Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Une décennie, déjà. On pourrait presque la qualifier de prodigieuse tant le travail fourni à bon escient par les bénévoles formateurs s’est révélé payant. Organisme de formation linguistique reconnu d’intérêt public, la structure fonctionne aujourd’hui à plein régime avec l’aide de partenaires inconditionnels. Les projets fourmillent dans les têtes. De nouvelles perspectives pointent en ligne de mire, notamment depuis la mise en place d’un prolongement pédagogique naturel, proposé dans la langue de Shakespeare…

AUXERRE : Lutter contre l’illettrisme. La belle affaire. Délicate mission que celle-ci qui peut paraître complexe à bien des égards et qui nécessite la motivation continuelle de celles et de ceux qui y contribuent. Oui mais voilà, au sein de CLEF, de la volonté et de l’abnégation, ses décideurs en ont à revendre. A commencer par Michel CANET, son emblématique président.

Un homme de ressources et de conviction. En portant sur les fonts baptismaux la structure associative en 2009, pensait-il vraiment que CLEF posséderait cette aura territoriale en termes de notoriété et d’efficience dix ans après ?

Rien que l’acronyme représente déjà un raccourci très évocateur des différentes missions auxquelles ces bénévoles passionnés se sont assujettis : Communiquer, Lire, Ecrire, Former.

 

 

CLEF est devenue une clé de voûte inéluctable pour toutes celles et ceux qui n’ont pas la chance de jongler avec les mots, d’interpréter entre les lignes avec un brin d’imaginaire les textes lus parce qu’ils ont compris le sens de leur lecture et de disposer des connaissances requises pour aller de l’avant.

Bref, ce public fragilisé par l’âpreté de notre monde ne peut plus se sentir seul avec un tel organe opérationnel. Les trente-huit personnes, vouées corps et âme au succès de cette entité, le savent bien. Elles n’ergotent pas sur le nombre d’heures passées aux côtés de ces apprenants de l’impossible qui réalisent pourtant de sérieux progrès et des prouesses dans leur quotidien. Grâce aux séances d’alphabétisation ; grâce à des méthodes au final accessibles pour grandir dans leur for intérieur.

 

Un véritable ancrage territorial pour cette ESUS…

 

Au-delà de cet apprentissage volontaire et participatif, le suivi et l’évaluation des candidats demeurent primordiaux. Personne n’est abandonné en cours de route une fois lancé dans le cycle de la compréhension et de la maîtrise du français, une langue réputée si complexe et difficile à pratiquer. Le sens de la pédagogie chez CLEF, on en a fait un sacerdoce.

Soutenu par divers partenaires dont en premier lieu l’Etat et le Conseil départemental, CLEF a reçu l’adoubement officiel de collectivités locales (la Ville d’Auxerre), de structures financières à l’instar du réseau des Caisses d’Epargne. Même l’obtention de fonds européens permet d’abonder dans le financement des missions éducatives.

Possédant aujourd’hui un vrai ancrage départemental, CLEF a profité de l’année 2016 pour se recentrer sur les actions de formation. Référencé DATADOCK, et devenu un centre à part entière, l’organisme s’appuie depuis cinq ans sur le professionnalisme reconnu de sa directrice, Nelly DEDEBANT pour optimiser ses changements d’orientation et accroître son potentiel d’offres visant à former tous les publics.

 

 

C’est simple : cette reconnaissance s’est muée en un atout très précieux puisque la structure bénéficie dorénavant du DLA, le dispositif local d’accompagnement auprès des foyers ruraux, de Bourgogne Active et de la Caisse d’Epargne.

Au service de ce public en situation précaire et délicate, CLEF décline ses prestations avec l’aide d’une équipe structurée et professionnelle, des formateurs salariés qualifiés, des bénévoles volontaires et formés aux méthodologies d’usage, en s’appuyant au plan décisionnel sur un conseil d’administration actif et revendiquant son dynamisme.

Centre d’examens, pour le français mais aussi pour certaines langues étrangères dont l’anglais, CLEF s’apparente désormais à une ESUS, une entreprise solidaire d’utilité sociale depuis quelques mois.

Réduire les inégalités linguistiques grâce à un programme d’actions valorisantes intègre l’ADN de cette toujours jeune entité qui vient de souffler ses dix premières bougies. Et compte bien ne pas en rester là…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Son attachement pour l’essor de l’économie en circuit court ne date pas d’hier. D’ailleurs, le patron de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, jamais avare sur ce sujet une fois qu’il est lancé, n’a jamais caché ses appétences pour les actes de consommation qui privilégient la qualité à la quantité, le local au mondialisé, le personnalisé au standardisé. Ce franc retour de nos modes consuméristes vers la proximité le réjouit. Une exigence qu’il défend bec et ongles au quotidien…

AUXERRE : Avec ses collègues de la toute nouvelle mouture de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté (une configuration institutionnelle qui a vu le jour au 01er janvier), Jean-François LEMAITRE est devenu l’archétype même du défenseur investi de l’économie de proximité à 100 % !

Ne comprenant pas les motivations personnelles de celles et ceux de ces consommateurs qui se tournent vers une ultra consommation totalement hors sol et désincarnée (si, si cela existe encore !), le dynamique président de la chambre consulaire départementale vante les mérites des circuits courts. Pas un de ses discours officiels qu’il est amené à prononcer ne peut se soustraire à ces références vertueuses.

D’ailleurs, il se dit ravi de cette fusion intéressante des chambres de Bourgogne et de Franche-Comté qui vont permettre à brève échéance de coordonner des actions au niveau de la grande région.

 

 

Des ententes qui lui tiennent à cœur…

 

Et en particulier, une qui lui tient à cœur mais qui n’a pas encore été éventée de manière opérationnelle la mise en œuvre d’un outil au service du développement local. Son entente cordiale avec le président Emmanuel POYEN devrait faciliter une présence forte et engagée de ce nouvel organe régional y compris sur le territoire de l’Yonne.

Autre entente qui a tout l’air de fonctionner avec harmonie et efficience, c’est la Chambre économique de l’Yonne. Un auxiliaire précieux et utile favorisant le rapprochement et sur la même longueur d’ondes des trois partenaires institutionnels que doivent être, au-delà d’une simple feuille de route, le monde agricole, celui du commerce et de l’industrie et bien sûr celui des métiers et de l’artisanat.

 

 

 

A ce titre, la dernière opération mutuelle concoctée en début d’année au moment des vœux, avec la présence de l’économiste Nicolas BOUZOU, fut une entière réussite.

« J’ai immédiatement trouvé que ce projet conjoint possédait du sens, explique Jean-François LEMAITRE, que vous soyez commerçant, agriculteur, artisan, vous avez un dénominateur commun qui est le fait d’être un dirigeant d’entreprise. Sans oublier que le territoire où vous intervenez à titre professionnel est le même dans la plupart des cas… ».

 

Œuvrer à la création d’entreprises durables…

 

La philosophie du président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne n’occulte pas la problématique de l’emploi. Bien au contraire !

Il renchérit : « faire évoluer nos modes de vie pour consommer mieux et local, c’est contribuer à créer de l’emploi pérenne sur son lieu de vie. Et surtout permettre aux entreprises de former des jeunes qui resteront fidèles à ce département. Ils y prendront confiance grâce au travail et ne partiront pas… ».

C’est peut-être là, la clé du véritable problème qui en préoccupe plus d’un. Quant à la situation de l’artisanat, notre interlocuteur se montre plutôt confiant et réaliste dans ses propos.

« Malgré leur taille modeste, les entreprises artisanales se réforment, innovent et proposent de nouvelles solutions face aux défis environnementaux. Prenons l’exemple des artisans du bâtiment. Ils mettent en œuvre des matériaux plus performants et respectueux de la nature. Ceux de la production créent des produits de qualité, plus durables, et surtout réparables.

Quant aux professionnels des métiers de bouche, ils mettent l’accent sur la traçabilité et les circuits courts. Enfin, les professionnels du service limitent leur consommation énergétique en gérant mieux leur impact environnemental… ».

Bref : une vision des choses idyllique. Mais, bien réelle. La base de tout, en revanche, demeure la formation. Jean-François LEMAITRE insiste sur ce dernier point : sans elle, pas de salut.

« L’été dernier, dans une volonté de simplification, le gouvernement a choisi de supprimer l’obligation de suivre un stage de formation préalable en entreprise. Mais si l’obligation n’existe plus : la nécessité demeure au quotidien… ».

L’offre de services aux créateurs et repreneurs d’entreprise a été relookée en profondeur. Pour que chacun puisse trouver chaussure à son pied à travers la formation, le conseil et l’accompagnement propres à la réussite de tout projet…Immanquablement, de proximité !

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le président de la FNAIM Ile-de-France approuve les propos tenus par le président fédéral de la FNAIM, Jean-Marc TORROLLION. Mais pour éviter toute réaction hâtive et épidermique, il souhaite rappeler via cette tribune certaines choses qui ont amené la FNAIM à envisager la création de ce fichier des incidents de paiement des loyers. Le but n'est pas d'être totalement pour ou contre. Mais plutôt de travailler au « comment » et au « pourquoi ». C'est le souhait évident de l’organisme immobilier…

TRIBUNE : Ces dernières années, le nombre de bailleurs privés n'a cessé de diminuer et donc d’amplifier les difficultés pour trouver un logement en tant que locataire. Il est bon de rappeler qu'un bailleur sur deux est propriétaire de deux logements maximum.

Pour un grand nombre d'entre eux, ils ont emprunté dans l'espoir d'améliorer leur future retraite. Il ne faut pas les considérer comme « d'affreux capitalistes », profitant de « pauvres locataires ». Car, par leurs investissements, ils jouent un rôle social de premier ordre : le logement. Ils appartiennent à la société moyenne.

Il est aisé de comprendre que ces propriétaires ont besoin d'avoir la garantie d'être payés des loyers pour pouvoir rembourser leurs prêts. Or, ces moyens ont été amputés au fur et à mesure des années et des politiques successives. Nous pouvons citer : le dépôt de garantie ramené à un mois (lequel sert trop souvent à tort à payer le dernier mois), la suppression du cumul de garantie des loyers impayés et cautionnement personnel, le rallongement des délais de procédure, etc.

Les conséquences actuelles sont que certains bailleurs préfèrent ne plus mettre leur bien en location. Ils ont recours à des plateformes type « RBNB ». Celles-ci ne répondent pas au même besoin de logement.

La FNAIM déplore cette situation. Elle n'est pas du fait des professionnels, mais des politiques successives mises en place.

Comment peut-on exiger que des bailleurs privés prennent tous les risques financiers en cas de non-paiement et deviennent le curseur social de politiques inadaptées ?

  

La crainte pour les bailleurs de ne pas être payés…

 

C'est à l'Etat et aux services sociaux, et bailleurs sociaux, de répondre aux situations dramatiques de certains locataires.

Ce fichier, s'il voit le jour, dans le respect des règles édictées par la CNIL, ne serait qu'à la disposition des professionnels détenteurs d'une carte professionnelle.

Il existe bien un fichier à la Banque de France concernant les personnes ayant eu des incidents bancaires. Pour éviter les situations de surendettement. En quoi cela serait-il choquant qu'une sorte d'équivalent existe pour les locataires ?

 

 

 

 

Jean-Marc TORROLLION l'a rappelé clairement : « l'enjeu n'a jamais été de ficher les accidents de la vie… ». La raison principale qui fait qu'aujourd'hui bon nombre de bailleurs ne veulent plus investir et même parfois, vendent parfois leurs biens, c'est la crainte première, et totalement justifiée, de ne pas être payés.

Donc, si nous voulons améliorer l'accès au logement pour nos concitoyens, il faut que chacun y mette du sien, y compris le gouvernement et le législateur en premiers.

Il faut arriver à recréer une situation de confiance entre bailleurs et locataires. On ne peut imaginer qu'au moment de s'engager, une partie cache à l'autre un élément essentiel pour contracter.

Oui, le président fédéral de la FNAIM a jeté le pavé dans la mare. Il est évident que les choses vont devoir évoluer. Le slogan de la FNAIM est depuis très longtemps : « Agir pour le logement ». Elle ne change pas de cap.

 

Guy BRUGGEMAN

Président de la FNAIM Ile-de-France

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le projet soutenu par le syndicat de l’immobilier national aurait-il du plomb dans l’aile après la décision prise par son président Jean-Marc TORROLLION de le suspendre contre toute attente ? Une réunion de travail à l’initiative de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a permis d’effectuer un point précis autour de la faisabilité de ce projet. Une étude approfondie de son impact pourrait aider à sa continuité selon le dirigeant de la FNAIM qui reste néanmoins convaincu de son opportunité…

PARIS : Est-ce un retrait définitif ? Une nette reculade ? Un renoncement mûri et réfléchi ? A la lecture du communiqué de presse transmis par la puissante fédération nationale de l’immobilier (FNAIM), rien de tout cela, en vérité.

La décision de suspendre la création du fichier des incidents de paiements locatifs qui avait provoqué quelques remous il y a peu ressemble plus à un ajournement plutôt qu’à une fin de non-recevoir nette et définitive.

L’explication de Jean-Marc TORROLLION, président de l’institution nationale, est donnée sans l’once d’une ambiguïté : « En l’état des conditions techniques actuelles, nous ne pouvons créer un fichier des impayés locatifs… ».

Du temps sera donc nécessaire. Avant que ne soit programmée la probable mise en exergue de ce système, fait avec professionnalisme et exigence selon le responsable de la FNAIM.

Il aura fallu cette rencontre avec les membres de la CNIL pour accoucher de ce choix qui aura surpris les observateurs. Toutefois, la FNAIM d’ajouter que « son intention a toujours été d’agir dans le strict respect des normes en vigueur (aucun obstacle juridique ne s’y oppose en réalité) au bénéfice d’une plus grande confiance entre propriétaires et locataires, indispensable pour améliorer la fluidité du marché locatif et lutter contre la vacance… ».

 

 

Ce fichier, décrié par les associations de défense des locataires, n’a pas pour objectif de répertorier les accidents de la vie mais de circonscrire le risque de non-solvabilité pour les propriétaires.

La FNAIM justifie sa création pour préserver les garanties des bailleurs qui n’ont cessé depuis vingt ans de voir amoindrir leurs intérêts : dépôt de garantie divisé par deux, suppression du cumul Garantie loyer impayé/cautionnement personnel, abandon de la clause pénale forfaitaire, rallongement des délais de procédure…

Jean-Marc TORROLLION conclut son message à la presse par un rectificatif, un démenti qui exclut tout engagement de la part de la FNAIM d’être liée avec une société spécialisée dans le traitement des données (ARTHEL) ni de posséder de quelconque lien capitalistique et juridique dans ce projet.

Bref : ceci étant précisé, le temps de la concertation commence à la FNAIM, ouverte à tout type de solutions permettant de rétablir la confiance entre propriétaires et locataires…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La principale collectivité territoriale du département offre la possibilité à vingt-cinq de ses collaborateurs de pouvoir exercer dans des conditions optimales leur engagement de sapeurs-pompiers volontaires. Un accord-cadre existe entre le Département et le SDIS 89 afin de simplifier ces disponibilités. Il sera reconduit ce vendredi de manière officielle…

AUXERRE : Agir en qualité de citoyen investi au service d’autrui ! Telle est la devise des SPV, ces sapeurs-pompiers volontaires généreux et altruistes dans l’approche de leur mission.  

Ce vendredi 21 février, au Cellier de la Préfecture de l’Yonne, sera paraphé le renouvellement de la convention-cadre leur permettant de bénéficier des meilleures conditions possibles afin d’exercer leur travail de secouristes émérites.  

Depuis 2008, date à laquelle les premières contributions humaines ont été mises en œuvre, le Conseil départemental de l’Yonne procède à la reconduction de cet accord, élaboré avec le Service départemental d’incendie et de secours.

Vingt-cinq collaborateurs issus des services de l’institution départementale offrent ainsi leur précieux concours au SDIS. Ces sapeurs-pompiers volontaires profitent ainsi de conventions individuelles. Elles prévoient les conditions dans lesquelles ces derniers peuvent bénéficier d’autorisations d’absence sur le temps de travail.

 

 

 

Celles-ci sont accordées par l’organisme employeur pour les activités opérationnelles et les actions de formations réglementaires que les employés du Département doivent assurer pour le compte du SDIS.

La convention-cadre sera validée par Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et Christophe BONNEFOND, président du Conseil d’administration du SDIS. Ce dernier est également l’un des vice-présidents du Département.

La cérémonie devrait voir aussi la participation du directeur du centre opérationnel des sapeurs-pompiers de l’Yonne, le colonel Jérôme COSTE et de son adjoint, le colonel Pierre BEPOIX.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil