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Joindre l’utile à l’agréable. L’adage s’adapte à la perfection à l’état d’esprit qui règne en maître au sein du CFA La Brosse. Surtout lorsqu’il concerne directement des jeunes apprenants. Ces derniers viennent de le vérifier, à l’instar de ce qu’ils avaient déjà vécu l’an passé, en recevant une dotation de matériels utiles à leur scolarité et selon leurs filières. Un geste altruiste qui ne s’apparente nullement au symbole puisque correspondant à 500 euros TTC par apprentis !

 

VENOY : C’est tous les jours Noël ou presque au CFA La Brosse ! Et ce sont les jeunes apprenants qui bénéficient des largesses émanant de leur établissement de prédilection : le centre de formation agricole ! Ils viennent de recevoir une précieuse dotation. D’une équivalence budgétaire de 500 euros TTC par apprentis. Des kits contenant du matériel qui correspondent à leur cycle de formation. Ces accessoires leur ont été offerts. Ils sont très appréciables pour l’apprentissage de leur futur métier. Ici, pour une demoiselle suivant le cursus du CAP palefrenier, l’un des parcours pédagogiques menant vers les métiers équestres. Ou là, auprès d’un jeune homme ayant opté pour un job agricole dans l’élevage.

Tapis de selle, protections et chaussettes, vêtements de palefrenier ou encore parures chaudes répondant aux normes de sécurité composent le premier des deux kits, exposés par deux jeunes gens, studieux élèves du centre de formation.

Le kit numéro deux n’est pas mal non plus. Il renferme dans une caisse à outils de dernier cri la panoplie parfaite du bricoleur expert. Celui qui assure des interventions dans le domaine de la mécanique ou sur les engins agricoles.

 

 

Un projet financé par OCAPIAT, le référent opérateur de compétences…

 

Sur ce projet, c’’est l’OPCO (opérateur de compétences) OCAPIAT qui régale ! L’une de ces onze nouvelles structures, apparues en 2019, dans le cadre de la loi dite « Avenir professionnel » et qui intervient sur cet univers complexe de la formation et de l’apprentissage.

Hélène DECULTOT, responsable du CFA La Brosse, s’en explique.

« L’organisme  nous a fait cette judicieuse proposition. Prendre à sa charge les frais d’équipements de ces deux cursus de la filière agricole. Un schéma que l’organisme appliquait au niveau national. Le CFA agricole de l’Yonne en a été bénéficiaire, après enquête pour mieux en connaître les besoins. Il en est ressorti que les jeunes apprenants manquaient d’outils utiles pour parfaire la connaissance de leurs filières. Une véritable aubaine, en définitive que de pouvoir souscrire à ce projet… ».

Souvenons-nous ! L’an passé, l’établissement pédagogique de l’Yonne avait obtenu des financements pour l’acquisition de 73 ordinateurs portables, prêtés ensuite aux élèves durant leur formation.

 

 

Même la formation de jardinier paysagiste était concernée…

 

Cette année, c’est belote, rebelote et dix de der ! Puisqu’in fine, ces fameux kits (palefrenier) et caisse à outils seront conservés par leurs jeunes bénéficiaires à l’issue de leur cycle formatif. Soit au total, une centaine de paquets cadeaux qui furent remis sans les emballages affriolants de Noël fin décembre pour la plupart.

Un troisième cycle de formation, celle concernant l’apprentissage du métier de jardinier paysagiste, profitait aussi de cette manne avantageuse. Un kit conçu à base de vêtements protecteurs. Vivement 2023 pour continuer sur la lancée au CFA La Brosse !

 

Thierry BRET

 

 


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Rares sont les édifices publics de l’Yonne à être pavoisés aux couleurs de l’Ukraine. Ces fameux coloris si distinctifs, jaune et bleu, qui pénètrent désormais notre subconscient à force de les voir s’étaler à la une des journaux et des relais audiovisuels depuis le déclenchement de cette guerre. Marque de soutien, signes d’encouragement à lutter contre la préservation de la liberté et de l’indépendance d’un état souverain : une forme de résistance symbolique qu’a choisie d’afficher la municipalité de Chevannes.

 

CHEVANNES : Ce sont de petits cœurs entrelacés. Leurs dessins, en jaune et bleu, s’additionnent avec autant de poignées de mains. Les uns placés à côté des autres. Un symbole fort d’entraide et d’amitié, esquissé avec le regard innocent de jeunes enfants.

Ceux qui fréquentent les activités périscolaires de la localité périphérique d’Auxerre. Le tout constitue une grande banderole. Posée, depuis ce week-end, au fronton de l’édifice public principal de la commune : sa mairie.

Une marque de sympathie. D’espérance, aussi, puisqu’elle émane de cette jeunesse icaunaise qui est bien consciente de ce que vit le peuple opprimé d’Ukraine, aujourd’hui, sous les bombardements meurtriers de l’occupant russe.

 

 

Plutôt que d’ornementer d’un simple drapeau ukrainien la façade de la mairie, comme d’autres communes icaunaises ont pu le faire (Sens) et c’est déjà beaucoup, Dominique CHAMBENOIT, premier élu, a choisi ce procédé plus implicatif et inspirant que cette banderole conceptualisée par des enfants de la commune.

Ils ont réalisé ce travail collectif en n’oubliant jamais ce qu’endurent là-bas à deux mille kilomètres de nous ces gosses et leurs parents écrasés par la bêtise humaine. S’inspirant des couleurs emblématiques du pays, ces deux bandes bleu et jaune, évoquant le ciel azuréen de la prospérité et du bonheur, et le jaune, rappelant les champs de blé qui poussent dans les steppes.

Un message visuel, clair et précis, reçu cinq sur cinq…et visible de tous !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Première aux tests PISA, référence pédagogique internationale, en lecture, mathématiques et sciences sur le continent européen, l’Estonie étonne par ses méthodes d’enseignement novatrices et…surtout très efficaces. Il n’en fallait pas davantage pour que la MFR Bourgogne Franche-Comté dépêche sur place 24 de ses directeurs d’établissement lors d’un stage immersif de cinq jours.

 

TALLIN (Estonie) : La neige, encore et encore, à perte de vue dans la proche périphérie de la capitale, la sublime Tallin, ville construite face à la Baltique en guise de carte postale. Mais, au copieux programme des réjouissances de ce lundi 20 février subissant des températures hivernales : la visite de l’Institut français d’Estonie, avant de se rendre au lycée de Viljandi.

Entre les incursions parmi le patrimoine culturel et touristique de l’un de ces pays baltes florissants et l’observation attentive des us et coutumes de la pédagogie qui fonctionne à merveille, les vingt-quatre responsables d’établissement des MFR Bourgogne Franche-Comté (Maison Familiale et Rurale) ne verront pas assurément le temps s’écouler. Malgré le dépaysement garanti !

 

 

Elu de Gron et directeur de la MFR du Sénonais, Stéphane PERENNES, joint par téléphone dès potron-minet ce lundi, témoigne : « Ce séjour qui s’inscrit dans le cadre du programme Erasmus repose sur une découverte théorique et pratique de l’enseignement local ».

Un enseignement dont la France devrait bien s’inspirer pour autant, l’Estonie caracole en tête des classements des principales matières étudiées (lecture, mathématiques, sciences) au niveau européen ! Un pays de l’OCDE où le contexte socio-économique possède l’impact le plus faible sur les performances des élèves. Quelles en sont les recettes miracles pour y parvenir ? Voilà ce que devrait donc découvrir la délégation régionale qui nouera aussi des partenariats utiles à l’avenir.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Opération intéressante que celle menée il y a peu par deux partenaires du lycée des métiers de l’hôtellerie et de la restauration Vauban à Auxerre. METRO et Le BORVO, producteur de saumon fumé, ont organisé un master class mettant en exergue la gamme de pains conçus par BRIDOR, l’un des incontournables de la filière industrielle sur ce registre.  

 

AUXERRE: Le pain, c’est bon. Et les Français, friands de ce produit du quotidien, en sont de gros consommateurs, comme chacun le sait. Mais, on n’est pas obligé de le déguster frais. Ainsi, le pain congelé peut servir de base nutritive à de multiples préparations en le travaillant différemment. Parfois, par nécessité. A l’instar de ce que vit le lycée des métiers Vauban qui ne peut être livré que par un seul boulanger pour ses besoins journaliers.

Insuffisant, donc, pour l’une des figures de l’établissement, Serge GOULAIEFF, meilleur ouvrier de France (MOF) catégorie maître d’hôtel et l’une des têtes pensantes pédagogiques du lycée.

« Nous avons été dans l’obligation de regarder ailleurs, plaisante-t-il, d’où notre intérêt porté sur l’offre de BRIDOR".

L’industriel fabrique une large gamme de pains, venant entre autres alimenter le restaurant d’application, « La Gourmandise ». Un site qui accueille son potentiel de clients réguliers tout au long de l’année.

Un pain qui visiblement ne laisse pas de marbre les consommateurs. Le gâchis au niveau de la perte est beaucoup moins important avec cette production qu’avec du pain traditionnel.

« Logique, rétorque Serge GOULAIEFF, la clientèle consomme jusqu’au bout le morceau de pain, plus petit et calibré à un repas, qui accompagne les mets sur la table du restaurant. Elle le mange volontiers et l’apprécie d’autant... ».

 

 

Même les restaurateurs s’y mettent pour optimiser leur productivité…

 

Lors de cette séance initiatique, conçue en présence de plusieurs professionnels de la restauration et de la formation aux métiers de la filière, l’objectif était de montrer aux élèves de la mention cuisine, cuisinier en dessert de restaurant l’utilité pour eux que parfois il ne fallait pas perdre du temps à préparer du pain, que l’on peut le transformer ainsi que les croissants pour en faire des productions salées.

Conséquence, les testeurs du jour eurent l’opportunité gourmande de savourer différentes variantes de pains, fabriqués par BRIDOR, mais aussi du pain retravaillé, et pas seulement la baguette.

Aujourd’hui, et toujours dans le souci d’améliorer la productivité, les grandes toques de la gastronomie s’interrogent sur le besoin de passer une commande auprès d’un boulanger ou de servir à leur table du pain d’excellente qualité mais… surgelé.

 

 

Une qualité que défend bec et ongle BRIDOR. L’industriel demeure à ce jour l’un des plus gros consommateurs de beurre à l’appellation AOP Charentes-Poitou pour concevoir ses viennoiseries.

La démarche pédagogique du lycée Vauban et de ses partenaires, aussi insolite fut-elle, ne va pas, non plus, à l’encontre de l’artisanat traditionnel.

« C’est une autre approche, confie Serge GOULAIEFF, elle existe et nous ne pouvons l’ignorer. Bien sûr, l’ensemble du corps professoral de l’établissement travaille avec des boulangers artisanaux. Mais, il faut aussi montrer à nos apprenants que ce pain surgelé a pris de l’importance auprès des consommateurs. Y compris les restaurateurs qui l’ont adopté de plus en plus dans leur cuisine, évitant ainsi d’avoir oublié de passer une commande, en faisant cuire le pain à l’instant le plus propice, et en limitant les doses à leur réel besoin ».

 

 

Une première qui devrait en appeler d’autres…

 

Une première au niveau de l’initiative. Celle-ci devant se dupliquer à l’avenir, à l’instigation de METRO, auprès d’autres lycées hôteliers ou de centre de formation par l’apprentissage.

On pense automatiquement au CIFA de l’Yonne, dont deux de ses représentants, Delphine ENGELVIN et Maxime LAUZET, assistaient aux premières loges à cette séance de dégustation, animée par les spécialistes du fabricant industriel.

Quant aux restaurateurs, dont Cornélius DELAMINNE « Le Moulin de Corneil » à Mézilles, il a confié s’être régalé à l’issue de la démonstration gustative, proposant charcuteries, foie gras et plateau de fromages !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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A l’heure où le nucléaire s’invite parmi les programmes de la campagne présidentielle – même le candidat communiste Fabien ROUSSEL y est favorable ! -, quoi de plus légitime en somme que de pouvoir s’immerger au cœur de l’une des centrales afin d’en comprendre toutes les subtilités techniques et sécuritaires. EDF a parfaitement bien assimilé ce besoin de transparence pédagogique en ouvrant les portes du site de Belleville-sur-Loire dès avril.

 

BELLEVILLE-SUR-LOIRE : En matière de tourisme industriel, l’initiative est plutôt séduisante sur le papier. D’autant qu’elle concerne à la fois la jeune génération, avide de savoirs et de découvertes, mais aussi leurs parents dont certains demeurent toujours très rétifs à l’égard de cette ressource énergétique ayant pourtant fait ses preuves si elle est maîtrisée dans les règles de l’art.

C’est le cas du parc de centrales nucléaires dans l’Hexagone. A l’instar du site du Cher dont le panache blanc évanescent s’aperçoit par temps clair haut dans le ciel dans un large rayon environnant. Dont l’Yonne et la Nièvre.

Si elles étaient restées en suspens depuis bientôt deux ans (crise sanitaire oblige), les opportunités de visite de la centrale vont donc reprendre leur rythme de croisière dès le mois d’avril. Et ce n’est pas un poisson facétieux !

Le service communication ad hoc dont Pauline DEVIE est l’une des représentantes, en a défini les contours.

 

 

Un délai de cinq semaines d’anticipation pour sécuriser les visites…

 

Entre exposition photographique accueillie au centre d’information, la réception des adolescents lors des prochaines vacances de Pâques et l’immersion régulière des riverains chaque second et quatrième samedi matin du mois jusqu’en décembre, le nombre de visiteurs devrait être exponentiel cette année. Sans aucun doute.

Surtout qu’à la veille du scrutin présidentiel, le nucléaire ne peut que s’inviter dans les discours de campagne des futurs prétendants au fauteuil élyséen. Même la tête de liste du Parti Communiste de France, Fabien ROUSSEL, y fait référence de manière positive ce qui est pour le moins inattendu !

Bien que les premières visites débutent en avril prochain, la porte-parole de la communication rappelle que « cinq semaines de délai sont nécessaires à la réalisation des accès ».

D’où ce besoin anticipateur sur le calendrier afin de permettre dès maintenant de sécuriser les inscriptions. On ne rentre pas dans une centrale nucléaire comme dans un moulin !

 

 

« Un autre regard » sur le nucléaire : le thème de l’exposition photo…

 

Jusqu’au 29 avril (elle est actuellement visible au centre d’information au public), l’animation photographique propose des points de vue très intéressants de ces deux mastodontes de béton que sont les tours réfrigérantes. D’une part, un des deux volets de ce rendez-vous artistique fait la part belle au travail de Gill BOMMELAERE, artiste originaire de Bordeaux qui avait réalisé une expérience immersive insolite en 2019 sur le site.  

D’autre part, le fruit du travail qualitatif et inspiré de photographes amateurs de l’Yonne et de personnes influentes sur le réseau social Instagram est dévoilé au détour de la visite. Les meilleurs clichés du simulateur et de la salle des machines sont ainsi soumis à la sagacité critique et contemplative du public.

 

  

L’ouverture vers les ados : une volonté pédagogique…

 

Nouveauté importante avec cette relative normalité touristique : le retour des adolescents à la centrale ! Les premiers d’entre eux fouleront le sol de Belleville-sur-Loire dès les vacances de Pâques. Dès 12 ans, les enfants découvriront la salle des machines et le simulateur qui est la copie conforme de la salle de commande, elle reste inaccessible au public, il va sans dire !

Signalons enfin que les adultes peuvent apprécier l’ingénierie technologique d’un lieu industriel en participant aux « Samedis des Riverains », nous l’avons dit, à raison de deux samedis par mois, tous les quinze jours.

Naturellement, toutes ces visites sont organisées gratuitement et sont accessibles à partir de douze ans, sur simple inscription (www.edf.fr/belleville).

 

Thierry BRET

 

 


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