Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

C’était un peu le clou de la soirée. Le bouquet final d’une présentation, finement ciselée avec moult détails techniques et références historiques, avant d’officialiser de manière concrète ce projet de souscription. Deux paraphes couchés au bas de documents qui symbolisent le partenariat de la Ville d’Auxerre avec la Fondation du Patrimoine. Le coup d’envoi d’un chantier d’une décennie afin de rendre son éclat à un pur joyau de l’histoire auxerroise, l’Abbaye Saint-Germain…

 

AUXERRE : Cela ne pouvait pas se finir autrement. Après les anecdotes historiques, architecturales, financières, patrimoniales, économiques…il fallait bien concrétiser le projet, en le gravant d’une manière ou d’une autre dans le marbre. Sur le papier, plus exactement !

C’est vrai que le parapheur contenant la convention de partenariat devant lier au moins pour une décennie la Fondation du Patrimoine et la Ville d’Auxerre était posé là, sur la table accueillie sur l’estrade, bien avant même que ne démarre la série de discours. Placé dans l’ombre et un peu à la discrétion des regards de la nombreuse assistance, il se révéla enfin sous la lumière, objet fondamental de ce projet de restauration tentaculaire, au terme de cette cérémonie où l’Abbaye Saint-Germain tint la vedette. Chose qu’elle sait faire depuis seize siècles d’histoire, en vérité !

C’est certain, au moment où il prit la parole, on ressentit bien une once d’émotion dans la voix de Jean-Christophe BONNARD, délégué régional de la Fondation du Patrimoine. Très honoré d’être associé à ce projet – il le qualifiera de « « projet majeur pour la Bourgogne Franche-Comté », par ailleurs -, le responsable de la Fondation aborda les modalités pratiques de la souscription, lancée dans la foulée de cette signature.

« L’objectif de la collecte pour cette première tranche de travaux – ils concerneront la couverture du cloître dans un premier temps – s’élève à 100 000 euros, exposera l’orateur, qui ajoutera dans la continuité de son propos qu’un premier geste, un don de 18 000 euros, venait d’être réalisé ! ».

Un geste anonyme de bon augure pour la suite des opérations puisque à date, 376 euros supplémentaires se sont déjà ajoutés à la cagnotte, ouverte depuis ce mardi 23 mai. Un premier pas qui en appelle d’autres, forcément…

 

La couverture du cloître, première priorité des travaux à l’automne…

 

De l’aveu du délégué régional, plusieurs mécènes de poids ont déjà été contactés par les services de la Ville afin de boucler au plus vite cette opération liminaire de 100 000 euros qui en suppose d’autres : sachant que ce projet de restauration comportera au total six tranches distinctes, à répartir sur la prochaine décennie. Un véritable « Projet de Territoire », cher à la déontologie pragmatique de Crescent MARAULT, le président-maire de l’Agglomération auxerroise.

Quant aux visiteurs de ce site emblématique de la richesse patrimoniale de la capitale de l’Yonne, ils devraient être mis à contribution indirecte avec des systèmes de borne électronique ou des urnes où ils pourraient glisser leur généreuse obole. D’autant plus que le coût global de ce premier chantier – la remise en état de la couverture - est évalué à plus de 850 000 euros. Les commerçants eux-aussi pourraient servir de relais support au niveau informatif à l’opération de sauvegarde de ce patrimoine qui a pour vocation à tripler le nombre de ses visiteurs dans les années futures.

 

 

Jean-Christophe BONNARD rappela très brièvement ce que représentait la vénérable institution, une Fondation du Patrimoine qui depuis 1966, date de sa création, n’a de cesse de tisser des liens privilégiés avec les différents acteurs locaux dont les collectivités qui agissent favorablement dans la sauvegarde et la valorisation du patrimoine.

Comme il est désormais urgent d’intervenir sur la couverture du cloître dont l’état de santé est très préoccupant – il suffit de la regarder quelques instants pour s’en apercevoir même depuis la cour centrale de l’édifice -, la mobilisation est totale avec le lancement de cette souscription inédite. Sont concernés par la démarche altruiste : les particuliers mais aussi le tissu économique, sachant, en outre, que chaque don subodore l’émission d’un reçu ouvrant droit à des déductions fiscales.

