent euros dans leur besace la fin du mois. Il n’est donc pas besoin d’être devin pour savoir ce qui se passera d’ici quarante ans. Ce qui semble d’ailleurs être le cadet des soucis de bon nombre de personnes vivant en ce bas monde !

Quant à la notion de « richesse nationale », elle n’est qu’une abstraction stratosphérique pour la majorité d’entre eux !

Ainsi, le C.O.R, les think tanks, les économistes et autres exégètes de la retraite élucubrent de manière récurrente des prévisions inspirées par la brillante et irréfutable pensée du fameux Nasr Eddin HODJA. Dans quarante ans, personne ne pourra venir leur porter contradiction.

Toutefois, réfléchissons quelque peu : quel économiste aurait pu décrire au début de l’année 1914 la situation de l’Hexagone de 1964 ? Ou en 1979, comment se présenterait le monde de 2019 ?

Un système de retraites devenu obsolète et imparfait…

Nos prétendus experts scrutent tous ces espaces intersidéraux par le mauvais bout de la lorgnette. Ils ne voient pas l’immense trou qui se trouve à leurs pieds. Une fosse abyssale vers laquelle nous glissons petit à petit de manière irrémédiable…

En revanche, ce que personne ne veut voir : c'est que le système de retraites, qui a vu le jour en 1945, est totalement obsolète en l’état ! Dois-je rappeler que nous sommes en 2019 !

Depuis, tout a changé. A commencer par la démographie. Il y avait à l’époque sept actifs pour un retraité. Le ratio est maintenant de 1,6. Il y avait 2,2 milliards d’habitants sur Terre dont seulement 600 millions vivaient en économie de marché. Il y a désormais 7 milliards d’individus sur la planète dont 5,5 milliards ont engagé une compétition féroce pour fabriquer et vendre des produits dans le monde entier. Que la plupart du temps les consommateurs n’utilisent pas !

Ne parlons pas du développement exponentiel des robots et de l’intelligence artificielle : cela va éliminer des millions d’emplois à une vitesse vertigineuse ces prochaines années !

Quant à la transition énergétique et le sauvetage de la planète dont on nous abreuve à longueur de journée, cela exige des milliards d’investissements et un changement comportemental qualifié de radical. Or, personne  n’ose le dire mais nous ne sommes pas  prêts !

Et que dire de tous ces gens qui veulent étayer un bâtiment déjà vermoulu : notre système de retraite hérité de 1945, avec des fétus de paille, qui est aujourd’hui totalement caduque…

Emmanuel RACINE

 


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Dispositif mis en place depuis 2016 par le gouvernement, la « Charte des sept engagements » en faveur de la sécurité routière n’avait jusque-là pas encore trouvé d’échos favorables auprès des entreprises de la filière bâtiment et des travaux publics sur notre territoire. Curieuse anecdote qui n’a plus lieu d’être depuis vendredi. La direction régionale du groupe EIFFAGE Energie Systèmes vient en effet de ratifier une convention de partenariat avec l’Etat. S’engageant de facto à être très respectueuse des principes fondamentaux inhérents à la Sécurité routière. D’autres entreprises devraient parapher ce document d’ici les prochaines semaines…

AUXERRE : Haro sur les risques routiers professionnels qui grèvent avec récurrence les statistiques de l’accidentologie en France ! Ce combat, celui de la prise de conscience de celles et ceux qui chaque jour utilisent un véhicule pour assurer leur mobilité vers leur lieu de travail, s’inscrit ouvertement parmi les priorités de l’Etat.

Les services de la préfecture, en l’occurrence ceux du département de l’Yonne, représentés par la directrice de cabinet du préfet Julia CAPEL-DUNN, ont profité d’une matinée informative autour de la sécurité routière pour officialiser ce rapprochement avec la société EIFFAGE Energie Systèmes. David PERRET, directeur des infrastructures et réseaux au sein de l’entité régionale, s’est prêté à cette séance de signatures de bonne grâce. Et convaincu de la pertinence de cette action.

Il est vrai que les accidents de la route demeurent la première cause de mortalité dans le cadre professionnel. Notamment avec plus de la moitié des sinistres qui ont été observés sur des trajets professionnels ou domicile/travail.

« Soit en France, si l’on s’en réfère à 2018, près de 500 personnes qui ont ainsi perdu la vie lors de ces parcours les menant sur leur lieu de travail, rappela Julia CAPEL-DUNN, c’est pourquoi aujourd’hui, ces risques routiers professionnels ont été définis comme un enjeu majeur au niveau national… ».

