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Trouver des sources de revenus complémentaires pour les agriculteurs en cette période complexe vécue par la filière suppose la pratique de la diversité. Les opportunités offertes par la transition énergétique incitent à explorer davantage ces préconisations qui peuvent s’avérer judicieuses. A l’instar de celles adoptées par le GAEC FRANET Frères à Hauteville-les-Dijon (Côte d’Or) qui a mis à profit la construction de nouveaux hangars en 2010 pour installer un générateur photovoltaïque de 43,56 kWc raccordé au réseau, soit environ 300 mètres carrés de panneaux monocristallins. Gains financiers pour la structure : 15 000 euros de revenus en bonus annuel. Cet encouragement à l’efficacité énergétique via le développement des énergies renouvelables dans le secteur agricole a fait l’objet ce vendredi 23 févier d’une signature, celle de la convention de partenariat unissant EDF et la coopérative DIJON CEREALES en vue d’une collaboration optimale…

HAUTEVILLE LES DIJON (21) : Promouvoir l’utilisation et le développement des énergies renouvelables auprès des acteurs des milieux agricoles représente l’ossature prioritaire de ce nouveau partenariat, entériné de manière officielle ce vendredi 23 février par les responsables d’EDF et de DIJON CEREALES. Profitant de la visite et du retour d’expérience de l’exploitation de Bertrand FRANET, équipée de panneaux photovoltaïques depuis huit ans, les dirigeants des deux structures ont formalisé leur accord en présence d’élus de la circonscription, notamment le député de Côte d’Or, Didier MARTIN.

Une articulation de cette convergence d’intérêts en quatre chapitres…

En statuant ainsi les contours pragmatiques de leur nouvelle association, le fournisseur d’énergie régional et le groupe coopératif agricole et agroalimentaire, leader en Bourgogne Franche-Comté, proposent un accompagnement concret sur la maîtrise de la demande d’énergie destinée aux professionnels de l’agriculture.

Le schéma applicatif de cette convention se décline en quatre volets : la communication à travers les informations expertes fournies par EDF sur les solutions énergétiques innovantes, la production d’électricité à partir des panneaux photovoltaïques qui ouvre des perspectives intéressantes vers l’autoconsommation grâce à un contexte règlementaire plus favorable, le développement vers la méthanisation et le biogaz dans un esprit d’agriculture durable (des projets qui nécessitent une taille critique au niveau usuel) et l’emploi du digital avec un large éventail de possibilités qui induit la recrudescence effective des produits connectés (robots, capteurs, drones…).

Sur ce dernier point, EDF épaulera le groupe coopératif sur l’exploitation des données numériques et l’analyse de celles-ci ainsi que pour la mise en place de portails de données, contribuant in fine à l’excellence de la filière. Bien au-delà de simples études analytiques de ces statistiques et renseignements, il s’agira pour les deux partenaires, acteurs clés de l’économie territoriale, d’explorer un projet portant sur l’agriculture péri-urbaine.

Le concept répondrait à la fois aux aspirations sociétales de mieux manger pour les consommateurs et à la professionnalisation optimale des jeunes exploitants très orientés vers l’emploi à bon escient du numérique.

Vers la vitalité et le dynamisme retrouvés des milieux agricoles…

Comme devait le préciser Marc PATRIAT, président de DIJON CEREALES, « l’agriculteur représente toujours le vecteur fondamental de la ruralité au plan économique. Ils sont des acteurs engagés au service de leur environnement. C’est donc en toute logique que les 3 800 adhérents que nous représentons soutiennent cette initiative favorable à l’agro-écologie, à l’agriculture durable et à des perspectives judicieuses en matière de transition énergétique ».

Un propos que le président du groupe coopératif confirma par la décision de son conseil d’administration de parapher un accord de partenariat jugé très satisfaisant.

Quant à Christine HEURAUX, déléguée régionale EDF Bourgogne Franche-Comté, elle rappela lors de son allocution que les missions d’EDF ne se limitaient pas uniquement à l’exploitation du nucléaire. En effet, le premier fournisseur d’électricité en France est aussi un acteur engagé dans la production d’une électricité bas carbone, avec l’adoption du Plan Solaire ayant un objectif de production de 30 GW de solaire photovoltaïque entre 2020 et 2035.

