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Emmanuel MACRON  a présenté  fin septembre les grands axes de sa planification pour une écologie « souveraine », « compétitive » et « juste », promettant notamment d'annoncer en octobre une reprise du « contrôle sur le prix de l'électricité ». Sortie totale du charbon d’ici à 2027, état des lieux des réserves naturelles d’hydrogène, voitures électriques à tout crin ainsi que les RER métropolitains intègrent ce plan. Sans omettre les pompes à chaleur…

 

TRIBUNE : Sans entrer dans des détails trop techniques, une P.A.C (Pompe à Chaleur) est composée d’un compresseur, de deux échangeurs, et d’un détendeur. Pour la transformation de la chaleur extérieure à l’intérieur du logement, le processus se décline de la manière suivante : un fluide frigorifique capte les calories ambiantes à l’extérieur, elles passent ensuite d’un état liquide à un état d’ébullition. La vapeur passe ainsi par le compresseur qui l’expédie à haute pression vers le condenseur.

La P.A.C. est un bon moyen écologique pour chauffer son habitation. L’énergie utilisée est puisée dans des ressources durables et renouvelables (air, eau, sol). La consommation de la P.A.C. est faible en électricité, sous certaines conditions que nous verrons plus avant. Quant aux prix, ils varient de 2 500 euros (se méfier) à des prix moyens de 7 000 à 15 000 euros.

 

Comment investir dans une pompe à chaleur ?

 

L’Etat contribue à l’installation de ces P.A.C. grâce à des primes qui vont de 4 000 à 10 000 euros. C’est aussi l’accès à une multitude d’aides : MaprimeRenov, primes CEE (Certificat d’Economie d’Energie), Eco Prêt à taux zéro, prêt avance rénovation, taux réduit de la TVA à 5,5 %, chèques énergie, aides des collectivités territoriales…

L’un des principaux enjeux économiques du développement des P.A.C. porte sur la construction neuve et la rénovation. Le Président de la République mise sur elle pour la planification écologique. La fabrication d’un million de P.A.C., associée à la formation de 30 000 installateurs, constitue un défi important. La planification écologique prévoit de réduire les gaz à effet de serre de 50 % d’ici à 2030 !

Il existe d’autres leviers dans le cadre de ce plan : la fabrication des batteries et des panneaux photovoltaïques. Pour l’instant les immeubles ne peuvent pas, techniquement, être équipés de P.A.C.

 

 

 

Sept millions de passoires thermiques dans l’Hexagone

 

Le magazine « 60 millions de consommateurs » indique qu’il est important de bien faire calculer la dimension de la P.A.C. En effet, si elle est trop grande, la consommation d’électricité peu annihiler le gain en énergie. De plus, il est inutile d’installer une P.A.C. dans une passoire thermique. Un diagnostic énergétique s’impose et il est indispensable de bien isoler avant tout investissement.

Selon la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM), la France compte plus de 7 millions de passoires thermiques ! Et « 60 millions de consommateurs » de poursuivre : il faut se méfier des prix les plus bas comme des plus élevés, et s’assurer de la qualité de l’installateur.

 

 

L’exemplarité de la gouvernance ? Que nenni !

 

En conséquence, il doit être détenteur au moins de la Certification RGE QUALITE P.A.C. Il faut aussi penser à inclure dans le devis le SAV et l’entretien de l’appareil.

Les écueils concernant la P.A.C. alimentent les controverses. Nous sommes très loin d’avoir les capacités industrielles pour fabriquer un million de P.A.C. aujourd’hui.

Produire tous ces appareils, c’est d’abord l’enjeu de notre souveraineté énergique, et c’est loin d’être gagné alors que les coupures de courant nous ont menacées tout l’hiver dernier !

Plus grave peut -être ? L’Elysée a fait remplacer ses vieilles chaudières par des chaudières à gaz ! Notre Président et ses ministres roulent bien-sûr à l’essence. Ils ne font pas confiance à l’électrique. Une remarque : quand on veut assurer la promotion de l’écologie, il vaut tout de même mieux avoir un échantillon sur soi !

