Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Ils étaient 105 000 selon la préfecture de police, à défiler ce dimanche à Paris, à l’appel des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, pour une grande marche citoyenne contre l’antisémitisme. Un rassemblement populaire qui avait aussi valeur de symbole pour dire non à toutes les formes de haine et de racisme…

 

PARIS : « Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers… ». Des dizaines de milliers même, comme aurait pu chanter Jean FERRAT, à défiler ce dimanche à Paris pour dire non à l’antisémitisme et oui à la République.

Une mobilisation populaire qui sonne comme un réveil à l’heure où une fois encore, l’unité nationale fait rempart contre les haines de toutes sortes. Partie des Invalides, c’est une vague humaine qui déferla boulevard Saint-Germain pour rejoindre le Sénat. Autant de visages, autant de citoyens qui, à l’image de cette petite main jaune aperçue sur une pancarte, réminiscence des combats des années 80, se refusent à accepter l’indicible en disant « Touche pas à mon juif »…

Du haut de ses « presque 16 ans », Paul affiche un discours sans ambiguïté : « non à l’antisémitisme, non au F Haine ». Revendiquant le droit, érigé en devoir, de pleurer à la fois sur les enfants d’Israël et de Gaza : « une vie est une vie, il n’y a pour moi aucune différence. Contrairement à ce que peut laisser entendre Jean-Luc MELENCHON, ce n’est pas une marche pour soutenir les massacres… ».

Bien trop jeune pour avoir connu les accords d’Oslo ou de Camp David, mais ferme dans ses certitudes empreintes d’une maturité surprenante pour son âge : « il faudra bien un jour que l’on se remette autour d’une table, la solution à deux états, Israël et Palestine, est la seule possible, même si beaucoup voient cela aujourd’hui comme une utopie, c’est penser le contraire qui est une utopie… ».

 

 

Faire front pour lutter contre la discrimination et le racisme

 

Français d’origine algérienne, imam et théologien, Nabil REZZA, dont la présence a valeur de symbole, est amer : « je suis là aussi pour déplorer l’absence des grandes organisations musulmanes de France au premier rang desquelles la Mosquée de Paris qui, pour des prétextes fallacieux, a déclaré forfait et se refuse d’être présent aux côtés de nos frères Français de confession juive… ».

Prônant un discours de paix et d’amour, il se refuse à faire tout amalgame entre le peuple israélien et son gouvernement et lui aussi appelle à l’union sacrée : « l’Histoire malheureusement se répète, il est important de faire front en s’unissant, toutes confessions confondues, pour lutter et sauver cette société qui risque de se désagréger face à la discrimination, au racisme et à l’idéologie… ».

Juste derrière le « carré d’or » gouvernemental, inaccessible dans sa bulle retranchée, une première ligne de parlementaires en rangs serrés, écharpe tricolore en bandoulière. Parmi les ténors de la droite républicaine, une figure icaunaise bien connue, celle de l’ancien député Guillaume LARRIVÉ : « en ma qualité de président des Républicains de l’Yonne, il était important de montrer que notre département participe à ce mouvement national. Aujourd’hui, toute la nation doit se rassembler pour dire non à l’antisémitisme, tous les citoyens ont le devoir de se mobiliser, ce qui est en jeu, c’est la France telle que nous l’aimons, forte de cette mobilisation populaire… ».

 

 

 

 

Honte aux deux absents de marque…

 

Un discours repris peu ou prou par son « voisin de marche », figure tutélaire pour sa part d’Europe Ecologie Les Verts, le sénateur Yannick JADOT : « s’en prendre à un juif en France et c’est toute la République qui est attaquée, c’est chacune et chacun d’entre nous. Il faut que la société française soit unanime pour combattre l’antisémitisme et toutes les formes de racisme, qui sont aujourd’hui un poison pour notre pays… ».