« Notre devoir, devait-elle ajouter, c’est d’être à l’écoute grâce à cette convention de celles et ceux des professionnels du monde agricole qui veulent être indépendants et autonomes en matière d’énergie… Nous voulons optimiser cette relation en pratiquant une attitude de gagnant/gagnant au service de la planète ».

L’accessibilité des énergies renouvelables au monde agricole apporte indéniablement une image de la vitalité et de dynamisme de l’agriculture dans notre région.


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La journée du centenaire de la Ligue nationale contre le cancer sera commémorée dans l’Yonne le samedi 17 mars à la Maison de quartier de Sainte-Geneviève à Auxerre. Ce sera une excellente opportunité pour les organisateurs de cet événement festif de démontrer par le prisme de la pédagogie, de la solidarité, de la culture et de la convivialité que de nombreux progrès thérapeutiques ont été réalisés pour éradiquer de notre existence ce fléau pathologique et pour aider les patients à vivre leur quotidien dans une meilleure tranquillité d’esprit grâce aux composantes du pertinent programme « Equilibre »…

AUXERRE : Pessimistes et anxieux de nature s’abstenir ! La célébration du centenaire de la Ligue nationale contre le cancer prévue sur le territoire de l’Yonne sera avant tout un rassemblement festif le 17 mars prochain à Auxerre.

Profitant de la date anniversaire nationale de la célèbre structure associative (le Centre des Congrès de la Villette à Paris accueillera pléthore de représentants culturels quelques jours auparavant le 14 mars…), le Comité icaunais a opté, quant à lui, pour la création d’un grand mouvement solidaire et convivial qui délivrera moult messages positifs sur les propositions d’accompagnements faites envers les patients et leurs proches.

Un vertueux programme de bien-être et de rapprochement : Equilibre…

L’animation bénéficiera d’une articulation amplement étudiée autour de la présentation de ce nouveau programme « Equilibre », ambitieuse démonstration de ce qu’il est fondamental de mettre en pratique pour soutenir avec efficience les personnes affectées par la maladie mais aussi leur entourage.

En quête permanente du mieux-être corporel mais aussi psychologique, ce concept novateur se compose d’un certain nombre d’items se traduisant sous la forme d’ateliers, aujourd’hui suivies par une cinquantaine de personnes sur notre territoire.

« Prendre soin de son corps et de son esprit, c’est mettre toutes les chances de son côté pour mieux vivre la phase de traitement et pour renforcer sa vitalité afin de se façonner un nouvel avenir, précise le docteur Christian RIGAUD, bénévole de la Ligue 89 et animateur de l’atelier de sophrologie. Cette conviction profonde fondée sur de nombreuses études au plan international nous a convaincu de mener à bien ces expérimentations en les faisant partager aux patients… ».

Soutien psychologique, sophrologie, escrime, chants et chorale, socio-esthétique, marche nordique, gymnastique volontaire, groupe de convivialité représentent autant de  possibilités d’expression et de relaxation permettant de créer des ondes positives autour de la personne concernée. Qui plus est, grâce à ces ateliers, elle s’extrait aussi de toutes formes d’isolement vers lequel s’enferment en règle générale les patients.

Sollicitant des partenaires bénévoles pour les animer, la Ligue de l’Yonne désire accroître le champ d’application de ces ateliers sur l’ensemble du territoire. Avec un objectif quantitatif : augmenter le nombre de patients et de proches, bénéficiaires de ces soutiens salvateurs.

Une manifestation copieuse ouverte à toutes et à tous…

Bien sûr, en parallèle de ces présentations traduites par la présence de stands, il sera aussi question de recherche médicale pour contrecarrer les nuisances de cette lourde pathologie, de la prévention et de l’accompagnement des malades.

Les plus véloces des visiteurs auront la faculté de pouvoir prendre part à une randonnée matinale, concoctée par la Maison des Randonneurs en empruntant un itinéraire tracé autour de la maison de quartier auxerroise. Des activités sportives (tennis de table, sabre laser, babyfoot, marche nordique,…) mais aussi des structures de jeux gonflables et du maquillage destiné aux enfants confèreront à cet évènement un petit air de kermesse enjoué et sympathique afin de mobiliser l’ensemble du tissu familial.

