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C’est une figure de l’alimentaire en France et à l’international. Un personnage charismatique, haut en couleur, passionné de l’Ovalie et fier de ses racines bourguignonnes. A 76 ans, le « Traiteur intraitable » comme il aime se qualifier dans les spots publicitaires – il en a fait le slogan de son entreprise éponyme – sera l’un des invités du trophée « Prestige & Patrimoine », accueilli le 23 juin au Domaine de Roncemay. Un visiteur d’envergure qui prendra la parole, grâce à la CPME de l’Yonne…

 

AUXERRE : Une heure et demie en compagnie de Pierre MARTINET et de son franc-parler ! Voilà ce que nous a mijoté l’organisateur du fameux trophée « Prestige & Patrimoine », Gilles GENEST, à l’occasion de la deuxième édition de cette incontournable manifestation promotionnelle vantant les mérites de l’attractivité entrepreneuriale de notre territoire le 23 juin prochain.

Accueilli dans le splendide cadre golfique du Domaine de Roncemay, l’évènement aura pour parrain l’une des figures emblématiques de la réussite hexagonale côté business, le natif de Saône-et-Loire – du côté de la Bresse -, Pierre MARTINET.

Une silhouette, une voix, un parcours d’exception qui se sont façonnés au fil des ans – depuis 1968 – au gré d’une kyrielle d’expériences et d’aventures que viendra nous narrer lors d’une conférence le célèbre « Traiteur intraitable » !

A ses côtés, on retrouvera les deux porte-étendards de la CPME de l’Yonne, l’ancien président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises, Olivier TRICON – il a quitté son mandat pour prendre de nouvelles responsabilités au sein du mouvement s’immergeant un peu plus sur le dossier export et international -, et son successeur en la personne de Baptiste CLERIN, sous le feu des projecteurs avec le lancement de sa nouvelle vitrine professionnelle, « ORIGINAL CAMPER », concept positionné sur la vente et location de véhicules et produits nomades, inauguré ce samedi 17 juin à Monéteau.

 

 

L’itinéraire d’un entrepreneur tout feu tout flamme…

 

Un trio de choc à l’estampille de la CPME pour évoquer la réussite professionnelle, mais aussi l’abnégation, le volontarisme, le courage, la valeur travail, l’ambition, les envies d’un chef d’entreprise, ses projets.

Elle est loin l’époque où Pierre MARTINET, alors charcutier-traiteur, ouvrait sa première boutique à Jujurieux dans l’Ain en 1968 ! L’ancien président du mythique club de rugby de Bourgoin-Jallieu – il a aussi à son actif la création de son propre team automobile en variante rallye – n’a pas les deux pieds dans le même sabot, innovant sans cesse et faisant de sa SAS un acteur économique de poids. Avec des centaines de salariés à l’appui, une présence au Brésil et dans la plupart des pays européens. Sans omettre un chiffre d’affaires qui ne cesse de grimper.

Réputé pour la fameuse recette du museau en vinaigrette, entre autres, mais aussi pour ses taboulés et ses déclinaisons de produits bio, le groupe est installé en Isère, à Saint-Quentin-Fallavier où le siège social a bénéficié d’un nouvel agrandissement.   

L’itinéraire de Pierre MARTINET – homme médiatique – sera distillé à livre ouvert lors de cette conférence placée sous l’égide de la CPME dont il est l’un des représentants…

 

En savoir plus :

Conférence de Pierre MARTINET

Trophée « Prestige & Patrimoine »

Domaine de Roncemay

Le vendredi 23 juin 2023 à 17h30

Un évènement organisé par la CPME 89, L’Atelier de l’Immo, J3G Patrimoine, AKOR Immo et SP Consulting Informatique.

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’inflation nous est présentée comme une fatalité, suite à la guerre en Ukraine. Bruno LE MAIRE passe son temps, entre l’écriture de deux livres érotiques, à la constater et reporte les solutions sur les marges des distributeurs. Nous avons en mémoire  l’hyperinflation de 16 580 000 % en Allemagne des années 1930. Une baguette de pain coûtait alors un mark à l’origine et l’année suivante…165 800 marks ! Heureusement, nous n’en sommes pas encore là !

TRIBUNE : Les causes de l’inflation sont multiples, mais peuvent aussi bien provenir de facteurs qui impactent négativement l’économie que de décisions prises par les banques centrales dans le cadre de leur politique monétaire. Du côté de la BCE, l’augmentation progressive des taux impacte positivement les risques inflationnistes. Sur le plan international, seule la vitesse de circulation de la monnaie n’est pas maîtrisée et peu entraînée de l’inflation. Aujourd’hui, nous sommes face à une inflation par les coûts de production (matières premières, énergie…).

