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Mais, où est donc passée la signalétique indiquant les déviations, ces voies salutaires à emprunter pour s’extraire de ce guêpier ? Depuis quelques jours, circuler à Auxerre, à bord de son automobile, ressemble à s’y méprendre à une sinistre farce. Sauf qu’à l’heure de pointe et surtout à la veille de la rentrée scolaire, les automobilistes risquent de rigoler jaune derrière leur volant…

 

AUXERRE: On se croirait plongés au beau milieu d’un sketch du regretté humoriste Raymond DEVOS qui savait manier les mots pour nous faire oublier nos maux ! Ceux du quotidien, ayant trait une fois n’est pas coutume à la libre circulation routière au cœur de la ville.

Depuis le début de la semaine, l’envahissement exponentiel des travaux de voirie de tout poil a atteint un tel paroxysme en matière d’intensité que même un moniteur d’auto-école n’y trouverait pas ses pédales de sécurité afin de garder le contrôle de son véhicule !

Rue du 24 août coupée, boulevard du 11 novembre barré, accès en direction du centre-ville depuis le pont de Vallan bloqué… : heureusement que le coronavirus a empêché cet été les touristes de passage à venir en masse se perdre dans ce dédale de rues et de ruelles à traverser pour tenter de retrouver leur chemin !

D’autant que par endroit, les panneaux de déviation sont quasi inexistants, obligeant le malheureux automobiliste à s’aventurer à l’aide de son GPS (c’est du vécu) à tâtons pour sortir de ce labyrinthe qui n’a rien de mythologique !

 

 

A tester près du complexe cinématographique avec un petit parcours sympa où quelques sens interdits viennent mettre un peu de piment dans ce jeu de rôle, pas drôle du tout !

Bref : si vous êtes inattentifs, ce qui fut le cas, vous êtes bon pour un second tour gratuit sans avoir arraché le pompon !

Au rond-point menant vers Toucy, la palme de l’incohérence revient au trop plein de panneaux cette fois-ci ! On vous indique que l’accès vers Toucy est coupé à huit kilomètres de là, que les rues ramenant vers le centre-ville sont condamnées et que celles que vous avez empruntez pour arriver à ce point de chute insolite bénéficient elles aussi de déviations ! Kafkaïen à l’extrême !

A croire que l’humour doit s’afficher sur l’espace public cet été. Mais, rira bien qui rira le dernier ! Surtout dès ce milieu de semaine avec le retour de nos chères têtes blondes à l’école et de la fantastique cohue que ce flux imposant de bambins et d’ados de retour sur le devant de la scène pédagogique va avoir comme incidence sur la circulation par parents nerveux interposés. Fulminant au volant de leurs voitures roulant au pas. Il n’y a pas qu’à Paris qu’il y a de bonnes idées pour circuler à vitesse réduite en ville !

 

Thierry BRET

 

 


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Investir en faveur de l’éducation et miser sur le devenir de la jeune génération : tel est le credo de l’institution départementale avant la rentrée scolaire qui frappera ses trois coups ce mercredi. Dans un exercice oratoire dont il est coutumier à pareille époque, le Conseil départemental par la voix de son président, Patrick GENDRAUD, a brossé dans le détail les grandes lignes de son projet 2021/2022…

 

AUXERRE: L’avenir de la jeunesse et la pérennité de son éducation scolaire ? Ce n’est pas un leurre au Conseil départemental de l’Yonne ! Rien que pour cette nouvelle saison qui s’amorce à grand pas, c’est un budget destiné à la réalisation de travaux et pour le fonctionnement des établissements de trente-trois millions d’euros qui a été inscrit sur les lignes budgétaires du vénérable organisme ! Une enveloppe en hausse, il va de soi, votée à la quasi-unanimité.

Côté réfections, réaménagements et adaptations en tout genre, le Département a sensiblement augmenté sa manne financière, accordée à ce poste clé pour valider une pédagogie probante qui doit s’exercer dans un cadre propice, moderne et accueillant.

Quinze millions d’euros en lieu et place de la petite dizaine de millions d’euros qui étaient jusque-là consentis d’ordinaire les années antérieures. D’ailleurs, ce n’est qu’un début.

 

 

 

La progressivité de cette enveloppe vitale à l’enseignement du second degré ne devrait pas se cantonner à la seule saison nouvelle qui nous incombe. Une moyenne de 20 millions d’euros de budget destinés aux travaux de rénovation de la trentaine de collèges sous la coupe du Département serait allouée à l’avenir.

Une logique implacable pour le président de l’exécutif. Celui-ci veille à l’optimisation qualitative de l’accueil des 14 043 collégiens, répartis parmi les différents établissements publics implantés sur le territoire et la constante modernisation de ces derniers. Rappelons que les deux mille élèves fréquentant le privé intègrent également ce choix politique.

L’aide au fonctionnement entre groupes scolaires issus du public et du privé s’effectue de la manière suivante : 4,5 millions d’euros sont ainsi attribués aux établissements publics, tandis que ceux à l’estampille du privé perçoivent plus d’1,6 million d’euros.

 

 

Un ticket repas au prix modéré de 3,82 euros…

 

Une autre caractéristique de cette stratégie favorable à l’épanouissement des élèves prend forme avec la restauration. 1,6 million de repas ont été distribués au cours de l’exercice précédent dans les restaurants scolaires de notre territoire. Sachant que dix mille élèves bénéficient de la demi-pension. Quant au prix du ticket journalier, il n’est que de 3,82 euros à la charge des familles alors que le coût de revient s’élève à 8 euros.

Mais, comme devait le rappeler le président GENDRAUD face à la presse ce mardi en milieu de matinée, « il n’y a pas que l’aspect financier de la restauration qui nous interpelle, la qualité des repas que nous devons servir à nos enfants reste primordiale… ».

Et de citer la relation avec les producteurs du cru en phase de développement, identifiée par la plateforme AGRILOCALE. Un outil qualitatif se situant tout à fait dans l’esprit du bien mangé, cher à l’esprit de l’ancien maire de Chablis, pour nourrir les jeunes ouailles de l’enseignement.

« Nous sommes une collectivité de proximité, justifie le président de l’organe départemental, donc à ce titre, il faut en tirer les avantages… ».

Au-delà du simple contenu au fond de l’assiette, le bien mangé puise ses bienfaits dans la volonté de décliner des actions purement éducatives.

 

 

Cent mille euros par an consacrés au volet du numérique…

 

C’est d’ailleurs le fruit d’un partenariat entre la Région, le rectorat et le Département qui est à l’origine de la mise en exergue de l’ENT, l’environnement numérique de travail. Conséquence : une ligne budgétaire de 100 000 euros est dédiée annuellement à l’essor de ces technologies au sein des collèges de l’Yonne. Des sites devant être raccordés à la fibre optique qui ne cesse son déploiement.

Exprimant sa reconnaissance envers les 315 agents départementaux qui exercent leurs activités au service de l’éducation, Patrick GENDRAUD leur tire son chapeau, selon la formule consacrée.

« Ces travailleurs de l’ombre ont droit à la lumière, devait-il ajouter avant que ne soit projetée une courte vidéo conçue par le service communication traduisant le travail de ce personnel ô combien capital.

Avant de clore son intervention, Patrick GENDRAUD mit l’accent sur la réalisation de quelques opérations majeures sur 2020/201 dont la livraison du nouveau gymnase au collège Albert-Camus à Auxerre (1,8 million d’euros) ; le programme d’amélioration thermique de deux bâtiments et projet de modernisation de la demi-pension au collège des Champs-Plaisants à Sens (une enveloppe de 2,4 millions d’euros pour un chantier qui débutera en 2022) ; la restructuration du collège Restif de la Bretonne à Pont-sur-Yonne en 2023 (du petit lait pour le premier vice-président et maire de la localité Grégory DORTE attentif aux propos) ; l’inauguration prochaine de la demi-pension du collège de Villeneuve-la-Guyard pour 3 millions d’euros ; celle du collège d’Avallon pour 6,5 millions d’euros ; les travaux énergétiques du collège Châteaubriand de Villeneuve-sur-Yonne (2,5 millions d’euros), etc.