La pièce théâtrale « Positif », interprétée au cours de l’après-midi par des personnes en rémission et sous la houlette d’un professionnel de la scénographie, constituera l’une des pierres angulaires de cette journée décidément pas ordinaire pour la Ligue de l’Yonne.

Cet instant empli d’émotions se poursuivra avec le récital donné par la chorale de Vallan, VALLKYRIE, et l’orchestre de Chevannes, signataires d’une convention de partenariat avec la Ligue pour développer un atelier de chant chorale destinée à l’accueil de personnes malades. Un lâcher de ballons biodégradable conclura la manifestation qui sera parrainée par l’incontournable ancien entraîneur de l’AJ Auxerre, Guy ROUX, et Anoushka BALAJ, élue Miss Yonne 2017.

Précisons que le monde estudiantin (IUT Auxerre) ne sera pas oublié dans cette belle aventure collective où se sont greffés aussi l’ensemble des partenaires naturels de la structure départementale (institutionnels, élus, associations, clubs services et entreprises).


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Opérationnelle depuis le 01er février, l’offre de services déclinée par la marque « TOQ TOQUE » traduit la nouvelle orientation stratégique pour le chantre des arts de vivre et du bien recevoir régional. Proposer un système de livraison hyper réactif et original à domicile, autour de produits et de mets concoctés par la référence des traiteurs et de ses partenaires apparaît comme une indéniable valeur ajoutée que le responsable de l’essor commercial de l’entreprise, Matthieu CHAPUIS, développe de façon dynamique avec le concours de quatre collaborateurs.

CHEMILLY SUR YONNE : De succulentes salades composées et des entrées à tarifs abordables, y compris le foie gras maison, augurent à la première lecture des informations sur le site multimédia des possibilités préconçues par la nouvelle offre marketing répondant au joli nom de « TOQ TOQUE ». Auxquelles s’ajoutent d’excellents potages.

Côté plats de résistance, le consommateur ne possède que l’embarras du choix parmi une dizaine de recettes préparées par les chefs de la célèbre enseigne locale. Filet de bœuf Rossini, fricassées de volailles aux morilles, saumon à l’oseille et même de superbes noix de Saint-Jacques ne peuvent que séduire les adorateurs d’une cuisine raffinée à la saveur préservée.

Afin de respecter les nouvelles habitudes alimentaires, le végétarien trouve déjà une place alléchante dans la carte ; à l’instar de recettes exotiques qui répondent aux appellations de poulet préparé façon thaïe, du chili con carne, du couscous ou encore de la paella. Les férus de la gastronomie du terroir made in France y trouveront aussi leur compte car des plats aussi typiques que fondamentaux dans l’art culinaire tels que le coq au vin, le cassoulet, la blanquette de veau ou le bœuf bourguignon sont représentés.

Associer différents producteurs dans l’offre de service

Evolutive de semaine en semaine, l’offre de livraison à domicile se structure selon les goûts et les appétits des premiers clients, c’est-à-dire des familles et des particuliers désireux de découvrir une autre forme de gastronomie à emporter qui ne soit pas à l’apanage exclusif des traditionnels fast-food, kebabs et autres pizzérias déclinant du prêt à être livré selon des codes plus rudimentaires.

« Nous voulions proposer à cette typologie de consommateurs cocooning une alimentation fraîche, variée et saine à base de produits qualitatifs, concède Matthieu CHAPUIS, l’ensemble de la gamme des plats cuisinés émane des FESTINS tandis que nos partenaires traditionnels nous permettent de vanter en parallèle le mérite de leurs productions… ».

C’est le cas des producteurs de cornichons locaux (Etablissements MARC), de la bière artisanale de Chablis (MADDAM), des surprenantes variétés de pop-corn résultant de l’imaginaire débridé de GRAMM’S ou des confiseries concoctées par Sophie BILLON (BILLE DE SUCRE). Le viticulteur de Chablis, Daniel-Etienne DEFAIX, ayant lui aussi été mis à contribution dans le cadre de ce partenariat constructif.

C’est en 2017 que le développeur du concept, Matthieu CHAPUIS, s’interroge sur la pertinence de se doter de cet outil de travail intelligent. S’appuyant sur les compétences d’un jeune étudiant de l’école supérieure de commerce de Lille (SCEMA), Marc PELLAFINET, il se rapproche ensuite de Rachid EL IDRISSI, un entrepreneur auxerrois passionné de développement multimédia qui lui apportera les éléments essentiels au niveau du positionnement et de l’image du concept. Deux autres personnes, Mathilde et Arthur, rejoignent l’ossature fonctionnelle de cette petite filiale, intégrée au sein de l’univers des FESTINS.

Un investissement de 50 000 euros pour lancer le mode opératoire…

Précurseurs dans moult domaines, Evelyne et Didier CHAPUIS, dirigeants des FESTINS, suivent avec grand intérêt l’évolution de ce projet novateur et digitalisé. Matthieu ne connaîtra pas de difficultés pour les convaincre du bien-fondé de ce concept en phase avec la réactivité du moment, orienté vers un public de CSP+ soucieux de traçabilité et de fraîcheur.

La start-up intégrée des FESTINS se finalise petit à petit et espère très vite un chiffre d'affaires de 150 000 euros dès le terme de la première année.

« Pourtant, explique Matthieu CHAPUIS, il existe déjà un système de livraison propre aux FESTINS. Mais là, notre concept est différent et non concurrentiel car nous ne ciblons pas le même mode de consommation de notre clientèle… ».

Les adeptes des circuits courts ne devraient pas bouder leur plaisir en essayant le principe de ces livraisons à domicile. Les commandes s’effectuent sur applications (Apple Store et Play Store) et sur le site avec une amplitude horaire appréciable, c’est-à-dire une heure avant le terme de la livraison prévue jusqu’à 22 heures. Tous les systèmes sécuritaires en matière de paiement en ligne ont été initiés afin de garantir les achats en toute quiétude d’esprit.

« Les premières analyses depuis que nous sommes opérationnels démontrent que 100 % de nos livraisons ont pu être honorées dans un délai optimal sur Auxerre et les communes périphériques où nous intervenons, se satisfait le développeur commercial de la start-up, il y a quelques jours, nous avons bonifié notre offre en proposant un système de commande à la demande à l’aide d’une boutique itinérante, un camion réfrigéré qui respecte les fondements de la chaîne du froid. Pour l’heure, hormis Auxerre, TOQ TOQUE dessert les communes de Perrigny, Monéteau, La Borde et Saint-Georges sur Baulche. Demain, nous élargirons les possibilités de distribution sur le Grand Auxerrois… ».

La création de points relais avec le concours de partenaires professionnels n’est pas exclue pour assurer de véritables synergies opérationnelles sept jours sur sept sur le terrain.

Avec la fermeture de bon nombre de restaurants le dimanche et le lundi soir sur la zone de chalandise couverte, la livraison de ces plats cuisinés et ces produits alimentaires connexes à la sauce TOQ TOQUE, et sous la tutelle des FESTINS, représente une sérieuse opportunité commerciale.

D’autant que l’avenir semble radieux pour le quintette qui fait fructifier ce valeureux projet : une extension de ce service pourrait se concrétiser favorablement vers Dijon et permettre aux FESTINS d’étendre sa suprématie sur la Côte d’Or, en plus de sa vitrine commerciale déjà implantée à Marsannay la Côte. Peut-être avant le terme de 2018…

 


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Deux cents trente jeunes recrues manquent aujourd’hui à l’appel au Service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne pour que la structure puisse répondre avec efficience et sécurité optimale à l’ensemble de ses missions via ses 36 centres de secours et 85 corps communaux implantés à travers le territoire. Complexe, l’équation ne peut se résoudre que sur la seule base du volontariat pour cet acteur économique qui accueille déjà deux mille sapeurs-pompiers volontaires dans ses rangs. Précieux auxiliaires des 238 professionnels mobilisés tout au long de l’année pour secourir la population locale, ces néophytes tant espérés représentent une denrée rare, coincés entre leurs contraintes professionnelles, leur vie familiale et l’engagement vers cette future activité qui suppose du temps et de la disponibilité…

AUXERRE : Plus de 25 000 interventions au cours de l’année antérieure. C’est le chiffre qu’il faut conserver en mémoire lorsque l’on évoque le quotidien de ces professionnels qui bravent la peur avec générosité et défiance afin de secourir du mieux possible, et dans les meilleurs délais une population bienveillante à leur égard.

Car, le sapeur-pompier, fonctionnaire territorial de son état pour celles et ceux qui ont choisi d’en embrasser la carrière, possède une cote d’amour toujours au beau fixe parmi nos concitoyens.

Des carences à éradiquer au plus vite dans le mode de fonctionnement…

Nonobstant, la pérennité de ce modèle opérationnel usité depuis des années, c’est-à-dire ce judicieux attelage mêlant adroitement professionnels et recrues extérieures, semble s’effilocher de saison en saison, faute de combattants…du feu, pourrait-on dire. Existerait-il une crise des vocations chez les jeunes et les moins jeunes de ces volontaires aptes à rejoindre les effectifs ?

« Le plus difficile aujourd’hui, argumente le colonel Jérôme COSTE, responsable du SDIS de l’Yonne, c’est de trouver une saine compatibilité entre la vie professionnelle et le vécu du sapeur-pompier au quotidien. Sans omettre de surcroît les droits et les devoirs envers les familles… ».

Différentes raisons expliquent cette délicate situation qu’il est impératif d’enrayer au plus vite. Plusieurs territoires du département, devenus parfois des cités dortoirs, présentent une disponibilité fragile entre 7 h et 18 h. Conséquence : certains centres de secours ne peuvent plus faire partir le moindre engin sur le théâtre des opérations.

Pourtant, le Service départemental d’incendie et de secours ne manque ni de moyens financiers avec un budget annuel de fonctionnement s’élevant à 31 millions d’euros ni de matériels modernes. Le problème se situe ailleurs : l’insuffisance de la ressource humaine, mobilisable en journée, en est la principale cause.

Le 04 décembre 2017, une mission de réflexion nationale englobant les acteurs clés du secours et de la prévention devait se réunir. Objectif de ces échanges : réfléchir à de nouvelles propositions permettant de refondre le plan volontariat à destination des sapeurs-pompiers. Un chiffre sera lâché à l’issue de ces concertations : garantir un socle minimum de 200 000 volontaires en France. L’identité du projet sera simple mais compréhensible : « Volontariat 2020 ».

« De facto, renchérit le colonel Jérôme COSTE, ce plan d’actions s’inscrit pleinement dans la démarche de pérennisation du volontariat souhaitée sur notre territoire. Ambitieux, le dispositif doit nous offrir l’opportunité de consolider l’organisation opérationnelle du SDIS et de garantir un véritable service public du secours dans le département de l’Yonne… ».

Encourager la conciliation entre vie professionnelle et engagement citoyen…

De manière sous-jacente, le concept devra faire émerger des préconisations concrètes afin de concilier vie socio-professionnelle et engagement volontaire de la part du nouvel impétrant.

« Nous avons même construit une communication autour de l’axiome suivant : «  Pour maintenir des secours de proximité dans l’Yonne, ensemble facilitons le volontariat chez les sapeurs-pompiers ».

Pour se faire, le SDIS a eu recours à la fine analyse et aux suggestions créatives de la société IDXPROD et de son responsable, Yannick DAVOUSE. L’autre volet du champ d’application passera par la nécessité de créer un évènementiel où seront conviés les employeurs partenaires du volontariat citoyen. Ce mardi 27 février, à Chablis, le plan stratégique du Service départemental d’incendie et de secours entrera donc dans une autre phase. Faite également de conventions de partenariat avec des organismes économiques de poids à l’instar de la Chambre de Commerce et d’Industrie…

« Il nous apparaît fondamental de faire comprendre à l’ensemble des acteurs économiques et institutionnels que d’inciter au développement du volontariat au sein des sapeurs-pompiers n’est pas une contrainte en soi. Bien au contraire, poursuit le colonel COSTE, cela doit se vivre comme un atout inéluctable au sein de l’entreprise. Ainsi, les compétences acquises par le volontaire dans le cadre de sa formation et de ses activités opérationnelles se muent en véritables avantages pour l’employeur et pour son équipe. Il endosse en simultanée le rôle de l’employé sur lequel le dirigeant peut compter avec le sens de la rigueur, du perfectionnisme et de l’altruisme ; celui de l’agent de prévention et de sécurité capable de prendre les mesures ad hoc en cas de sinistres ; celui du secouriste expérimenté et recyclé qui peut secourir un collègue en cas de besoin et in fine c’est aussi une personne formée aux risques pouvant même être un formateur en puissance auprès de l’ensemble du personnel… ».

36 entreprises ont déjà signé une convention de disponibilité…

Reste que les absences du pompier volontaire doivent s’appréhender de manière intelligente et fructueuse entre les deux parties afin de ne pénaliser ni l’une ni l’autre. C’est peut-être sur ce critère qu’il y a un risque d’achoppement…

« Pas le moins du monde, rétorque Jérôme COSTE, un aménagement du planning de la disponibilité du sapeur-pompier peut être facilement envisagé en concertation avec le chef du centre d’incendie et de secours et, évidemment, en fonction des besoins de l’entreprise. L’employeur peut délivrer des autorisations d’absence à son salarié afin de lui permettre de participer pendant son temps de travail à des actions de formations mais surtout à des missions opérationnelles. Toutefois, ces autorisations d’absence peuvent être refusées lorsque les nécessités fonctionnelles de la société s’y opposent… ».

Fort de ces principes vertueux, le SDIS propose des conventions de disponibilité, un outil souple et adaptable, avec ses partenaires issus de la sphère économique.

A ce jour, trente-six employeurs du département ont décidé d’apposer leur paraphe au bas de ce document qui est devenu le sésame indispensable pour que  le SDIS puisse fédérer en son sein de nouveaux volontaires. 76 d’entre eux peuvent ainsi se libérer afin de grossir les effectifs des centres de secours et des corps communaux de l’Yonne dans le cadre de cycle formatif ou d’interventions réelles.

Mais, on l’aura compris : cela ne suffit pas dans le contexte actuel. Or, bon nombre d’entreprises ne connaissent pas encore les items de ces conventions de disponibilité ni même leur existence.

« Nous sommes des acteurs de l’économie citoyenne à part entière, ajoute le colonel COSTE, à la croisée des chemins au niveau de la réflexion, nous espérons beaucoup de cette première soirée évènementielle de mardi. Le monde de l’entreprise a répondu présent puisque nous attendons plus d’une centaine de représentants économiques. Le SDIS a pour vocation d’évoluer en axant sa stratégie vers la mentalité de l’excellence et de supprimer les freins au volontariat. Il ne faut jamais oublier que 90 % de nos interventions se destinent vers les personnes contre 10 % consacrées seulement à circonscrire un incendie… ».

Ce 27 février, le SDIS 89 démontrera devant ce public de décideurs que la fidélisation des sapeurs-pompiers volontaires passe aussi par l’accès à l’emploi. Une convention élaborée avec les quatre missions locales de l’Yonne sera entérinée en faveur des jeunes gens âgés de moins de 26 ans.

Quant à la Chambre de Commerce et d’Industrie, elle sera associée à cette explication de texte grandeur nature en pérennisant le volontariat des sapeurs-pompiers via un document officiel.

Celui-ci portera sur trois points : la sensibilisation des employeurs au volontariat en incitant au partenariat, le maintien au plus proche de leur centre de secours des pompiers volontaires et le développement du volontariat par des actions destinées à des stagiaires qui suivent les séances pédagogiques de la chambre consulaire.

Au mois de novembre, la CCI avait initié un premier job dating réservé aux pompiers volontaires en recherche d’emploi. Une dizaine de personnes devaient y prendre part. Grâce à ces initiatives, deux sapeurs-pompiers volontaires ont réussi à trouver un emploi et un troisième a débuté une formation de reconversion auprès des services de la CCI.

