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Sur fond de résurgence possible de la COVID 19 ou d’un nouveau variant, et de défiance profonde envers les institutions, la participation, déjà faible lors des régionales, pourrait l’être à nouveau. Ces dernières élections furent marquées par 67 % d’abstention, dont plus de 97 % chez les jeunes de 18 à 24 ans. Habituellement, les présidentielles sont plus mobilisatrices que les autres scrutins. Mais, dans un contexte de crises (politique, sanitaire, économique…), l’abstention peut être déterminante pour l’élection du futur président : dans un sens comme dans l’autre.

 

TRIBUNE : Soit il s’agira d’une abstention record, soit ce sera une mobilisation plus forte que d’habitude. L’institut IPSOS indique que 67 % des Français connaissent les dates des futures élections. Conclusion : certains journalistes indiquent en conséquence que 33 % se désintéressent de cette échéance. Plutôt simpliste comme raisonnement !

Entre les dates de levées progressives des contraintes sanitaires, les dates de congés… : on ne peut absolument pas conclure par un désintérêt marqué pour la campagne électorale ! 

Lors des sondages, l’abstention est le plus souvent masquée par les interviewés. Mais, une perturbation est possible : lors du premier tour des élections, près de la moitié de la France sera en vacances et au second tour, c’est la totalité du territoire qui sera en période de congés scolaires. Alors qu’en penser ? La date fixée est-elle fortuite ou manipulée à des fins manichéennes ? A qui profite le crime, si crime il y a !

 

 

 

Les abstentionnistes : un profil issu des classes populaires…

 

 

Les enquêtes sur la participation électorale réalisées par l'INSEE, qui confrontent les listes d'émargement et les données du recensement, font ressortir certaines caractéristiques. L'abstentionniste type est moins diplômé que l'ensemble de la population et appartient plutôt aux catégories populaires, donc les ouvriers et les employés non qualifiés.

Il se situe dans une situation de précarité avec un travail répétitif, à la chaîne. Surtout, il va être plus jeune. Par ailleurs, on retrouve aussi des facteurs familiaux, notamment le fait d'être dans une famille monoparentale ou de vivre dans un relatif isolement social. Toutes ces situations contribuent à une abstention beaucoup plus forte. Effet gigogne, les candidats concernés par ces populations, pourront être lourdement pénalisés.

 

 

En revanche, plus on avance en âge et plus on préfère Valérie PECRESSE et même Eric ZEMMOUR. Dans la mesure où les anciens votent par devoir et plus que les plus jeunes, une forte abstention peut bénéficier aux trois candidats de la droite.

 

 

 

Abstention, vote blanc et vote nul : quelles différences ?

 

 

Le vote nul correspond à des bulletins déchirés ou annotés qui ne peuvent pas être pris en compte dans les résultats de l’élection. Il est parfois difficile d’interpréter le sens d’un vote nul. L’électeur n’a pas forcément souhaité que son vote soit nul. Il a cru, par exemple, qu’une mention manuscrite ajoutée n’aurait aucune incidence. Mais, il arrive également que l’électeur ait volontairement déposé un bulletin nul pour manifester son opposition aux différents candidats et programmes présentés.

Le vote blanc consiste à déposer dans l’urne une enveloppe vide ou contenant un bulletin dépourvu de tout nom de candidat ou de toute indication dans le cas d’un référendum. Ce type de vote indique une volonté de se démarquer du choix proposé par l’élection.

Depuis la loi du 21 février 2014 visant à reconnaître le vote blanc aux élections, les bulletins blancs sont décomptés séparément des votes nuls et annexés en tant que tels au procès-verbal dressé par les responsables du bureau de vote. Mais, comme auparavant, ils ne sont pas pris en compte dans le nombre des suffrages exprimés (ensemble des bulletins moins les votes blancs et nuls). L'objectif de la réforme est de reconnaître que le vote blanc est un acte citoyen qui se distingue de l’abstention. L'électeur s’étant déplacé jusqu'à son bureau de vote, il exprime une volonté politique de participer au scrutin pour dire son refus de choisir entre les candidats en lice. La prise en compte du vote blanc pourrait permettre de faire reculer le taux d’abstention.

Par rapport aux inscrits, on note une progression des votes blancs ou nuls : 5 % en 2002 pour atteindre 12 % en 2017. La hausse de l’abstention ne constitue pas une fatalité : les dernières élections présidentielles aux Etats-Unis ont vu une forte participation de la population, et le vote continue de progresser dans les Etats scandinaves. Il est clair que le taux d’abstention peut entacher la légitimité du candidat élu.

 

Fin de la première partie.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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L’accès à l’emploi. Une priorité absolue dans la conjoncture actuelle. Surtout dans le milieu du bâtiment et des travaux publics. Un pan de l’activité économique qui aura su bon an mal an faire fi des soubresauts et aléas observés depuis ces deux dernières années du fait de la crise sanitaire. Avec des carnets de commandes qui demeurent stables pour ses entrepreneurs.

 

AUXERRE : Où en est le secteur du bâtiment et des travaux publics à l’aune de la sortie de crise sanitaire qui se profile ? Réponse publique du président de la Fédération du Bâtiment de l’Yonne Didier MICHEL, lors de la récente signature d’une convention de partenariat entre le Conseil départemental et les organisations patronales en faveur de l’accès à l’emploi : « Nous avons un besoin impérieux de main d’œuvre dans notre domaine d’activité… ».

De la main d’œuvre, nécessairement qualifiée pour jouer les premiers rôles au sein de ces entreprises artisanales qui peinent, comme tant d’autres, à trouver les perles rares. On pense évidemment à celles qui évoluent sur le registre très tendu de l’hôtellerie et de la restauration.

 

 

Le joli corollaire du concept « Brique par brique » à réitérer dans l’Yonne…

 

Qualifiant la mise en place de cette nouvelle démarche de « très bonne », Didier MICHEL, le dirigeant de la société éponyme, fait ainsi allusion à l’action « Brique par Brique », montée de toute pièce comme un puzzle efficace avec le concours du Département et de l’ensemble des acteurs patronaux et institutionnels intervenant dans le BTP.

« Brique par brique » : un joli corollaire à la construction d’un parcours professionnel destiné à accueillir les oubliés de l’existence afin de les remettre en selle vers le chemin de l’insertion sociale et de l’emploi.

D’ailleurs, le président de la FFB 89 s’est dit très convaincu par cette initiative, réalisée avec des personnes très motivées.

« C’est tout à fait le profil de personnes que nous recherchons, insiste l’ancien élu d’Auxerre, des gens motivés qui ont été sélectionnés par ce biais pour suivre un parcours de formation et vivre une immersion dans cette filière du bâtiment et des travaux publics… ».

 

 

Construire un projet professionnel pérenne qui ramène vers l’emploi…

 

La meilleure manière, sans aucun doute, pour pouvoir acquérir des notions de base de cette typologie de métiers et de mieux appréhender ce qu’est réellement la profession.

On se souvient que courant janvier, onze personnes de l’Auxerrois et de la Puisaye-Forterre avaient été plongées dans ce parcours initiatique, via des bancs d’essai en formation portés par le GRETA de l’Yonne et des stages en entreprise. Le but final étant de construire un projet professionnel pérenne dans ce secteur afin de mieux rebondir vers l’emploi. Une action qui s’est conclue au terme de la première semaine de février. Mais, d’autres groupes devraient reprendre le flambeau dans les semaines à venir.

