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Décidément, les saisons estivales et leurs longs épisodes traumatiques de sécheresse que doivent subir les professionnels de l’agriculture se suivent et se ressemblent. A l’instar des trois années précédentes, le gouvernement vient d’exhumer le fameux régime de « calamités agricoles » de ses tiroirs. Il concerne les pertes de récolte de fourrage occasionnées par des températures hors normes…

 

AUXERRE : Que faire face aux aléas climatiques et à la rigueur persistante de la chaleur dès que la période estivale nous revient ? Si les adeptes du farniente et de la bronzette à outrance se contentent volontiers de la situation, ce n’est pas le cas des agriculteurs.

Depuis plusieurs années, ces derniers éprouvent les pires des difficultés à y faire face, notamment les éleveurs qui peinent à nourrir convenablement leur cheptel.

La sécheresse de l’été 2020 se sera inscrite dans la droite ligne de celle subie l’année précédente. Et de celle d’avant par les professionnels de la filière.

Les pertes de récolte sur fourrage ont été très importantes, engendrant la reconnaissance par l’Etat du régime de « calamités agricoles ». Un arrêté ministériel a officialisé la chose en date du 03 mars 2021.

Indemnisables, ces pertes se rapportent à la production des prairies temporaires et permanentes sur bon nombre de communes de notre département (voir la liste en annexe).

Concrètement, les éleveurs concernés par cet aléa climatique peuvent solliciter une indemnisation par le Fonds national de gestion des risques en agriculture. Mais, attention, si et seulement si, leurs prairies ne bénéficiaient pas d’une couverture assurantielle lorsque le sinistre est survenu.

Le dommage indemnisable au titre des pertes de récolte correspond au déficit fourrager, défini comme les besoins alimentaires des animaux non couverts par la production fourragère évalué à 900 UF/EVL.

Lors du dépôt de demande, les éleveurs seront dans l’obligation de justifier la présence d’une police d’assurance incendie/tempête sur leurs bâtiments d’exploitation avec paiement de la contribution additionnelle et d’une perte totale supérieure ou égale à 13 % du produit brut global théorique de leur exploitation.

 

En savoir plus :

 

Les producteurs disposent :

  • d’un formulaire de demande d’indemnisation téléchargeable sur le site Internet des services de l’État de l’Yonne à l’adresse suivante:

http://www.yonne.gouv.fr/Politiques-publiques/Agriculture/Mesures-nationales-et-mesures-exceptionnelles/Calamites-agricoles

Le document devra être retourné dans un délai de trente jours à compter de la date d’affichage de l’arrêté ministériel en mairie. Il existe aussi le site TéléCALAM, permettant d’effectuer la demande d’indemnisation par télé-procédure, à l’adresse :

http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr/demarches/exploitation-agricole/demander-une-aide-pac/article/demander-une-indemnisation

Toute demande devra être signée entre le 15 mars 2021 et 14 avril 2021 à 24 h.

Pour être tout à fait complet sur le sujet, précisons que ALYSÉ, en charge de l’identification animale pour le département de l’Yonne, met également ses services à disposition des éleveurs qui souhaitent être renseignés de leur effectif d’animaux présents au moment du sinistre et des quantités d’animaux vendus au cours de l’année 2019.

 

Contacts au :

ALYSE

Tel : 03.86.92.36.32.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

DDT (Direction départementale des Territoires) :

Tel : 03.86.48.42.34./ 03.86.48.42.66. (uniquement le matin de 09 h 00 à 11 h 45)

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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A l’image du milieu de terrain Mathias AUTRET qui effectue son grand retour sur la pelouse de l’Abbé Deschamps après une blessure aux adducteurs, la formation bourguignonne fera bloc pour affronter l’un des prétendants à la montée dans l’élite, le Paris FC. Cet après-midi, ce choc entre le cinquième et le sixième du championnat de Ligue 2 s’avère plutôt prometteur. D’autant que le compte-à-rebours pour arriver à l’épilogue de la compétition est déclenché…

 

AUXERRE : Même à distance, l’œil rivé sur la lucarne cathodique de son téléviseur (le match est retransmis en direct dès 15 heures sur l’antenne de BeIn Sports 2) ou l’oreille collée à son transistor pour se repaître des commentaires avisés de nos confrères de France Bleu, les aficionados du club bourguignon suivront avec intérêt cette énième joute qui oppose deux des équipes visant encore l’accession.

Deux petits points seulement séparent les acteurs de cette rencontre ; le club de la capitale ayant les faveurs statistiques du classement. Il occupe la cinquième place de ce championnat très relevé.

Si à dix journées du terme de cette épreuve, on avait dit aux supporters Icaunais en début de saison que l’AJ Auxerre figurerait parmi le peloton de tête des potentiels candidats aux barrages, préfigurateurs d’une future remontée ; tout le monde aurait signé de suite les yeux fermés !

Toutefois, méfiance. Les protégés de René GIRARD, coach du Paris FC qui n’a jamais caché ses intentions de retrouver la Ligue 1, voire de concurrencer un jour l’autre club prestigieux de la capitale, font figure d’épouvantail au vu des derniers résultats, observés sur les précédentes rencontres entre ces deux équipes.

 

 

Hormis la victoire nette et sans bavure de l’AJA le 21 novembre 2020 sur la pelouse adverse par trois buts d’écart à rien, les trois précédentes rencontres se sont toutes soldées par le succès sans équivoque des Parisiens sur les Bourguignons avec plus de deux buts de différence à chaque match.

La prudence sera donc de mise pour les joueurs de Jean-Marc FURLAN qui savent à quoi s’en tenir à l’amorce de cette confrontation.

Surtout que les cinq dernières rencontres des Icaunais se résument en une victoire, trois nuls et une défaite.

Les supporter vont donc croiser les doigts et brûler un cierge pour que leurs joueurs fétiches réitèrent l’excellente partie de la phase « aller », synonyme de victoire….

 

Thierry BRET

 


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Il faut retenir de ce nouveau concept qui est déployé depuis le 22 février dans l’Yonne l’essence même de l’expression : « aller vers… ». Elle représente la substantifique moelle intellectuelle qui justifie la nouvelle stratégie du Conseil départemental en matière de propagation des services de proximité sur le territoire. Une proximité qui se veut désormais itinérante et mobile dans les zones rurales, véhiculée par un utilitaire bientôt labellisé par l’Etat…

 

COURSON-LES-CARRIERES : 83 % des localités qui composent le paysage communal de notre département accueillent moins de mille habitants ! Autant dire, une forte proportion de personnes vivant en retrait de la technologie à tout crin et de la facilité à bénéficier de l’instantanéité des services ad hoc.

On pense en premier lieu à ceux dispensés par l’Etat ou le Département. Mais aussi à des prestations qui caractérisent les interventions usuelles de Pôle Emploi, de la Caisse des Allocations Familiales, etc.

Trente-sept communes profitent depuis le 22 février de la venue de ce mini bus stationnant une matinée sur une place centrale et accessible à tous. Le choix de ces bourgades s’est effectué sur le sacro-saint principe de l’équité.

Comme le commente le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD : « La sélection de ces communes s’est pratiquée en concertation avec les élus locaux, explique-t-il, afin de créer le maillage le plus judicieux possible pour ne pénaliser aucun de nos territoires… ».

Bien sûr, il aura été tenu compte en amont de la présence des structures pérennes offertes par les maisons « France Services» déjà opérationnelles dans l’Yonne.

Le bus des services de proximité a pour vocation d’intervenir sur des zones sectorielles dépourvues de toute infrastructure.

 

 

 

Un investissement de 80 000 euros au total…

 

De l’avis du président de l’exécutif départemental, l’équilibre est respecté avec cette répartition de communes bénéficiaires de la prestation. Toutefois, leur nombre n’est pas figé dans le temps.