Des engagements qui ressemblent à des commandements…

Depuis le 11 octobre 2016, les chefs d’entreprise signataires de cette charte s’engagent à relayer via des outils de communication et de pédagogie spécifiques des informations utiles au sein de leur structure. Afin de faire connaître très largement les valeurs portées par la Sécurité routière dans le cadre de cette campagne sensibilisatrice permanente.

Rappelons que ces sept engagements sont les suivants : proscription des conversations téléphoniques au volant, sobriété exigée sur la route, port obligatoire de la ceinture de sécurité, respect des limitations de vitesses, temps de repos intégrés dans le calcul des temps de trajet, sensibilisation et formation des agents à la sécurité routière et, dernier point, la promotion des équipements de sécurité pour les conducteurs de deux-roues.

Après cette signature initiale vécue dans la sphère du secteur BTP, il s’agit pour Julia CAPEL-DUNN et ses équipes de transformer de la meilleure manière que ce soit ce premier essai de façon durable. La directrice de cabinet du préfet Patrice LATRON précisa que d’autres structures entrepreneuriales étaient déjà dans la boucle, prêtes à valider la charte des sept engagements.

 


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Premier signataire dans l’Yonne de la charte des sept engagements en faveur du respect de la sécurité routière, le dirigeant David PERRET conforte avec ce geste haut en symbole ce qui se pratique déjà au quotidien dans sa structure. Son adhésion à cette démarche préventive soutenue par la préfecture de l’Yonne est un encouragement à la propagation de cette initiative…

AUXERRE : Chez EIFFAGE Energie Systèmes, les conseils prodigués autour du civisme et du respect de la sécurité routière se déclinent de manière naturelle. Et ce, de façon quasi quotidienne.

La centaine de collaborateurs du groupe régional, spécialisé dans les travaux d’enfouissement de réseaux électriques et d’entretien de l’éclairage public, avalent ainsi de nombreux kilomètres sur les routes de façon journalière pour rejoindre le théâtre de leurs opérations professionnelles.

Aussi, la signature protocolaire, en qualité de première entreprise du territoire de l’Yonne, de la charte des sept engagements favorables à la bienveillance en cas de mobilité sur les routes ne représentait pour le responsable de la structure qu’une simple formalité.

Directeur des activités infrastructures et réseaux pour le groupe EIFFAGE en Bourgogne-Champagne, David PERRET accueillit la directrice du cabinet de la préfecture, Julia CAPEL-DUNN, sur son unité de production dans le cadre de la ratification de ce partenariat.

« Cet engagement autour de la sécurité routière existe depuis bien longtemps au sein de notre entreprise, devait-il préciser, le risque routier représente l’un des dangers majeurs qui nous guette du fait de la mobilité de nos équipes. Nous veillons à ce que nos collaborateurs développent les bonnes pratiques de la conduite et du respect du Code de la route lors de leurs missions… ».

Profitant d’une manifestation placée sous le sceau de la convivialité (l’organisation d’un barbecue dans les ateliers qui ponctuait l’exercice en cours), David PERRET et son encadrement ont choisi de joindre l’utile à l’agréable à ces agapes de fin de saison. Une thématique devait être retenue en amont de ces retrouvailles : ce fut la sécurité routière.

EIFFAGE Energie Systèmes, par l’acceptation de ce partenariat avec la préfecture de l’Yonne, devient la première société signataire de cette convention dans le département de l’Yonne, une convention utile à la diffusion de conseils et d’informations pratiques sur les bonnes manières au volant.

Intervenant sur les quatre départements bourguignons et deux territoires de Champagne (Aube et Haute-Marne), EIFFAGE Energie Système ne connaîtra pas, en outre, de pause estivale. La plupart des chantiers s’effectuant lors de cette période propice.

« Nos perspectives sont bonnes, ajouta David PERRET, nous travaillons sur des marchés pluriannuels et l’activité de ces marchés est soutenue. Je ne suis pas inquiet pour la suite de l’année… ».


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Plus de 6 400 personnes faisant face à une conjoncture économique et sociétale délicates ont bénéficié du remarquable travail d’accompagnement assuré par l’association depuis 2008. Près de 70 % d’entre elles se sont extraites de ce mauvais pas en retrouvant la stabilité dans leur quotidien. Elles le doivent à ce dispositif d’écoute et de soutien novateur, conçu avec la bénédiction financière du Crédit agricole Champagne Bourgogne. Lors de l’assemblée générale qui se déroulait dans l’Yonne, Marie-Laure LAZZARONI, responsable de l’outil, évoqua devant plusieurs partenaires les grandes lignes d’un procédé qui se veut humaniste et pertinent…

AUXERRE: Pas facile de se sortir de l’ornière lorsque l’on est rattrapé par un aléa de la vie. Surtout, si l’on est seul à l’appréhender. Il existe depuis une décade un dispositif qui requiert beaucoup d’attention : le Point Passerelle. Humaniste et altruiste, ce processus d’accompagnement efficace met en symbiose une quinzaine de partenaires inféodés à la ligne directrice de la structure associative qui en porte aujourd’hui la destinée.

