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Le chef de file national du parti des démocrates et des indépendants n’en démord pas. L’institution européenne ne protège pas assez les entrepreneurs français de la concurrence déloyale. A l’intérieur en faisant référence aux travailleurs détachés dont la présence inonde des secteurs cruciaux de l’économie comme le bâtiment ou les transports. Ni à l’extérieur puisque l’abondance de produits américains et chinois sur le marché impacte les marchés sans que les normes soient identiques. Pire : la France rajoute des couches normatives là où il n’y en aurait pas besoin….

AUXERRE : Désormais, en matière de sémantique, les consommateurs français devront réviser leur latin avant de faire leurs courses. Une récente décision européenne oblige en effet les producteurs de légumineuses et de fruits à spécifier sur leurs étals la provenance de leurs produits.

Non pas, au plan de la localisation géographique, preuve de leur traçabilité mais bel et bien au niveau de la catégorie scientifique de l’article mis en vente. Ainsi, les variétés de salades et de tomates arboreront leur désignation latine !

Le texte officiel de cette subtilité linguistique émane de l’Union européenne.

« Une décision, parfaitement inutile, ironise le leader national de l’UDI, Jean-Christophe LAGARDE.

Tête de liste de l’Union des démocrates et des indépendants, le député de la cinquième circonscription de la Seine-Saint-Denis livre ses orientations à quelques mois de l’échéance.

La sécurité est l’un de ses chevaux de bataille. « Créons un FBI européen, précise-t-il,  et dotons de plus de moyens humains et financiers FRONTEX, le système de gardes-frontières de l’Europe afin de maîtriser la politique d’immigration… ».      

L’homme politique n’en omet pas moins d’évoquer l’avenir de nos industries. « L’intelligence artificielle a un rôle à jouer pour renforcer notre présence dans ce domaine. Il n’y a pas que la Chine ou les Etats-Unis qui doivent posséder le monopole en la matière ; la France doit intervenir sur ce sujet essentiel mais avec la complémentarité des autres pays européens… ».

Une complémentarité qui existe déjà et fait cruellement défaut à la France.

« Je trouve insensé de ne pas utiliser davantage les crédits européens dans l’Hexagone alors que bon nombre de nos partenaires de l’Union y accèdent à profusion… ».

Il n’y a pas d’Europe sans agriculture…

Pan de l’activité économique capital à ses yeux, Jean-Christophe LAGARDE fait plusieurs propositions. Il souhaite récupérer les trois milliards d’euros initialement versés aux Britanniques en cas de BREXIT pour les attribuer au budget de la Politique Agricole Commune (PAC).  Si la sortie du glyphosate et du cuivre devient une nécessité environnementale, a contrario, il faut aider les agriculteurs à changer de méthode de production.

« L’avenir du monde agricole passe par l’avènement d’exploitations à taille humaine et raisonnable, concède-t-il, en d’autres termes, il est indispensable de privilégier le modèle français ! Cela passe par un plafonnement des aides à 100 000 euros, voire 80 000 euros, pour financer les vraies exploitations ; et non les « usines ». Enfin, et pour simplifier les démarches administratives, il faut préconiser la mise en place de contrats pluriannuels de cinq à six années. C’est devenu tellement compliqué que de nombreux agriculteurs ont recours dorénavant à des prestataires externes. Concrètement, si le professionnel doit investir, changer de méthode ou de produits, les règles ne changent pas durant cette période. Ce qui offre à l’agriculteur de réaliser des économies de paperasses supplémentaires… ».

En revanche, le responsable de l’UDI n’a pas caché son inquiétude pour le monde viticole.

« Le marché souffre actuellement du fait du BREXIT. Les Britanniques disposent aujourd’hui de stocks importants. Cela risque d’être catastrophique une fois que la Grande-Bretagne sera sortie de l’Union européenne… ».

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Avant de sortir de l’Europe, s’inspirer du modèle britannique…

Evoquant la ruralité, la pensée de Jean-Christophe LAGARDE se rapproche de celle du chef de l’Etat : « il faut miser sur les métropoles qui sont des « premiers de cordée ». Mais, il ne faut surtout pas oublier les suivants ! Autrement dit, les métropoles doivent servir à l’ensemble du territoire. Pour ce faire, il ne faut pas fermer tous les services publics et surtout s’assurer qu’il y ait une meilleure redistribution des métropoles à la ruralité… ».

En guise de conclusion à cet entretien, le patron de l’UDI décrochera quelques flèches en direction de personnalités comme Marine Le PEN, Jean-Luc MELENCHON ou encore Nicolas DIUPONT-AIGNANT.

« Ils veulent que la France se désengage de l’Europe en ayant applaudi par exemple ce qu’ont décidé les Italiens et leur nouveau gouvernement. Mais, avec objectivité, il est important de regarder la situation délétère économique de la Grande-Bretagne. Et je rappelle que les Britanniques ne sont même pas encore partis ! ».

Une petite pichenette en direction de ces autres ténors de la politique avec une dose d’humour à l’anglaise…

 


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L’initiative fera parler d’elle, assurément. Dès que la cible d’accueil, une structure issue du milieu industriel se prêtant au jeu, aura été clairement identifiée par le concepteur de ce projet. Mais, immerger une semaine durant et dans le cadre d’une découverte réelle de la vie active au plus près des cadres et salariés, de jeunes lycéens fréquentant la classe de seconde correspond à un concept détonant et visionnaire pour le directeur du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, Marc BESANCENEZ…

AUXERRE : Serait-ce la résultante de sa propre expérience vécue par le passé que le directeur du groupe scolaire privé auxerrois souhaite mettre en exergue avec ce projet ? Toujours est-il que Marc BESANCENEZ travaille à fond à l’heure actuelle sur la mise en place d’une immersion de ses élèves, ceux de classes de seconde, dans la sphère industrielle.

L’idée ne manque ni d’originalité ni de pertinence. Il s’agira de proposer, dans un delta de cinq jours, un emploi du temps élaboré autour du cursus scolaire en corrélation directe avec les besoins réels d’une entreprise.

Des cours seraient assurés par l’encadrement et les dirigeants de l’entreprise d’accueil avec la complicité pédagogique des équipes enseignantes.

Pour l’heure, Marc BESANCENEZ n’a pas encore sélectionné la société industrielle de l’Auxerrois qui se prêterait à cette expérience totalement nouvelle dans l’Yonne.

« L’idéal, précise le directeur du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, serait une structure suffisamment importante dans son mode opérationnel qui puisse balayer les sujets éclectiques dont nous voulons aborder la présentation : l’innovation, la production, le marketing, l’export, le juridique, l’humain et la communication. L’objectif étant pour ces jeunes gens de classes de seconde de se forger une idée concrète de ce qu’est une entreprise et comment elle opère dans son environnement… ».

Afin d’optimiser cette initiative qui pourrait s’appliquer dès cette année 2019, Marc BESANCENEZ désire limiter le nombre d’élèves à une vingtaine de jeunes gens. Pour respecter la fluidité des cours et faciliter l’intégration des lycéens au plus près des arcanes du milieu professionnel. Reste maintenant à trouver l’entreprise industrielle prête à relever le challenge…


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Lorsque le mouvement et le son font la paire : on peut s'attendre à un beau voyage musical. « MOUsSON » est une délicieuse dérive orchestrée par un trio d'acteurs-danseurs-musiciens aussi sensible qu'ingénieux. A voir en ne boudant pas son plaisir !

AUXERRE : « MOUsSON » connut une belle destinée il y a vingt ans lors de sa création. Quelques saisons plus tard, ses concepteurs ont eu envie de ressusciter ce bel orage qui fait pleuvoir toutes sortes de pépites sonores sur le plateau.

Ici, le geste est prétexte à la musique - à moins que ce ne soit le contraire - tout le sel de l'expérience consistant à associer les deux par le regard. Cela est parfois simple. Et parfois, cela défie l'entendement...

Scénographie sonore au plein sens du terme, « MOUsSON » fourmille d'inventions bricolées avec un imaginaire débridé et fait de poésie que n'aurait pas renié Léonard de Vinci.

Caravelles musicales en bois clair, forêt de trépieds dont les fruits sont d'étranges toupies chantantes, bulles translucides aux rumeurs d'accordéon... La grande réussite du spectacle tient à ceci que la qualité du son le dispute à celle de l'image.

À tel point que si l'un des deux manquait, le plaisir n'en serait peut-être pas moins grand ! Costumes délavés aux coupes asiatiques ou combinaisons plastique jaune canari, tour à tour méditatifs ou espiègles, Brenda CLARK, Markus SCHMID et Quentin OGIER sont les trois acteurs-orchestrateurs de ce ballet, aussi visuel que musical, qui nous invite à voyager bien loin.

On souhaite que de telles moussons reviennent nous rendre visite plus souvent qu'à leur tour.

Claire CLEMENT


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L’excitation des grands soirs électoraux n’était guère palpable dans le bureau de vote des élections professionnelles du monde agricole, ce mercredi soir à Auxerre. Bien qu’il y ait des innovations techniques apportées à ce mode de scrutin avec l’avènement de l’expression électronique. Nonobstant cet artifice numérique, devenu incontournable, le taux de participation global, in fine, équivaut à 28,6 %. Opposée à la Confédération paysanne et à la Coordination rurale, la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) n’a connu aucune difficulté pour poursuivre à la tête de la chambre consulaire départementale sa gouvernance, via une nouvelle mandature de six ans à la clé…

AUXERRE : Le nom du successeur du président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, n’est pas encore connu. Mais, déjà, les supputations vont bon train dans le landerneau agricole local.

Pour se faire, les observateurs devront faire montre de patience, jusqu’à la date du 04 mars, pour en connaître davantage sur le profil type de l’heureux élu. Celui qui aura la lourde tâche de présider l’organe indissociable du monde agricole. Organe en pleine mutation du fait de la régionalisation avec la Franche-Comté.

Ce jour-là, le 04 mars, une session spéciale sera organisée dans les locaux de la vénérable institution. Un fait qui a été confirmé par le directeur de la chambre, Hervé MIVIELLE, qui assistait avec beaucoup d’intérêt au dépouillement des bulletins de vote mercredi soir.

Non seulement, les nouveaux élus, issus de ce scrutin, occuperont pour la première fois leur fonction. Mais, en outre, ils auront pour mission initiale à élire leur représentant suprême dans le fauteuil présidentiel. Avant de désigner les membres du nouvel exécutif qui composeront le bureau.

D’ici là, en excellent président investi jusqu’au bout de son mandat, Etienne HENRIOT assurera la gouvernance de l’institution sous un mode intérimaire. Ce dernier conservant par ailleurs de nombreux mandats dans les milieux de l’agriculture.

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Un suffrage très favorable à la FDSEA…

Dans le principal collège, celui des « chefs d’exploitation et assimilés » qui donnent la ligne directrice de l’appareil institutionnel, la FDSEA supplante largement les deux autres forces en présence, remportant le scrutin avec 60,76 % des suffrages. Quatorze sièges tomberont ainsi dans l’escarcelle du syndicat majoritaire. La Coordination rurale obtient un score de 20,05 % tandis que la Confédération paysanne plafonne à la limite des 20 % des votes (19,19 %). Dix-huit sièges étaient dans la balance de cette future représentativité.

Elue également à une large majorité, la FDSEA remporte le scrutin du collège des « propriétaires et usufruitiers ». Le syndicat en fera de même pour le collège des « anciens exploitants et assimilés » avec un score de près de 75 % (74,75 %). La Confédération paysanne récoltant au passage 25,27 %.

Trois personnes occuperont également un poste dans le collège des « salariés de la production agricole ». Ils représentent la CFTC Agricole (27,42 %), la CGT (25,08 %) et la CFDT (19 %). Force Ouvrière (14,72 %) et la CFE-CGC (13,71 %) fermant la marche de ce scrutin.

Quant au collège des « salariés des groupements professionnels agricoles », qui enregistre 2 302 inscrits, il aura vu une légère domination de la CGT (28,37 %) devant la CFE-CGC à 25 %.

Le collège « coopératives de production agricole » livrera aussi son verdict. Un siège reviendra à la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole) avec un score digne d’un plébiscite, soit 100 % des votants !

La FDSEA gagnera sans l’once d’un accroc le collège « autres coopératives » où trois sièges étaient à pourvoir. Score de 100 % des suffrages.

Le collège « caisses de Crédit agricole » est dévolu à la Caisse du crédit agricole, de manière légitime. Tandis que le collège « caisses d’assurance mutuelles agricoles et caisses de Mutualité Sociale Agricole (MSA) » sera assuré par la MSA GROUPAMA avec là-aussi un score sans appel de 100 %.

Enfin, l’ultime collège, celui des « organisations syndicales à vocation générale d’exploitants agricoles ou de jeunes agriculteurs », il revient à la FDSEA qui a obtenu gain de cause auprès des votants.

 


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Structure entrepreneuriale en perpétuelle croissance depuis ces trois dernières saisons, le groupe BELLIER livrera d’ici quelques jours ses premiers escaliers, des produits uniques conçus sur mesure, aux Etats-Unis, sous sa marque habituelle OEBA. La PME concrétise ainsi plusieurs mois d’intenses démarches consacrées à l’export vers le continent nord-américain. Et plus particulièrement dans l’état de l’Arizona où elle vient de prendre ses marques…

FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Concevant des produits de belle facture, des escaliers traditionnels réalisés sur mesure à base de bois, de verre et d’inox, le groupe BELLIER entame ce mois-ci une phase stimulante de sa longue existence.

Ses deux premières commandes, des escaliers produits dans l’unité de production du Loiret, destinées à l’export seront livrées et posées sur le sol américain avant la fin de février.

Profitant d’une opportunité très bénéfique, Samuel POISSON, président de la SAS, mise aujourd’hui sur le volet de l’international pour faire croître l’outil de travail qui emploie aujourd’hui plus d’une cinquantaine de collaborateurs. Et de facto son chiffre d’affaires.

Une immersion en Arizona aura permis au dirigeant de la PME de nouer des liens stratégiques et précieux avec des architectes et constructeurs de maisons individuelles. L’objectif étant de capitaliser sur le savoir-faire de l’entreprise et les valeurs du made in France pour importer sur un marché américain aux fortes potentialités de développement des escaliers à la française.

Se situant sur la cible du moyen/haut de gamme, l’activité pourrait être soutenue à terme au pays de la bannière étoilée. En effet, peu de fabricant d’escaliers traditionnels y exercent leur influence.

 

 

 

L’ouverture d’un show-room à Phoenix à l’étude…

Représenté sur place par un consultant multicarte qui fait office aussi de distributeur, le groupe BELLIER ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires de 400 000 euros dès le démarrage de cette nouvelle activité américaine. Du moins pour la première année. Avant d’envisager de dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires, un objectif qui surviendrait un peu plus tard.

Développer un maillage territorial en Arizona, couplé avec l’ouverture d’un show-room à Phoenix, la capitale de cet état, permettraient très vite d’assurer la prospérité de la marque OEBA aux USA.

D’autant que les premières consultations commerciales, auprès de contacts implantés au Texas et dans d’autres états limitrophes, s’avèrent déjà probantes.

Même si le groupe ne possède pas encore d’expériences comparables à l’export, malgré une tentative qui se révéla infructueuse au Moyen-Orient il y deux ans (présence sur un salon professionnel à Abu Dhabi), BELLIER souhaite jauger le marché nord-américain afin de bien en comprendre les mécanismes. D’ailleurs, sa capacité, pour l’heure, se limite à ces projets circonstanciés en Arizona.

La PME aux 5,6 millions d’euros de chiffre d’affaires a bénéficié du soutien de BPI et de ses partenaires bancaires habituels pour consolider ce projet de développement extra-européen.


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