Autant d’éléments tangibles démontrant que le Conseil départemental de l’Yonne a vraiment fait de l’avenir de la jeunesse et de la pérennité de son éducation l’une de ses principales priorités.

 

Thierry BRET

 

 


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Il a apprécié l’excellent cru de l’édition 2021 de la « Rencontre des Entrepreneurs de France », le délégué général du MEDEF et de l’UIMM de l’Yonne, Claude VAUCOULOUX. Une ex-université d’été des entrepreneurs qui a bien des égards sera passionnante à l’amorce de la rentrée. Honorée par la présence des membres du gouvernement, Bruno LE MAIRE, en tête…et par une explication de texte sur la situation afghane…

 

TRIBUNE : Ce matin, devant la page blanche, enfin, plus exactement devant l’écran de mon cher ordi, je m’interroge sur la meilleure façon de partager avec vous, en un texte court (et je sais d’avance que le mien sera trop long !), toutes les impressions qui forcément, se bousculent dans mon esprit, après trois journées passées sur les pelouses de l’hippodrome de Longchamp pour cette REF 21.

Rendez-vous annuel du MEDEF, autrefois appelé « Université d’été », et aujourd’hui re-marketé en « Rencontre des Entrepreneurs de France », cette édition 2021, à bien des égards, aura constitué un excellent cru !

Comme ce n’est pas mon métier, je ne vais donc pas me lancer dans un pseudo travail journalistique se voulant un résumé le plus complet possible de ce qui se sera passé durant cette manifestation. Non, j’adopte le parti-pris (et peut être un peu le risque), d’essayer de traduire certains de mes ressentis et sentiments, un peu à la manière d’un récit de « choses vues et entendues » et sous un format billet d’humeur qui devrait bien s’y prêter. Du moins je l’espère…

Une REF21 sous-titrée « A l’air libre » et dont Geoffroy ROUX DE BEZIEUX a tout de suite précisé qu’il ne s’agissait pas de souligner le fait qu’elle se déroule en plein air, mais bien qu’elle allait traiter et sous bien des angles, de la liberté !

Et d’ajouter que « la liberté n’appartient à aucun camp et que la liberté politique est toujours allée de pair avec la liberté économique et la liberté d’entreprendre qui nous est si chère ! ».

 

La marque des grands évènements avec son lot d’émotion…

 

Un thème choisi aussi parce que cette idée de liberté est depuis des mois, trop souvent pervertie par ceux qui s’en réclament, sans hélas en assumer les exigences ! « La liberté signifie la responsabilité. C’est pourquoi la plupart des hommes la craignent », disait George Bernard SHAW, prix Nobel de littérature. Le ton était donné !

Nous n’allions assurément pas assister à un évènement convenu, sans aspérités, sans âme et sans exigence ! Non ! Et bien au contraire. Ces Journées d’échanges, de rencontres et de réflexion, allaient donc nous interpeler, nous interroger, nous faire sortir d’un entre soi dans lequel il est tellement confortable de se complaire en de pareils moments. Elles allaient même nous bousculer, nous déranger et puis nous émouvoir ! Et c’est bien là, la marque des grands évènements ! Allez, j’ose me lancer dans le superlatif ! Des moments d’exception ! Et cette REF 21, par certains aspects, en fut un.