Les causes conjoncturelles deviennent structurelles et l’inflation peut durer. Le phénomène est appelé « effet de base ». L'inflation est habituellement mesurée sur un an et, à la suite de deux ans de pandémie, le niveau d'inflation qui sert de référence est particulièrement bas. Depuis la reprise de l'activité après la crise COVID, les consommateurs rattrapent une partie de leur demande reportée. Pendant une telle reprise de la demande, il est assez facile pour les entreprises d'augmenter un peu les prix sans perdre de clients.

 

La spéculation à haut risque alimente l’inflation…

 

Depuis février 2022, le conflit russo-ukrainien fait monter les prix de nombreuses matières premières (pétrole, gaz, huile, blé). La baisse des exportations ukrainiennes tarit l'offre sur les marchés et pousse les prix à la hausse. Afin d'éviter l'effondrement des économies et de maintenir les revenus, la politique « macroniste » du « ça coûtera ce que ça coûtera » contribue largement à alimenter l’inflation. La baisse de l'euro a commencé en 2021 et s'est accélérée en 2022. L'euro a atteint la parité avec le dollar. L'euro s'est également déprécié par rapport à d'autres monnaies comme le franc suisse. Cette baisse de l'euro renchérit le prix des importations, dont notamment le prix des énergies fossiles et renforce ainsi l'effet d'inflation. Quant au prix des énergies, il a joué un rôle majeur dans l’installation de l’inflation. N’oublions pas les marchés à terme des matières : on peut négocier en bourse des métaux, des denrées alimentaires, des minerais, du gaz, du pétrole...

Non seulement la spéculation (à haut risque pour certains) peut alimenter l’inflation mais surtout elle permet aux multinationales de se protéger contre la hausse des cours et de conforter leur marge ! Ces systèmes contribuent largement à l’appauvrissement des plus « petits » du monde agricole…

 

 

Les effets négatifs de l’inflation…

 

Les effets économiques néfastes dominent si l'inflation progresse plus rapidement. Avec une moyenne en zone euro de près de 9 %, l'inflation est loin d'être modérée. Les effets négatifs sont donc à craindre : les pays subissant un fort taux d'inflation perdent en compétitivité par rapport aux pays où les prix progressent moins vite, leurs exportations diminuent au risque d'une dégradation de la balance commerciale. En France, les échanges sur les biens enregistrent un déficit historique de 163,6 milliards d'euros en 2022, soit une dégradation de près de 80 milliards d'euros sur un an, imputable très largement à la hausse des prix de l'énergie. Le niveau d'incertitude augmente ce qui réduit le potentiel de croissance : plus l'inflation est élevée, plus la rentabilité des investissements est difficile à estimer et une baisse de leur volume est à redouter. Enfin, si l'activité baisse, les pays peuvent entrer en stagnation, voire en récession. La hausse du chômage et la dégradation des soldes publics en sont la conséquence.

Comment lutter contre l'inflation ?

Il n'est pas facile de lutter contre l'inflation. L'instrument principal est la politique monétaire : les banques centrales disposent d'outils pour rendre l'argent plus cher et pour réduire la masse de liquidités en circulation. Cependant, la politique monétaire agit toujours avec un certain retard, elle ne peut donc pas annuler des pics d'inflation ponctuels. Par ailleurs, pour faire baisser une inflation résultant d'une inadéquation entre masse monétaire et volume de biens et services, il est également possible de pratiquer une politique qui favorise l'offre. Son inconvénient est qu'elle nécessite beaucoup de temps avant d'avoir des résultats.

Afin de contenir, voire de faire baisser l'inflation, les principales banques centrales ont opéré un basculement de la politique monétaire pour la rendre plus restrictive : baisse du volume d'achat d'actifs financiers et hausse des taux d'intérêt.

L'actuel tournant de la politique monétaire est sans précédent, car elle concerne tous les grands blocs économiques du monde. Son succès n'est cependant pas certain. En théorie, le durcissement monétaire ralentit l'activité, l'investissement et la vitesse de circulation des liquidités et devrait ainsi faire baisser le niveau de dépréciation monétaire. Son impact sur la croissance économique et sur l'emploi est également à surveiller.