 

 

L’ouverture d’un quartier attractif, culturel, aux débouchés économiques…

 

Puis, citant Victor HUGO lors de son préambule - « l’architecture est le grand livre de l’humanité, l’expression principale de l’homme à ses diverses étapes de développement, soit comme force, soit comme intelligence » - l’édile d’Auxerre Crescent MARAULT prononça quelques mots justifiant une telle initiative, avant de se rendre au pupitre afin d’y apposer sa griffe.

Evoquant la finalité de ce projet – il le qualifiera à maintes reprises d’ambitieux -, le président de l’Agglomération de l’Auxerrois parla de respect et de méticulosité que tous devaient avoir envers cette « vielle dame », un écrin médiéval fondé au Vème siècle. « Un écrin qui a accueilli le tombeau de Saint-Germain, l’un des premiers intellectuels d’Europe… ».

Un projet de transformation de l’abbaye s’intègre, on l’aura compris, à 100 % au cœur du « Projet de Territoire », la grande feuille de route stratégique que Crescent MARAULT suit à la lettre et avait dévoilé aux Auxerrois peu de temps après son élection.

« Il faut transformer l’Auxerrois pour que cette zone géographique devienne ouverte, attractive. L’ouverture d’un quartier culturel et touristique dans l’Yonne à proximité des vignobles bourguignons et à quelques dizaines de kilomètres de la capitale nationale est notre objectif. C’est aussi une belle opportunité pour nos jeunes apprentis, nos artisans, nos entreprises d’investir dans le développement sur notre territoire… ».

Avec des accents un tantinet gaulliens dans la bouche, le maire évoquera la création « d’un quartier libéré », bâti à proximité d’une offre de transports ferroviaire, fluviale, routière, autoroutière et même aéroportuaire.

« Voilà autant d’éléments qui renvoient aux quatre axes de notre « Projet de Territoire », pensé par les décideurs de l’agglomération… soulignera-t-il en substance.

Redorer le blason de cet édifice séculaire dans une ville qui s’est affranchie depuis huit cents ans méritait donc bien une opération spécifique, avec le montage de ce partenariat aux côtés de la Fondation du Patrimoine.

« Ce projet est un véritable tremplin, concluait le maire, une piste de décollage pour l’Auxerrois… ».

Un comité scientifique et un comité Saint-Germain seront d’ailleurs prochainement constitués afin de veiller à la bonne marche du projet ; ils seront composés de personnes reconnues dans leurs domaines.

« La mémoire n’est-elle pas un voyage dans le temps ? », termina sur une note philosophique un Crescent MARAULT érudit en citant Jacques LACARRIERE. En tout cas, à l’issue de cette cérémonie, bon nombre de participants se délectaient de pouvoir profiter en le redécouvrant – la crypte – de ce cadre riche et ô combien agréable à l’œil, offert par ces seize siècles d’histoire qui va donc se refaire une cure de jouvence dès l’automne prochain…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Décidément, l’eau fait beaucoup parler d’elle, depuis le début de la semaine à Auxerre ! Un étrange paradoxe à quelques jours de « Fleurs de Vigne » - le 28 mai sur les quais de l’Yonne – et après l’ouverture de la Cité des Climats et Vins de Bourgogne à Chablis ! Hier, la préfecture organisait des échanges fructueux autour de son avenir. Jeudi, l’Agglomération de l’Auxerrois se fera plus pragmatique en évoquant l’attribution de sa future gestion. Une décision, d’ores et déjà rejetée par les deux groupes de l’opposition qui font cause commune sur le sujet…

 

AUXERRE : « L’eau, un bien commun dont il ne faut pas abandonner la gouvernance au privé... ». D’entrée de jeu, la petite phrase introductive prononcée par l’écologiste Florence LOURY aura le mérite de poser sans équivoque les jalons de ce qui fera le sel de cette conférence de presse, consacrée à l’eau et à la qualité de sa gestion sur l’Auxerrois.

Assise aux côtés de Sophie FEVRE et Isabelle POIFOL-FERREIRA, sans oublier Denis ROYCOURT et Mani CAMBEFORT, la porte-parole d’EELV donnera le « la » de cet échange à bâton rompu avec les deux représentants de la presse ayant répondu présent durant plus d’une heure, une explication de texte accueillie à la Maison de l’Ecologie.

Membres de l’opposition à la gouvernance actuelle, les cinq élus des deux associations, « Vivre l’Auxerrois » et « Auxerre Ecologie Solidarités » ont donc fait bloc d’un seul tenant contre l’engagement de l’organe communautaire de « livrer au privé la gestion de l’eau potable pour une durée de vingt ans et sans engagement de qualité ».