On peut encore faire mieux : si on met d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre, tous ceux qui nous pompent l’air, on a une climatisation intégrée et gratuite !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Dire que le directeur de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne n’ait pas été bluffé par le résultat observable devant ses yeux serait un doux euphémisme ! Il a été conquis par la modularité du concept, Jérôme MAYEL ! Il n’est pas le seul. Cela a bien fait rire l’ingénieux Antoine DEMEYRE – directeur général de l’entité DERIMO -, à l’origine de cette cure de jouvence apportée en mode économie circulaire à un container maritime réformé. Grâce à cela, LOGI Yonne dispose désormais de sa salle de sport. De quoi satisfaire ses collaborateurs !

 

GRON : Mieux que les « ALGECO » ! Voici les containers maritimes réformés en variante salle de détente et de sport ! Une trouvaille fantastique qui va dorénavant faire le bonheur de la douzaine de salariés employées par LOGI YONNE sur la zone portuaire sénonaise.

Le principe est simplissime : on prend un vieux container, usé et fatigué d’avoir été transporté sur tous les océans du globe par des navires à l’estampille asiatique rempli à ras bord de marchandises, on le « plie » en deux – çà, c’est pour la façon imagée ! – car c’est tout de même une structure métallique costaude, et on bidouille le tout avec dextérité et savoir-faire, après un aménagement, pour lui offrir une nouvelle jeunesse !

Tel un Phénix renaissant de ses cendres, se présente face à nous…un espace de 30 mètres carrés flambant neuf qui accueille maintenant des agrès et autres appareils pour parfaire sa musculature…

Là, on en reste bouche bée une fois pénétré à l’intérieur de ce qui jadis transportait peut-être de l’électronique made in China ou des engrais.

Leds au plafond, climatisation réversible, tapis de sol pour le confort des disciples de la pratique de la détente sportive : le nouvel espace, officiellement opérationnel depuis vendredi, a été inauguré par Didier MERCEY et David BUQUET, les responsables de LOGI Yonne, l’un des opérateurs actifs du transport multimodal de notre région sur l’axe, Paris, Seine et Normandie. Bref, l’ouverture vers le monde depuis Le Havre !

 

Des containers usagés qui reprennent goût à la vie

 

Invité à cette soirée de présentation, et pour cause puisque la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne est toujours propriétaire de cette zone de fret au bord de l’Yonne septentrionale, Jérôme MAYEL. Le directeur général de la chambre consulaire a constaté avec ravissement toutes les opportunités subtiles offertes par ces vieux containers usagés qui, une fois retapés dans l’esprit éthique de l’économie circulaire, pouvait servir à d’autres fonctionnalités.

 

 

On doit ce tour de passe-passe un brin facétieux pour la déontologie mais surtout très professionnel quant à l’usage à la société DERIMO, basée à Sens, le spécialiste de la construction à partir de containers. Arborant un large sourire, son dirigeant, Antoine DEMEYERE, ancien cadre bancaire, a fourni moult explications sur le processus de modélisation de ces espaces métalliques, parfois recouverts de végétation pour faire encore plus naturel, des espaces qui apparaissent un peu partout au gré de notre environnement. C’est le cas sur le Sénonais avec un nouveau centre de kinésithérapie ayant nécessité l’apport de quatorze containers placés cote à cote.

Au port de GRON, même la prestigieuse Fédération française des Sports en entreprises et Harmonie Mutuelle ont apporté leur caution morale pour que ce container des plus ordinaires à l’origine ne devienne cet espace que les collaborateurs de LOGI Yonne pourront fréquenter à leur rythme et selon leurs envies durant les moments de  pause.

 

 

Un marché en développement auprès des particuliers, collectivités et entreprises

 

D’ailleurs, les premiers qui ont testé l’endroit y ont déjà pris goût : la structure a même reçu son nom de baptême, « LOGI Sport » ! De là à ce que Didier MERCEY et David BUQUET ne rebondissent en labellisant l’enseigne et ne la commercialise à l’avenir en inondant l’Hexagone, il n’y aurait qu’un pas !

Une idée pas si saugrenue que cela puisque DERIMO achète les containers usagés à une structure entrepreneuriale appartenant à Didier MERCEY (« Containers Equipement Service ») avant de les relooker à sa sauce et selon les desiderata de ses clients.