Toutefois, si la phase d'inflation élevée perdure, les agents économiques risquent d'anticiper une inflation durablement élevée. Une course entre les salaires et les prix, ainsi que la hausse des prix de vente pour simplement anticiper des prix fournisseurs plus élevés, pourraient en être la conséquence.

L'inflation, comme d'autres grandeurs économiques, évolue en cycles plutôt longs. La longue phase de faible inflation ne pouvait pas durer éternellement. La mondialisation n'est plus aussi vigoureuse que précédemment. La dynamique du commerce mondial s'affaiblit et une fragmentation du commerce semble se dessiner. Certains parlent même d’une récession possible en Chine ! Cette évolution peut peser régionalement sur l'offre globale : une offre moins importante face à une demande stable fait pression sur les prix. Le rôle et les objectifs (stabilité monétaire, croissance, etc.) des autorités monétaires sont également sujets d'interrogations. Enfin, un éventuel retour de ce que les économistes appellent les « effets de second tour », c'est-à-dire une spirale des prix et des salaires, n'est plus à exclure. Elle avait largement contribué à la forte inflation des années 1970 et 1980.

Le bouclier tarifaire mis en place par notre gouvernement est controversé par les consommateurs qui boudent les fameux paniers proposés par les grands distributeurs. Les nutritionnistes et les associations de consommateurs donnent une information très négative sur les produits proposés. Mais aussi, par les distributeurs. Il n’y aura pas d’impact possible avant l’automne et on peut s’attendre à une croissance continue de l’inflation d’ici là, dixit Michel-Edouard LECLERC.

 

Dénoncer les abus de l’inflation…

Arnaud ROUSSEAU, le nouveau président de la FNSEA, revient sur les groupes industriels qui continuent de se faire des marges très importantes sur les produits dont le coût de la matière première baisse. Bruno LE MAIRE n’a fait que le dénoncer et Arnaud ROUSSEAU demande le nom de ces « honteux profiteurs ». Selon lui, la grande distribution et l'agroalimentaire se renvoient la balle mais pour l'agriculteur, il est hors de question qu’on remette en cause les prix de nos produits qui sont assez faibles dans le prix du produit fini. Arnaud ROUSSEAU affirme que certaines marques, notamment LESIEUR (marque commercialisée par le groupe AVRIL dont Arnaud ROUSSEAU préside le conseil d'administration), ont baissé leurs tarifs sur certaines huiles.

« Oui, il y a des marges dans la grande distribution qui ne sont pas encore totalement répercutées », dit-il. S'il y a des grandes marques qui abusent, il faut dire qui le fait. (...) Il faut faire en sorte que là où il y a de l'abus, il soit dénoncé, ajoute-t-il.

Mais reviendra-t-on un jour aux prix d'avant l'inflation ? « La réponse est non, pour une raison qui tient à l'augmentation des charges annexes », explique le patron de la FNSEA. La plupart des acteurs du secteur tablent sur une baisse de l'inflation d'ici septembre. « On devrait l'observer mais l'enjeu, c'est de continuer à assurer la souveraineté. Sinon, on sera dans le mur dans dix ans et on dépendra de l'étranger pour nous nourrir… conclut Arnaud ROUSSEAU.

Notre gouvernement joue « au musée Grévin », les producteurs pris à la gorge ne veulent pas bouger non plus et les distributeurs disent qu’ils ne peuvent rien faire si les producteurs ne baissent pas leurs prix…

Le seul effet vertueux de cette inflation qui grève de façon dramatique le pouvoir d’achat des plus pauvres, c’est la solidarité qu’elle provoque. Alors revenons au basique de notre République : la « fraternité ». Il y a peut-être plus de sagesse dans le Dieu de SPINOZA que dans les dogmes des grandes religions.

COLUCHE avait raison : « l’essence, ça diminue tout le temps, pour le même prix on en a de moins en moins ! ».

 

Jean-Paul ALLOU


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On tente le coup ou pas, semble se dire l’emblématique figure de l’AJ Auxerre, en prenant la pose aux côtés de cet engin ! Parrain de la 26ème édition de « La Franck Pineau », Guy ROUX a foulé le sol du stade de l’Abbé Deschamps de manière plutôt cocasse, samedi matin, accompagné d’un « grand bi », ce cycle aux dimensions peu ordinaires. Entre deux départs de circuits dont il égrenait le temps, l’ex-coach de l’AJA s’est prêté au jeu des séances photos avec le public…

 

AUXERRE : Populaire, Guy ROUX ? C’est rien de le dire ! A peine franchi la grille de l’enceinte sportive dont il connaît les moindres recoins comme le fond de sa poche (le stade de l’Abbé Deschamps) que l’ancien entraîneur de l’AJ Auxerre – de la grande époque diront les puristes ! – était accaparé par les organisateurs de la fameuse fête du vélo de l’Yonne, « La Franck Pineau ».