Une « Marseillaise » s’élance, saluée par une salve d’applaudissements. Sur les pancartes, des messages qui donnent le refrain : « Non à l’antisémitisme, non à l’islamophobie », « Echange 1 otage contre 100 antisémites, c’est bon pour tout le monde ! », « Mon devoir de citoyen, c’est d’être là aujourd’hui »…

 

 

 

Mais aussi « Honte aux deux absents », allusion à peine voilée à l’absence d’Emmanuel MACRON et  du leader de La France Insoumise. « On est au plus mauvais endroit du monde, ça fait quatre fois qu’on me marche sur les pieds, on s’en va de là les enfants, je vais étouffer… ». A l’instar de nombreux « people », Michel BOUJENAH était présent ce dimanche et de l’aveu même de l’intéressé, ancien président de la Fête des vins, aurait pour l’heure « apprécié un verre de chablis » !

Bientôt 17h30, la pluie qui s’était faite discrète tout au long de l’après-midi, a fait son retour. Le ciel pleure sans que l’on sache très bien sur qui ? Enfants de Gaza ou d’Israël ? Larmes de pluie sans couleur ni drapeaux… « Shalom, Salam » !

 

Dominique BERNERD

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ils en ont pris plein les mirettes, les élus suiveurs des « Entretiens de Champignelles » ! Et leurs premières réactions, à l’issue de la découverte de l’impressionnant site industriel situé à la périphérie de Hambourg, auront été unanimes : « C’est bien trop court pour tout voir et tout appréhender ! ». Exact ! Les usines AIRBUS où sont assemblés les A 321, A 320 et A 330, fleurons de l’aéronautique européenne, n’ont pas dévoilées tous leurs secrets et autres subtilités en matière de recherche et développement. Ce fut juste une petite mise en bouche pour aiguiser l’appétit…afin d’en savoir plus !

 

HAMBOURG (Allemagne) : Dire que cela vaut le détour serait un pur pléonasme ! Tant le site industriel germanique – l’un des summums de la capacité économique du pays qui emploie près de 20 000 personnes dans sa partie la plus septentrionale - renferme bien des mystères conceptuels et électroniques, plutôt bien gardés. Car, attention, on ne pénètre pas sur les lieux de « Hambourg Finkenwerder » comme cela.

Même si l’endroit est ouvert à la visite des profanes et autres néophytes du milieu aéronautique, il est nécessaire de montrer patte blanche et surtout sa pièce identitaire. Ici, on entre dans un autre univers. Un monde parallèle que de l’extérieur on ne soupçonne même pas, une ville dans la ville avec sa kyrielle de bâtiments grouillant de vie et de lumière à la nuit tombée, de parkings garnis d’innombrables voitures, d’ateliers aux formes gigantesques, pouvant accueillir en leur sein des dizaines de fuselages à construire avec minutie et dextérité dans des délais soutenus tel un immense « Lego ». Normal, me direz-vous de se remémorer la marque de ce produit typique de notre enfance : la frontière danoise n’est finalement pas si éloignée de cela, en vérité !

 

Des statistiques à filer la chair de poule !

 

Clou de leur séjour outre-Rhin, organisé par Jacques GILET et son équipe dans le cadre des 34ème Entretiens de Champignelles, les élus de Puisaye-Forterre n’oublieront pas de sitôt ce qu’ils ont vu en cet antre de la coopération industrielle efficiente, servie à la sauce européenne, du programme AIRBUS.

Un rêve à l’état pur (voire de jeunesse) pour certains de ces élu(e)s qui imaginaient sans doute dans leur for intérieur ce qui aurait pu advenir de leur territoire de l’ouest de l’Yonne si un jour le géant de l’aéronautique avait osé poser ses pions en Bourgogne en y choisissant d’implanter une méga usine de la sorte ! Oups ! On se réveille et on arrête de délirer !

Les chiffres filent le vertige, voire la chair de poule. AIRBUS, c’est à date 449 milliards d’euros assurés par un carnet de commandes plus que garanti jusqu’en…2030 ! Mieux que les indépendants de l’artisanat, non ?!