« C’est un acte d’une grande gravité, diront-ils tous en chœur, que nous refusons… ».

 

Un retour de la gestion de l’eau en régie comme à Paris et à Nice…

 

Un rejet catégorique qui remonte à juin 2022, période à laquelle le conseil communautaire de l’Auxerrois avait délibéré sur la gestion de l’eau pour ces prochaines années. La majorité avait alors décidé de la confier au privé et ce, pour une durée de vingt ans. A l’époque, les représentants de « Vivre l’Auxerrois » et « Auxerre Ecologie Solidarités » avaient fait part de leurs vives oppositions.

« Le marché de l’eau n’est guère concurrentiel en France, précise Mani CAMBEFORT, il n’y a que deux opérateurs qui se partagent ce secteur d’activité. En outre, nous n’avons aucune garantie d’un prix juste et abordable pour la collectivité et donc, pour les contribuables auxerrois ».

Et le premier fédéral socialiste d’ajouter tout de go : « Au niveau national, de nombreux élus, quelle que soit leur sensibilité politique, ont dénoncé cette situation quasi monopolistique et ont fait le choix d’un retour en régie… ».

S’en suivront au fil des discussions les exemples concrets appliqués à Paris, dès le début des années 2000, ou à Nice, depuis quelques années.

« A ce propos, plaisantera même Mani CAMBEFORT, on ne peut pas dire que le maire de Nice, Christian ESTROSI, soit un gauchiste collectiviste ! ».

Une gestion de l’eau qui transcende les clivages politiques, visiblement !

 

 

 

Régler les problèmes à la source en aidant l’essor de l’agro-écologie…

 

Puis, conservant la parole avec sa verve habituelle – Mani CAMBEFORT se montre toujours très pointilleux sur les aspects juridiques et législatifs de toute décision prise par la gouvernance -, l’élu de l’opposition pointera d’un index véhément la durée de la contractualisation, pour lui inimaginable.

« Vingt ans, c’est une durée inhabituellement longue, souligne-t-il dubitatif, elle engage notre collectivité sur plusieurs mandatures…on se lie donc les mains jusqu’en 2043 ! ».

Puis, de conclure sur le fait que « le président de l’Auxerrois, Crescent MARAULT, se débarrasse ainsi de sa responsabilité sur les futures équipes à venir ». Et en deux décennies, elles peuvent être nombreuses, en effet, à se succéder sur un tel dossier…

Reprenant la balle au bond dans cet exercice oratoire à cinq voix – une habitude chez les élus de l’opposition ! -, Florence LOURY insistera sur les dépenses somptuaires de la collectivité en faveur de la dépollution de l’eau.

« Le montant des travaux qui seront confiés au concessionnaire pour l’installation de deux unités de dépollution représente une enveloppe de 27 millions d’euros. Or, les études de l’Agence de l’eau montrent qu’il est 87 fois moins cher de régler le problème à la source en mettant en place des aides aux agriculteurs afin qu’ils modifient leurs pratiques plutôt que dépolluer l’eau après… ».

La représentante écologiste s’appuyant sur l’exemple de Paris pour illustrer ses propos : « la capitale a choisi une gestion publique de l’eau. Sa régie a réussi à aider des agriculteurs en bio sur ses captages de la Vanne et de la Voulzie. Quant à l'aide de l'Agence de l'eau, elle a été validée par la Commission européenne. L’agro-écologie coûte moins cher, elle permet de préserver les équilibres naturels et la santé humaine par une alimentation sans pesticides et sans nitrates… ».

 

 

Une manne d’1,5 million d’euros de l’agence de l’eau évaporée…

 

Il y a une vingtaine d’années, une politique différente avait pu se mettre en place sur l’Auxerrois afin de prendre par un autre bout de la lorgnette une stratégie préventive à la gestion de l’eau plutôt que curative. Denis ROYCOURT le confirmera par son témoignage : «  à l’époque, en réaction à une montée des pollutions par les nitrates d'origine agricole dans notre eau potable, à la demande des écologistes et de l’Agence de l’eau, les acteurs de terrain auxerrois ont su faire taire leurs divergences pour innover et mettre en place cette politique préventive… ».