L’élue du Conseil départemental de l’Yonne, Sonia PATOURET, vice-présidente en charge de l’Emploi, l’insertion et la santé, est très investie sur ce dossier qui lui tient particulièrement à cœur.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Dix ans, déjà ! Et un concept muséographique qui sait se renouveler de saison en saison. Introduisant la technologie et les prouesses de la digitalisation. Se faisant plus proche encore des familles, et de la jeunesse en soif de découvertes historiques. De manière ludique, il va de soi. D’ailleurs, le 26 mars prochain, il sera même possible pour certains d’entre eux de dormir sous une tente de légionnaires au sein de l’enceinte culturelle. Un remake grandeur nature de « La Nuit au Musée » ?!

 

DIJON (Côte d’Or) : Ben STILLER n’a qu’à bien se tenir ! L’acteur fétiche de la fameuse saga cinématographique de « La Nuit au Musée » ne sera plus le seul à vivre fictivement l’une de ses trépidantes aventures en passant la nuit dans un musée où les pièces de collection, en l’occurrence des personnages et des animaux d’une autre époque s’animent dès la Lune levée !

De petits chanceux, accompagnés on l’espère de leurs parents (!) éprouveront peut-être les mêmes sensations de liberté avec un grand « L » et de multiples mystères à découvrir lors d’une immersion nocturne qui ne devrait pas manquer de piquant dans le « saint des saints » de la muséographie nationale consacré à l’époque gallo-romaine : le centre culturel d’Alise-Sainte-Reine.

Un lieu implanté, non loin de l’endroit mythique et chargé d’histoire où en 52 avant J-C s’est tenue la fameuse bataille entre les armées de Jules César et les hordes gauloises commandées par Vercingétorix. On se croirait presque revenu dans les lectures agréables du plus célèbre des Gaulois, Astérix, né de la plume ciselée d’Albert UDERZO et du scénariste inspiré, René GOSCINNY !

 

 

Un programme copieux et exceptionnel dès le 26 mars…

 

Oui mais voilà ! Tout ceci est on ne peut plus sérieux au MuséoParc. Non seulement, le site touristique qui a déjà reçu la visite de près de 800 000 personnes depuis qu’il a été porté sur les fonts baptismaux en 2012 proposera bel et bien une nuit très spéciale le samedi 26 mars prochain en accueillant des visiteurs durant vingt-quatre heures non-stop. Mais, en outre, dixième anniversaire oblige, ses animateurs en profiteront pour lancer un programme de festivités qui devraient être marqués d’une pierre blanche par sa richesse et son éclectisme.

Ne serait-ce que le 26 mars où le programme se veut copieux et exceptionnel avec de la musique, la pratique de sport, une exposition de bandes dessinées, des ateliers créatifs, etc. Sachant que la gratuité de l’entrée sera appliquée à partir de 17 heures : réservez votre soirée !

 

 

La jauge de fréquentation de 80 000 visiteurs à atteindre en 2022…

 

Ce ne sera que le prélude à d’autres évènements de la sorte qui viendront ponctuer de leur présence une saison 2022 qui ne présentera pas la même physionomie que les précédentes.

Pour Michel ROUGER, directeur du site, c’est très clair. Adjoindre davantage de ludique et de pédagogie parmi les animations proposées in situ vise en priorité à cibler plus particulièrement un public familial, voire rajeuni. Le site a rouvert ses portes le 15 février. L’objectif est clair : accueillir 80 000 visiteurs avides de curiosité et de joies à partager selon les âges en 2022. Par Jupiter, la bataille devant mener à cette belle victoire est engagée au nord de la Côte d’Or !

 

Thierry BRET

 


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A l’heure où le nucléaire s’invite parmi les programmes de la campagne présidentielle – même le candidat communiste Fabien ROUSSEL y est favorable ! -, quoi de plus légitime en somme que de pouvoir s’immerger au cœur de l’une des centrales afin d’en comprendre toutes les subtilités techniques et sécuritaires. EDF a parfaitement bien assimilé ce besoin de transparence pédagogique en ouvrant les portes du site de Belleville-sur-Loire dès avril.

 

BELLEVILLE-SUR-LOIRE : En matière de tourisme industriel, l’initiative est plutôt séduisante sur le papier. D’autant qu’elle concerne à la fois la jeune génération, avide de savoirs et de découvertes, mais aussi leurs parents dont certains demeurent toujours très rétifs à l’égard de cette ressource énergétique ayant pourtant fait ses preuves si elle est maîtrisée dans les règles de l’art.

C’est le cas du parc de centrales nucléaires dans l’Hexagone. A l’instar du site du Cher dont le panache blanc évanescent s’aperçoit par temps clair haut dans le ciel dans un large rayon environnant. Dont l’Yonne et la Nièvre.

Si elles étaient restées en suspens depuis bientôt deux ans (crise sanitaire oblige), les opportunités de visite de la centrale vont donc reprendre leur rythme de croisière dès le mois d’avril. Et ce n’est pas un poisson facétieux !

Le service communication ad hoc dont Pauline DEVIE est l’une des représentantes, en a défini les contours.

 

 

Un délai de cinq semaines d’anticipation pour sécuriser les visites…

 

Entre exposition photographique accueillie au centre d’information, la réception des adolescents lors des prochaines vacances de Pâques et l’immersion régulière des riverains chaque second et quatrième samedi matin du mois jusqu’en décembre, le nombre de visiteurs devrait être exponentiel cette année. Sans aucun doute.

Surtout qu’à la veille du scrutin présidentiel, le nucléaire ne peut que s’inviter dans les discours de campagne des futurs prétendants au fauteuil élyséen. Même la tête de liste du Parti Communiste de France, Fabien ROUSSEL, y fait référence de manière positive ce qui est pour le moins inattendu !

Bien que les premières visites débutent en avril prochain, la porte-parole de la communication rappelle que « cinq semaines de délai sont nécessaires à la réalisation des accès ».

D’où ce besoin anticipateur sur le calendrier afin de permettre dès maintenant de sécuriser les inscriptions. On ne rentre pas dans une centrale nucléaire comme dans un moulin !

 

 

« Un autre regard » sur le nucléaire : le thème de l’exposition photo…

 

Jusqu’au 29 avril (elle est actuellement visible au centre d’information au public), l’animation photographique propose des points de vue très intéressants de ces deux mastodontes de béton que sont les tours réfrigérantes. D’une part, un des deux volets de ce rendez-vous artistique fait la part belle au travail de Gill BOMMELAERE, artiste originaire de Bordeaux qui avait réalisé une expérience immersive insolite en 2019 sur le site.  

D’autre part, le fruit du travail qualitatif et inspiré de photographes amateurs de l’Yonne et de personnes influentes sur le réseau social Instagram est dévoilé au détour de la visite. Les meilleurs clichés du simulateur et de la salle des machines sont ainsi soumis à la sagacité critique et contemplative du public.

 

  

L’ouverture vers les ados : une volonté pédagogique…

 

Nouveauté importante avec cette relative normalité touristique : le retour des adolescents à la centrale ! Les premiers d’entre eux fouleront le sol de Belleville-sur-Loire dès les vacances de Pâques. Dès 12 ans, les enfants découvriront la salle des machines et le simulateur qui est la copie conforme de la salle de commande, elle reste inaccessible au public, il va sans dire !

Signalons enfin que les adultes peuvent apprécier l’ingénierie technologique d’un lieu industriel en participant aux « Samedis des Riverains », nous l’avons dit, à raison de deux samedis par mois, tous les quinze jours.

Naturellement, toutes ces visites sont organisées gratuitement et sont accessibles à partir de douze ans, sur simple inscription (www.edf.fr/belleville).