C’est 59 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuels. C’est aussi 134 000 emplois au niveau de l’effectif global. Avec différents sites de production répartis aux quatre coins du globe, à l’instar de Toulouse, Tianjin en Chine et Mobile aux Etats-Unis. Ce sont plusieurs signatures au niveau des marques : AIRBUS, la plus connue naturellement, mais aussi AIRBUS Defence and Space, ou encore la filiale AIRBUS Hélicopters qui ne cesse de croître en termes d’activités auprès des grandes métropoles mondiales.

 

 

Le transport aérien le plus sécurisé de tous les modes de mobilité

 

Vu de l’Yonne, tout semble gargantuesque en ces murs ! Pourtant, lors de la présentation de la structure au groupe d’une quarantaine d’élus, les questions auront fusé parmi l’assistance, curieuse d’en savoir davantage sur telle typologie d’avions, sur la sécurité à bord, sur l’employabilité des seniors au sein de l’industriel – AIRBUS encourage les femmes à rejoindre l’industrie aéronautique et attire en son sein les talents internationaux les plus brillants sous le sceau de la diversité -, sur sa politique commerciale et stratégique…

Naturellement, les inévitables interrogations sur la RSE et le développement durable alimentèrent cet échange nourri entre la jeune représentante de la direction du site faisant office de porte-parole de la marque et des élus en quête d’informations, voire peut-être de quelques judicieuses vérités !

Plafonner les émissions des gaz à effet de serre, investigation sur l’avionique de demain à base d’hydrogène, réduction des nuisances sonores…furent autant de points abordés, sans tabou, lors de cet entretien à livre ouvert riche et constructif.

Pour les plus réfractaires à se retrouver à voler à dix mille mètres au-dessus des nuages, des éléments de réponse sur la sécurité aérienne furent apportés.

« Le transport aérien est bien plus sûr que d’autres activités pour se déplacer, expliqua la souriante jeune femme, hôtesse d’un jour, aux origines ibériques qui cita les conclusions d’une étude proposée par Harvard Aviation Public Health Initiative.

 

Une visite des ateliers au pas de charge mais pleine de rêves

 

D’ailleurs, qu’on se le dise, mais même les virus ne sont pas les bienvenus à bord de ces appareils avec l’air des cabines qui est ainsi renouvelé entièrement toutes les deux à trois minutes ! Bas les masques, donc, pour la grippe et la COVID !

Le volet humanitaire fut enfin expliqué à un auditoire qui ne se sera pas assoupi un seul instant dans le moelleux confortable des sièges de l’amphithéâtre faisant office de lieu de réception !

Grâce à sa fondation, AIRBUS octroie d’importantes aides humanitaires vers une trentaine de pays, s’appuyant sur des vols spécifiques (80) transportant plus de mille tonnes de produits de première nécessité.

Ultimes données chiffrées à conserver en mémoire : depuis sa création à la fin des années soixante, AIRBUS aura commercialisé 22 942 appareils, auprès de 400 compagnies aériennes. Un sacré bail, en vérité !

Il ne restait plus qu’à effectuer une brève excursion – trente minutes au pas de course dans les unités d’assemblage des fuselages – pour se forger un aperçu mémoriel de cette mégalopole industrielle et repartir de ce lieu, avec des images incroyables, plein la tête. Des images non reproduites via des appareils photographiques, car ici, la fameuse invention de Nicéphore NIEPCE est interdite. Secrets de fabrication, oblige…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Déjà que de garer son véhicule dans le cœur de ville est particulièrement délicat ce mois-ci avec la multitude de travaux en cours, se rapportant entre autres au long remplacement des réseaux de gaz, vétustes et inappropriés en termes de modernisme et d’efficience, voici que les automobilistes eux-mêmes se mettent à faire du grand n’importe quoi sur les parkings auxerrois. En témoigne cette illustration où le malheureux propriétaire de la petite Kia grise (voire au centre de la photo) pris en tenaille entre plusieurs autres bagnoles a dû ronger son frein longtemps avant de pouvoir quitter son piège !

 

BILLET : On savait que les Français, ces Gaulois réfractaires à toute évolution, faisaient montre d’impolitesse et d’incivisme au quotidien – c’est devenu un véritable sport national, une marque de fabrique tricolore, aussi bien en ville que dans les campagnes, de bon augure avant les Jeux de Paris où nos couleurs seront favorites, c’est certain aux  médailles du plus beau des métaux ! – mais là, il faut presque se pincer le bras en se demandant si tout cela est bien vrai !

Tout le monde se fout de tout et le bon sens, voire la logique pour celles et ceux qui en font encore usage à bon escient avec leurs neurones distraits par les portables et autres mondes virtuels, semble s’être évaporé pour de bon, balayé par les puissantes rafales de vent de ce mois de novembre, enfin automnal.

Imaginez la tête du possesseur de ce petit véhicule gris, d’une marque sud-coréenne placée au centre de notre illustration, lorsqu’il a voulu quitter le parking (un véritable piège d’ailleurs que cet espace de stationnement anarchique situé près du Rond-Point de Paris, dépourvu de la moindre ligne au sol faisant office d’emplacement) d’où il n’a pu s’extraire avec commodité.

 

Courir tout le temps après n’importe quoi…

 

C’est sûr : être coincé entre plusieurs automobiles, l’une devant, l’autre derrière, sans oublier celles positionnées sur les côtés, aura dû s’apparenter à une sinécure inéluctable pour le malheureux conducteur.

Le propriétaire aura dû s’en doute d’armer de beaucoup de patience (vertu que le Français ne possède pas !) et bouillonner intérieurement avant de pouvoir  s’extirper de la nasse dans laquelle on l’y aura mis. De manière involontaire, on ose espérer, ou peut-être pas, c’est à se demander  à y regarder de plus près !

Où sont donc passés les principes élémentaires du Code de la Route qui s’appliquent aux règles de stationnement ? Pressés de poser leurs « caisses » sans crier gare, n’importe où, et n’importe comment, afin de se rendre dare-dare au bureau, faire leurs emplettes, boire le petit ballon de blanc salvateur ou se précipiter sur le premier jeu de grattage venu en espérant toucher le jackpot en devenant millionnaire, nos concitoyens à force de courir après on ne sait quoi (rassurez-vous la mort sera toujours là pour vous accueillir au bout du compte !) et par manque de discernement en sont arrivés à ne plus rien respecter du tout, encore moins de l’existence d’autrui, voire de la leur.

 

 

Il faut être inconscient voire totalement c…pour bloquer un véhicule !

 

Car, tout de même, avec un peu de jugeote, pour l’automobiliste fautif de cette infraction (peu importe de savoir si c’est celui de devant, de derrière ou de côté d’ailleurs qui aura bloqué le véhicule central), ne pas s’apercevoir que l’automobiliste « piégé » ne pourrait pas bouger son véhicule est totalement inconscient. Pour ne pas dire d’autres mots empruntés au célèbre sabir fleuri du regretté Michel AUDIARD !  

Et si ce véhicule encerclé était celui d’un professionnel de santé devant assurer une intervention d’urgence, d’une mère de famille devant s’occuper de ses enfants en bas âge à la maison, de personnes malades devant rentrer à leurs domiciles pour s’y soigner, de personnes en activité devant honorer un rendez-vous capital ? On ose imaginer les conséquences par effet gigogne d’un acte aussi anodin et imbécile…

Qu’importe ! En bon égoïste que nous sommes tous, du moment que nous puissions garer notre bagnole là où il y a de la place, le reste n’est pas un problème en soi. Détrompez-vous, mesdames, messieurs : cet incivisme ordinaire et nauséabond, ce m’en foutisme indigent qui nous gangrène tous les jours dans moult domaines et nous ronge comme un cancer incurable, sera la cause de notre perte…Du moins, celle des gens intelligents et civilisés.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

En ce mois de novembre, période des produits tripiers, notre rubrique culinaire vous emmène déguster l'un des abats préférés des convives icaunais : la tête de veau. Souvent, elle est proposée au menu du jeudi. Le « Restaurant du Pont » à Cry-sur-Armançon n'échappe pas à la règle. Pourquoi ce jour-là ? J'avoue tout de go en ignorer la raison !