Concrétiser des solutions efficaces autour de l’emploi offre une garantie intelligente de pouvoir fixer durablement les pompiers volontaires sur leur territoire.

Afin qu’ils puissent poursuivre en toute quiétude leur missions de bons offices au service de la population…


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31 500 ovins ont été engraissés sur le département de l’Yonne au cours de l’année 2017. Preuve à l’appui que cette filière spécifique pourrait permettre à terme aux exploitations agricoles de retrouver une pérennité économique solide si elles acceptent les principes de la diversification de leurs productions. C’est une brèche très intéressante dans laquelle va s’engouffrer en 2018 la Chambre d’agriculture départementale en assurant la promotion de cet élevage…

AUXERRE : L’agneau de l’Yonne connaitra-t-il un jour le même succès que le pré-salé de la baie du Mont Saint-Michel ou d’autres variétés toutes aussi goûteuses et renommées de notre hexagone ?

En tout cas, les acteurs de la Chambre d’agriculture de l’Yonne y croient presque dur comme fer ! L’idée de réintroduire l’élevage ovin en grande quantité sur les terres de notre territoire se bouscule dans les esprits aguerris des techniciens de la chambre consulaire et de leur président, Etienne HENRIOT.   

En lien étroit avec « ALYSE », l’organe institutionnel souhaite concrétiser ce nouveau projet dès 2018. Mais pas tout seul : avec le partenariat obligatoire des acteurs locaux.

Répondre aux attentes d’un partenaire industriel local…

Partant du postulat que le département de l’Yonne dispose d’un outil d’abattage ovin plutôt exceptionnel (celui localisé à Migennes et géré par le groupe SICAREV via l’antenne de l’ex-SICAVYL), les responsables de la chambre consulaire ont décidé d’agir sur ce dossier pouvant s’avérer vertueux et bénéfique pour les exploitants agricoles du terroir.

Le groupe SICAREV qui a investi sur le site d’abattage de l’Yonne espère atteindre une production ovine de 3 000 agneaux par semaine au lieu des mille bêtes actuelles ; d’où un nécessaire besoin d’agneaux qui suppose sortir du cadre opératoire habituel requérant l’approvisionnement par des importations animales…

« Nous avons décidé d’analyser la situation de cette structure très sérieusement, explique le président Etienne HENRIOT, cela suppose nécessairement la mise en place de circuits courts dans les codes alimentaires… ».

Une aubaine pour l’optimisation de la filière ovine française qui souffrait jusque-là de l’importation massive des agneaux de Nouvelle-Zélande, filière un peu en berne et qui connaît un léger essoufflement à l’heure actuelle. Une fois engagé, ce plan de relance de l’élevage ovin dans le département conçu avec le concours d’ALYZE se déclinera autour de plusieurs actions.

Un plan d’action qui comprendra de l’information et du pragmatisme…

L’organisation d’une conférence économique à l’échelle du territoire est prévue. Elle aura pour objectif de sensibiliser les opérateurs périphériques tels que les banques, les centres de gestion et de comptabilité et les organismes économiques à soutenir cette initiative.

De leur côté, les agriculteurs profiteront d’une journée spécifique consacrée aux bâtiments accueillant de l’élevage ovin afin de se familiariser avec les codes rudimentaires de cette filière.

Enfin, la chambre consulaire prévoit aussi en troisième temps la déclinaison de ce thème via des manifestations prônant l’innovation en agriculture (le concept Innov’Actions).

Commentaire du président HENRIOT : « nous devons jeter toutes nos forces en faveur du développement de cette stratégie ovine dans le département en initiant les outils nécessaires à son essor… ».

2018 sera-t-elle donc l’année du mouton et de l’agneau dans l’Yonne ? La recherche de nouvelles options permettant de pallier les impacts négatifs engendrés par les multiples aléas climatiques passe peut-être par cette piste de réflexion. Dès lors, à charge pour la Chambre d’agriculture de l’Yonne de convaincre très vite l’ensemble de ses partenaires de la pertinence d’un dossier aussi inattendu…


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