 

Thierry BRET

 

 


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Le plaisir d’être là est évident. Surtout après avoir traversé la trop longue période d’atonie de la vie associative. Double plaisir, même, devrait-on dire. Celui d’être reçu dans l’antre de l’excellence de la pédagogie qui se décline en faveur de l’alternance. Celui, aussi, de soutenir de jeunes talents de l’artisanat, relèves assurées de la vie professionnelle de demain. Le Rotary Club d’Auxerre, fidèle à son credo universel « Servir d’abord », s’est donc satisfait d’encourager deux apprentis qui le méritent bien…

 

AUXERRE : On sent poindre par moment un zeste d’émotion dans la voix de Thierry BISSERON. Intérieurement, ce dernier jubile de se retrouver là, sous les lumières finement tamisées du restaurant d’application du CIFA, le « Com’des Chefs ».

Pourtant, l’actuel président du Rotary Club d’Auxerre est un habitué de ce type d’exercice. Prendre la parole devant un public qui ne peut qu’apprécier le geste altruiste du club service envers les autres. En l’occurrence, ce soir-là, de la jeunesse. Celle, besogneuse mais pugnace qui apprend au fil de l’eau les rudiments d’un métier afin de faire croître son potentiel professionnel.

Preuve manifeste que cela fonctionne, la petite phrase lâchée par Thierry BISSERON, en préambule de cette cérémonie des plus conviviales aux antipodes des tensions actuelles qui secouent la planète : « Je suis agréablement époustouflé ! ».

Par qui, pourquoi ? Par cette génération de milléniums qui se lance avec avidité et courage dans l’apprentissage de ces métiers issus de la filière manuelle. « On dit des artisans qu’ils ne sont jamais seuls ». Un ajout oral fondamental dans la bouche du président rotarien, qui explique de facto le soutien inconditionnel de son club à l’encouragement de ces jeunes gens qui empruntent cette voie professionnelle antinomique avec le chômage.

« C’est ce que disait mon grand-père il y a un siècle. Pour lui, la valeur travail était digne du moment qu’elle était utile à la société et qu’elle garantissait le respect de chacun d’entre nous… ».

 

 

Le travail manuel glorifié par deux de ses dignes représentants…

 

Philosophe, alors qu’il est plus enclin à manier d’ordinaire les chiffres et les analyses entrepreneuriales en sa qualité d’expert-comptable, Thierry BISSERON nous renvoie avec une once de pensées nostalgiques dans cette France de jadis. Celle où le travail symbolisait encore l’idée d’être un outil génial au service de l’humain dans son accomplissement. Une réminiscence naturelle de ce que pratique au quotidien le CIFA de l’Yonne en déployant ses arguties en faveur de l’excellence pédagogique.

« Voilà le but que vous poursuivez, souligna l’orateur en se retournant vers Méline DUPRE et Romain PREVOST. Si vous êtes parmi nous ce soir, c’est parce que vous avez compris toute l’importance du travail manuel, de la notion de service, du goût de bien faire, de l’abnégation à avoir dans l’apprentissage d’un chemin professionnel… ».

La jeune fille, spécialiste du service en salle, en rougirait presque, émue et timide, par cette ondée de compliments qui lui tombe sur la tête. Le garçon, qui exerce ses talents dans ce beau métier de la boulangerie, écoute en fermant les yeux. Afin de ne pas perdre une miette (de pain !) de ce discours aux intonations élogieuses.

« Vous êtes reconnus par vos maîtres, vous êtes reconnus par vos clients, il fallait donc que vus le soyez par le Rotary Club d’Auxerre ! ».

Une mise à l’honneur qui se buvait comme du petit lait pour Marcel FONTBONNE, directeur du centre de formation, et de Delphine ENGELVIN, en charge de nombreuses responsabilités au sein de la grande maison.

Une vraie reconnaissance pour ce travail manuel, emblématique fleuron de cette filière artisanale qui demeure la première entreprise de l’Hexagone. Un accessit logique, distillé par le Rotary, ayant pour vocation de distinguer les personnes méritantes, en particulier cette jeunesse engagée pour servir et partager. « Servir d’abord ! ». Certes, mais surtout « Servir encore » ces futures pépites de l’artisanat de l’excellence…

 

Thierry BRET

 

 

 


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