« Selon la fréquentation des utilisateurs, il sera toujours possible de modifier si nécessaire les besoins d’une localité, ajoute Patrick GENDRAUD, ravi de ce dispositif novateur déployé sur son territoire de prédilection.

L’Yonne fait figure de précurseur en Bourgogne Franche-Comté avec ce dispositif mobile. Un cocorico dont est fier Patrick GENDRAUD. Il espère faire des émules dans d’autres départements de l’Hexagone.

Nécessitant une enveloppe budgétaire de 80 000 euros pour sa déclinaison globale (y compris le salariat), le concept devrait recevoir la bénédiction de l’Etat dès le mois d’avril par le prisme d’un label officiel. Celui de France Services.

Cela offrirait l’excellente opportunité pour le Département de percevoir une dotation équivalente à 30 000 euros. Non négligeable par les temps qui courent !

 

Thierry BRET

 

 


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Loin de toute estampille idéologique ou politique, un mouvement citoyen, composé de femmes, d’hommes et d’adolescents, est apparu à Figeac (Lot) en novembre 2020. Sans prétention aucune, il fédère des êtres humains qui se posent aujourd’hui des questions existentielles et de bon sens. Cet élan intellectuel est mû par un immense respect envers l’autre qui a le droit d’être, d’agir et de penser différemment de nous…

TRIBUNE
 : « Un gagnant est un rêveur qui n’abandonne jamais… ». Cette phrase pleine de bon sens porte la signature de Nelson MANDELA, l’ancien président charismatique de la république sud-africaine.

Elle est devenue le ciment fédérateur des membres du collectif RESPIRE. Une structure qui a vu le jour dans le Lot et qui semble faire des émules à travers l’Hexagone…

« Nous n’avons aucune leçon à donner car nous ne sommes spécialistes en rien ! Nous n’avons personne à convaincre car aucun d’entre nous ne détient une vérité visant à endoctriner les gens. Nous n’avons pas de volonté de culpabiliser, agresser ou choquer quiconque car les médias s’en chargent déjà, réussissant à diviser pour mieux régner. Ce dont les pouvoirs se réjouissent fort… ».

Ne pratiquant pas la langue de bois, et s’appuyant sur cette forme de pensée, le collectif RESPIRE (la belle appellation) a donc vu le jour par une journée automnale, l’an dernier.

Vouloir léguer aux générations futures un monde dans lequel il fait encore bon vivre est la responsabilité de chacun, selon lui.

Il faut savoir prendre un peu de hauteur pour observer, écouter et mettre à distance tout ce que l’on entend ; quelles que soient les sources d’informations...

D’où un certain nombre d’interrogations élémentaires : le moment est-il venu de s’entraider les uns sur les autres pour éviter de tomber dans une sinistrose morose ? Doit-on se rappeler au quotidien et profiter de cette crise sanitaire sans précédent pour se dire que nous sommes finalement « tous frères et sœurs, locataires sur cette Terre que nous allons léguer à nos enfants et petits-enfants » ?

Le moment est peut-être venu de se lever ensemble pour renouer avec une humanité sensible et bienveillante qui permettra en conscience de reconnecter ses représentants avec des valeurs de vie plus respectueuses du vivant.

Tels sont les axiomes régulateurs de ce collectif dont l’entretien auprès de notre correspondant de presse est à découvrir dans nos colonnes sur le lien suivant :

https://youtu.be/UeD6cniKy8o

 

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Entretien réalisé par Daniel BOUKEZ

 


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Elle a pris le temps de discuter avec chacun des candidats en recherche d’un emploi. Ce fut un échange constructif à bien des égards pour la sous-préfète de l’Avallonnais Cécile RACKETTE. Etonnée parfois des choix déjà bien arrêtés chez certains de ces jeunes gens lorsqu’ils se projettent dans leur vie active. Mais, au-delà d’une présence symbolique, le message véhiculé est clair : l’Etat n’oublie pas la jeunesse, avenir du monde professionnel !

 

AVALLON : Quelques mots sont prononcés pour réchauffer les âmes. De larges sourires s’affichent ensuite sur les visages de ces jeunes adultes en quête de travail. L’un après l’autre, les participants du premier rendez-vous en présentiel concocté depuis longtemps par la Mission Locale entament la conversation avec la représentante de l’Etat.

Ici, c’est une jeune fille, quelque peu prostrée les coudes nonchalamment posés sur la table. Là, c’est un garçon au regard volontaire qui du haut de ses dix-sept printemps souhaite embrasser la carrière de soignant. Pour accompagner les seniors dans leurs soins palliatifs, dit-il avec certitude. Admirable !

Discuter avec cette jeunesse permet à Cécile RACKETTE de prendre le pouls au plus près de la réalité du terrain. La sous-préfète a répondu par l’affirmative à l’invitation du directeur de la Mission Locale de l’Avallonnais et du Tonnerrois Radouan GSSIR. Mieux comprendre la jeune génération pour mieux la guider ensuite sur le chemin de l’emploi ?

« Nous devons apporter un maximum de leviers pour accompagner chaque jeune dans sa recherche d’un emploi, précise-t-elle, à ce titre, le rôle de la Mission Locale est primordial pour y parvenir. Tout comme peut l’être celui de Pôle Emploi… ».

 

Un contact privilégié avec des acteurs des ressources humaines…

 

Des initiatives comme ce « job dating » préparé soigneusement en amont sont utiles. Elles favorisent le suivi individuel de ces prétendants à une vie meilleure, une fois intégrés dans l’activité professionnelle.

Faire parler ce public est capital. Pour savoir ce qu’il désire véritablement selon ses appétences et ses capacités. Par rapport aux différentes filières qui existent sur le champ du travail. Afin de le mettre en relation avec le tissu entrepreneurial, porteur de solutions.

Ce fut le cas, ce mercredi en matinée au premier étage de la Mission Locale, totalement mobilisée pour la réception de cet exercice.

Plusieurs bureaux furent ainsi réservés pour accueillir les entretiens individuels nécessaires entre un responsable des ressources humaines et ce public.

Ce fut le cas avec le représentant du groupe de distribution SCHIEVER. Il avait dans sa besace une kyrielle de postes à pourvoir pour renforcer les effectifs de ses magasins. Mais aussi, de l’un des spécialistes du travail intérimaire : ADECCO.

Remarque pertinente de la sous-préfète d’arrondissement : « Opter pour de petits contrats réalisés lors de missions d’intérim, c’est déjà poser le premier pied dans l’emploi, y acquérir de l’expérience et y nouer des contacts indispensables pour la suite de sa carrière… ».

 

Recréer du lien social par le biais de ces opérations…

 

Alors, revaloriser la fonction travail, unique source de développement de la relation humaine dans cette société perturbée par la COVID et le couvre-feu, n’est-il pas la plus belle des missions à entreprendre auprès de la jeunesse à l’heure actuelle ?

Sans doute ! Au-delà de la simple quête d’un emploi, la trentaine de jeunes gens ayant participé à cette expérience aura pris plaisir à discuter ensemble et à renouer ce fil parfois distendu de la relation à l’autre. En créant ce lien social fédérateur dont la société a grandement besoin.

« D’ailleurs, conclut Cécile RACKETTE à l’issue des différents entretiens avec un zeste d’humour, personne ne m’a dit qu’il rêvait de pratiquer le télétravail lorsqu’il pensait à sa vie professionnelle ! ».

Un signe, donc, qu’il y aura toujours une solution tangible à apporter à ces jeunes qui veulent croquer la vie active à pleines dents ! Comme l’atteste la réussite du plan gouvernemental, « Un jeune, une solution » qui depuis son lancement en novembre dernier a fait ses preuves auprès de cette frange de la population.

 

Thierry BRET

 


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