Aujourd’hui, il n’est  pas rare que des particuliers, entreprises et collectivités dans un souci de recyclage optimisé des produits arrivant à l’obsolescence se dotent d’une piscine, d’une pièce à vivre supplémentaire, d’un local pro, voire d’une cave à vin via des containers.

L’avenir de l’immobilier est dans le container : qu’on se le dise !

 

Thierry BRET

 


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On ne prend pas les mêmes et on recommence ! Non, cela tourne à un rythme très régulier, à chaque semestre ! Tout en étoffant l’équipe qui ne cesse de croître. Ainsi va l’existence au sein du BNI (Business Network International) d’Auxerre qui vient d’assurer une nouvelle passation de pouvoir entre deux de ses responsables, Francis MOREAU cédant la place à son successeur, l’expert-comptable Damien HURE, à la présidence…

 

AUXERRE : Tiens, tiens, on retrouve avec plaisir cette figure historique du RCA (Rugby Club Auxerrois) – il en fut le capitaine il y a peu encore – sur le pont, prêt à relever de nouveaux défis ! Dirigeant du cabinet d’expertise comptable NLD Expertise, Damien HURE se rappelle à notre bon souvenir en endossant une nouvelle responsabilité dont il a coutume : la présidence d’un club d’affaires ayant toujours le vent en poupe sur l’Auxerrois, l’inoxydable BNI, l’une des plus anciennes vitrines du business portée par Christophe et Emma REMY, de PROXILOG, il y a quelques années de cela.

Une structure associative, véritable réseau de recommandation utile au développement du chiffre d’affaires de ses membres qui n’a plus besoin d’être présenté dans le sérail de l’entrepreneuriat.

D’ailleurs, le BNI Auxerre se porte comme un charme. On se souvient au printemps dernier d’une opération de sensibilisation qui avait fait converger autour d’une immense table en U une cinquantaine d’entreprises prospectées. On en voit aujourd’hui les fruits avec de nouvelles adhésions dont profite l’un des quatre clubs de l’Yonne.

Parmi les nouveaux impétrants : FESTINS de Bourgogne – l’incontournable référence des cocktails et autres réceptions traiteur – et l’entreprise de nettoyage, AG Net, structure forte de ses 180 salariés, tout de même !

De belles perspectives, en somme, pour Damien HURE, président fraîchement installé dans le fauteuil de responsable, qui sera accompagné de Cédric BOLLORE, vice-président – il est gérant de la papeterie des Deux Ponts – et de Sylvie RACOT, qui cumule les fonctions en sa qualité de secrétaire trésorière, elle-même co-gérante de la société de BTP CESCHIN à Bazarnes.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Qu’importe si les estomacs sont en souffrance et recherchent pourtant à se remplir de bons produits locaux ! Passé 13h30, un week-end, sur la « Colline éternelle » et être en quête d’un restaurant pour se sustenter ressemble à s’y méprendre à un vrai chemin de croix ! Logique, ricaneront certains : on est au pied de la basilique Marie-Madeleine. Alors que ce haut-lieu du tourisme spirituel s’enorgueillit d’être l’une des premières destinations de Bourgogne avec son million de visiteurs annuel, on en reste sur notre faim de voir l’absence de possibilités d’y déjeuner dans un horaire tout à fait respectable. Surtout lorsque l’on visite ! Un sacrilège, en somme…

 

Lundi

Ouverte à la visite depuis moins d’une semaine, la maison de Serge GAINSBOURG est déjà victime de son succès et le calendrier de réservation plein pour les trois mois à venir. Un voyage mémoriel au 5 bis de la rue Verneuil, dans le très chic 7ème arrondissement parisien, dont le ticket d’entrée peut pourtant paraître rédhibitoire puisqu’il faut débourser pas moins de 25 euros pour espérer un jour la visiter. Un tarif sans doute indexé sur les généreux pourboires qu’aimait de son vivant distribuer « l’Homme à Tête de Chou » !

 

Mardi

A peine ouverte la perspective d’une « autonomie » pour la Corse que la Bretagne monte déjà au créneau, via son président de région, Loïg CHESNAIS-GIRARD, bien décidé lui aussi à réclamer plus de liberté en certains domaines. Si la perspective d’un passeport pour franchir le péage de La Gravelle marquant l’entrée en pays armoricain n’est pas encore à l’ordre du jour, certains s’y préparent déjà, à voir cette affiche placardée dans une ruelle du Guilvinec ! 