Une stratégie qui devait s’avérer payante in fine avec l’acceptation par l’agence de l’eau Seine-Normandie en 2020 de faire de l'Auxerrois un territoire d’expérimentation des « paiements pour services environnementaux ». Soit une manne de près d’un million et demi d’euros qui devait être attribuée à la communauté d’agglomération afin d’accompagner les agriculteurs volontaires pour une transition vers l’agro-écologie.

Des subsides qui n’auront jamais été distribués par l’agence de l’eau : en septembre 2020, et malgré de multiples interventions en conseil communautaire de la part de représentants de l’opposition, la nouvelle gouvernance n’aura pas donné suite à ce projet.

« Il y a trois problèmes à cette affaire, résumera ensuite en substance Isabelle POIFOL-FERREIRA, il y a l’axe public-privé – est-ce que l’eau qui est un bien commun peut se satisfaire d’une gestion assurée par le privé ?, est-ce que les intérêts du privé ne vont pas contre l’intérêt d’une eau potable pour tous ? -, l’autre axe sur lequel on doit vraiment réfléchir, c’est le préventif ou le curatif. Si on ne fait que du curatif, cela ne fonctionnera pas… ».

Enfin, l’oratrice ajoutera un troisième élément, lié aux deux précédents : « il y a aussi la préoccupation réelle des deux intervenants privés vis-à-vis de la santé des personnes consommatrices alors que l’on sait qu’ils sont beaucoup plus attirés par le profit. Reste le coût de l’eau potable pour les usagers, il sera très important et cela va devenir un bien de luxe alors que c’est un bien élémentaire, indispensable à la vie… ».

Les élus de l’opposition auxerroise réclame dès lors une réouverture du dossier et compte sensibiliser l’ensemble de leurs confrères d’ici jeudi, date de la présentation en séance plénière. Pas sûr que leur initiative coule de source auprès des partisans du camp d’en face favorables à cette stratégie de la privatisation !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’espace occupé par la seconde pièce du magasin se nomme sobrement « La Petite Armoire d’Isa ». Rien d’étonnant à cela, puisque l’appellation fait un subtil clin d’œil au prénom de la gérante de ce commerce de proximité auxerrois, spécialisé dans la couture-retouche et inféodé à la franchise nationale, « RAPID’COUTURE ». Isabelle BRETAGNE, hôte de ces lieux très prisés (oui, oui, il fallait le faire surtout quand on évoque une activité de textile !), a choisi de diversifier son emploi du temps. Au-delà des travaux de retouche qui l’accaparent la semaine, elle propose désormais un dépôt vente et vente de vêtements féminins chaque samedi…

 

AUXERRE : Non, elle ne s’ennuyait pas jusqu’alors, Isabelle BRETAGNE, dans sa petite boutique en mode décoration cocooning, idéalement bien située, à quelques encablures du palais de justice auxerrois ! Ses activités professionnelles font florès depuis l’ouverture de cette échoppe très fréquentée par les habitants de la capitale de l’Yonne, dédiée exclusivement aux travaux de retouche et de couture, tels que savent le proposer les vitrines commerciales du réseau hexagonal, « RAPID’COUTURE », depuis son apparition qui date déjà de 1986.

Alors, ajouter une nouvelle corde à son arc – l’ouverture depuis quelques semaines d’un dépôt vente et la vente de vêtements 100 % féminins dans l’une des pièces attenante à l’actuelle boutique – traduit plutôt un désir de diversification, mûrement réfléchi et totalement abouti. C’est clair : la commerçante aurait même pu y penser bien avant comme une évidence malgré un emploi du temps assez serré !

 

Un espace déjà fréquenté en nombre par une clientèle très féminine !

 

Seule dans le commerce, la professionnelle a su néanmoins conserver un garde-fou légitime et salvateur à cette charge supplémentaire de travail. Ne proposer aucune retouche ni travaux de couture le samedi, journée entièrement consacrée dorénavant à la déclinaison commerciale de sa double activité, c’est-à-dire assurer le dépôt vente de ces vêtements de seconde main – mais de très belle facture après l’avoir dûment constaté parmi les rayonnages – en matinée afin de pouvoir mieux les vendre le tantôt. Selon une tranche d’horaire de plus de trois heures, entre 13 heures et 17 heures 30, moment privilégié pour les consommateurs qui aiment faire leurs emplettes en centre-ville.

Pour l’heure, Isabelle BRETAGNE – elle est très enthousiaste avec les perspectives consuméristes que lui offre cette « friperie » qui ne demande qu’à être fréquentée par la gent féminine ! – veut se limiter aux seuls habits portés par les dames et demoiselles.

Sur les rayons, le choix de manteaux, de robes, de chemisiers, de jupes, de vestes…se veut plutôt éclectique, suscitant ainsi les envies d’achat des clientes qui affluent déjà en nombre dans l’espace dédié à cette vente : « La Petite Armoire d’Isa ». Dans un autre recoin de la pièce, des sacs à main et des chaussures trônent en bonne place, visibles des chalands.

 

 

Une gamme de prix très abordable dans cette friperie de centre-ville…

 

Implantée à Auxerre depuis sept ans, la commerçante a reçu l’aval positif de la franchise nationale dont le siège est à Nantes afin de mieux concevoir dans les règles de l’art son projet d’optimisation de ses futures activités.

Passionnée de couture, pugnace et volontaire, Isabelle BRETAGNE a su tisser au fil de ce premier « septennat » commercial avec la clientèle auxerroise des liens ténus, concrétisés par la réalisation d’ourlets en tout genre et à multiples vocations (pantalons, vestes, manteaux, chemisiers…), des changements de fermeture Eclair, des doublures, de la customisation de vêtements, etc.

Une passion dont elle ne connaît pas les limites puisque ce prolongement de concept vers la vente directe et les retouches qui seront nécessaires à l’issue lui vont comme un gant.

En cas de succès confirmé de ce nouveau corner à vocation commerciale, la gérante de la boutique auxerroise se dit prête à embaucher et à s’appuyer sur les besoins d’une collaboratrice à temps partiel, de prime abord. Histoire de pouvoir équilibrer et répartir son temps de travail entre les activités couture et celles occasionnées par la commercialisation des vêtements de seconde main.

Quant aux prix pratiqués dans la boutique, ils sont plus qu’abordables en cette période de crise économique ; à partir de trois euros pour les premiers tarifs – des débardeurs – à quarante euros pour les blousons en cuir. Il faut compter de dix à vingt euros pour les pantalons, les jeans, et autres indispensables habits devant rendre la femme adepte de la friperie et de la mode encore plus coquette qu’elle n’est !

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Sans mauvais jeu de mot, il n’y avait pas de casseroles à l’horizon ! A croire que le secret avait été bien gardé dans les alcôves locales de « Renaissance », le parti présidentiel. Les badauds qui se promenaient du côté du « Biarritz », ce vendredi aux alentours de midi à Auxerre, ont dû se pincer par deux fois pour voir s’ils ne rêvaient pas. Attablé face à un café noir, Stanislas GUERINI, le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, en grande discussion avec une dizaine de militants, justifiait sa présence dans l’Yonne !

 

AUXERRE: Inéluctablement, l’endroit est devenu son fief ! Car, à chaque déplacement effectué depuis Paris dans la capitale de l’Yonne pour y rencontrer des soutiens du président de la République ou des citoyens – voire par le passé un certain Guy FEREZ alors édile d’Auxerre -, il fait une halte appréciable dans cet établissement du centre-ville auxerrois.

L’un de ces estaminets les plus courus de la ville pour celles et ceux qui désirent boire un verre, manger le morceau et profiter aussi de la bienveillance du patron des lieux, l’excellent Eric MOUTARD, président de l’UMIH 89, l’Union des Métiers de l’Industrie hôtelière du territoire.

Entre Stanislas GUERINI et le « Biarritz », c’est donc une véritable histoire d’affection. En visite surprise à Auxerre, vendredi en fin de matinée, le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques n’a donc pas dérogé à la règle de s’y poser, une fois encore, le temps de déguster un petit noir avant de se frotter aux réalités du protocole officiel, en présence d’une dizaine de militants du parti présidentiel, « Renaissance ».

Un protocole devant le conduire, primo, dans le saint des saints de la représentation étatique sur le territoire, la préfecture de l’Yonne où devait l’attendre le préfet Pascal JAN pour y partager un déjeuner. Puis, secundo, du côté de Quarré-les-Tombes, dans les contreforts du Morvan, pour y inaugurer un nouvel appareillage accueilli au sein de la maison « France Services » – l’un des trente-un édifices de ce type érigés dans l’Yonne permettant au service public de se projeter le plus près possible des zones rurales et de maintenir ainsi sa présence grâce à neuf opérateurs distincts -.

