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Le décor est on ne peut plus inhabituel. D’ordinaire, lorsqu’elle décide de communiquer vers un large public, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de l’Yonne investit un amphithéâtre universitaire, une salle institutionnelle en rapport avec la santé, voire l’un des espaces du siège pouvant faciliter l’accueil d’une importante réunion. Mais, c’est bien au sein du complexe cinématographique « CGR » à Auxerre que Gilles BROSSARD, directeur de la vénérable institution, donnait rendez-vous, mercredi matin, à un public spécifique, lors d’une projection très immersive sur le monde du handicap…

 

AUXERRE : Il n’était pas question de visionner les énièmes péripéties de l’un des innombrables personnages, issus du catalogue « Marvel » ou de découvrir en avant-première, et en guise de délicieuse confiserie de Noël, le nouvel épisode des héros virtualisés d’« Avatar » ! Pourtant, le cadre s’y prêtait remarquablement bien, en substance. A l’instar de la date, fleurant bon le calendrier de l’Avent à ouvrir dès le lendemain…

De confortables fauteuils offrant une excellente assise dans l’une des salles du complexe CGR – le cinéma d’Auxerre pour les non-initiés ! -, un écran super dimensionné plongeant le regard des spectateurs au cœur de l’action, le son Dolby à la résonance acoustique si extraordinaire, l’atmosphère sympathique d’une salle bien remplie comme lors d’une projection de l’un des fleurons du septième art où il ne manquait finalement que les pop-corn : bref, la CPAM de l’Yonne faisait relâche avec ses moyens de communication traditionnels, invitant un public, ciblé parmi les milieux associatifs sanitaires, et la presse, à une séance cinématographique, sans doute chargée en émotivité et en liquide lacrymal à répandre sur les joues des plus sensibles d’entre nous…

 

Les préjugés et le regard cruel des autres…

 

Trente-deux minutes et quelques bribes de témoignages en sus, extraits d’un autre film. Un chiffre qui correspond à la durée du moyen métrage – il a été conçu en 2015, on y aperçoit d’ailleurs le regretté secrétaire général des Nations Unies, l’Egyptien Boutros BOUTROS-GHALI, personnage charismatique au grand cœur et d’une rare tolérance y répondre à une interview – devant être présenté en guise de support introductif à l’intervention d’un orateur hors pair et au ton décalé mais d’un grand supplément d’âme, Pascal JACOB. Nous y reviendrons dans un autre article.

« Même pas peur ! ». Un titre à la sémantique enfantine qui ferait presque sourire si le sujet abordé n’y était pas aussi sérieux et grave. Celui des préjugés et du regard des autres. De la peur, aussi. Dur, impitoyable, cruel, remuant les consciences et les âmes – c’était le but avoué, non ? – et traduisant l’inéluctable réalité vécue par celles et ceux qui en tiennent la vedette bien malgré eux : des handicapés.

Que nenni ! Des « personnes » handicapées, car comme le mentionnera l’un des témoins de ce film qui est loin d’être une simple fiction : « nous sommes des personnes avant tout, bien avant d’être des handicapés ».

 

 

 

Une déchirure qui transperce le cœur : le jugement d’autrui…

 

Les images s’enchaînent. Regard d’enfants sur le monde des invalides et les fameuses différences. Avec son lot de situations cocasses : un garçonnet intrigué par une personne se mouvant dans un fauteuil roulant qui s’installe in fine sur ses genoux pour faire un petit tour comme s’il était à bord d’un manège. L’idéal pour faire tomber les préjugés et vaincre la peur de l’autre. Un zeste d’humour salvateur qui déride la salle. Ouf ! Elle en a besoin. Il est vrai que certaines images, certains commentaires nous hérissent le poil.

« Les regards des gens sur mon handicap sont autant de déchirures qui me transpercent le cœur… ». Le jeune homme qui se livre à cœur ouvert face caméra affiche une mine triste. On le sent bouleverser par tant d’injustice, tant de coups du sort. C’est vrai : il n’a pas choisi de vivre avec ce statut qui lui colle à la peau de personne victime d’un handicap…

Les spectateurs s’enfoncent davantage dans leurs fauteuils. Pourtant, le réalisateur – les réalisateurs devrait-on dire car ils sont au nombre de trois avec Adrien JOUSSERANDOT, Nelson CASTRO et Pascal JACOB, lui-même qui en écrira le scénario - ne livre pas de messages où le pathos fleurirait de séquence en séquence. Juste la réalité ordinaire d’une existence malmenée par le destin.

 

 

L’humain s’enrichit des différences des autres…

 

Commande de l’Elysée, au temps de François HOLLANDE, dans le cadre de la Conférence nationale du handicap (CNH), ce moyen métrage est porté par l’association HANDIDACTIQUE qui n’en est pas à une réalisation visuelle près.

C’est la première fois qu’il est projeté dans l’antre cinématographique auxerrois.

Interrogé dans son vaste bureau entouré de somptueux ouvrages, le créateur des Centres d’action médico-social précoce (CAMSP), Roger SALBREUX résume tout à la lumière de cette introspection vers l’altruisme et la compréhension de l’autre d’une phrase tellement riche : « l’humain s’enrichit des différences des autres… ».

Installée parmi les premiers rangs, Maryline SAINT-ANTONIN, adjointe à la Ville d’Auxerre en charge de la Santé et de la Solidarité, a le regard qui pétille. En sa qualité de médecin, aussi, son regard est intéressé.

Que dire, après une telle projection qui a un rôle de tolérance pédagogique que bon nombre d’écoles, d’entreprises, d’associations mais aussi de particuliers devraient au moins avoir visionné une fois dans sa vie !

 

 

Non loin de l’élue communautaire, la vice-présidente du Conseil départemental Catherine MAUDET – elle est aussi présidente de la CDAPH - livre ses impressions en ne montrant pas trop son bouleversement : « il est important de poser des jalons dans l’Yonne et préparer davantage les médecins sur le champ du handicap… ».

Et d’ajouter, preuve à l’appui, l’ouverture d’une classe préparatoire aux études de médecine, initiée par son collègue Gilles PIRMAN, sur notre territoire.

« On devrait tous se sentir bien dans une salle de cinéma », proclamait la petite bande annonce liminaire de « Ciné Ma Différence » avant la projection.

Visiblement, et avant que Pascal JACOB, président de la « Charte Romain Jacob », honorant ainsi la mémoire de son fils trop tôt disparu, ne recueille les impressions à chaud du public, c’est le sentiment qui prédominait dans cette salle auxerroise bien garnie (plus de cent-vingt personnes) et émue.

Une charte soutenue et validée par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie en France comme le confirmera Gilles BROSSARD, directeur de l’entité icaunaise, et l’UGECAM Bourgogne Franche-Comté, organe assurant la gestion d’une vingtaine de structures sanitaires et médico-sociales, représenté par son directeur général, Christophe ALLIGIER.

Une séance si particulière qui ne pourra plus jamais laisser ces spectateurs indifférents à la cause du handicap…

 

Thierry BRET

 

 


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Décidément, la pilule a bien du mal à être avalée. Ne parlons pas de son hypothétique digestion ! La fermeture de l’une des antennes du collège de Bléneau – pour cause de vétusté -, actée par le Conseil départemental, suscite bon nombre de réactions négatives et surtout revendicatrices de la part de la sphère politique. En premier lieu, les membres de la NUPES (Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale) qui appellent à rejoindre un rassemblement citoyen organisé par le collectif Bléneau Actions ce samedi en fin de matinée devant la mairie…

 

BLENEAU : C’est le développement de la ruralité qui trinque en bout de course. A partir de cet argument primordial où l’attractivité d’un territoire est dans le collimateur en termes de désertification, plusieurs mouvements politiques de l’opposition départementale, à l’instar des syndicats de l’enseignement, se mobilisent à l'invitation d'un collectif local contre la décision de fermeture du site de Bléneau, l’un des trois éléments jusque-là opérationnels qui composent ce collège de Puisaye.

A l’invitation du collectif Bléneau Actions, les représentants d’Europe Ecologie Les Verts, La France Insoumise, le Parti Socialiste et le Parti Communiste, la NUPES – plus spécifiquement celle qui est incarnée sur la première circonscription de l’Yonne par sa porte-parole aux dernières législatives Florence LOURY – s'associent à un grand rassemblement de la population, samedi 03 décembre, à 11 heures. Une concentration d’insatisfaits devant se dérouler face à la mairie. S'y retrouveront les élus municipaux, les organisations syndicales, mais aussi les usagers et les personnels. Une présence protestataire contre la raréfaction des services publics, notamment ceux de l’éducation, dans les campagnes.

 

Mais où se situe réellement l’intérêt de l’enfant pour le PCF 89 ?

 

Quant à la nouvelle secrétaire générale du Parti Communiste de l’Yonne, Marie-France GHERSI, elle n’est pas tendre avec l’exécutif départemental.

« Le Département n’a aucune vergogne à afficher sa propre carence pour expliquer sa décision, précise-t-elle. En effet, c’est bien parce qu’il n’a pas entretenu les bâtiments avec suffisamment de régularité et de soin que leur état est devenu vétuste. La majorité politique aux commandes du département de l’Yonne a laissé sciemment les lieux se dégrader pour mieux les fermer au public scolaire à la rentrée prochaine. Cette inaction est honteuse ! ».

Puis de reprendre : « Conjuguer l’intérêt de l’enfant avec celui du dogme de la réduction des finances publiques n’est pas notre conception de la bonne gestion des besoins des usagers du service public d’éducation. Nous estimons que les petites structures éducatives, telles le collège de Bléneau, permettent une proximité renforcée avec les élèves ce qui, du point de vue pédagogique, est un atout. Il faut les conserver. Nous estimons aussi que, compte tenu du territoire concerné, répartir les collégiens de Bléneau dans les établissements environnants et les obliger, de fait, à prendre des transports scolaires (pour peu qu’il y en ait …) tôt le matin pour un retour à la maison tard le soir, n’est pas dans « l’intérêt » de l’enfant... ».

 

 

Une perte d’attractivité inexorable pour les territoires privés de services publics…

 

Un PCF de l’Yonne qui s'oppose à la fermeture du collège et soutiendra toutes les initiatives que prendront les parents d'élèves, les enseignants, les organisations syndicales et les élus locaux pour le défendre.

« Rayer de la carte une institution publique comme un collège au moment même où le gouvernement et le Conseil Départemental nous rebattent les oreilles avec un discours de défense de la ruralité, c’est prendre les citoyens pour des demeurés, affirme Marie-France GHERSI, quand la majorité gouvernementale et la droite icaunaise ont supprimé en Puisaye la gendarmerie, la Trésorerie publique et veulent faire de même maintenant avec le collège de Bléneau, comment croire un seul instant à leurs discours sur la nécessaire revitalisation des territoires ruraux ? Comment imaginer que ces territoires pourront être attractifs avec une telle suppression de services publics essentiels à la population ? ».

Le PCF 89  demeure dans la vigilance, par ailleurs. Car, d’autres établissements sont dans le viseur. « Sans que l’intérêt de l’enfant ait à voir quelque chose là-dedans ! », conclue son porte-étendard.

 

Thierry BRET

 

 


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Quinze ans. Un sacré bail, convenez-en. C’est la période durant laquelle la commission des femmes de l’artisanat de l’Yonne s’est retrouvée en vacance totale d’une présidente. La faute serait-elle imputable à l’absence d’éventuelles candidates ? Par souci de motivation ? Pourtant, la place de la gent féminine au sein de la corporation n’est plus à démontrer. Surtout au sein de la CAPEB où le statut de conjoint collaborateur y a pris ses origines…

 

AUXERRE: Il est content, le président de la CAPEB départementale. Jean-Pierre RICHARD a enfin trouvé son alter ego (ou presque) en mode féminin depuis la nomination de Sarah DEGLIAME-PELHATE à la tête de la commission féminine de l’institution. Plus exactement, la commission des femmes de l’artisanat de l’Yonne.

Elue depuis peu à ce poste, Sarah DEGLIAME-PELHATE, elle-même cheffe d’entreprise qui exerce son savoir-faire dans le bâtiment – elle fut autrefois engagée en politique en qualité d’adjointe à la municipalité d’Auxerre – apportera un regard constructif et novateur sur la fonction.

 

 

Son élection lui permet également d’intégrer le conseil d’administration de la CAPEB (confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment). Seule candidate à se présenter, l’entrepreneuse sera épaulée par Séverine VALLET. Cette dernière occupera en effet la fonction de secrétaire.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Un visage miniature, façon « Pierrot lunaire », contemple les visiteurs admiratifs de la galerie « Mouv’Art ». Plus loin, c’est un tableau de feutre, obtenu à partir d’un minutieux travail de laine cardée qui rappelle une reine de France. Celle qui aimait tant les agneaux et la laine qui leur poussait sur le dos, Marie-Antoinette. Présente dans un petit médaillon, elle donne la réplique virtuelle à un autre personnage à la silhouette royale et familière, sans doute Louis XVI. Bienvenu dans le monde imaginaire et très « feutré » de l’artiste Stéphanie BODIN…

 

AUXERRE : Elle a su franchir le pas, l’artiste originaire de Lorraine ! Et proposer aux visiteurs auxerrois de la galerie MOUV’ART, une très enthousiasmante présentation de son travail, fin et minutieux, réalisé de manière individuelle, bien loin des aventures collectives avec lesquelles elle collabore d’ordinaire.

L’univers est singulier. Fascinant, même si l’on y prête grande attention. Car, il y a bien des révélations historiques, symboliques, ésotériques à déceler à travers ces œuvres de feutre qui occupent cet antre de la vie culturelle du cœur de ville auxerrois.

Stéphanie BODIN est une touche-à-tout de talent qui s’aventure dans bon nombre de strates inspirantes au niveau de son imaginaire si fécond. La royauté, la préhistoire – eh oui, on t’a reconnu « petite Vénus » du paléolithique qui agrémente l’un des cadres suspendus à une surface murale -, ésotérisme avec ces personnages humains digne de la mythologie se mélangeant à des formes animales et végétales, voire maçonnique avec une surprenante interprétation créative de deux colonnes porteuses de lune et de soleil ouvrant la porte d’un temple où s’élève dans les airs un étrange personnage – le Grand Architecte de l’Univers sans doute ?!-, entre rêve et réalité, vie terrestre et autre monde.

 

 

 

Puiser ses références parmi l’art populaire…

 

Un travail, subtilement réalisé par une artiste qui ne se contente pas du conformisme. Déjà par le choix de ces thèmes peut-être un peu trop abscons dont elle traduit les messages forts. Mais, aussi par la matière lui servant de support. Ce feutrage qu’elle obtient à partir de laine cardée, matière naturelle, noble, douce, chaleureuse, vivante en somme. Le tout conférant à l’ensemble une véritable magie.

Se définissant comme un artisan d’art, cette amoureuse des textiles qu’est Stéphanie BODIN créée des panneaux en relief, des sculptures, puisant ses références parmi le vaste catalogue de l’art populaire.

En 2023, l’artiste devrait se rendre dans la Creuse, dans la capitale mondiale du feutre de laine à Felletin.

Matériau peu utilisé en France, la laine cardée est en revanche très développée en Russie, en Europe de l’Est ou en Scandinavie. Quant au feutre utilisé en France, il sert à fabriquer des chapeaux, sacs et bijoux.

« J’aime valoriser la laine qui est noble mais détruite en très grande quantité, explique-t-elle, j’aime travailler ce matériau rustique et si précieux à mes yeux... ».

A ne rien modifier, c’est sûr pour cette artiste à découvrir jusqu’au dimanche 04 décembre à la galerie MOUV’ART…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le travail, c’est la santé ! On connaît tous l’éternel ritournelle du regretté Henri SALVADOR qui prônait en 1965 les vertus mirifiques du labeur, incitant toutefois dans la strophe suivante les auditeurs à ne pas trop forcer en terme de job pour mieux la conserver ! Mais, désormais, l’équilibre familial à préserver est devenu la nécessité ! C’est sur ce credo que se positionne « La Tribu Digitale », organisme de formation qui veut joindre l’utile à l’agréable…

 

AUXERRE : Concilier les aspects cocooning de sa vie familiale et parentale aux exigences imputables au milieu professionnel n’est pas nécessairement une gageure ! Si l’on en croit les vertus idylliques du programme de coaching, décliné par « La Tribu Digitale », organe de formation spécialisé dans les métiers du marketing et de la communication numérique, c’est possible et les jeunes mamans qui veulent profiter de leur tendre progéniture tout en travaillant peuvent le faire en s’épanouissant !

 

Une émission audiovisuelle par le biais de la « Télé de l’Yonne »…

 

A raison d’un rendez-vous mensuel, la fondatrice de ce concept, novateur – il a eu les honneurs épistolaires du magazine « Marie-Claire » - Nathalie GRIMAUD-MORVILLEZ décline sur le canal de la « Télé de l’Yonne » - web TV informative de notre confrère Miguel MARQUEZ – le temps d’une émission depuis les studios du média icaunais les us et coutumes de ce soutien bénéfique à l’entrepreneuriat au féminin.

Un sérieux plus qui se présente sous des thématiques diverses et variées, faisant l’objet de rendez-vous face caméra ayant pour appellation « l’organisation et les motivations à recouvrer à chaque rentrée après des périodes de vacances », « la manière de communiquer différemment lorsque l’on est une entrepreneuse », « les aides à obtenir quand on est une femme créatrice de valeurs ajoutées entrepreneuriales » ou encore « les étapes évolutives de l’entreprise en fonction des aléas de la vie ».

Bref, du rendez-vous testimonial pur jus et pragmatique qui offre l’opportunité à la fondatrice de « La Tribu Digitale » d’endosser la vêture de la rédactrice en chef de cette émission de plus en plus suivie sur le Net où elle apparaît en doublette avec sa chroniqueuse, Nolwenn GOAGUEN, adhérente de son concept. Un rendez-vous où se greffe un invité ayant des choses à dire sur l’entrepreneuriat et tous ses dérivatifs, il va de soi.

Mère de quatre enfants – elle a vécu par elle-même bon nombre des situations cocasses dont elle évoque le contenu sur le plateau de l’émission – Nathalie GRIMAUD-MORVILLEZ n’est pas une inconnue dans l’Yonne. La jeune femme est en partie à l’origine de la communauté des « Mamans Digitales » où elle préparait déjà les prémices de ses projets audiovisuels puisque l’entité visait au retour à la vie active des jeunes mères.

 

Des cycles de formation menant au métier de « community Manager »…

 

Avec la Tribu Digitale, ce sont aussi plus de mille parents qui ont ainsi été formés aux préconisations et conseils de la jeune maman, diplômée de l’IPAG – une école de commerce et de management - et spécialiste du marketing digital.

A la lecture du programme de formation ad hoc, proposée par la structure – un suivi pédagogique finançable par Pôle Emploi par ailleurs -, devenir free-lance afin de porter un projet de « social média manager » est le socle du dispositif. Il suffit de petits trois mois pour suivre en ligne ce concept bien rôdé et sur-mesure, ciselé aux petits oignons avec des tutrices, pour se préparer à ce nouveau métier. Un cursus qui ne se cantonne pas uniquement à de la théorie. Et tout cela à vivre depuis son domicile, avec ou pas ses enfants !

Devant le succès rencontré, des femmes sans enfant mais aussi des pères de famille en solo se disent intéressés par le suivi de ces cours. Adepte des réseaux, Nathalie favorise aussi l’entraide avec son réseau. Ainsi, le groupe d’apprentissage peut profiter de la bienveillance des membres de cette vaste communauté qui soutient les stagiaires.

Moralité de l’histoire : on peut donc joindre l’utile à l’agréable. La vision du travail associée à celle de la vie familiale. Ce qui fait dire à Nathalie GRIMAUD-MORVILLEZ, que « d’être parent est un plus et non un frein dans la vie professionnelle d’aujourd’hui, il est donc important de pouvoir aider tous ces parents qui souhaitent concilier leur vie familiale avec leur travail… ».

Une « Tribu Digitale » que tout à chacun peut rejoindre afin d’y vivre différemment sa relation au monde du travail…

 

Thierry BRET

 


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