 

 

Mercredi

Entamée le 04 septembre dernier, la seconde vidange du lac des Settons est parvenue à son terme, offrant un paysage spectaculaire aux photographes et aux habitants, avant un retour à la normale qui devrait débuter en décembre prochain pour une remise en eau totale à la prochaine saison estivale. Un scénario que n’ont pas la chance de connaître les habitants de Villers-le-Lac, dans le Doubs, dont le site carte postale s’est transformé en paysage de désolation, suite aux différents épisodes de canicule et à l’absence de précipitations. La célèbre cascade du Saut-du-Doubs est à sec depuis juillet dernier et le lac s’est mué en pâturages. Pas certain pour autant que les célèbres vaches montbéliarde y trouvent leur compte !

 

 

 

Jeudi

Il est des victoires à la Pyrrhus qui ont goût de défaites et il n’y avait pas de quoi pavoiser dans le camp de la majorité auxerroise à l’issue du scrutin engageant la stratégie déchets jusqu’à l’horizon 2031. Si une courte majorité de cinq voix a sonné la fin de la collecte au porte-à-porte, en faveur de l’installation de points d’apport volontaire, le vote est révélateur des dissensions pouvant exister dans l’entourage même du maire président, Crescent MARAULT à l’image de la 3ème vice-présidente, Arminda GUIBLAIN, suivant en cela l’avis de son conseil municipal et de l’adjoint aux finances, Pascal HENRIAT, qui se sont désolidarisés du projet en votant contre. Quant à savoir ce qu’en pensent les habitants de l’agglomération, il suffisait de lire certains messages de colère ce soir sur Facebook pour s’en faire une petite idée ! Pour autant, les jeux sont-ils joués ? Rendez-vous pour le savoir, en 2026, à l’occasion des prochaines élections municipales…

 

Vendredi  

Bientôt deux mois que l’acteur Marwan BERRENI n’a plus donné signe de vie, après que son véhicule ait été mis en cause dans un accident blessant grièvement une jeune femme sur un passage protégé, un soir d’été à Mâcon. L’on imagine aisément l’angoisse de ses proches et de ses amis, face à un silence source de tous les scénarii. Parrain du millésime 2016, le comédien était devenu depuis, un fidèle de la Fête des Vins de Chablis, présent encore l’an passé, aux côtés de Zabou BREITMAN, marraine de la manifestation. Puisse-t-il y revenir un jour, pour que « Plus belle reste la vie »…

 

   

 

Samedi

Vous n’avez pas d’argent ? « No problem » assure cette enseigne hyper marché de la périphérie auxerroise, qui propose pour tout achat par chèque jusqu’au 01er octobre, d’en différer l’encaissement au 15 décembre prochain ! Bafouant par là même, dans le cas où le client glisserait dans son caddie quelques boissons enivrantes, la loi interdisant de vendre de l’alcool à crédit, que ce soit au verre ou en bouteilles. Et puis quelle bonne surprise, pour le consommateur imprudent, à dix jours de Noël de voir amputer ses comptes, d’achats effectués trois mois plus tôt et depuis longtemps disparus. Pas certain après cela, que le père Noël se montre très généreux cette année… Mais comme disait Alphonse ALLAIS, « Il faut prendre l’argent où il se trouve, chez les pauvres. D’accord, ils n’en ont pas beaucoup, mais ils sont si nombreux ! ».

 

 

Dimanche

Comme un peu partout dans l’Hexagone, c’était l’été ce dimanche à Vézelay et la grimpette jusqu’à la basilique sous un soleil ardent avait valeur de chemin de croix ! Si le touriste courageux avait tout loisir de se désaltérer en faisant halte dans un estaminet du cru, point de salut pour se sustenter, passé 13h30 ! Aucun restaurant n’assurant de service au-delà de cette heure fatidique, même le week-end. Reste la solution des sandwichs ou des pizzas en libre-service automate, mais Marie-Madeleine méritait mieux ! Je veux bien croire qu’il soit difficile de recruter du personnel, mais se passer de l’opportunité du bénéfice de plus d’un million de visiteurs par an relève presque du sacrilège…

 

Dominique BERNERD

 


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De l'Yonne au département du Rhône, il n'y a qu'un pas ou deux ! Celui qu'ont franchi les PECHERY antan à « L’Auberge du Pot d'Etain », sise à l'Isle-sur-Serein (article publié voici quelques semaines estivales). Bienvenue à Marchampt, petit village d'environ 500 habitants, plaisamment entouré de collines arborées ! La vigne n'est jamais très loin et la commune, sur l'aire d'appellation du Beaujolais n'y produit que des « beaujolais-villages ».

 

MARCHAMPT (Rhône) : Pour arriver ici, on traverse quelques vignobles aux noms évocateurs : Chiroubles, Juliénas, Saint-Amour. Quant à Beaujeu, la « capitale » du Beaujolais, elle n'est pas très loin, après le mont Tournissou (817 mètres), au cœur de cette fort jolie région, à découvrir peut-être. « Une Table dans le Verger » : c'est le nom de ce petit restaurant qui mentionne « cuisine bistronomique ». « Vous allez bien manger », nous dira une villageoise, à laquelle l'on demanda notre chemin.
Le verger est bel et bien là. Avec de magnifiques pommiers, encore chargés de fruits en ce début  d'automne. Il est précédé d'une terrasse et de la porte d'entrée que l'on pousse allègrement. Dehors, par tracteur interposé, les gamins jouent paisiblement ! On a un peu l'impression d'entrer dans une maison chez quelqu'un ! Visible depuis notre table, la cuisine n'est guère spacieuse, mais elle semble bien adaptée ! En semaine, le menu de vraie cuisine est à 19,50 euros et le samedi à 28.
L'Yonne demeure un rien présente puisque l'apéritif est accompagné de bonnes gougères ! Deux choix d'entrée, de plat et de dessert sont proposés.

 

 

 

Une excellente recette de truite à la peau croustillante… 



En entrée, le velouté de moules au safran est bien assaisonné et goûteux. Le fenouil dans le bouillon est adapté. Même si le goût du safran ne ressort pas particulièrement, cette entrée est bonne. Mentionnons aussi la qualité du pain. Les tables sont occupées d'habitants du coin, heureux de cette opportunité ouverte depuis deux ans dans leur proche environnement.

Le poisson du moment est un filet de truite à la peau croustillante, décliné avec un beurre blanc à la vanille et une impeccable julienne de légumes. Très bonne assiette aux goûts francs. Le plat de viande est une poitrine de veau, duxelles de champignons, et une excellente purée de pommes de terre (bravo !). Cela change de l'écrasé de pommes de terre, tellement à la mode, un peu comme une purée que l'on aurait la flemme de terminer !

 

 

Rendre justice aux bons crus du Beaujolais

 

En salle, la patronne nous explique faire régulièrement des dégustations chez les vignerons locaux, qui ainsi tournent sur la carte des vins, plutôt bien achalandée. Là aussi, l'Yonne a encore droit de citer ! Mention spéciale pour notre bon « beaujolais-village », cuvée « Le Désert » du vigneron local Germain SANTAILLER. Dans les années passées, les crus du Beaujolais ont peut-être nui de l'injuste image dominante et éphémère du Beaujolais nouveau de novembre. Il semble que les dix appellations (Juliénas, Chenas, Régnié....) aient repris toute leur place et ce n'est que justice.

 

 

Une vraie chance de trouver de telles tables dans les campagnes

 

L'assiette  de fromages comprend notamment un délicieux Saint-Félicien, crémeux à souhait. Juste avant un bon dessert de saison, point trop sucré, soit un crumble aux pêches rôties, glace verveine.   
Ce fort bon déjeuner du samedi se termine en terrasse, avec le café, tandis que l'on admire la campagne environnante. C'est une chance de trouver encore pareille table dans un village, songeai-je alors en repartant...



En savoir plus :

 

Les - : le service est peut-être un brin longuet, mais bon, c'est samedi !

Les + : le bon rapport qualité-prix. Si d'aventure, vous passez par ici, laissez-vous tenter !

 

 

Contact :

 

Une Table dans le Verger

160, Rue du Verger

69430 MARCHAMPT

Tel : 04.69.37.65.79.

Ouverture du mardi au samedi : restaurant et salon de thé, parking à proximité.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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