Lycées agricoles, Maison Familiales Rurales (MFR), établissements conduisant à l’insertion, mais aussi écoles de la Seconde Chance ou Epiceries solidaires s’invitent parmi d’autres à travailler en étroite osmose avec l’équipe de sept salariés et d’une quarantaine de bénévoles (tous issus de près ou de loin avec le sérail de la Banque Verte) à la réussite de leur concept.

Le retour à la vie normale équivaut à 71 % de succès ! On croit rêver à la lecture de la statistique mais dans ce cadre-là, et à force d’abnégation et de volontarisme, le pourcentage n’est en rien galvaudé.

Il faut dire que conseillers et bénévoles n’épargnent pas ni leur précieux temps ni leurs efforts pour assurer un suivi efficient de leurs protégés si fragiles. L’accompagnement se décline en trois actes. Mais, cela n’a rien d’un vaudeville. Tout d’abord, un diagnostic précis de la situation est réalisé. Puis, viendra le temps de la mise en relation avec les différents partenaires que sont les banques, les organismes locaux et départementaux. Là, il s’agira de négocier au plus utile. Cela permettant ensuite de déboucher sur le troisième volet : le plan de rétablissement.

Un indispensable module qui se définit en collaboration avec le bénéficiaire et en accord avec l’ensemble des partenaires. S’il est respecté dans les règles de l’art,  in fine, ce sera le retour en grâce à la lumière, après la torpeur de la pénombre, pour l’accidenté de la vie…

Les profils disparates des bénéficiaires du retour à la réussite…

Les personnes en exclusion financière et/ou sociale constituent le socle unique de ce canevas réparateur qui remet du baume au cœur. Le panel analytique se veut limpide, plus de dix ans après l’apparition en 2008 à Dijon de cet outil : 21 % des bénéficiaires ont perdu leur emploi ; 20 % ont décroché de leur quotidien à la suite d’une pathologie lourde ; 18 % ont réellement eu des soucis d’ordre budgétaire et 16 % ont vécu les affres d’une séparation. Le reliquat intègre un mix de ces diverses composantes sociétales. Ce sont des particuliers, clients ou non, du Crédit agricole. Le généreux mécène endosse ainsi la vêture du chevalier blanc dans cette histoire, porteuse de ses valeurs intrinsèques.

La provenance de ces personnes apporte précisément un complément d’information sur le rôle joué par l’établissement bancaire. Sur les 732 individus ayant été aidés l’an passé, 64 % ont été orientées par les conseillers de la banque. Contre 31 % aux partenaires. Signalons, néanmoins, que 5 % se sont présentées de manière spontanée dans l’une des quatre vitrines départementales implantées à Auxerre, Chaumont, Dijon et Troyes.

Il y a toujours une solution à tout problème posé…

Reconnue d’intérêt public, l’association Point Passerelle s’exprime par le biais d’ateliers budgétaires et de points conseillers animés par ses collaborateurs ou les bénévoles. « Nous espérons à horizon 2020 la mise en route de 450 points conseil, précise Marie-Laure LAZZARONI. Un total de 270 ateliers a déjà permis d’obtenir des résultats conséquents. Nous enregistrons un taux d’abandon de 18 %, ce qui est peu en définitive… ».

Dès 2015, débuta une vaste campagne de prévention, sous la forme de ces fameux ateliers budgétaires à destination des jeunes. C’est l’une des cibles prioritaires qui est travaillée par les équipes de la structure. 2 100 représentants de cette nouvelle génération ont été formés à la maîtrise d’un budget financier. Grâce notamment à un support ludique : un jeu, baptisé avec le clin d’œil d’usage, le « Dilemme » et qui a été conçu par l’association Crésus !

Des réfugiés, avec le réseau COALIA, ont profité également de ces séances instructives, à la frontière du ludique et de la pédagogie. Avec un résultat plutôt probant.

Quant à l’avenir, il englobe désormais les problématiques liées à l’inclusion numérique. Treize millions de personnes ne possèdent aucune connaissance sur ce sujet. 6,7 millions n’utilisent jamais Internet. Vu de l’Hexagone, 28 % de nos compatriotes éprouvent un besoin pressant d’être accompagnés. Ce sera l’un des grands objectifs du Point Passerelle à horizon 2022…

 

 


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