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Et si diriger une collectivité territoriale forte de ses 36 000 âmes réparties dans 57 communes s’apparentait à plus d’un titre à la gestion d’une véritable entreprise ? L’actuel maire de Moulins-sur-Ouanne, conseiller régional et président sortant de l’intercommunalité de Puisaye-Forterre en serait-il pour autant le PDG absolu ? Pas si sûr ! Ce serait plutôt, à ses dires, un dirigeant s’appuyant sur des compétences qui souhaite rebattre les cartes, ne stigmatiser personne et aller de l’avant, avec un discours d’apaisement, au service de ses administrés…

MOULINS-SUR-OUANNE : A 67 ans, tout est possible ! Ce n’est pourtant pas le credo du candidat Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI à sa propre succession. Mais, celui d’un exégète de la chose publique, habitué à évoluer dans la sphère politique depuis pas mal de temps.

Il en connaît ainsi tous les rouages et les subterfuges. A l’instar des chausse-trappes et autres peaux de banane qui se sont déjà dressées sur sa route. Où il lui aura fallu les éviter avec une certaine maîtrise.

Aujourd’hui, à l’avant-veille d’un scrutin qui pourrait paraître capital sur le papier (une réélection au poste de président de l’intercommunalité la plus étendue de l’Yonne), le responsable départemental d’Agir La Droite Constructive mène campagne dans sa « zone de chalandise » en quête de ces indispensables soutiens d’édiles qui pourraient lui apporter in fine les voix nécessaires.

Sans rien préjugé du résultat final (« une élection n’est jamais gagnée d’avance… dixit l’intéressé), le président de la CCPF s’enveloppe d’une certaine sérénité dans sa posture. Même s’il reconnaît que ces trois années de mandature exercées depuis sa prise de fonction en janvier 2017 ressemblaient davantage à une sinécure kafkaïenne à appréhender plutôt que d’être vécues comme un long havre de paix !

Bref, on l’aura compris dans ses propos distillés sans modération lors d’une conférence de presse accordée il y a quarante-huit heures, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI veut convertir ces trois premières années de galère noire en un nouveau challenge plus abouti tant dans le consensus que dans les réalisations.

 

Faire abstraction des querelles de personnes et privilégier l’intérêt général

 

Alors, quand il abat ses cartes comme des pions qu’il avancerait sur un échiquier pour expliciter son programme, l’élu de l’Yonne admet bien volontiers que son tempérament vif et clairvoyant lui joue parfois des tours : « peut-être ai-je été un peu trop rapide dans la prise de certaines décisions mais je ne voulais pas perdre de temps… ». Ni les subventions de fonds divers et variés à glaner çà et là auprès d’instances régionales voire européennes dont il était judicieux de bénéficier pour le portage financier de certains dossiers.

A sa décharge, il explique que l’un de ses plus grands regrets aura été une dépense d’énergie constante pour lutter contre une adversité qualifiée de « mauvaise foi ». Il est vrai que ce court mandat de trois ans imputable à la constitution de la nouvelle communauté (il est de six ans en temps normal) aura paru interminable pour l’ancien avocat d’affaires.

Le paysage plutôt mouvementé de ce landerneau kaléidoscopique comprendra dans ce laps de temps : la fusion de trois intercommunalités, l’additif d’une commune nouvelle (Charny-Orée de Puisaye), l’ajout de quatre communes (Charentenay, Coulangeron, Migé et Val-de-Mercy), le retrait de cinq autres, la présence d’un PETR et celle d’un syndicat mixte des déchets…Qui dit mieux ?

 

Un problème de fonctionnement, pas d’investissements

 

Se référant à un rapport analytique publié par le cabinet STRATORIAL PUBLIC AVENIR, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI évoque la fiscalité. Un item toujours épineux dans la besace de n’importe quelle collectivité.

« L’effet de la fusion engendrera selon cette étude une augmentation de quatre taxes de 2,5 % par an et ce pendant au moins six années… ».

Prônant les vertus de l’intérêt général, le candidat lance quelques pistes de réflexion concrètes extraites de sa feuille de route. Pour cette prochaine mandature, il désire l’ouverture des commissions aux conseillers municipaux.

« Il existe bon nombre de compétences parmi ces élus alors qu’ils ne sont pas délégués communautaires. Ils doivent s’approprier cet organe et en parler entre eux… ».

Proposer un écrémage dans l’ordre du jour communautaire (des sessions longues parfois de plusieurs heures) s’inscrit parmi les priorités. Les questions de moindre importance se réguleraient dans le cadre d’un bureau délégataire. Quant aux appels d’offres, autre serpent de mer insondable dans la vie des élus, ils seraient traités par un service centralisé ad hoc. La résultante se traduirait par le biais d’une embauche d’un agent supplémentaire.

Tel un entrepreneur déclinant son business plan et sa copy stratégie à son staff directionnel à la barre d’une grosse PME, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI pose son regard managérial de l’organe communautaire autour de trois axes : la vision du territoire, l’organisation et les moyens humains, complétés par le volet financier.

 

 

Des projets comme s’il en pleuvait…

 

Les engagements pris lors de la première mandature devraient se poursuivre en cas de réélection du président actuel. Ainsi, le dossier de la piscine intercommunale bâtie à Toucy, projet d’un coût de 6,6 millions d’euros mais subventionné à 52 %.

A ce titre, le maire de Moulins-sur-Ouanne rappelle le bénéfice des 700 000 euros de subsides qu’il a su obtenir auprès du ministère des sports sans trop de difficultés !

La constitution d’une SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) est destinée à la mise en exergue de la filière énergie bois. L’aménagement des zones d’activité (Toucy, Charny-Orée de Puisaye, Saint-Fargeau…) est en phase d’étude. L’idée de créer une entité supplémentaire aux abords de l’autoroute à Villefranche est dans l’air.

La refonte des bâtiments du CNIFOP à Saint-Amand-en-Puisaye dans lequel la Région mais aussi le Département de la Nièvre voire l’ADEME pourraient être des contributeurs financiers s’envisage très sérieusement.

Le volet sanitaire n’est pas omis de la discussion par le président-candidat. Bléneau, Courson-les-Carrières ou Toucy sont concernés par l’édification de maisons de santé ou d’extensions de leurs sites existants.

Reste le volet environnemental. C’est une priorité capitale dans la bouche de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI. La voie douce (ou voie verte) devant relier Moutiers-en-Puisaye à Briare et son fameux canal figure en pôle-position dans les tuyaux.

De même, il existe une réflexion autour du rail où se grefferait un partenariat entre différentes collectivités territoriales de la Nièvre, du Loiret et de l’Yonne.

Quant à la construction du nouveau siège intercommunal prévu à Saint-Fargeau, rien n’est encore fait. Le président de la CCPF possède différentes options dans son jeu pour trouver l’alternative la plus judicieuse à ce projet qui permettrait de regrouper sur un site unique l’ensemble des salariés de la collectivité, soit une centaine d’agents.

Seul tacle critique à l’endroit de son vice-président Jean-François BOISARD mais néanmoins adversaire pour le perchoir présidentiel de ce samedi 11 juillet à Saint-Fargeau : une petite allusion emplie de sous-entendus et décochée comme une flèche sur l’attitude de son rival qui a tout accepté des projets en cours en les votants de manière positive durant son mandat…

 


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Une simple formalité. Par le biais de vingt-neuf voix positives obtenues contre deux à la candidate d’Auxerre Ecologie La Ville Envie, Florence LOURY. Auxquels il faut ajouter deux bulletins nuls et six bulletins blancs. Ceux des futurs opposants au nouvel édile de la capitale de l’Yonne. Le vainqueur des municipales 2020 s’installe donc confortablement dans le fauteuil de maire pour six ans de mandature…

AUXERRE: La Tour de l’Horloge, symbole emblématique du cœur d’Auxerre, s’en trouve toujours ébranlée sur sa base. Le coup de foudre qui s’est abattu non loin de là sur l’édifice de l’hôtel de ville au soir du 28 juin en est encore si retentissant qu’il résonne dans de nombreux esprits.

Irradiant ceux des vainqueurs du jour d’une soif inextinguible de désirs et de projets à accomplir pour les mener au succès, plombant au plus profond de leur moral déjà en berne les perdants qui ne s’attendaient pas à une telle débâcle.

Et la cérémonie d’installation du nouveau conseil municipal délocalisée dans l’antre du parc des expositions d’Auxerre n’en aura été qu’un nouveau reflet. Car, il n’y eut pas le moindre suspense ni l’ombre d’un doute à se mettre sous la dent quant au résultat définitif de ce long feuilleton si insolite de municipales, décidément peu orthodoxes vues de la cité de Paul Bert.

Même le courageux et improbable soubresaut de Florence LOURY, l’autre moitié du tandem qu’elle formait avec l’écologiste Denis ROYCOURT, n’y aura rien changé au moment de choisir le futur maire de la ville : Crescent MARAULT a été élu en toute quiétude nouvel édile de la Ville recevant presque une bénédiction urbi et orbi de la part d’un nouveau conseil municipal majoritairement acquis à sa cause !

Seul fait notoire à observer dans ce tableau quasi idyllique pour la droite et le centre droit : l’absence du maire sortant, Guy FEREZ qui avait délégué ses pouvoirs au premier fédéral du Parti socialiste de l’Yonne, Mani CAMBEFORT.

Nonobstant, celui qui n’accepte pas la fatalité pour les petites villes moyennes notamment dans leur propension à se développer économiquement a tenu à apaiser son opposition sur sa non-pratique dans l’art et la manière de détricoter tout ce qui aurait réalisé auparavant.

D’ailleurs, le nouvel homme fort de la Ville aura eu des mots de sympathie et de respect à l’endroit de son prédécesseur qui aura dirigé la ville durant près de deux décennies.

 

 

Innovation et écologie alliées de la dynamisation d’Auxerre…

 

Crescent MARAULT l’avait maintes fois répété durant sa campagne : il ne sera pas le maire d’une ville qui deviendrait un musée. Revendiquant ses valeurs entrepreneuriales, ce jeune cinquantenaire qui est loin d’un néophyte en matière de prise de décision dans une collectivité (son mandat de Saint-Georges-sur-Baulche l’atteste) veut impulser une vraie dynamique à la ville et à son bassin via le développement économique et la création d’emplois.

Un programme sur lequel il injectera une bonne dose de modernisme et de technologies, le respect de l’environnement mais aussi la sécurité et de la cohésion sociale dans le cadre du bien-vivre ensemble…

Du haut de son nuage, son pygmalion et regretté ami, Jean-Pierre BOSQUET, trop tôt disparu  en novembre dernier, qui fut pour lui une grande source de réflexion et d’inspiration doit afficher un large sourire. Et être fier du parcours accompli…

 

 


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Projets novateurs, concepts créatifs : la dernière promotion de stagiaires ayant suivi le cycle pédagogique de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat dans l’Yonne ne manque pas de sel. Ni d’enthousiasme, assurément ! Durant près de deux mois, malgré les incidences sanitaires inhérentes au coronavirus, ces porteurs de projets ont acquis de solides bases de réflexion devant désormais les aider à se propulser dans la vie d’après. Celle de la réalité économique !

AUXERRE: Cela pourrait être le seul et unique stage de ce genre à avoir été dispensé par les services de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat cette année sur notre territoire. La faute à ce satané virus qui aura chamboulé beaucoup de choses dans les plannings organisationnels et les modalités présentielles.

Celles et ceux (le prétendant à ce cursus était seul et unique à revendiquer la masculinité lors de cette session) qui pouvaient y participer en ont profité allègrement. Pour approfondir leurs connaissances en matière de fiscalité, de marketing, de gestion, de finances, d’actualité juridique et de techniques de communication.

Bref, huit semaines ne furent pas de trop pour que cette petite frange de néo-entrepreneurs qui croient mordicus à leurs projets s’imprègne des recommandations et conseils délivrés par les formateurs émérites de la chambre consulaire.

Leur retour d’expérience durant cette immersion au plus près de l’entrepreneuriat fut excellent. Selon les commentaires avisés de la responsable d’unité administrative icaunaise, Nathalie CHEVANCE.

 

 

 

 

Rappelant que plus de 380 candidats avaient déjà suivi ces parcours formatifs en Bourgogne Franche-Comté depuis leur mise en place, la porte-parole de la chambre consulaire salua la qualité des projets dévoilés lors de cette promotion.

« Grâce à cette formation, vous avez pu bénéficier d’un vrai tremplin pour vous projeter vers l’avant ! ».

Les futurs chefs d’entreprise qu’ils soient naturopathe, couturière, créateur de bijoux, infographiste ou évoluant dans la restauration disposent de toute la latitude nécessaire pour transformer leurs rêves en réalité…

 

 

 

 


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La mairie de Sens a annoncé, ce lundi 6 juillet, la construction d’une maison de santé pluridisciplinaire dans le quartier des Champs-Plaisants. Vingt-et-un praticiens au total seront en mesure d’accueillir la population sénonaise au printemps 2022.

SENS : La lutte contre la pénurie de médecins continue. Le contexte particulier de désertification médicale que subit le territoire depuis une dizaine d’années, l’augmentation de maladies chroniques ainsi que le vieillissement de la population ont amené les acteurs de la santé à mettre en place diverses solutions pour maintenir l’accès aux soins.

Entre 2007 et 2016, le département de l’Yonne enregistrait une baisse du nombre de médecins généralistes de 21 %.

Considérée comme zone prioritaire depuis 2017, la ville de Sens s’attachait à trouver des solutions adaptées, notamment en collaborant davantage avec les grands hôpitaux parisiens. La présence d’omnipraticiens ou médecins généralistes de 60 ans et l’ouverture du centre de santé CTLM, rue Victor Guichard, garantissent encore une offre acceptable.

Mais le prévisionnel est pessimiste. L’âge moyen de départ en retraite étant de 64 ans, l’arrivée de nouveaux professionnels de santé sera indispensable dans les cinq prochaines années.

 

Un projet sanitaire fédérateur

 

Le docteur Luc BURSKI et le docteur Oana COBZARU, tous deux médecins généralistes, ainsi que le pharmacien Magid AHAKOUN ont présenté à la mairie de Sens leur projet de maison de santé pluridisciplinaire, en préparation depuis déjà deux ans.

Après un échec de partenariat avec SOS Médecins en 2018 et l’avortement d’une première proposition de centre médical, la municipalité de Sens réitère, avec conviction, son engagement auprès de la population en prenant une part active dans cette entreprise naissante.

Par ailleurs, Marie-Louise FORT, édile de Sens, a précisé se réjouir de l’existence d’autres projets privés dont l’espace Simone Veil, centre de santé fondé par Jean-Luc DINET, président de SOS Médecins, et son équipe, et installé à Saint-Clément depuis un an.

« L’union fait la force » a-t-elle ajouté. Les élus doivent, quant à eux, se concentrer sur l’aménagement du territoire.

La construction de cette maison de santé, dont le coût est estimé à 1,5 millions d’euros (hors taxes), a été mise à l’étude. Le bâtiment devrait sortir de terre en avril 2022 aux abords du quartier des Champs-Plaisants, en lieu et place d’un parking de 1 600 mètres carré.

 

 

 

La vente du terrain, d’une valeur de 90 000 euros et propriété de la Ville, fera l’objet d’une délibération lors du prochain Conseil d’administration le 09 juillet.

Le choix de l’emplacement est stratégique vue sa proximité avec le Centre hospitalier de Sens.

Mais il s’agit de « bien plus qu’un projet immobilier » souligne Eve ROBERT, déléguée départementale de l’ARS Bourgogne-Franche-Comté.

« C’est avant tout une capacité de fédérer des professionnels de différentes spécialités, de différentes professions ».

De plus, situé au sein d’un quartier prioritaire, cette structure permettra de pallier les inégalités sociales et d’accès aux soins ainsi que d’élargir l’offre de soins à l’ensemble de l’agglomération du Grand Sénonais.

 

 

La maison de santé, un modèle sécurisant pour les jeunes médecins

 

Aujourd’hui, 75 % des internes souhaitent s’installer en libéral (contre 19 % préférant une activité salariée). C’est ce que révèle une étude du Conseil national de l’Ordre des médecins chargée de mettre en lumière les besoins, les attentes et les craintes des jeunes et futurs médecins en interrogeant plus de 15 300 professionnels.

Or, seuls 12 % des nouveaux inscrits à l’Ordre des médecins en 2018 exercent en libéral (contre 62 % qui sont devenus salariés).

Ce décalage s’explique, entre autres, par un attrait des nouvelles générations pour le travail en réseau avec d’autres professionnels de santé. C’est pourquoi les jeunes médecins s’orientent naturellement vers des structures telles que les maisons de santé pluridisciplinaires.

Ce modèle se veut plutôt rassurant, surtout en termes d’installation, car il garantit à la fois un accompagnement des jeunes praticiens et le statut libéral de leur profession.

Floriane BOIVIN

 

 


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Dix stagiaires de l’école de la Seconde Chance de CHEVIGNY en Côte d’Or ont parcouru six kilomètres autour du lac Kir ce samedi. Un effort physique qui a été réalisé en binôme avec un salarié du groupe EDF. Objectif de cette course solidaire et citoyenne : financer le projet de construction d’un puits au Sénégal…

DIJON (Côte d’Or) : L’heure est à l’altruisme. Surtout avec l’Afrique dans le contexte sanitaire actuel. Même si par bonheur la pandémie imputable au coronavirus n’a pas provoqué de crise majeure sur le continent noir.

Ce week-end, l’école de la Seconde Chance de Chevigny s’est engagée dans une démarche insolite avec le soutien de l’un de ses indéfectibles partenaires, le groupe EDF, via sa fondation.

Une dizaine d’élèves ont participé à une course solidaire et généreuse en faveur d’une action louable : le projet de construction d’un puits au Sénégal. Ils ne furent pas les seuls à relever ce défi autour du fameux lac Kir puisque des salariés du producteur d’énergie s’invitaient dans cette épreuve forte en symbole.

Il est vrai que la Fondation EDF agit de longue date en faveur du mécénat à l’international. Elle accorde beaucoup d’intérêt aux actions menées par l’ONG Vision du Monde, notamment en Afrique.

A l’échelle de l’Hexagone, une vingtaine d’écoles se sont inscrites pour prendre part à cette opération, soit près de quatre cents stagiaires qui ont ainsi contribué à amener de l’eau dans le village sénégalais de Mabo.

Une formidable aventure humaine pour les jeunes en insertion. Quant au nombre de kilomètres, six, il n’est pas le fruit du hasard. Il correspond à la moyenne de kilomètres effectués au quotidien par les femmes et enfants du Sénégal pour aller chercher de l’eau nécessaire à leur hydratation.

Délégué régional du groupe EDF Bourgogne Franche-Comté, Yves CHEVILLON qui a accueilli les participants aux abords du lac dijonnais rappela lors de sa prise de parole que « les mesures de protection étaient inapplicables pour des centaines de millions de personnes dans le monde du fait que l’eau potable n’était pas à disposition ».

D’où cet acte symbolique qui doit nous permette de prendre conscience sur une problématique rendue encore plus aigüe dans le contexte actuel.

 


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