 

CRY-SUR-ARMANCON : La France comptait environ un millier de tripiers en 1970. Combien en demeure-t-il désormais ? Deux cents, tout au plus. Dans l'Yonne, on pense aux sympathiques frangins MAGNONI, présents sur nombre de marchés (Pont-sur-Yonne, Sens, Toucy, notamment...).

Au sud-est de notre département, à une portée d'arquebuse de la Côte d'Or, se dresse le joli village de Cry-sur-Armançon (164 habitants environ). Il est bordé de majestueuses forêts. L'Armançon y coule gaillardement.

 

 

Rendre l’hommage qu’ils méritent aux tenanciers de l’établissement

 

Le « Restaurant du Pont » est l'unique commerce villageois. Poussons-en la porte. Antan, avant que les peintures ne soient refaites, des affiches de « La Française des Jeux » indiquaient quelques gains de grattage en francs français. Rappelons en la matière ce chiffre édifiant : seuls, environ 25 % de villages ont la chance de disposer encore d'un ou plusieurs commerces.
Autour du comptoir en formica, ça discute de façon animée. Ce bistrot, c'est LE lieu de rencontres du village, et l'on ne peut que rendre l'hommage qu'ils méritent à ses tenanciers. Le jour venu, pourront-ils trouver un successeur ? En tous cas, le mâcon est gouleyant. Ce que paraît confirmer le gentil chien de la maisonnée.

 

 

La tête de veau, fière représentante du 5ème quartier et des abats blancs

 


La salle du restaurant est toute lumineuse. Elle arbore sa jaune panoplie. Quelques affiches d'albums de l'indémodable « Tintin », dont « L’Etoile mystérieuse » et son énorme champignon, décorent les murs. Les assiettes de la maison sont siglées. En entrée, le feuilleté de boudin est plutôt bon. L'autre proposition, le jambon persillé, est de conception industrielle, comme les desserts d'ailleurs. C'est un peu dommage. Mais, nous sommes venus pour le plat principal qu'est la tête de veau, fière représentante du cinquième quartier et des blancs  abats parmi lesquels les délicats ris, à contrario des abats rouges constitués par foie et autres rognons.

 

 

 

La tête de veau arrive dans des assiettes copieuses plutôt chaudes ! Sa sauce herbée est un rien acide, ce qui est plaisant avec la texture de notre mets. Autour de nous, une petite  cinquantaine de convives semblent communier avec le bel abat, tenant de ces savoureux plats populaires appréciés des connaisseurs ! L'atmosphère est plutôt plaisante en ce jeudi, et la petite fille qui fait le tour des tables est plutôt rigolote. Elle est ici comme chez elle !


Un café et voici l'heure de traverser à nouveau le joli pont de pierre. Et qu'on se le rappelle, jeudi prochain, le 16 novembre précisément, c'est le jour du beaujolais nouveau ! Mais demain à Cry, demeurera-t-il un bistrot, ainsi que  des amateurs de mets tripiers ?

 



En savoir plus :

 

Les - : on aimait ces vieilles affiches en francs français présentés sur ce mur défraîchi. Désormais, c'est plus lumineux, mais...

Les + : bravo aux sympathiques tenanciers de l'unique commerce de ce village.

 

 

 

Contact :

 

Restaurant du Pont de Cry

02 Rue du Moulin

89390 Cry-sur-Armançon

Tel : 03.86.55.73.09.