 

 

 

La présence de l’Etat se renforce dans les territoires ruraux…

 

Durant quarante-cinq minutes, Stanislas GUERINI a donc profité de ce premier échange informel, nimbé d’une belle luminosité extérieure grâce à un soleil printanier, au contact des militants pour affûter ses futurs arguments – ceux qu’il devait délivrer dans l’après-midi aux confins de l’Yonne – sur cette présence de l’Etat à renforcer dans les territoires ruraux.

Du pain bénit pour quelques figures politiques, bien connues, du sérail, présentes à cette rencontre placée sous le sceau de la convivialité : entre autres, Mahfoud AOMAR, président de l’Association des Maires de France (AMF) de l’Yonne, de Thierry CORNIOT, le maire de Seignelay ou encore de Xavier COURTOIS, le maire de Massangis. On notait aussi la présence de quelques dirigeants d’entreprises telle la rayonnante Sabrina HOHENGARTEN – elle peaufine la dernière mouture de son projet de réseau intergénérationnel destiné aux collectivités, « Les Rebelles de France » - ou de Laurent DEVELLE, de Week-end Ludique, sur le pont dès le lendemain à Coulanges-la-Vineuse avec la première présentation de son concept, « Jeu te Guide » relatant le patrimoine historique du vignoble…

Quant au responsable de la section départementale de « Renaissance 89 », Victor ALBRECHT, il ne pouvait que se frotter les mains à l’issue de ce rendez-vous informel structuré sous la forme d’un échange ouvert qui aura aussi permis d’évoquer le statut des fonctionnaires ainsi que leur revalorisation future.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Vingt ans d’expérience, une paille ! Mais, deux décennies utiles où le chef d’entreprise de Sens, Jean-François NICOLLE, à la tête d’une société spécialisée dans le développement de produits destinés au tir sportif, met à profit son savoir-faire pour accroître un usage numérique exemplaire dans sa structure. Cela ne pouvait qu’interpeller les membres du jury de ces Trophées, soit la Banque Populaire BFC, MAAF et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat régionale…

 

MAILLOT : Satisfait d’obtenir le sésame suprême, Jean-François NICOLLE ? Assurément ! Le dirigeant de l’entreprise CAP CREATION vient d’être récompensé au cours de l’édition 2023 des Trophées du Numérique, un challenge honorifique concocté par la chambre consulaire régionale des métiers et de l’artisanat, en accointance avec ses partenaires, la Banque Populaire et la MAAF.

C’est dans les locaux de l’antenne consulaire sénonaise que l’entrepreneur du cru recevait sa distinction, pour les multiples usages de cette technologie employée dans son mode de production.

Utilisateur d’outils numériques à l’instar de produits Adobe, Microsoft, mais aussi des systèmes de modélisation 3D (cinéma 4D, Rhino 3 D…), Jean-François NICOLLE fabrique essentiellement les produits de sa structure grâce à une imprimante 3D. Notamment des dévidoirs ayant nécessité huit heures de conception à l’unité par la machine.

Aujourd’hui, ce sont huit mille pièces qui ont ainsi été réalisées et vendues, grâce à un procédé de fabrication par injection. Exportés aux quatre coins du globe, ces dévidoirs ont été brevetés dans trois pays, la France, l’Allemagne et la Belgique.

 

 

En parallèle, CAP CREATION s’est positionnée sur la fabrication de récupérateurs de douilles, un produit phare et très précieux pour les sportifs qui peuvent ainsi récupérer les objets de manière très rapide à l’issue de leurs épreuves. Astucieux car ces douilles peuvent être réutilisées.

Signalons que le milieu handisport n’est pas oublié par l’entreprise du Sénonais : elle conçoit aussi des pièces conceptualisées sur mesure pour les compétiteurs invalides.

Des outils qui ne sont que le prolongement de la réflexion et de la phase de création du dirigeant. Réductrice en temps de conception, l’impression 3D s’emploie à bon escient en phase d’étude et de prototypage en privilégiant les coûts faibles et la rapidité d’exécution.

En outre, si on emploie de bons matériaux, elle permet d’obtenir un ratio coût/productivité/qualité sans commune mesure. Tout cela méritait bien un titre de gloire pour CAP CREATION et son responsable !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil