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Il est émerveillé par ce qu’il a vu, le chef Michel BLANCHET ! Une splendide école que ce CIFA d’Auxerre, centre de formation accueillant les candidats à l’apprentissage, qui vient de le combler d’aise dans son rôle de parrain de la promotion 2023, du concours de « Meilleur Apprenti de France », sélection départementale de l’Yonne, catégorie cuisine. Un superbe compliment dans la bouche de cet ancien double étoilé au Michelin – le fameux « Tastevin » de Maisons-Laffitte, temple du cheval - et trois fois lauréats du MOF des cuisiniers…Un virtuose de la gastronomie !

 

AUXERRE : Chef restaurateur durant près de cinquante ans, connu et apprécié de ses pairs dans le monde entier – ses multiples voyages au Japon et ailleurs -, formateur lui-même de plus de 120 apprentis aussi bien en salle qu’en cuisine, Michel BLANCHET a fait une étape remarquée, ce mardi après-midi, dans la capitale de l’Yonne, à l’occasion du concours de l’un des « Meilleurs Apprentis de France », dans sa discipline de prédilection, la cuisine. Il endossait la vêture de parrain de la fameuse manifestation à laquelle participait une petite dizaine de futurs adeptes d’Escoffier.

C’est au célèbre « Tastevin », grande maison francilienne sise à Maisons-Laffitte que cette figure emblématique de l’art culinaire à la française a eu ses heures de gloire, dont quinze années en classification double étoile au Michelin que Michel BLANCHET s’est forgé non seulement une inébranlable réputation et un patronyme.

Maître Cuisinier de France, titulaire de l’honorable distinction de chevalier de l’Ordre national du mérite, le chef, aujourd’hui à la retraite, est toujours d’un avis très précieux dans les jurys lors de challenges aussi passionnants que ceux du meilleur apprenti de France.

 

 

Des critiques constructives de la part du parrain…

 

Surpris agréablement par ce qu’il a dégusté – notamment des œufs en meurette -, la célèbre toque y a été de ses commentaires au moment de la remise des prix.

« La sauce au vin rouge de ce mets était bien réalisée, dira-t-il en substance. Davantage critique sur l’esthétique de la présentation, Michel BLANCHET met l’accent sur la jeunesse et le manque de maîtrise bien légitime des courageux candidats pour les aspects un peu plus négatifs de ce qu’il a observé dans les assiettes.

« Il y a eu des erreurs de cuisson, des fautes de taillage dans certaines présentation, ajoute-t-il, mais les cuissons des poissons étaient à peu près respectées… ».

Pour sa première visite à Auxerre – il ne connaissait pas le centre de formation auxerrois -, Michel BLANCHET a salué les équipes et le professionnalisme des formateurs du CIFA de l’Yonne, qui une nouvelle fois ont fait preuve d’excellence dans l’organisation de cette animation de belle facture, selon lui.

 

Thierry BRET

 


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Philosophe et un brin nostalgique à l’idée de ce changement, le directeur du CCAS (Centre communal des Actions Sociales) et directeur délégué à la cohésion sociale de la Ville d’Auxerre ! S’il se reconnaît dans les pensées de Jean-Jacques ROUSSEAU – « là où il y a des règles, il y a des libertés » -, il se dit aussi le garant de l’âme du foyer d’accueil de jour, le « 6/8 » qui quittera prochainement la rue du Nil pour intégrer le Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) à quelques encablure de là…

 

AUXERRE : On le sent ému aux entournures, le responsable du CCAS de la Ville d’Auxerre. Certes, les témoignages des précédents interlocuteurs – le personnel administratif officiant dans cet endroit aussi paisible et havre de paix pour les déshérités en manque d’amour et de toit  ou ceux de deux pensionnaires de ce lieu fleurant bon l’altruisme et la chaleur humaine – l’auront peut-être quelque peu déstabilisé, côté émotivité.

Quoi de plus naturel en somme, que cette sensibilité s’exprime à fleur de peau quand on gère ce type d’établissement depuis près de dix-sept ans, en y inculquant autant de supplément d’âme.

Alors dès qu’il se saisit du micro, feuilles pense-bête couchées de notes qu’il ne lira à peine au final, Dominique TAILLEUR partage ses émotions qui s’extériorisent en le libérant. Devant un public faisant silence de plomb qui n’en manquerait pas une virgule. Ni un mot.

 

 

Prendre toute la sensibilité du lieu et la transporter là-bas

 

Oui, ce rendez-vous – cette cérémonie avec amis, bénévoles et représentants des milieux associatifs marquant la fin de toute une époque dans ce lieu mémoriel où s’affichent souvenirs et photographies – se veut festif. « Ce n’est pas la fin de quelque chose, clame-t-il, c’est le début d’une nouvelle aventure ! ».  

La transmission de l’âme, celle du « 6/8 » comme l’appelaient les SDF, vers un autre lieu, rue Thomas Ancel. « Oui, c’est bien de l’âme dont il s’agit, poursuivra Dominique TAILLEUR, on doit prendre toute sa sensibilité et la transporter là-bas. J’en suis le garant… ».

Et même s’il n’y a pas une once de métaphysique dans ces propos, personne parmi l’auditoire ne saurait oublier le souvenir de certains de ces pauvres hères, qui dormaient encore dans la rue il y a peu, aujourd’hui trop tôt disparus à cause de la maladie. Leurs prénoms seront égrenés comme un devoir de mémoire nécessaire pour les rendre éternels. Un bel hommage rendu à la fois à ces personnes, femmes et hommes, qui ont fréquenté ce refuge ; à ce lieu chargé en histoire de larmes, d’amour et de sang. Un hommage tel le garant des valeurs humaines et passeur d’âme aura su le faire…

 

Thierry BRET

 


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Désormais bien ancré dans le paysage culturel auxerrois, le festival des Rues Barrées a pour sa sixième édition battu tous les records en termes de fréquentation. Près d’une cinquantaine de spectacles au menu et autant de petits bonheurs plébiscités par un public gourmand de rires et de bonne humeur. Belle manière pour certains, de prolonger les vacances et d’effacer des esprits, le temps d’un week-end, la morosité de la rentrée à venir…

 

AUXERRE : A les voir sillonner les artères du centre-ville, le visiteur de passage peu au fait de l’actualité auxerroise, pouvait légitimement penser qu’en cette fin d’été, avait sonné l’heure de la transhumance pour tout ce qui s’apparentait à des transats, fauteuils et autres tabourets pliants ! Mieux valait, en effet, s’être muni du précieux ustensile pour espérer trouver une place assise et assister confortablement aux différents spectacles proposés. La notoriété du festival des « Rues Barrées » ne cesse de croître au fil des années et le public venu en nombre ne s’y trompe pas, communiant dans le rire, la poésie, les arts du cirque ou bien la magie, avec des artistes porteurs de rêves.

 

 

Des « ballerines » toutes de roses vêtues rue de Paris

 

Ouvrant le bal des festivités en ce samedi après-midi, ces « ballerines » en tutu avaient fière allure, toutes de rose vêtues et aux jambes gainées de bas blancs pour mieux cacher une pilosité très masculine ! Mêlant pas chassés et entrechats, entraînant dans leur sillage, rue de Paris, tel le joueur de flûte de Hamelin, tout un flot de spectateurs. Mais gare à l’imprudent qui s’approcherait d’un peu trop près, complice éphémère bien vite entraîné à son insu dans leur danse.

A quelques pas de là, place des Cordeliers, un couple de compères au nom prédestiné, « Garçons, la note », guitare et contrebasse en main, proposait au public leurs chansons à la carte, à partager et déguster sans modération. A peine dix minutes de marche pour rejoindre rue du Pont, Joseph et Eugénie, passés maîtres dans les arts circassiens mêlant acrobaties et jonglerie. Ou comment se reconstruire après un accident du genou en une chorégraphie inspirée par le rythme et la poésie. « Dont’worry », n’ayez pas peur et laissez-vous entraîner par la chanson éponyme qui tisse le décor de leur numéro, « Be happy » tout simplement !

 

 

 

Magie, équilibrisme, humour : la recette de ce festival

 

Dans un autre registre, comment ne pas tomber sous le charme d’Edgar et sa tente à roulettes venue d’ailleurs, « Objet Public Non Identifié » aux allures de cabinet mystère ? Passé par le monde du stand-up, Stéphane AMOS n’a pas son pareil pour se lancer dans une improvisation interactive avec le public, autour de numéros de magie théâtralisés à l’humour décapant. Les festivaliers ne s’y sont pas trompés et les quatre représentations ont fait carton plein de spectateurs. Comment ne pas évoquer également la prestation des acrobates danseurs de la Compagnie « Si seulement », où, autour d’un mât chinois, un homme et une femme défient les lois de la pesanteur, semblant se fondre dans leur univers épuré au seul son des guitares… Ou bien encore ce voyage intérieur proposé par Mira’T, sur le parking de la Tournelle, jouant de sa balance, en quête des limites des lois de l’équilibre, pour mieux nous interroger sur la fragilité de la condition humaine…

 

 

Eviter à tout prix le phénomène de concentration du public

 

Si le choix de la municipalité de déplacer d’une semaine le festival pour le jumeler avec la traditionnelle braderie organisée fin août par les commerçants auxerrois est manifestement le bon et un pari réussi au vu de l’affluence constatée dans les artères du centre-ville ce samedi, les « Rues Barrées » seront-elles un jour victimes de leur succès ?

Pour preuve, les longs moments d’attente, sous le soleil parfois, pour espérer profiter au mieux et dans les meilleures conditions des spectacles proposés, face à une affluence grandissante d’année en année.

Ne vaudrait-il pas mieux programmer des numéros un peu moins longs et les multiplier tout au long de la journée, quitte à les faire se chevaucher, de sorte d’éviter le phénomène de concentration que l’on connaît aujourd’hui, avec parfois jusqu’à plusieurs centaines de spectateurs réunis au même moment au même endroit ?

 

Dominique BERNERD

 

 


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Le fameux « 6/8 », bien connu des sans domicile fixe et autres personnes cabossées par l’existence qui proposait jusque-là le gîte et le couvert à Auxerre, va se transporter de manière définitive au numéro « 4 ». A la suite de son déménagement, effectif d’ici peu. Mais, pas dans la même rue. Le foyer d’accueil de jour intègrera le Centre d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) de la rue Thomas Ancel. Un choix imputable à une réorganisation de la structure…

 

AUXERRE: Un souffle de nostalgie balaie les différentes salles où se mêlent les invités de la réception et les habitués des lieux. Ici, un homme d’une cinquantaine d’années, barbe mal taillée et cheveux hirsutes, consulte sans trop se préoccuper du brouhaha naissant un écran d’ordinateur. Indifférent à l’atmosphère ambiante.

Là, dans une toute petite pièce, un autre tente tant bien que mal, en se protégeant le pavillon de l’oreille avec sa main gauche pour couvrir les bruits qui s’amplifient, de converser avec son interlocuteur à l’autre bout de la ligne de son portable. Images de la vie ordinaire, captées à brûle pourpoint dans un accueil de jour au début d’un après-midi.

 

Une institution qui va perdurer au CHRS

 

Le « 6/8 », nom couramment usité pour désigner le foyer réservé aux personnes sans domicile fixe, accueille il est vrai du monde en ce lundi tantôt. Normal, nous ne sommes plus qu’à quelques encablures de la fermeture définitive de ce site d’hébergement pour défavorisés.

Non pas de l’institution qui perdurera dès le 04 septembre ailleurs, au sein du CHRS d’Auxerre, sis au 04 de la rue Thomas Ancel, mais de ce complexe structurel, bien connu des Auxerrois.

Un lieu de vie et d’échange, d’espérance aussi pour toutes celles et ceux qui ont le malheur de basculer de l’autre côté du miroir. Celui de la solitude, de la précarité, de l’absence de chaleur humaine, de toit et de nourriture...jadis, les « clochards », désormais les SDF, un acronyme en trois lettres qui malheureusement au fil des ans et des crises successives qui s’abattent sur notre pays ne cesse de faire croître ses rangs. Bien malgré eux.

 

 

 

« Chaque fin est le début d’un nouveau départ »

 

Le déménagement n’est plus qu’une question de jour et la direction a décidé dans un ultime élan de vie de rendre festif le lieu, celui de la rue du Nil, pour la dernière fois avant que ne se referment définitivement les portes.

Expositions de visuels – on y aperçoit des photocopies de photographies prises il y a bien longtemps où l’édile de l’époque, Guy FEREZ, souriant et costumé venait à la rencontre de ses occupants de fortune -, scènes de joies iconographiques où des fruits et légumes se partageaient dans la bonne humeur avec les résidents chaque lundi, présentation de petits mots placardés sur un panonceau de bois à la calligraphie mal assurée.

Extraits de ces textes si touchants de vérité à lire et à méditer longuement par celles et ceux qui font la fine bouche au gré de leur existence parfois de privilégiés : « Merci à l’aide que vous nous avez donné à nous autres les gens qui ont tant besoin d’aide et de soutien… ou encore, celui-là qui est punaisé un peu plus haut, « Le CCAS Accueil de jour 6/8 est pour le SDF ce que le cœur est pour l’homme, vital et indispensable… ». Sans omettre le credo visible de tous qui rayonne telle une lumière incandescente à côté de la réception de l’établissement, « Tout ce qui a un début a une fin mais chaque fin est le début d’un nouveau départ… ».

 

 

Le manque d’humilité rend aveugle…

 

Ici, cela ne respire ni le spleen, ni le désarroi ! Mais, l’envie de se reconstruire, à force d’abnégation et de volonté !

Il suffit de voir les sourires qui s’affichent sur les lèvres des personnels et bénévoles qui sont aux petits soins pour leurs hébergés. La gratitude est reine. Les remerciements envers les aidants sont partout. Y compris dans le double témoignage, apporté par Christophe et Gérard, deux personnes fréquentant le site qui narrent devant l’assistance leur très délicat parcours de vie, parsemé d’embûches et de coups du sort. Moralité : tout un chacun peut tomber de haut, du jour au lendemain, et se retrouver dans la rue pour y dormir la nuit à même le trottoir…Cela n’arrive pas qu’autres autres, selon la formule consacrée ! Le manque d’humilité rend également aveugle, beaucoup d’entre nous…

Conviviale jusqu’au bout, la cérémonie de départ de la rue du Nil ne pouvait que se conclure par la dégustation de douces pâtisseries dans les jardins, en égrenant de bons souvenirs…

 

Thierry BRET

 


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Casquette de sport rivée sur la tête, le président du Syndicat de la boulangerie et de la boulangerie-pâtisserie de l’Yonne – il est également le nouveau responsable de l’U2P Yonne depuis quelques semaines – Laurent BISSON ne cachait pas sa joie en remettant les distinctions honorifiques aux apprentis lauréats des sélections icaunaises du « Meilleur jeune boulanger et jeune pâtissier » de l’édition 2023. Un rendez-vous annuel qui marque le retour du CIFA de l’Yonne sur le devant de la scène médiatique, avec ce concours synonyme de rentrée…

 

AUXERRE: C’est un cérémonial dont il est coutumier depuis plusieurs années maintenant, le président du Syndicat de la boulangerie et de la boulangerie-pâtisserie de l’Yonne, Laurent BISSON. Une animation qui traduit le lancement de la nouvelle saison artisanale et pédagogique, portée par le centre de formation de l’Yonne.

Même si les températures caniculaires évoquent encore la plénitude et le farniente de l’été ! Ils ont donc fait fi des rigueurs de la météo les valeureux candidats se présentant aux traditionnels concours départementaux du « meilleur jeune apprenti catégorie boulangerie et celui de meilleur pâtissier ». Un rendez-vous accueilli comme il se doit dans l’enceinte du CIFA de l’Yonne, établissement à l’excellence reconnue par beaucoup.

 

 

 

Deux lauréats prometteurs pour les épreuves régionales à l’automne

 

Entre pains traditionnels à la française et de campagne à confectionner, viennoiseries chocolatées ou gâteaux intégrant les fruits de saison à créer en respectant méticuleusement les recettes pour séduire du mieux possible les membres du jury, les candidats se sont appliqués avec détermination pour ce challenge. Démontrant ainsi la pertinence de ce type d’exercice qui requiert la maîtrise de soi et celle de son savoir-faire.

A ce petit jeu, mention spéciale à Maxence PERROT qui décroche le pompon en catégorie boulangère ! Il empoche son ticket afin de défendre ses chances lors du concours régional se disputant en octobre au CIFA de Mercurey, en Saône-et-Loire.

 

 

Les choses étant bien faite, en matière de parité, c’est la jeune Johanna GONCALVES CARNEIRO qui a été saluée par le jury de professionnels au terme du concours de meilleur apprenti pâtisserie.

Toujours mineure – elle n’a pas encore soufflé ses dix-huit bougies sur le gâteau d’anniversaire ! -, la demoiselle félicitée longuement par Laurent BISSON qui lui passa la médaille au cou se qualifie de belle manière pour l’épreuve régionale accueillie à l’automne à Dijon. Prometteur pour nous ramener le titre, et espérer pourquoi pas concourir aux épreuves hexagonales…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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