Une concentration de cyclotouristes et de randonneurs pédestres, venus des quatre coins du département, voire parfois au-delà de nos frontières, qui prenaient le départ des différents circuits proposés en guise de réjouissance par le comité d’organisation, avec à sa tête Eddy BEVRE, le président au four et au moulin de cette curiosité sportive impulsée jadis par Serge LE DOUSSAL, et Franck PINEAU, lui-même, l’ancienne gloire du cyclisme sur route hexagonal qui fit carrière chez les professionnels.

C’est précisément l’actuel cadre technique de la Française des Jeux/Groupama et guide spirituel de cette manifestation qui perdure bientôt depuis trois décennies sur l’Auxerrois qui accueillit un Guy ROUX visiblement en pleine forme, sourire aux lèvres et ravi de l’aubaine de se retrouver là, en pareille circonstance. On connaît l’attachement de ce personnage charismatique pour ce qui touche de près ou de loin à une activité sportive.

 

 

 

Un personnage toujours aussi proche et attachant…

 

Entre Franck PINEAU et Guy ROUX, forcément, la poignée de main fut franche et chaleureuse ; ces deux hommes figures marquantes du sport icaunais savent aussi cultiver publiquement le respect et l’écoute.

Puis, ce fut autour de notre ami, Jean-Michel QUERE – la voix de l’animation de l’évènement du jour mais aussi de toutes les grandes manifestations cyclistes dignes de cette appellation qui sont déclinées sur notre territoire (la Classique Puisaye-Forterre Souvenir Philippe GERBAULT disputée cette année le dimanche 24 septembre) – d’intervenir, micro en main, en proposant une interview sympathique dont il a le secret et le verbe, avec le parrain de cette édition 2023.

 

 

Prolixe, Guy ROUX qui n’est jamais avare d’un bon mot et d’une prise de parole publique expliqua son enthousiasme devant une telle manifestation qui a su se bonifier au fils des ans en y adjoignant des nouveautés sans perdre de sa popularité.

Avant de se rendre sur la ligne de départ des VIP engagés dans le circuit d’une vingtaine de kilomètres, aux côtés du président du Département Patrick GENDRAUD qui n’avait pas troqué sa tenue estivale de belle élégance pour une vêture sportive, Guy ROUX se prit au jeu de poser avec un « grand bi », cycle possédant une roue avant d’un très grand diamètre et une roue arrière nettement plus petite – son origine date de 1870 – le temps des crépitements des flashs.

Chiche ? Notre meilleur ambassadeur de réputation internationale n’allait tout de même pas monter dessus, non ?

 

Thierry BRET

 

 


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Elle est fort roulante la départementale 943, reliant Joigny à Montargis. En franchissant paisiblement la frontière routière, le Loiret nous accueille. Bonjour au joli petit bourg de Douchy où réside régulièrement sieur  Alain DELON qui tourna avec les plus grands : Monsieur Jean GABIN, Lino le catcheur, Bebel...mais aussi les plus belles dont l'inoubliable Romy ou encore BB l'icône des sixties !

 

DICY : A Douchy, l'accueil bistrotier est des plus sympathiques au « Terroir » en centre bourgade, un café-resto ouvert 7 jours/7 ! Cela rigole sec  au comptoir ! Retour icaunais à Dicy (350 habitants environ), une localité baignée faiblement par la Chantereine. Notre auberge de bord de route, c'est « Chez Lucie », le prénom de la jeune patronne. L'intérieur y est d'une grande propreté.  La veille eut  lieu le vide-grenier villageois, ce lundi la quiétude est de retour ! L'accueillante  terrasse permet aux amateurs de déjeuner dehors, c'est chouette !

Une ardoise au triple choix d'entrées, plats et desserts, d'une cuisine maison se présente au regard : cette formule, si l'on en respecte les basiques, a fait ses preuves.

 

 

Un plaisir gustatif : percevoir les parfums de poivron et de tomate…

 

Le poireau vinaigrette est délicieux : il est soigneusement assaisonné et parsemé de persil et d'échalotes. On se régale, d'autant qu'il est servi parfaitement à température et non glacé, sortant du frigo, comme trop souvent : une pure horreur ! Le Bourgogne rosé du vigneron de Saint-Bris Gérard PERSENOT l'accompagne fraîchement en cette semaine ensoleillée. Pourquoi trop souvent des rosés translucides de partout, alors que ceux de chez nous sont délicieux ?!

En plat, la bavette sauce au bleu, à l'impeccable cuisson saignante, est plébiscitée par la table voisine. Le poulet à la basquaise et ses légumes variés sont fort bons. Quant à la sauce, on y perçoit nettement les parfums de poivron et de tomate. Commandant du poulet au restaurant, il ne serait pas désagréable de se voir parfois, servir un autre morceau que la sempiternelle cuisse, plus simple aussi à préparer pour nos restaurateurs. Le pain de la boulangerie-pâtisserie de Villefranche-Saint-Phal est aussi bon que croustillant, mais aussi cuit comme il se doit. Ces pains blanchâtres.... : je crois que je ne m'y ferai jamais !

 

 

 

 

Un flan digne des meilleures pâtisseries dégustées…

 


Mention spéciale pour le superbe flan ! C’est sûrement la pâtisserie préférée de votre serviteur ! - moelleux à souhait.....comme vous le révèle ce petit cliché (que je ne me permets pas de qualifier de photo !). Il est délicieux vraiment, et digne des meilleurs.

Tandis que je règle l'addition, nous discutons à bâton rompu avec la souriante patronne. Lucie est là depuis sept ans. Je la complimente pour ce bon menu à 15,50 euros. Elle m'évoque alors ses parents, derniers charcutiers de génération en génération hélas, établis antan à Bois-le-Roi en Seine-et-Marne. Je reconnus alors, non sans une certaine émotion, la boutique si souvent vantée par ma belle-sœur Pascale, le dernier véritable cordon bleu que je connaisse d'ailleurs. Son blog culinaire est un modèle du genre (Les Recettes de Pascale) où il n’y a pas d'esbroufe, ni de mousse. Juste du bien et du bon. Et le plaisir de faire plaisir, aussi…

En digne disciple de Saint-Antoine - le patron des charcutiers - Lucie m'indique à Triguères, entre Douchy et Château-Renard une excellente boucherie-charcuterie « La Triguéroise ». Mais d'ici ou d'ailleurs, allons tous chez Lucie !

 

 

En savoir plus :

Les - : le petit parking en contrebas mériterait sûrement d'être mieux signalé.

Les + : le service est aimable. Le rapport qualité-prix est très bon. 

 

 

Contact :

 Chez Lucie

10, route de Joigny

89120 DICY

Tel : 03.86.43.09.52.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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La cagnotte s’est avérée fructueuse au terme de l’opération. Une tombola, certes rien de plus classique sur le papier. A la différence près que les oboles collectées devaient être attribuées à une association de lutte contre les violences faites aux femmes. C’est là qu’entre en jeu le CIDFF 89 (Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles). La structure est bénéficiaire en bout de course d’une somme de 423 euros !

 

AUXERRE : Les motardes (et plus généralement leurs homologues masculins) savent être en colère pour défendre bec et ongles de nobles causes dans ce pays ! Elles et ils n’hésitent jamais à revêtir le cuir, à s’emparer du casque et à chevaucher leurs grosses cylindrées pour mieux protester dans la rue contre une décision qui leur est indigeste.

A contrario, elles et ils savent aussi se montrer généreux et avoir de l’empathie pour des causes justes qui méritent un coup de pouce. C’est le cas des actions menées au quotidien par le CIDFF de l’Yonne, le Centre d’Information des Droits des Femmes et des Familles, en faveur des victimes féminines subissant des violences.

 

 

Lors d’une récente manifestation favorisant le rassemblement de nombreux adeptes des deux-roues, l’association départementale « Toutes en Moto » a organisé une tombola, dotée de très nombreux lots, dont les gains seraient reversés au trois quart au profit d'une structure associative de lutte contre les violences faites aux femmes. Cible désignée : le CIDFF 89 !

En préambule de la dernière assemblée générale – un compte rendu à découvrir prochainement dans nos colonnes -, Simone PARIS, présidente du Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles, s’est vu remettre par Amélie AMIOT-FERRE, la jeune et souriante responsable de « Toutes en Moto », un chèque de 423 euros.

Preuve que les motardes savent faire preuve de largesse pour des causes défendables…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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