 

 

La fin annoncée du « quoi qu’il en coûte »…

 

Parce que la REF, ce n’est pas qu’un rendez-vous « corporate » et marketing. Même si elle accorde forcément une place de choix au décorum et aux moments de convivialité qui en font le charme ! Elle est aussi, il faut bien le dire, « the place to be » en cette fin d’été. D’ailleurs, même le soleil ne s’y est pas trompé, puisqu’il a fait le choix d’être de la partie trois jours d’affilée et presque sans défaillance ! C’est dire !  

La REF, c’est également un défilé de limousines cocardées et de cortèges officiels qui pinponnent et qui giropharisent ! Les ministres viennent y faire leur rentrée. Ils se sont encore succédés, nombreux cette année. Certains d’entre eux, à l’instar de Bruno LE MAIRE, en ont profité pour faire des annonces majeures, confère son intervention au cours de laquelle il a confirmé la fin du « quoi qu’il en coûte ».

Comme le demandait d’ailleurs le MEDEF, parce qu’on n’est pas entrepreneur pour vivre indéfiniment avec les aides de l’Etat ! En la matière, la question n’est pas de savoir si l’Etat devait ou non soutenir l’économie, mais bien, comment on en sort. La France ne peut pas vivre ad vitam aeternam avec des finances publiques à ce point dégradées et chacun comprend bien que, lorsque l’on est endetté comme l’est notre pays, on finit inéluctablement par ne plus être libre ! On y revient…

 

 

Des débats à décoller la pulpe du fond de la bouteille…

 

 

Et puis la REF, c’est aussi un rendez-vous de gens qui pensent. Philosophes, universitaires, économistes, stratèges, écrivains… porte-paroles de tous les courants de pensée. Parce que le débat, s’il n’est pas contradictoire, n’a pas beaucoup d’intérêt lorsqu’il s’agit de le pousser dans ses derniers retranchements. Et là, je peux vous le dire. Ça décolle la pulpe dans le fond de la bouteille. Ça sollicite les neurones et ça ouvre le champ des possibles. Quelle délectation que d’écouter des brillants esprits, même lorsque l’on ne partage pas forcément leur thèse d’ailleurs.

Mais la compréhension de leur point de vue, participe à l’éclairage de notre pensée et nous aide à conforter ou  forger nos propres opinions. Et c’est bien là une des grandes qualités de ces rencontres qui érigent le pluralisme en principe de base. Il serait pourtant là aussi, tellement commode de rester dans un convenu bien veillant, n’est-ce pas ! Eh bien non ! Même pas peur les patrons !

Et puis enfin, il y parfois ce que je vais appeler des instants de grâce, même si en l’occurrence, concernant la séquence que je vais maintenant relater, le mot grâce ne soit pas forcément le plus adapté, tant les évènements auxquels elle se rapporte sont tragiques !

Je veux ici faire écho à une table ronde intitulée « Femmes libérées » et qui accueillait notamment Chékéba HACHEMI, présidente et fondatrice de l’association, Afghanistan Libre.

 

 

Autant vous le dire d’emblée, je crois que sur les 2 ou 3 000 personnes qui ont écouté son témoignage, ils ne devaient pas être nombreux, ceux qui n’ont pas été touchés par ses mots simples, francs, lucides et tellement vrais, dans leur description d’une situation afghane où le drame le dispute au scandale ! Vous avez dit liberté ? 

Au regard de cette situation, qui se compare difficilement à une autre, on a pu mesurer, s’il en était vraiment besoin, combien il est malheureusement aisé de pervertir l’idée de liberté. Parce que là, la privation de liberté, je peux vous dire que pour ceux qui ne savaient pas de quoi on parle, c’est à dire la majorité d’entre nous finalement et c’est tant mieux, eh bien, nous avons pu la mesurer !

Et pas sur des considérations de petites libertés individuelles, dont certains pensent que leur somme constitue la liberté collective ! Non ! Là, on nous a parlé, de la liberté élémentaire de vivre pour des êtres humains ! Oh ! Pas question de pass sanitaire, d’obligation vaccinale, ou de respect de règles sans lesquelles il n’est pourtant pas pensable de vivre en communauté. Non ! On nous a parlé du droit ou non de vivre, dans un pays où l’on peut être lapidé parce que l’on est une femme, qu’on a mis un peu de rouge à lèvres, écouté de la musique, voire esquissé un pas de danse !

 

L’innommable situation de l’Afghanistan s’invite dans les témoignages…

 

Le témoignage de Madame HACHEMI remet drôlement les choses à leurs places ! Pouvons-nous encore supporter l’indécence des hurlements de celles et ceux qui se radicalisent autour de l’idée que la France est devenue une dictature, tout en oubliant qu’ils sont libres de le faire chaque week-end dans les rues de nos villes ?

Pensez-vous que Chékéba HACHEMI et ses sœurs afghanes peuvent le comprendre ? Non bien sûr et c’est pourtant bien ce qu’il se passe ! « Se vouloir libre, c’est aussi vouloir les autres libres » a écrit Simone de BEAUVOIR. Alors, pouvons-nous véritablement nous affranchir de ce qu’il se passe en ce moment à quelques heures d’avion de chez nous, sauf à être d’un égoïsme crasse qui nous déshonorerait ?

Je ne le crois pas et c’est pourquoi je pense que, ce que nous devons à minima à ces femmes en particulier et à ce peuple en général que nous allons abandonner une fois de plus à un destin terrifiant, c’est déjà la décence d’une particule d’honnêteté intellectuelle qui doit nous appeler à la modération dans nos propos et nos actes, sauf s’il s’agit de mettre en lumière le sort qui leur est malheureusement réservé.

Et oui. C’est aussi ça la REF ! Et c’est ce qui me rend tellement fier d’appartenir à ce Mouvement des Entrepreneurs de France. Fier qu’il sache s’engager comme il le fait, y compris dans des causes dont on pourrait penser qu’elles ne sont pas les siennes, si l’on devait s’arrêter à la simple mesure du potentiel des affaires que les entreprises françaises pourraient réaliser en Afghanistan d’ici aux dix prochaines années !

 

 

Interpelée par l’animateur du plateau, qui lui avouait qu’il se sentait impuissant face à la situation, Chékéba HACHEMI lui a répondu que personne n’est impuissant et que chacun peut, ne serait-ce que par la dénonciation et l’indignation, apporter au moins du soutien et du réconfort à ce peuple afghan qui va en avoir tant besoin. Et Geoffroy ROUX de BEZIEUX, visiblement bouleversé par ses propos, lui a alors dit en substance, que le MEDEF et les Entrepreneurs de France, même si, à cet instant précis, il n’était bien sûr pas capable d’en préciser le contenu, sauraient déployer une ou des actions concrètes et agir pour lui apporter le plus grand soutien possible !

Alors vraiment, oui, c’est pour tout cela qu’il fallait être à la REF 21 ! Le MEDEF est une grande organisation dont nous pouvons être fiers et que je vous invite à rejoindre.

Et puis dès maintenant, je vous donne rendez-vous pour la REF 22 qui, elle aussi soyez-en absolument sûrs, nous réservera encore de ces moments si importants, qui font du bien et qui nous font grandir. Car ils savent mettre en lumière ce qu’il y a de meilleur en nous…

 

Claude VAUCOULOUX

Délégué général MEDEF et UIMM de l’Yonne

 

 


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Ils ont pris la route le 25 juillet depuis Auxerre. Romain, Jordan et Loïc découvrent depuis les subtilités touristiques et les charmes de l’Hexagone à bicyclette. Ils profitent de leur halte pour s’immerger au plus près de certains villages et de leurs habitants. Avec pour point d'arrivée, Perpignan. Et comme objectif initial, collecter les détritus qui jonchent les abords des routes…

 

AUXERRE : Mailly-le-Château, Saint-Père-sous-Vézelay, Chalon-sur-Saône, Mâcon : c’est vers Lyon que les trois jeunes Icaunais se sont dirigés pour débuter le long périple devant les conduire vers les Pyrénées-Orientales.

Dans l’ancienne capitale des Gaules, ils ont visité le quartier typique de la Croix-Rousse, bénéficiant d’un peu de repos dans une auberge de jeunesse.

Ensuite, ils ont découvert un jardin partagé à Vienne où ils se sont nourris de légumes, fruits, piments et tomates cerise. Ce jardin est ouvert à tous. Ils ont continué la route vers le sud, se dirigeant vers Valence, Montélimar afin d’y déguster le nougat.

Un bref passage en Avignon où les trois compères n'ont pas emprunté le pont, car ce dernier nécessitait la présentation du pass sanitaire. A la Grande-Motte, les jeunes gens ont rencontré une mère de famille et ses trois enfants qui leur ont offerts le petit déjeuner le lendemain matin avec croissants et pains au chocolat. Avant qu'ils ne reprennent la route vers Montpellier où pour des raisons personnelles, Jordan a dû quitter ses camarades.

 

 

Un constat navrant aux abords des routes : des monceaux de détritus alimentaires...

 

Romain et Loïc ont donc continué la route tous les deux. Sète dans la patrie de Georges Brassens, Béziers, Narbonne, la romaine. Le temps aussi d’effectuer une pose salvatrice à Lézignan, pour y voir des amis…

Après 85 kilomètres de circuit, via le Parc naturel régional de la Narbonnaise, les deux garçons sont enfin parvenus à Perpignan.

Vu les circonstances sanitaires, ils n’iront pas en Espagne. Mais, ils ont décidé de ne pas s’arrêter en si bon chemin, repartant après deux jours passés à Perpignan.

Quelques réparations furent nécessaires sur les vélos avant de se rendre vers les Pyrénées et rejoindre la côte Atlantique.

 

 

 

D'un point de vue écologique, Romain et Loïc ont constaté que les routes de France sont jonchées de déchets de tout ordre, surtout alimentaires. Ils ont ramassé ce qu'ils pouvaient. Particulièrement dans les aires où ils se posaient.

En outre, beaucoup de masques de protection sont jetés n'importe où. Rappelons que ceux-ci sont conçus à base de plastique et mettent plusieurs années, voire des centaines d'années pour certains d’entre eux, à se décomposer.

Sans oublier que ces derniers peuvent se retrouver dans les cours d'eau et finir dans les estomacs des animaux marins…

 

Maryline GANDON

 

 


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La fine fleur des apprentis et néo-professionnels qui exerce ses talents dans la filière de la boulangerie/pâtisserie sur notre territoire est à l’œuvre au moment où se rédigent ces lignes. Depuis 6h30, ils tentent de gagner deux épreuves de renom : « Un des meilleurs jeunes boulangers de France » ainsi que le concours de « Meilleur apprenti de France »…

 

AUXERRE : Après la cuisine la semaine dernière, place aux épreuves mettant en scène les jeunes pousses de la boulangerie et de la pâtisserie ce lundi !

Le centre de formation professionnel de l’Yonne (CIFA) accueille depuis ce matin deux nouveaux concours de poids, permettant de récompenser les meilleurs éléments de la double filière artisanale.

Des épreuves qui ont débuté dès potron-minet avec l’accueil des candidats à 7h30 pour ces challenges en règle générale très relevés : « Un des meilleurs jeunes boulangers de France » et le traditionnel concours de « Meilleur apprenti de France ».

 

 

Cette journée a reçu la bénédiction de l’Union des boulangers et pâtissiers de l’Yonne pour sa phase préparatoire et organisationnelle.

A 16 heures, le double concours sera terminé pour les prétendants à ces deux accessits départementaux. Il sera alors grand temps de présenter le fruit de son travail aux membres du jury. La proclamation des résultats est prévue aux alentours de 17 heures cet après-midi…

 

Thierry BRET

 

 


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