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Premier vice-président du Conseil départemental de l’Yonne, l’édile d’Yrouerre se dit très préoccupé par le contexte actuel du Tonnerrois. Surtout après le nouveau coup du sort qui semble s’acharner sur cette contrée. « Si l’on perdait définitivement la filière pédagogique des sciences de l’ingénieur, prophétise-t-il, ce serait une fois de plus un sale coup porté à ce secteur géographique qui ne le mérite pas... ». Une zone sectorielle qui n’est plus bénie des dieux depuis longtemps…

TONNERRE : Trente ans d’indicibles souffrances. Trois décades d’une lente et immuable agonie dont les habitants paient encore les pots cassés aujourd’hui. De cela, Maurice PIANON, premier vice-président du Département de l’Yonne et maire de la petite commune d’Yrouerre, ne veut plus entendre parler.

« Ce bassin de vie a déjà vécu l’ère de la désindustrialisation à outrance en y perdant ses entreprises (une quinzaine d’entre elles et non des moindres sont parties ou ont été liquidées), ses salariés (plus de 1 500 personnes exerçaient leur savoir dans ce bassin industrialisé et ont été les victimes collatérales de ce naufrage économique sans précédent) et son âme, explique désabusé l’élu icaunais, quant aux compétences locales, elles ont été totalement déstructurées… ».

Amer, Maurice PIANON n’a toujours pas digéré l’annonce surprenante faite par le rectorat de l’Académie de Dijon de supprimer l’une des filières essentielles au cursus pédagogique enseigné au lycée Chevalier d’Eon. Celui des sciences de l’ingénieur, qui englobe les connaissances techniques et scientifiques.

« Et que dire du rôle et du poids de l’Etat sur ce secteur ?, s’interroge l’élu du Conseil départemental, le désengagement du pouvoir étatique s’est effectué progressivement avec le départ des services de proximité, y compris dans le domaine de la santé… ».

Maurice PIANON ne manque pas d’égratigner au passage la qualité de l’offre médicale (« disparue » à ses yeux). Alors que la démographie médicale est loin de le satisfaire en l’état actuel des choses.

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Un dernier bastion doit tomber : celui de la formation et de l’éducation…

L’ultime rempart dans lequel les contribuables les plus mal lotis pouvaient encore espérer et avoir la foi, celui de la formation et de l’éducation, semble vaciller sur ses bases. La faute à l’Etat, selon le premier vice-président du Conseil départemental, qui se dit désarçonné par tant d’initiatives malvenues prises envers celles et ceux qui ne possèdent pas un avenir tracé à l’avance.

« Est-ce que nous autres, les élus du Département, avons été réellement entendus depuis toutes ces années ? Est-ce que nous nous sommes intéressés à ces femmes et à ces hommes sans réel avenir ? ».

Pourtant, le Tonnerrois a connu ses heures d’espérance grâce à plusieurs projets de réindustrialisation, sortis tout droit de certains cartons.

« Las, cela n’a pas abouti aux effets escomptés, concède avec tristesse Maurice PIANON, tout cela n’était que du pipeau supplémentaire qui s’est soldé par de nouveaux échecs au plan économique… ».

Observant que ce démantèlement successif de ces clés de voûte économiques aura conduit à fragiliser davantage le tissu artisanal et commerçant de ce bassin local, l’élu n’accepte plus que des décisions soient prises à l’emporte-pièce. Sans la connaissance approfondie du territoire et la concertation auprès des élus.

« Le Tonnerrois demeure encore l’un des territoires oubliés de la Bourgogne Franche-Comté. Or, c’est un enjeu de survie qui nous anime tous lorsque l’on s’attaque à cette zone qui était naguère prospère. Toucher à ce territoire, au niveau des connaissances éducatives à prodiguer, c’est signer son arrêt de mort ! ».

Un vibrant hommage aux enseignants

Néanmoins, et malgré cet environnement délétère, Maurice PIANON salue le travail fourni par les équipes enseignantes. « Supprimer l’une de ses filières éducatives, c’est aussi les laisser pour compte, voire les mépriser, assène-t-il sans ambages, si on autorise cela, c’est envoyer un très mauvais signal aux pédagogues de l’Education nationale. Moi, je n’ai pas envie de les décourager malgré le travail accompli… ».

L’élu du Tonnerrois ne pouvait conclure cet entretien sans se désoler de la situation actuelle vécue, en parallèle, au plan du développement du numérique. Un autre paramètre qui paralyse l’activité de bon nombre d’entreprises dans l’Yonne…


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Spécialiste de la gestion des risques et efficience industrielle, ingénieur conseil, Denis MOUGEOLLE est également expert en génie climatique et thermique énergie renouvelable. Dans cette tribune, l’auteur s’intéresse à la démarche de l’intelligence économique en entreprise, démarche structurée et légaliste.

TRIBUNE : Prenons l’exemple des difficultés d’un grand groupe français de l’agroalimentaire, liées à une problématique de contamination à la salmonelle. Elles se traduisent inévitablement par des pertes financières, une atteinte à l’image, etc. Pertes assurées ou non. C’est l’effet négatif de l’événement. Cette éventualité, pour la survie de l’entreprise, aurait nécessité en amont une organisation pour éviter le risque, à défaut en réduire les conséquences.  Cependant, pour ses concurrents, l’événement se traduit potentiellement, sans aucun effort commercial supplémentaire, par une croissance du chiffre d’affaires. C’est l’effet positif du risque réalisé.

Toutefois, cette croissance potentielle instantanée n’a rien de magique. Encore faut-il avoir été en veille sur la thématique, avoir anticipé la situation pour être en mesure de faire face, avant les autres compétiteurs, à une augmentation d’activité spontanée à deux chiffres dans des temps très courts.

Et là la démarche d’IE (Intelligence Economique) ne se limite pas à profiter d’une aubaine. Mais bien, à satisfaire ponctuellement cette demande. Peut-être au-delà de ses propres standards, malgré l’urgence, de façon à transformer ce nouveau client d’opportunité en un client récurrent. Il y a dans cet environnement la réactivité, mais aussi l’adaptabilité, l’agilité et la flexibilité de l’organisation qui sont sollicitées. Cela se prépare. Tout comme un pompier ne réfléchit pas aux moyens requis pour intervenir lorsque l’incendie se déclare, ce serait évidemment trop tard.

L’essence de l’IE réside en partie dans ces notions…

Un autre exemple, tout autant d’actualité, et sans entrer trop dans les détails techniques, concerne la réduction, voire l’interdiction, d’utilisation de certains gaz à effet de serre à l’horizon 2020, puis 2030, dans les applications de froid industriel et commercial. Cette démarche est connue sous les appellations internationales de « phase down » et de « phase out ».

Ces obligations, devenues réglementaires, induisent plusieurs effets, dont le changement de nature des risques. Les gaz ayant un impact réduit sur l’évolution du climat (indice GWP en anglais ou PRP en français) sont, pour les installations de faible à moyenne puissance, faiblement, voire facilement inflammables. Ainsi, une bataille normative intense émerge sur la qualification de ceux-ci quant à leur autorisation d’utilisation, et fonction de quantités limites à définir.

De même, l’impact effet de serre présente deux dimensions : une sur les qualités physico-chimiques selon cet indice GWP (en gros 30 % de l’effet), et une sur l’efficacité énergétique dudit gaz traduisant pour un effet frigorifique ou calorifique donné, la consommation énergétique (70 % de la contribution à l’effet de serre du gaz). De façon évidente, selon la maîtrise technique des uns et des autres (constructeurs des équipements et producteurs de ces nouveaux gaz), il est souhaitable d’adopter tel ou tel gaz de substitution plutôt que tel autre. L’enjeu est tel que chaque acteur a intérêt à agir auprès des comités de normalisation pour favoriser une solution plutôt qu’une autre.

Les PME/PMI se plaignent souvent des normes abondantes et contraignantes. Il faut savoir que toute entreprise peut volontairement participer à tel ou tel comité de normalisation, pour éditer une nouvelle norme ou réviser des normes anciennes. Les frais de déplacement et éventuellement de logement peuvent être pris en charge sous conditions. Ce pouvoir d’influence est rarement utilisé par de telles structures (évidemment une considération coût/bénéfice de la démarche peut justifier cette situation). Ceci est le second aspect de cette discipline.

Enfin, traditionnellement, la démarche de présentation de cette discipline est axée sur les pertes que peut subir une entreprise, focalisée sur les risques immatériels émergents ou nouveaux risques « à la mode » pour sensibiliser les chefs d’entreprises sur l’importance de la discipline. Notamment, l’assimilation est quasi permanente entre cyberattaque et Intelligence Economique.

Même si cette considération est essentielle à la survie de l’entreprise, et qu’elle peut présenter un intérêt pédagogique, sous l’hypothèse que contrainte et peur égal pédagogie, cette vision reste clairement réductrice. Cependant il s’agit là de la troisième dimension de l’Intelligence Economique.

Pour résumer, la démarche présente trois volets que sont IE Défensive (éviter les atteintes telles que les cyberattaques), IE Offensive (profiter des opportunités) et IE d’Influence, encore appelée lobbying, comme l’exemple ci avant relatif aux gaz à effet de serre.

La démarche vise donc à maitriser les risques immatériels. Quels sont-ils ? Les principaux risques immatériels que l’on peut citer sont par nature :

  • Image
  • Financier et économique
  • Relation clients, relation fournisseurs et plus largement relations avec les parties prenantes
  • Autorisation administrative (d’exploiter dans le cadre ICPE, relative aux obligations ERP, réglementation alimentaire, etc.).
  • Savoir-faire (organisation, procédés, compétences, etc.)
  • Propriété intellectuelle et industrielle (brevet, R&D, marque, logo, …)
  • Système d’information d’entreprise (progiciel de gestion, applicatifs métiers, …).

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Appréhender la notion de risque…

Mais de quoi parle-t-on quand on évoque le risque ? Il s’agit d’appréhender le risque au sens ISO 31000 « effet positif ou négatif de l’incertitude sur l’atteinte des objectifs ». Le premier exemple cité au début de cet article reflète bien la double approche du risque, qui est une construction intellectuelle (il n’existe pas d’étalon au LNE permettant de mesurer un risque) et affaire de point de vue. Une vision plus populaire de la question du risque est traduite par l’adage : « le malheur des uns fait le bonheur des autres ».

Les objectifs premiers de la discipline sont

  • Sécurité économique
  • Développement stratégique
  • Pouvoir d’influence

Les trois principales définitions successives de l’IE, au gré des événements en France et à travers le monde, sont les suivantes :

  • « Ensemble des actions coordonnées de recherche, de traitement et de distribution, en vue de son exploitation, de l’information utile aux acteurs économiques » selon le Rapport MARTRE de 1994, acte fondateur de l’IE en France.
  • « Politique publique d’identification des secteurs et des technologies stratégiques, d’organisation de la convergence des intérêts entre la sphère publique et la sphère privée dont le contenu vise la sécurité économique» selon le Rapport CARAYON  de 2003.
  • « Recherche et interprétation systématique de l’information accessibleà tous afin de décrypter les intentions des acteurs et de connaitre leurs capacités » selon Christian HARBULOT, ancien membre de la Commission MARTRE et fondateur de l’Ecole de Guerre Economique en 1997.

Je compléterais, à titre explicatif, ces définitions par « pratiquer l’Intelligence Economique, c’est percevoir de façon anticipative son environnement pertinent pour évoluer en bonne intelligence fonction des contraintes, menaces et opportunités qui y naissent, se développent et disparaissent ».

La plupart des entreprises pratiquent l’IE, bien que cette pratique ne rende pas nécessairement plus intelligent (le vocable officiel est certainement un frein au développement de la discipline en France, le mot Intelligence ayant des acceptions différentes en français et en anglais).

La démarche IE repose en grande partie sur la captation, l’analyse et le traitement de l’information permettant de décider « vite et bien ». Pour être pertinente et efficiente, elle suppose méthode. L’essentiel de cet aspect réside dans la capacité à transformer de l’information en renseignement utile (via la méthode dite du « cycle de l’information »), à capitaliser le résultat au travers d’une démarche de gestion des connaissances (knowledge management). Ces méthodes relèvent d’une approche d’amélioration continue couplant stratégie, risque et ensemble des veilles susceptibles d’être développées comme pièces de ce puzzle.

Pour conclure, je dirais que la démarche d’IE en entreprise est une démarche structurée et légaliste. Elle nécessite de réfléchir comme un escroc si l’on veut appréhender correctement le volet défensif de celle-ci.

Quelques dates repères (non exhaustif) sur l’IE en France…

  • 1967: WILENSKY développe la théorie selon laquelle le recueil, l’interprétation et la valorisation de l’information est indispensable à la poursuite des buts stratégiques.
  • 1986 : Michael PORTER créé le concept à la source de l’IE intitulé « Competitive Intelligence » qui fait suite à ses théories précédentes de « Competitive Stratégy ».
  • 1992 : Création d’une agence gouvernementale ADIT en charge de l’information économique.
  • 1994 : Suite aux déboires Thomson / Airbus, création d’une commission sur l’Intelligence Economique « Rapport MARTRE ».
  • 1997 : Christian HARBULOT crée « l’Ecole de Guerre Economique ».
  • 2003 : Suite nouveaux événements concernant GEMPLUS, nouvelle mission confiée par le Premier Ministre JP RAFFARIN et rapport CARAYON N°1,
  • 2006: mission confiée par le Premier Ministre D De VILLEPIN et rapport CARAYON N°2.
  • 2010: Définition d’un référentiel de formation à l’IE dans l’enseignement supérieur (sensibilisation en License, formation en Master et école d’Ingénieurs et de Management), suite à l’audition de spécialistes de la question, comme le préfet PAUTRAT.

Denis MOUGEOLLE


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La Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) a d’ores et déjà confirmé par la voix de son président départemental, Jean-Pierre RICHARD, sa présence aux futures réunions consultatives. Voulues par la présidence de la République, elles ont été explicitées par la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, lors de sa visite aux artisans et commerçants à Sens.  

SENS : Convié à rencontrer la représentante du gouvernement, au cours d’une réunion d’échanges ouverte aux artisans et commerçants à l’Institut de l’Enseignement supérieur de Sens, le président de la CAPEB de l’Yonne, Jean-Pierre RICHARD, a assuré que l’organisation professionnelle dont il assume la représentativité apporterait sa contribution active à ce processus de démocratie participative.

Qui plus est, la CAPEB de l’Yonne, structure institutionnelle qui fédère à ce jour plus de 550 chefs d’entreprise de la filière du bâtiment, fera entendre sa voix et ses nombreuses propositions.

Réagissant à chaud à cet entretien bilatéral tenu de manière formelle entre les corps intermédiaires et l’Etat, Jean-Pierre RICHARD s’est dit satisfait de la tournure constructive de cette réunion.

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Valoriser le bien-fondé des corps intermédiaires…

Qualifiant l’attitude de la ministre de « très attentive et à l’écoute des différents interlocuteurs » (près d’une trentaine de représentants d’organismes patronaux), le président de la CAPEB a été surpris de la prise de notes abondantes de la jeune femme.

« Cette rencontre était fort utile et opportune, devait-il confier, lors de son interview.

Dans sa discussion avec la représentante de l’Etat, le président devait rappeler les fondamentaux et l’éthique de son organisme, apparu en 1948.

Son souci permanent dans cet entretien aura été de valoriser le rôle et le bien-fondé des corps intermédiaires, éléments indispensables à ses yeux pour conserver une harmonisation fonctionnelle en France, quelque peu malmenée par la gouvernance actuelle.

 


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Faire preuve de solidarité auprès des petits commerces en souffrance après l’épisode des « Gilets jaunes » passe par une plus grande mobilisation des consommateurs. Et surtout un réel besoin de changer de paradigme. Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, a exhorté les citoyens consuméristes de notre territoire à faire davantage abstraction de leurs actes d’achat sur les plateformes numériques pour soutenir les commerçants de quartier. Une démarche solidaire, qu’elle applique à elle-même au quotidien. Elle devait l’expliquer lors d’un point presse succinct à l’issue de sa rencontre qualifiée de constructive avec des artisans et commerçants de l’Yonne…

SENS : En déplacement sur le Sénonais, la secrétaire d’Etat auprès du ministère de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, a profité du court temps d’expression accordé à la presse pour inciter les ménages français à consommer autrement à l’avenir.

Certes, les propos de la secrétaire d’Etat n’ont pas appelé de manière officielle à boycotter les plateformes numériques à vocation commerciale. Elles exercent une complémentarité parmi l’offre existante dont on ne pourrait raisonnablement se passer aujourd’hui.

Bon nombre d’entre elles, internationales, exercent dans les règles vertueuses de l’art leur pratique de vente en ligne, tout en respectant les normes et les fondamentaux de la saine concurrence. Y compris la fiscalité.

A contrario, la secrétaire d’Etat a pointé du doigt, sans toutefois les désigner de manière précise, celles qui cassent les prix et envahissent le marché de produits issus de la contrefaçon.

Or, face aux difficultés de trésorerie observées depuis plusieurs semaines par les boutiques traditionnelles, la représentante de l’Etat n’hésite pas à froncer les sourcils.

Il est désormais nécessaire de revoir la copie de l’activité commerce en France, en privilégiant les échoppes de quartier et les enseignes de proximité.

Etre responsable dans ses actes d’achat…

S’interrogeant ensuite sur la véritable création de valeurs offertes par les plateformes numériques, Agnès PANNIER-RUNACHER a insisté sur la responsabilité de chacun par rapport à cette thématique insidieuse qui plombe le chiffre d’affaires de ces  commerces.

Las, le phénomène inopportun des « Gilets jaunes », à quelques semaines des fêtes de fin d’année, aura eu un impact néfaste et considérable sur la trésorerie de nombreuses boutiques. D’où l’insistance de la ministre qui devait clore ce chapitre en invitant à aller consommer chez le petit commerçant de quartier.

« Moi-même, précisa-t-elle, j’achète mes livres uniquement chez mon libraire…Il faut être en accord avec ce que l’on préconise… ».

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Des facilités de paiement comme pistes d’accompagnement…

Constatant que la situation financière des petits commerces frisait à ce jour la correctionnelle, Agnès PANNIER-RUNACHER a assuré que la question des facilités de paiement et des couvertures assurantielles serait inscrite à l’ordre du jour des futures consultations territoriales.

Dans l’Yonne, à l’instar des autres départements, ce serait les édiles des communes qui porteraient le flambeau créatif de ces initiatives populaires, auxquelles se rallieraient les députés et sénateurs, les représentants consulaires et les milieux économiques.

« Parmi l’ensemble des diagnostics émis par les Français, il existera certainement des solutions locales qui seront adoptées uniquement sur leur territoire originel, ajouta la ministre.

Enfin, parmi les thèmes qui devraient structurer ces prochains débats, ceux concernant la transition énergétique, la participation citoyenne, la refonte de la fiscalité ou la réorganisation des services publics seront prépondérants.

 

 


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Promoteurs et commerciaux, spécialistes de l’immobilier d’entreprise, ont reçu à loisir toutes les informations nécessaires se rapportant à l’attractivité de l’Auxerrois et sa toute nouvelle offre, « AuxR_Parc », dont les travaux de terrassement ont débuté à l’automne à Appoigny. Ces professionnels ont visité le stand de la Bourgogne Franche-Comté lors du salon international SIMI au Centre des congrès de Paris, du 05 au 07 décembre. A l’instar de trois autres collectivités et deux aménageurs, la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois y était représentée afin de promouvoir sa future zone économique…

PARIS : Mission accomplie pour Tristan TREBOUTA, directeur du développement économique de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois, et de ses équipes !

La présence de l’organe institutionnel Icaunais au SIMI 2018 s’est soldée par une trentaine de contacts, obtenus avec des promoteurs et commerciaux, experts de l’immobilier d’entreprise.

Au cours de ces trois journées de présence où le relationnel était de mise, les services de l’Auxerrois ont été mobilisés au profit de la nouvelle zone d’attractivité qui prend tournure depuis plusieurs semaines en périphérie nord d’Auxerre.

Informer, expliquer, renseigner : le credo des représentants de la CCA aura été invariable sur le stand, partagé avec l’AER (Agence économique régionale), Yonne Développement et CEIS (Compagnie européenne d’intelligence stratégique).

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Expliquer le parcours d’accompagnement complet dédié aux entreprises…

Notons que la Bourgogne Franche-Comté était présente pour sa première participation sur ce salon qui accueille chaque année environ 470 exposants et plus de 30 000 professionnels visiteurs.

Lors de la traditionnelle conférence de presse, Tristan TREBOUTA s’attardait longuement sur la présentation détaillée du projet « AuxR_Parc ». L’orateur a retracé le parcours d’accompagnement complet aux entreprises qui a été défini par l’agglomération.

Rappelons que le concept s’articule autour d’un projet global réunissant le Tiers-lieu « Les Riverains », le Pôle environnemental de l’Auxerrois et une offre de foncier économique dense. Il concerne la vente de 50 hectares de terrains à usage professionnel, comprenant des parcelles de 1 300 à 50 000 mètres carrés.

 

 

 

 

 


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