 

Gauthier PAJONA

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pour l’un de ses ultimes tours de piste sous les projecteurs, il est parfaitement décontracté et rodé à la pratique de l’exercice, le président de CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté. Si son alter ego décisionnaire, mais directeur général de la structure, nommé en juillet, Thomas LEMAITRE découvre les arcanes d’une assemblée de territoire, accueillie dans l’Yonne ; lui, Eric COQUILLE ne les compte même plus ! C’est en affichant un large sourire qu’il s’est donc rendu au pupitre de l’estrade de l’espace culturel ayant reçu la manifestation afin de tirer les enseignements de l’exercice 2023, frappé de plein fouet par la crise économique et l’inflation…Avant d’aborder les perspectives.

 

APPOIGNY : Il ne pouvait pas manquer de saluer le travail sérieux effectué au cours de l’exercice écoulé, par l’ancien directeur général, Laurent BEURIENNE, parti au premier janvier 2023, sous d’autres cieux promotionnels du côté de la capitale. Un Laurent BEURIENNE qui aura laissé presque une marque indélébile dans le microcosme tant le personnage jouait sa partition avec maestria au sein de l’édifice CERFRANCE régional ; lui qui désormais occupe une fonction à haute responsabilité, au sein du Conseil national du réseau CERFRANCE, à Paris.

Mais, Eric COQUILLE lorgnant vers l’avenir sera aussi mettre en évidence son successeur, Thomas LEMAITRE, dès les premières minutes d’une assemblée territoriale qui s’ouvrait selon le cérémonial habituel.

Un Thomas LEMAITRE qui aura déjà un rôle prépondérant à jouer en cette période automnale en préparant la succession et l’imminent départ du président Eric COQUILLE.

En effet, ce dernier a annoncé son retrait du poste d’administrateur qu’il occupait depuis plusieurs années, en date du 28 novembre prochain, lors de l’assemblée générale annuelle. C’est-à-dire demain ou presque à l’échelle du temps !

 

Un nouveau président à la tête de CERFRANCE BFC fin novembre

 

Une manière intelligente de préparer l’avenir de la structure en mode résolument binôme, une structure spécialisée dans l’expertise comptable mais pas que puisque CERFRANCE BFC a su ajouter une multitude de cordes à son arc – c’est devenu une harpe au fil des années ! – au service des entreprises et des entrepreneurs dans leurs quêtes de rentabilité et de sécurisation financière.

Pour l’heure, rien n’a donc filtré sur le patronyme exact qui succédera au président COQUILLE en cette journée du 28 novembre. Toutefois, l’orateur profitera de sa prise de parole, face à un auditoire très attentif, pour préciser que le Conseil d’administration de la structure avait fait le nécessaire en amont pour que les deux rouages de cette indispensable courroie de transmission devant pérenniser le travail de ce leader du chiffre et du droit puissent poursuivre leur travail en toute sérénité.

 

 

Le rôle des délégués de territoire, à ne pas oublier…

 

Insistant sur la vie de ce binôme (président/directeur général), Eric COQUILLE n’hésitera pas à tresser des louanges sur ce mode opératoire très fonctionnel et à s’appesantir sur la nécessaire cohésion décisionnelle propre à ce système de gouvernance associative. Tel que l’a pratique avec succès CERFRANCE.

Sur sa lancée, le président évoqua également la réorganisation de l’entreprise – elle s’appuie sur une stratégie de développement ambitieuse depuis la fusion de 2019 – qui sera largement explicitée au cours de la soirée, trombinoscopes et cartographies en sus, avant d’aborder l’engagement politique de l’équipe.

Il sera ainsi présenté dans le détail le rôle des délégués de territoire, véritable articulation de cette société.

Dans cette longue explication de texte permettant de mieux saisir la gouvernance de la structure, Eric COQUILLE ne pouvait clore ce chapitre sans revenir une fois encore sur la nomination au début de l’été de Thomas LEMAITRE dont nous avions présenté le portrait dans l’un de nos précédents articles.

Un nouveau directeur général qui est depuis bien installé dans son fauteuil de dirigeant, choisi parmi une centaine de candidatures à l’origine. Ce qui n’est pas rien et témoigne, comme devait le préciser le président COQUILLE de l’intérêt porté à CERFRANCE par les cadres supérieurs en recherche d’ambitions…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil