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Ce fut une matinée amplement garnie pour les adhérents de la coopérative régionale YNOVAE, accueillis dans l’un des salons d’honneur de l’hôtel de ville de Joigny. Président du conseil d’administration de la structure, Laurent PONCET eut le privilège de donner le top départ de ce rendez-vous au programme copieux, comprenant la présentation des rapports moraux et financiers avant que ne se soit donnée la parole à l’un de spécialistes du climat et de l’énergie, le conférencier Clément ORY.

 

JOIGNY : Clin d’œil judicieux et sympathique à l’histoire, celle de la structure du jour dont les salons de l’hôtel de ville accueillaient les nombreux représentants en milieu de semaine dernière, c’est ici même, en 1990, que furent posées les premières pierres de l’assemblée constitutive de la CEREPY, entité qui en se regroupant avec CAPSERVAL, porta sur les fonts baptismaux la coopérative YNOVAE. Une structure forte aujourd’hui de ses 844 adhérents qui possède un poids certain parmi les milieux agricoles du territoire icaunais.

S’installant au pupitre afin d’en ouvrir la partie informative ouverte à tous – l’épisode strictement statutaire aura précédé en huis clos pour le conseil d’administration -, Laurent PONCET, fidèle à ses habitudes salua l’ensemble des participants (nombreux, il est vrai) avant de distiller quelques informations pratiques concernant le déroulé de la matinée.

Une feuille de route s’articulant entre les présentations des rapports moraux du directeur Jean-Luc BILLARD – un long exposé tiré au cordeau avec pléthore d’éléments informatifs à connaître sur la vie et les perspectives de la coopérative – et ceux du directeur administratif et financier de la structure Pascal POTET, où chacun des chiffres d’affaires évoqués par l’orateur fut analysé à la loupe pour en appréhender toute la quintessence. On ne pourra regretter pour les observateurs extérieurs que ces travaux n’aient pu débuter réellement à l’heure du fait d’un trop long séjour des participants au point d’accueil café et viennoiseries compris ! Mais, il faut bien que l’utile se conjugue aussi à l’agréable et de la meilleure manière qu’il soit : cela fait aussi le jeu du terrain relationnel !

 

L’adaptabilité au service des associés coopérateurs…

 

Curieuse campagne que celle qui aura couru sur les saisons 2021/2022. De l’aveu de Laurent PONCET, il aura fallu pour les professionnels de la filière se montrer agile, anticipateur, clairvoyant avec plus qu’une dose de sang-froid afin d’éviter les écueils imputables aux crises diverses et variées !

« Il a fallu aux équipes silos adapter des plages horaires spécifiques pour permettre de préserver au maximum la qualité des récoltes afin de répondre aux exigences de nos clients industriels, souligna le président, du fait d’une météo plus qua capricieuse… ».

Entre l’ajustement des normes d’agréages, une augmentation des transferts silos, le travail du grain ou l’augmentation des coûts, les équipes d’YNOVAE – l’appellation rappelle toujours au plan de son lyrisme le nom d’une divinité païenne de jadis ! – ont dû faire montre d’adaptabilité pour arriver à leurs fins.

Signe annonciateur de ce qui allait se passer par la suite, c’est au sortir de la moisson de l’été qu’une certaine élévation des prix applicables sur les engrais (déjà prohibitifs pour les observateurs à l’époque) allait préparer les professionnels à la flambée des prix actuelle. Une hausse s’accompagnant d’une obligation de mise à jour de la réglementation sur les engrais.

Au terme de 2021, le Conseil d’administration et son président devront alors se positionner sur l’arbitrage des investissements de la campagne en cours, en accord avec la politique permettant de disposer d’installations fiables et performantes. La marque de fabrique de cette coopérative qui a toujours eu pour principe de respecter les fondements coopératifs dans le cadre d’un outil collectif au service de l’intérêt général de ses associés coopérateurs.

 

Conjoncture internationale et inflation pèsent sur les marchés…

 

Considérant que l’exercice écoulé fut un tournant dans l’existence de la coopérative, Laurent PONCET aborda ensuite les facteurs humains de la structure. D’autant que celle-ci a vécu de nombreux départs en retraite avec des collaborateurs qui étaient un peu la mémoire collective de la maison.

« Nous avons choisi avec Jean-Luc BILLARD de faire confiance à une équipe de jeunes, motivés, et compétents, prêts à faire tourner l’entreprise dans les années à venir ». Prometteur et encourageant, à la fois ! Tout comme le retour au poste de directeur commercial de Georges LEMINEUR (un ancien de la CEREPY de 1990 à 1998) dès le mois de janvier.

Fait essentiel de la saison analysée par Laurent PONCET : l’acquisition par YNOVAE de la SAS RUZE, un négoce familial que dirigeait jusque-là Sophie RUZE et qui a rejoint l’escarcelle de la coopérative en complétant les activités de la filiale SENOGRAIN sur le territoire.

Se référant à la conjoncture internationale, l’orateur ne pouvait décemment ignorer les conséquences économiques de la guerre en Ukraine, menée par Moscou.

« En une seule journée – le 24 février 2022 -, la tonne de blé a atteint des records à plus de 340 euros la tonne ! » s’estomaqua Laurent PONCET. Avant de poursuivre, « on aurait pu se satisfaire de tels prix mais lorsque l’on pense que c’est le prix des bombes, du sang et des larmes, comment s’en réjouir… ».

Point de fixation pour les inquiétudes : le prix de l’énergie qui s’envole avec la hausse du gaz naturel à plus de 40 % et le baril de pétrole qui flirte avec les cent dollars US.

Continuant dans sa phase analytique, Laurent PONCET mettra l’accent sur les besoins de trésorerie considérables à trouver pour couvrir les appels de marge lors des ventes qui sont opérées sur le marché et le manque d’attractivité de la plus-value générée par les productions sous cahier des charges. A ce propos, le président d’YNOVAE sera très clair : «  il ne faudrait pas que cela se traduise par un désintérêt pour ces contrats… ».

 

Inverser la tendance de régression de l’agriculture nationale…

 

Un peu plus tard, le porte-parole d’YNOVAE aborda le rôle de l’union SEINEYONNE, « un formidable outil qui n’est pas assez connu et reconnu par les adhérents des deux coopératives – YNOVAE et 110 Bourgogne – alors que la valeur des services qui y est apportée est d’excellente qualité ». Notamment dans la commercialisation, le service agro-alimentaire ou encore l’informatique.

D’ailleurs, devait ajouter Laurent PONCET, SEINEYONNE a vocation à s’élargir et créer de nouveaux chantiers collaboratifs, une réflexion est d’ailleurs en cours au moment où se rédigent ces lignes.

Avant de conclure son intervention, le président de la coopérative agricole eut quelques mots sur la future campagne avec une moisson 2022 s’étant déroulée sous des conditions météorologiques plus clémentes et de manière précoce que la saison dernière.

« Le résultat est dans l’ensemble un peu en recul en termes de volumes ; les colzas sont très satisfaisants, les blés auraient pu mieux faire avec une qualité bien présente, les orges d’hiver sont hétérogènes et sans soucis particuliers de qualité à l’inverse des orges de printemps qui, elles, ont des rendements très faibles avec un excès de protéines… ».

Quant aux semis récents de la récolte 2023, ils se sont déroulés dans des conditions optimales.

Renouer avec la souveraineté nationale qu’elle soit alimentaire ou énergétique permettrait de sortir le pays de l’ornière. C’est ce que confirmera dans un dernier élan oratoire ostensiblement plus véhément Laurent PONCET : « au plus haut niveau, l’état de prise de conscience a eu lieu avec des positions allant dans le bon sens. Pour autant, il reste encore du chemin à parcourir pour contrer les bandes d’hurluberlus antitout que l’on a pu voir attaquer récemment des réserves d’irrigation, des élevages, des trains de céréales, des plateformes d’expérimentation ! Cela en toute impunité avec le soutien d’élus de la République qui font honte à leur mandat en se prétendant au-dessus des lois… ». Dont acte !

Gageons qu’en 2023, YNOVAE, au sein de l’entité SEINEYONNE, mettra un point d’honneur à répondre présent pour continuer à produire des céréales en qualité et quantité suffisantes en s’adaptant aux contraintes des changements climatiques.

« Il est grand temps d’inverser la tendance de régression de notre agriculture…et qu’elle regagne la place mondiale qu’elle n’aurait jamais dû quitter, lâchera Laurent PONCET avant de s’effacer définitivement de la lumière des projecteurs.

 

Thierry BRET

 


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A l'instar de Chablis, Meursault est le  nom d'une commune vineuse bourguignonne, connue de par le monde. Il suffit de se promener dans les paisibles rues de ce joli village pour s'en convaincre ! On y entend causer anglais of course, mais aussi suédois, japonais ou bien espagnol. Nos amis d'ailleurs font un peu grimper les cours, faisant le bonheur des vignerons. Bienvenue en Côte de Beaune ! Ici, le comptoir du bistrot propose même du Puligny-Montrachet au verre !

 

MEURSAULT (Côte d'Or) : La façade du séculaire établissement « Hôtel-restaurant du Chevreuil » attire vite le regard. La mention « Maison de la Mère DAUGIER » interpelle le convive. La cuisine bourgeoise, précurseur de la cuisine des mères, est née d'un lointain traumatisme causé par le bain de sang révolutionnaire. 

A Lyon, les bourgeois et autres soyeux, réfugiés dans de douillets intérieurs, prirent l'habitude de traiter leurs affaires, chez eux, à table. Dès lors, les femmes prirent le pouvoir, évinçant avec talent, maitres-queux et autres charcutiers, affirmant avec force le contraire de cette  idiote maxime socratique de la cuisine : « l’art est trop important pour le confier aux femmes ».

Comme la mère DAUGIER au siècle dernier, les mères furent souvent lyonnaises (Léa FILLOUX et la célébrissime Eugénie BRAZIER, deux fois auréolée des naissantes trois étoiles Michelin dès 1933). Elles furent parfois voisines (la mère BOURGEOIS, éphémère triple étoilée Michelin d'avant-guerre à Priay dans l'Ain). A cette brève évocation non exhaustive, ajoutons-y la jolie mère CASTAING, sise à Condrieu, à l'Hostellerie du Beau Rivage. Imagine-t-on pareille dénomination culinaire en 2022 ? Sans commentaires !

 

 

 

Une recette de terrine chaude à l’inspiration du XIXème siècle…

 


Comme tout plat, la terrine chaude de la mère DAUGIER a une histoire. Celle de la première « paulée », un repas d'après les vendanges, souvent joyeux qui apparut après la grande Guerre, voilà un siècle. Notre cuisinière, s'inspirant d'un de ses prédécesseurs du XIXème siècle, adapta cette recette de terrine chaude, avant de l'améliorer pour le plus grand plaisir des convives. Ces derniers, entre deux godets de Meursault-Charmes, adoptèrent cette création gastronomique, baptisée du beau patronyme de cette cuisinière, qui ainsi un siècle après, demeure toujours dans l'histoire de la tradition culinaire bourguignonne.

La salle du restaurant est claire et lumineuse. Au fond, on devine une terrasse,  à déconseiller en ce jour pluvieux de décembre ! Le chevreuil est ostensible, sur les murs, en sculpture ou trophée de chasse. A la table voisine, un vigneron s'exprime péniblement en anglais face à des interlocuteurs asiatiques, plus sensibles, semble-t-il, au charme de Bacchus qu'à ses propos hésitants !

 

 

 

 

 

Un mélange de viandes très délicatement confites…

 

En guise d’apéritif, l’Américano est accompagné de bonnes gougères au Comté, moelleuses à souhait. Ensuite, la mise en bouche (une crème froide d'épinards additionnée de saumon) est quelconque, surtout froide, et elle serait meilleure un brin tiédie.

Arrive ensuite « LE » plat repère de la maison : la terrine chaude, fort justement servie avec du riz à la créole. Ce plat d'exception, quand on prenait le temps de bien faire les choses (sans micro-ondes, dos de cabillaud et autre steak haché congelé...) devrait inspirer quelque peu nos chefs qui parfois oublient de cuisiner, désormais.

Ce mélange de viandes très délicatement confites (du porc, un rien de poulet, et sûrement un peu de chevreuil me semble-t-il...) avec une sauce embaumant porto et fines épices est aussi goûteux que délicieux. 

« Il en fallut du temps et de d'application pour arriver à pareil résultat » songeais-je alors, tout en me régalant. 

 

 

Découvrir un mets nouveau fait plus pour le bonheur que de découvrir une étoile…


Ensuite, ce fut une assiette de fromages ou fromage blanc, notamment aux herbes, avant de terminer par un dessert fruitier de saison, avec une poire pochée, là aussi contenant quelques épices voyageuses.
Revenez rassurante, cuisine des mères ! Pouvait-on penser en quittant l'établissement. Toque basse à la Mère DAUGIER, car comme le citait en son temps sieur BRILLAT-SAVARIN : « la découverte d'un mets nouveau fait plus pour le bonheur du genre humain que la découverte d'une étoile… ».

Dont acte !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : la mise en bouche est quelconque.

Les + : le service est plaisant et efficace. Bravo de perpétuer ainsi ce plat d'anthologie !

 

 

Contact :

 

Le Chevreuil

Place de l'hôtel de ville

21190 MEURSAULT

Tel : 03.80.21.23.25.

Le menu Mère DAUGIER est servi à partir de 38 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 


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L’évènement est ouvert à tous. A celles et à ceux qui ont l’âme pétri d’une indéfectible envie d’entreprendre, il va de soi ! Le cadre, tout d’abord, est prestigieux : la très belle demeure – un magnifique château - construite au XVIIème siècle par une comtesse favorite de l’un des espions de Louis XV ! Le rendez-vous, ensuite, offrira l’opportunité au club d’affaires de Chablis – l’un des trois DYNABUY de l’Yonne – de mieux se faire connaître aux entrepreneurs du cru en proposant moult animations et conférences…

 

PERCEY : Y verra-t-on planer au détour des salles obscures la silhouette fantomatique du mystérieux Chevalier d’Eon, ambigu personnage ayant sévi dans la contrée à l’époque de Louis XV ? Y parlera-t-on d’espionnage puisque cet élégant édifice fut jadis la propriété d’une comtesse qui était régulièrement visitée par cet encombrant ami ? Peut-être !

Quoi qu’il en soit, l’actualité relationnelle et économique de la semaine vivra un moment intense avec cet anniversaire peu commun, célébré par l’une des trois entités structurelles de DYNABUY dans l’Yonne, celle du Chablisien et de ses adhérents devant souffler la première bougie de leur existence ce jeudi 08 décembre en début de soirée.

 

DYNABUY, un réseau d’affaires qui progresse dans l’Yonne…

 

Un club d’affaires, de plus en plus implanté dans le landerneau, qui tisse progressivement son maillage professionnel avec les objectifs de faire connaître ses activités – ce sera le cas immanquablement ce 08 décembre puisque plus d’une centaine d’invités sont attendus au château sis entre Saint-Florentin et Tonnerre -, de pratiquer des échanges constructifs permettant d’offrir de nouvelles opportunités de business, de capitaliser sur le retour d’expérience de ses membres et d’être recommandé par ses adhérents afin de faire fructifier le chiffre d’affaires.

Bref : du pur réseau dans toute sa logique opérationnelle qui s’établit déjà et de belle manière dans les deux autres clubs que compte l’enseigne DYNABUY à Auxerre et à Sens.

Ajoutez-y à cela un zeste de convivialité, une once de bienveillance en saupoudrant le tout d’un sentiment d’amitié, et vous disposez là d’un cocktail réjouissant à déguster sans modération pour les jeunes (et les moins jeunes) entrepreneurs et cadres qui veulent aller de l’avant !

 

 

 

Le patron de SIMON et CIE comme conférencier d’un soir…

 

Jeudi en début de soirée, outre la présentation du réseau dans les moindres détails par l’incontournable Patrick CENDRE qui en est la pierre angulaire dans notre département, les membres des trois clubs et leurs invités auront le plaisir d’écouter Christophe BERTRAND, dirigeant de la très belle société « SIMON ET CIE » localisée à Avallon – elle a repris en 2021 la structure « OLMIPLAST » et ne compte plus les distinctions honorifiques hexagonales pour saluer ses initiatives – lors d’une conférence consacrée à l’un des sujets inéluctables qui est dans l’air du temps parmi les préoccupations managériales : « la transition écologique d’une entreprise via la RSE ».

On notera aussi, si leurs agendas respectifs le permettent, la présence du président de la Communauté de communes Serein et Armance, Yves DELOT – l’édile de Saint-Florentin fut longtemps le PDG de la société CONIMAST et connaît très bien la sphère des décideurs économiques – ainsi que le maire de la commune de Percey, Daniel BOUCHERON.

En sus, l’organisation de cet évènement titille les papilles des convives en promettant surprises et animations, proposées tout au long d’une soirée qui favorisera les relations à l’autre afin d’offrir la possibilité à DYNABUY d’être en pleine lumière dans ce cadre patrimonial très esthétique qui brille d’ordinaire de mille feux grâce à Nathalie et à Fernando, ses nouveaux propriétaires…

 

En savoir plus :

 

Soirée anniversaire du club d’affaires DYNABUY Chablisien

Le jeudi 08 décembre 2022

Au Château de Percey à partir de 19 heures.

Informations et réservations obligatoires sur la référence Facebook du club.

 

Thierry BRET

 


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C’est une plongée spectaculaire sur la médecine ultra performante en termes de technologies et approches humaines, proposée ce soir-là dans l’un des salons de l’hôtel Ibis Style à Auxerre. Un rendez-vous instructif comme sait les concocter si bien le KIWANIS Club local, club service ayant pour adage la formule suivante, « Servir les enfants du monde ». Invitant trois des praticiens qui interviennent au « C3 », les membres de la structure ont disséqué les évolutions thérapeutiques usitées au Centre de Consultations Chirurgicales…

 

AUXERRE: Hippocrate et Ambroise PARE n’en croiraient pas leurs yeux si ces deux figures emblématiques de la médecine revenaient sur Terre ! La chirurgie a connu des progrès technologiques surprenants au fil de ces dernières années, des innovations scientifiques qui permettent aujourd’hui de pratiquer des interventions en ambulatoire, sans trop de contraintes pour la patientèle.

Localement, le Centre de Consultations Chirurgicales C3 – le bâtiment a été érigé non loin de la clinique Sainte-Marguerite – accueille des professionnels de santé qui n’ont qu’un mot à la bouche : celui de l’innovation ! Une innovation qui se traduit concrètement dans les moyens technologiques qui y ont été investis depuis une année. Une stratégie payante dans l’optimisation relationnelle avec les patients.

Il suffisait d’observer les visages surpris et admiratifs des adhérents du club service auxerrois, le KIWANIS, à l’origine de cette conférence pour bien appréhender l’intérêt d’une telle présence sur le territoire icaunais.

 

 

La genèse d’un projet très novateur…

 

Auxerre, et n’ayons pas peur des mots pour l’écrire, dispose avec ce centre atypique d’une unité de soins d’excellence. Un lieu de référence où la robotique et l’intelligence artificielle s’y distinguent au service de l’humain, souffrant de pathologies nécessitant des interventions chirurgicales.

Pour l’évoquer, trois des praticiens de cet établissement qui s’est forgé une solide notoriété dans le sérail. Dont le docteur Yvan LE CONIAT, chirurgien orthopédiste et traumatologue ou encore le docteur Julien SAKAT, chirurgien viscéral et digestif.   

Retraçant la genèse de ce concept très prometteur – l’investissement autour de ce centre a nécessité plus d’un million d’euros -, les médecins livraient leurs commentaires, slides à l’appui, lors de cette présentation devant déboucher sur les inconditionnelles interrogations.

Rappelons que le KIWANIS Auxerre, présidé depuis le 01er octobre par Lucile BEAULIEU – elle-même exerce une activité professionnelle dans le sanitaire mais…au centre hospitalier ! – organise bon nombre d’actions sociales ayant attrait avec l’univers médical.

 

 

Dès 2018, des prouesses technologiques reconnues à l’échelle hexagonale…

 

Lors de la précédente mandature, celle de Jean-François FINANCE, le club auxerrois avait remis une enveloppe de 12 000 euros sous la forme d’un don au service hématologie du centre hospitalier de Dijon.

Précurseur, le centre auxerrois l’a été dès 2018 avec la réalisation de la première biopsie sur prostate ciblée par voie périnéale. Une méthodologie révolutionnaire qui fera mouche puisque quatre ans plus tard, toutes les biopsies sur cet organe se réalisent ainsi. Moyennant un investissement de 190 000 euros par machinerie !

Sur le même registre, qui offre de nouveaux cocoricos à l’établissement auxerrois et permet de réduire la durée d’hospitalisation des patients fréquentant le service urologique : la chirurgie par robot assisté ou l’utilisation du laser pour soulager la prostate.

Le centre envisage l’avenir avec un réel optimisme. En développant les téléconsultations dans les spécialités de l’endocrinologie. En proposant des hospitalisations sur une demi-journée permises grâce à l’apport de ces technologies de pointe mais aussi en s’agrandissant avec une aile qui favoriserait la réadaptation de la patientèle. Bref, affirmer que la relocalisation de la médecine et sa modernisation dans la capitale de l’Yonne est en bonne voie n’est pas une gageure !

 

Thierry BRET

 

 


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C’est un message fort, adressé par le Département, à l’ensemble des intercommunalités de l’Yonne. Une annonce maîtresse où le fil conducteur se nomme le soutien aux investissements à ces communes qui composent ces différents organismes. Une impulsion positive qui se traduit par un chiffre dans les faits : 36 millions d’euros. Soit une coquette enveloppe qui sera injectée durant la mandature actuelle jusqu’en 2027 aux projets communaux portés sur notre territoire. A l’instar de ceux du Jovinien, entériné par la signature d’un contrat territorial…

 

JOIGNY : Il l’avait appelé de ses vœux, Nicolas SORET. Jadis, dans une vie antérieure, où l’actuel vice-président de la Région en charge des Finances, de l’Economie et de l’Emploi siégeait encore dans l’hémicycle départemental à Auxerre en qualité d’élu de l’opposition face à une majorité présidée alors par André VILLIERS. Renouer ce lien, ô combien primordial à ses yeux, entre le pouvoir exécutif de l’Yonne et les intercommunalités (EPCI) lui semblait une évidence à mettre en application concrète. Pourtant, ce vœu datait d’il y a quelques années.

Or, comme chacun le sait, la patience est la mère des vertus. En juillet 2021, le nouvel exécutif décide de rénover son système d’aides aux territoires, se basant sur trois principes essentiels : plus de proximité avec des partenariats à contractualiser en direct avec les communes et les EPCI, davantage de simplicité dans les procédures administratives – une vraie révolution de palais ! - et enfin, l’apport d’une impulsion majeure au plan budgétaire en triplant l’enveloppe distribuée au bénéfice de l’attractivité départementale, soit un montant global de 36 millions d’euros à répartir sur cinq ans. Le vœu initial de Nicolas SORET semble être aujourd’hui exaucé !

 

Série en cours du côté des signatures avec les EPCI…

 

Dans les faits, les communes et les EPCI profitent désormais de cette manne financière allouée sous le vocable de « Pacte Territoires » qui n’a de providentielle que le nom afin de pouvoir investir dans la construction/rénovation de leurs équipements. Une distribution de moyens budgétaires faisant l’objet d’une signature officielle de ce contrat territorial, liant la collectivité départementale à l’ensemble des communes de l’Yonne. Ce fut chose faite, mercredi en début de soirée dans l’un des salons de l’hôtel de ville de Joigny.

Un évènement qui succède à d’autres cérémonies protocolaires à la parfaite similitude dans ses objectifs comme il a été vécu auprès des Communautés de communes Vanne et Pays d’Othe, Chablis Village et Terroirs, l’agglomération du Migennois ou encore Yonne Nord. Cette fois-ci, les élus de la Communauté de communes du Jovinien devaient apposer leurs griffes au bas d’un document comprenant une dizaine de pages. Il en sera de même le 06 décembre prochain avec le Grand Sénonais.

 

 

Une enveloppe de 2,2 millions d’euros pour le Jovinien…

 

Avec cette signature, Nicolas SORET y voit de la cohérence dans l’action du Département menée à l’égard des communes de moins de cinq mille habitants dans le cadre d’une politique d’aménagement du territoire. Action qui aura été votée à l’unanimité dans l’hémicycle de la Pyramide par la majorité mais aussi les représentants de l’opposition.

Pour le Jovinien, les subsides s’élèvent à 2,2 millions d’euros. Somme, qualifiée d’importante par le président de l’EPCI, adressant ses remerciements au président Patrick GENDRAUD.

 

 

Quant à la répartition de cette enveloppe, elle est la suivante : 750 000 euros iront alimenter le programme « Village + », le reliquat de 1,45 million intègrera le programme « Ambitions », destiné aux projets d’investissement d’un montant supérieur à 200 000 euros.

A date, comme le confirmera Nicolas SORET à son pupitre, dix dossiers incluant le programme « Village + » ont été présentés pour une enveloppe globale de 190 000 euros devant financer cinq city stades, deux rénovations d’école, une toiture d’église, un arrosage de stade ainsi que la réfection de la voirie, à la grande satisfaction des élus des communes concernées.

 

 

Le financement d’un gymnase à Saint-Julien-du-Sault, la rénovation d’une école à Joigny…

 

Quant à la seconde enveloppe (1,45 million d’euros), elle fera l’objet très prochainement de la constitution d’un comité de suivi avec les différentes strates des élus pour définir quels dossiers de plus de 200 000 euros seront portés. Un recensement de ces dossiers est en cours. Une certitude : la Ville de Joigny déposera une demande au bénéfice du groupe scolaire Saint-Exupéry tandis que Saint-Julien-du Sault et son maire, Guy BOURRAS, feront de même avec une perspective nouvelle pour un gymnase.

Une réinitialisation des liens avec le Département dont les élus de l’EPCI ont grandement besoin, selon le maire de Joigny, face aux problématiques conjoncturelles imputables à la transition énergétique et aux coûts de cette même énergie qui devraient grever les budgets des collectivités dès le mois de janvier 2023.

 

Thierry BRET

 

 


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