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Pas content, Vincent MARTIN ! Le président de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté s’offusque contre une décision prise par le gouvernement de revoir sa position sur les engagements liés au gazole non routier (GNR). Une indignation qui a fait l’objet d’un communiqué de presse où le porte-étendard des TP exige de l’Etat qu’il revoit sa copie de toute urgence…

 

DIJON (Côte d’Or) : Tout semblait être revenu dans le meilleur des mondes après des mois d’âpres négociations entre les professionnels des travaux publics et le gouvernement à la suite de l’annonce du maintien du gazole non routier (GNR), fixé jusqu’au 01er janvier 2023. Censé disparaître initialement le 01er juillet, les pouvoirs publics en avaient fait la promesse. Ce qui devait rassurer les acteurs de la filière ainsi que ceux du bâtiment.

A l’époque, soit le 25 mai dernier, cette décision correspondait à une réelle victoire pour cette branche de l’économie. Satisfaite, la FRTP, à l’instar de la puissance fédération nationale, expliquait alors que « ce maintien du gazole non routier jusqu’au 01er janvier 2023 était le bienvenu d’autant que la hausse des prix des matériaux et matières premières (un casse-tête de plus pour la filière) ne cessait de perturber les entreprises de la filière ».

Côté chiffres, le retrait du GNR pour les sociétés des travaux publics s’estimait à près de 700 millions d’euros en termes d’impact.

 

 

Oui, mais voilà, le soulagement n’aura été que de courte durée. Un amendement de la majorité parlementaire, adopté le 11 juin, avec le soutien du gouvernement, a jeté le trouble dans les esprits contrariés des professionnels. Le texte a brutalement réduit de six mois le report obtenu par la corporation après de longs mois de discussion, malgré le contexte de crise économique sans précédent.

Les entreprises de la filière se sont engagées depuis plusieurs années en faveur de la transition énergétique. Bien que l’offre d’engins « écologiques » n’est guère disponible sur le marché, parce qu’inexistante ou presque !

Quant au surcoût engendré par la suppression de cette fiscalité, il sera répercuté sur les travaux réalisés en grevant, en toute logique, les budgets de l’investissement local.

Déçu par la volte-face inattendue du gouvernement, le président de la FRTP, Vincent MARTIN, demande que les représentants de l’Etat reviennent sur leurs décisions de toute urgence et qu’ils respectent leur engagement initial.

 

Thierry BRET

 

 


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A ce jour, il ne manque que deux cents signatures. L’objectif de la pétition, mise en ligne sur « Change.org », est d’atteindre à minima la barre des mille cinq cents paraphes. Un chiffre symbolique, selon la plateforme, pour que les médias daignent s’emparer largement de l’affaire en la relayant le plus possible dans leurs colonnes. Un ultime recours, pour que les salariés de MBF Aluminium (Jura) puissent sauver leurs têtes après la liquidation judiciaire de leur entreprise ?

 

SAINT-CLAUDE (Jura) : Triste nouvelle qui s’est abattue sur les épaules des 270 salariés de la fonderie jurassienne, ce mardi 22 juin. Le tribunal de commerce de Dijon a rendu son verdict sur un dossier dont la décision semblait irrévocable : la liquidation de MBF Aluminium, fleuron de la sphère industrielle de la contrée franc-comtoise dans les grandes années.

Un constat jugé « inacceptable » pour celles et ceux qui y travaillent. Parfois en famille. L’information ne pouvait pas plus mal tomber, au plan calendaire, juste dans l’entre-deux tours des échéances régionales où l’emploi et le développement économique tiennent pourtant le haut du pavé des arguments politiques de la plupart des candidats.

Depuis mardi, une pétition de soutien a été mise en ligne. L’initiative émane des salariés de l’entreprise mais aussi de la population de Saint-Claude qui voit d’un très mauvais œil la possible fermeture de ce site industriel. Une catastrophe aux retombées économiques multiples et certaines pour la localité et son bassin qui n’ont pas besoin de cela.

 

Dépasser la barre des 1 500 signataires pour médiatiser le plus possible…

 

Dans les faits, en l’espace de quelques heures, le compteur de signatures de la plateforme « Change.org » qui accueille ladite pétition s’est emballé. A date, 1 294 personnes ont déjà apposé leurs griffes dans le rectangle spécifique à cette consultation de soutien populaire à la préservation d’une entreprise.

Il en faudrait deux cents de mieux, selon les spécialistes de l’intermédiaire numérique, afin de dépasser la barre des 1 500 signataires pour que les relais vers la presse régionale et nationale se fassent naturellement. Histoire de médiatiser sans relâche ce dossier dont bon nombre de représentants de la presse se sont déjà fait l’écho, y compris au niveau de l’Hexagone.

L’inadmissible de la décision tient en quelques arguments dans cette épineuse affaire. D’une part, parce que le pays ne peut se passer d’une industrie aussi stratégique que peut l’être la fonderie. A l’heure où bon nombre de politiques parlent de réindustrialiser la France après les pénuries flagrantes liées à l’absence manufacturière durant la pandémie de la COVID. Sans omettre notre dépendance à la production industrielle asiatique.

 

 

D’autre part, parce qu’un projet de reprise, soutenu par la Région, a bel et bien été proposé pour sortir de ce marasme pesant sur les 270 salariés que compte la structure, très inquiets pour leur avenir.   

Enfin, parce que des transferts suspects de fonds auraient eu lieu vers une holding britannique malgré une alerte faite auprès des services de l’Etat. Celle-ci est demeurée sans suite quant aux réactions.

 

 

Exiger la suspension immédiate du processus liquidateur…

 

Dès lors, les instigateurs de cette pétition digitalisée exigent la suspension sine die de ce processus liquidateur. La décision de justice peut être prise soit par le président de la Cour d’appel. Soit par le procureur de la République. Au nom de la responsabilité gouvernementale.

Parmi les explicatifs, ceux-ci ne manquent pas d’interpeller : « Le gouvernement a accordé plusieurs milliards d’euros à RENAULT tout en étant actionnaire de la société à 15 % pour l’empêcher de délocaliser sa production et ses approvisionnements. Or, cet argent pourrait servir à l’emploi et à la consolidation de la filière automobile en proie à de sérieuses difficultés en France… ».

Enfin, il est précisé que « les millions d’euros nécessaires pour relancer MBF Aluminium doivent être fournis par la Banque Publique d’Investissement (BPI) et du crédit bancaire pour consolider la proposition de reprise avancée par la Région ».

Apparue au sortir du second conflit mondial, MBF Aluminium, véritable institution industrielle dans le Jura, conçoit des carters de moteurs et pièces de boîte de vitesse pour le secteur automobile. La PME avait été placée en redressement judiciaire en novembre 2020, ne pouvant rembourser ses dettes. Le tribunal de commerce de Dijon a statué en refusant l’offre de reprise proposée par un entrepreneur français. Les premiers licenciements seront prononcés d’ici deux à trois semaines. Les salariés ont la ferme intention de déposer leur recours pour faire appel de la décision de liquidation de leur entreprise avant le 04 juillet. Ils s’en remettent, en attendant, au soutien populaire par le prisme de cette pétition…seule arme disponible pour faire entendre leurs voix.

 

Thierry BRET

 


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C’est une question d’équilibre entre partenaires. En filigrane, le maître mot, justifiant la signature de cet accord de coopération entre Paris et le territoire de l’Yonne. Une convention faite de réciprocité, de partage de valeurs qui augure de réelles perspectives à moyen terme pour ses signataires. Ainsi que les filières qu’ils représentent. L’agriculture, fournisseur de denrées alimentaires, et le tourisme dont il sera louable de consolider la promotion dans la capitale…

 

JOIGNY : Ce n’est pas tous les jours qu’un accord de partenariat valide le rapprochement entre la capitale de l’Hexagone et les organismes institutionnels qui défendent les intérêts économiques de l’Yonne.

Ce n’est pas tous les jours, non plus, que l’édile de Paris se déplace sur notre territoire, au demeurant si peu éloigné de la première métropole hexagonale. Surtout, pour y parler développement de projets et d’économie.

Autant dire que la visite de Madame le maire de Paris, Anne HIDALGO, revêtait d’un caractère très particulier à la limite de l’évènementiel. Il suffisait pour s’en convaincre d’observer l’aéropage d’élus et de personnalités présents dans le salon d’honneur de l’hôtel de ville de JOIGNY. Au premier rang desquelles siégeait l’ancien président du Conseil départemental et ministre de la Coopération, Henri de RAINCOURT. Un élu aux appétences LR.

Conviée par Nicolas SORET, maire mais aussi président du PETR Nord-Yonne (Pôle d’Equilibre Territorial et Rural) et de la Communauté de communes du JOVINIEN, Anne HIDALGO ne s’était jamais rendue de manière officielle dans le centre de l’Yonne. L’opportunité lui en a été donnée ce 24 juin. Elle y a paraphé l’important document qui lie désormais la ville monde que représente la capitale à notre territoire.

 

 

Des lentilles vertes à la conquête des cantines parisiennes…

 

De quoi s’agit-il précisément avec la présence de cette liasse de papiers ? De renforcer tout bonnement les relations économiques entre les deux instigateurs de ce partenariat.

La Ville de Paris, via la compagnie « Eaux de Paris », est propriétaire de champs favorisant la captation de l’eau dans l’Yonne, et ce, depuis longtemps. Ne dit-on pas, volontiers, que quatre Parisiens sur dix boivent de l’eau en provenance de notre département ?

L’Yonne possède des vertus nourricières envers la métropole voisine et ses 2,2 millions d’habitants. Grenier fruitier et légumier séculaire de la capitale, le territoire du nord de la Bourgogne a toujours entretenu des relations privilégiées avec sa puissante voisine. Le bois, les céréales, le vin, le lait transitent immuables vers Paris au gré de la rivière et de ses bateaux lourdement chargés. Celle qui coule jusqu’à Montereau, avant de se muer en un fleuve, la Seine.

Effet gigogne en guise de bon procédé : bon nombre de structures industrielles quittent la capitale pour s’installer dans cette partie de la province dans les années 1950 sous l’impulsion de Charles de GAULLE. C’est donc à une vieille histoire d’amour perdurant entre Paris et la terre icaunaise que nous avons à faire avant que celle-ci ne s’altère au début des années 1980.

Entraînant une trop longue période d’oubli.

 

 

 

Mais, le Conseil de Paris a une autre idée en tête. Elle prend corps, en partie, grâce à la maturation du temps. Premier aspect : l’Yonne et la capitale expérimentent l’installation d’agriculteurs bio. Ils produisent des lentilles vertes de très belle facture sur les terrains que possède la métropole lui servant de zone de captation de l’eau. L’expérience enregistre d’excellents résultats. Une fois récoltées, ces lentilles sont ensuite servies directement dans les cantines du XIème arrondissement, sans un quelconque intermédiaire.

Les professionnels de la filière, ceux de la Terre d’Othe, se frottent les mains. Non seulement, leurs produits nourrissent les jeunes têtes blondes scolarisées de la capitale, mais l’initiative, encourageante, augmente la rémunération des producteurs. Un constat positif, à l’origine de l’accord de coopération entériné ce jeudi 24 juin.

 

 

Agriculture et tourisme : les secteurs avantagés par ce contrat commercial gagnant/gagnant…

 

Il y a douze mois, le Conseil de Paris vote à l’unanimité la ratification de cet accord. Il en est de même chez ses deux partenaires icaunais, lors d’assemblées délibératives, le PETR Nord-Yonne, instance présidée par Nicolas SORET, et le PETR du Grand Auxerrois, dont le premier vice-président n’est autre qu’Etienne BOILEAU, signataire ce jeudi.  

Toutefois, un bénéficiaire de cette convention hautement stratégique suit avec moult  intérêts l’évolution du dossier. La Chambre d’Agriculture de l’Yonne qui en a étroitement défini les fondements.

L’organe consulaire, présidé par Arnaud DELESTRE, aurait eu tort de se priver de ces tractations dont il est profitable. L’accord offre, en effet, une immense opportunité pour les producteurs de l’Yonne d’ouvrir grandes les portes du juteux marché parisien. Avec en sus, une garantie de volumes et de prix sur plusieurs années !

 

 

 

Le contenu de ce premier rapprochement qui en appelle peut-être d’autres à terme s’articule autour de trois axes principaux : primo, la fourniture de denrées alimentaires à la ville de Paris ; secundo, la fourniture de matériaux issus de produits renouvelables destinés à la rénovation des logements parisiens ; tertio, l’aide que va apporter les structures ad hoc de la capitale à la promotion des richesses patrimoniales et touristiques de l’Yonne.

En résumé, l’agriculture et le tourisme devraient être les secteurs économiques largement avantagés par ce contrat gagnant/gagnant qui ne demande qu’à se développer très vite.

Une cerise vient aussi se rajouter sur ce gâteau aux subtilités déjà succulentes : la visibilité offerte aux producteurs. Ceux-ci pourraient toujours réinvestir dans des outils de transformation qui leur permettraient de créer de la valeur ajoutée dans notre département.

Un vœu, cher à Nicolas SORET, qui se satisfait pleinement d’engager un travail concret avec le monde agricole…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une simple signature sur un morceau de papier peut-elle changer le cours d’une relation économique ? Si l’on en croit tous les interlocuteurs qui se sont exprimés en ce milieu d’après-midi à Joigny, la réponse est affirmative ! Désormais, la coopération entre la capitale de l’Hexagone et le territoire de l’Yonne devrait s’optimiser et connaître des jours meilleurs…    

 

JOIGNY : Tout sourire, l’édile de Paris Anne HIDALGO appose sa griffe au bas des documents soigneusement rangés dans le parapheur posé devant elle. Son plus proche voisin de table, le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et maire de Joigny, Nicolas SORET, en fait de même. Un sourire à l’identique sur le visage…

Le ticket politique médiatique de ce jeudi 24 juin sera accompagné dans la démarche par le troisième signataire de cet accord aux réelles perspectives économiques pour la filière agricole, entre autres, soit le premier vice-président du PETR du Grand Auxerrois Etienne BOILEAU.

 

 

La convention de coopération actée entre la capitale de l’Hexagone et l’un des acteurs politiques du département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté augure de réelles opportunités à terme puisqu’il prévoit la fourniture de denrées alimentaires et de matériau bio-ressourcés à la ville de Paris ainsi qu’une promotion à la découverte touristique de l’Yonne.

Un partenariat dont nous dévoilerons les enjeux et les impacts dans un article à paraître ce vendredi…

 

Thierry BRET

 

 


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Le partenariat établi entre la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et la Caisse des Dépôts, via la Banque des Territoires, octroie un financement d’un milliard d’euros aux collectivités. L’objectif est d’améliorer l’accès de ces dernières à des investissements de petite taille afin de renforcer leurs actions climatiques.

 

DIJON (Côte d’Or) : La Banque Européenne d’Investissement créée par le Traité de Rome, a été fondée en 1958. L’organisme a pour mission de contribuer à l’intégration, tant au niveau du développement qu’au niveau de la cohésion économique sociale, des 27 états membres de l’Union Européenne.

Créée en 2018, la Banque des Territoires est un des cinq métiers de la Caisse des Dépôts. Celle-ci propose des solutions de conseil et de financements à la fois en prêts et en investissement. Le but est de répondre aux besoins des collectivités locales, des organismes de logement social, des entreprises publiques locales et des professions juridiques.

La Banque Européenne d’Investissement et la Caisse des Dépôts avaient déjà effectué un partenariat similaire en juin 2013 pour relancer les projets d’investissements durables sur les territoires. A l’époque, 1,8 milliard d’euros de financement au secteur public avait été signé par le prisme de deux enveloppes en 2015 et 2019.

 

 

Une nouvelle signature d’un milliard d’euros…

 

Le renouvellement du partenariat entre ces deux établissements se traduit par la mise en place d’un financement d’un milliard d’euros. C’est par le biais de la direction des prêts de la Banque des Territoires, faisant parti de la Caisse des Dépôts, que les prêts à taux fixes peuvent continuer d’être accorder au secteur public en complément de l’offre traditionnelle.

Cette ressource permettra d’améliorer l’accès à long terme pour les investissements de petite taille. Ces derniers sont notamment mis en place pour l’efficacité énergétique des bâtiments, les réseaux d’eau et d’assainissement ainsi que les mobilités douces et les transports publics propres.

Une première tranche de 500 millions d’euros a été signée en fin d’année 2020 puis une seconde sera paraphée au cours de l’année 2021.

48 % des dix milliards d’euros de financements investis par la Banque Européenne d’Investissement en 2020 ont été distribués à des projets pour lutter contre le changement climatique ou atténuer les effets de ce dernier.

Via cette ligne supplémentaire, les financements européens seront plus accessibles vis-à-vis des projets de moins de 25 millions d’euros portés par les collectivités.

Cette nouvelle ligne de financement s’inscrit dans la continuité de l’action commune mise en place en 2013.

Le vice-président de la Banque Européenne d’Investissement (BEI), Ambroise FAYOLLE a déclaré que « ce financement est parfaitement illustratif de la volonté de la BEI, banque européenne du climat, de favoriser les projets verts et de contribuer à faire de l’Union européenne la première économie neutre en gaz à effet de serre d’ici 2050… ».

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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