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Eclipsé de la scène viticole départementale depuis deux ans pour cause de pandémie, le concours des Vins du Grand Auxerrois faisait son grand retour samedi à Coulanges-la-Vineuse. Pas moins de 180 échantillons issus des trois derniers millésimes, représentatifs de tous les vins de l’Yonne à l’exception du chablis, ont été proposés à la sagacité des 42 jurés présents, avec au final 69 médailles décernées, dont 14 d’or et 22 d’argent.

COULANGES-LA-VINEUSE : Cette trentième édition a été fêtée de belle manière par les organisateurs qui, pour l’occasion, proposaient une dégustation verticale des trente derniers millésimes de certaines appellations.

« Quant aux médailles, elles sont attribuées à partir d’une moyenne supérieure à 13 sur 20. En cas de note sévère, il est demandé de justifier ce choix… ». Dernières recommandations d’usage de Magali BERNARD, co-présidente du concours avec Elodie CHALMEAU, à l’adresse des 42 jurés présents samedi matin en la salle des fêtes. Un jury qui, à l’exception de quelques représentants du vignoble chablisien, a pour particularité de ne compter dans ses rangs aucun vigneron des différentes appellations en lice. Ils sont sommeliers, journalistes, œnologues, restaurateurs, courtiers, professionnels ou amateurs avertis, venus d’horizons divers, de l’Yonne ou des départements voisins, voire de Paris, avec pour point commun la passion et l’amour du vin.

Le ballet cadencé des serveurs rythme les dégustations qui s’enchaînent. Rouge, blanc, rosé, qu’importe la couleur ! Le rituel est le même et la technique bien maîtrisée, usant des trois sens que sont la vue, l’odorat et le goût, pour un « voyage » aux multiples sensations.

 

 

Seule la moyenne des notes obtenues fait qu’un vin reçoive ou non une médaille…

 

Dans les verres inclinés, le vin se fait limpide ou intense, « pleurant » des larmes pour mieux en raconter l’histoire. Premier nez, deuxième nez…, les vins dansent au fond des verres, dévoilant leur palette aromatique, avant une dernière étape gustative. « Rouge, un verre et gagne ! ».

La note est élogieuse et ce coulanges en robe pourpre semble bien parti pour décrocher une médaille, sous réserve du jugement des deux autres jurés en charge eux aussi de cet échantillon.

L’autre particularité du concours étant que s’ils sont obligatoirement plusieurs à se déterminer sur un même échantillon, chacun est installé à une table séparée et seule la moyenne des notes obtenues fera qu’un vin reçoive ou non une médaille.

Une façon d’apporter « de l’honnêteté et une crédibilité maximale au concours en évitant le risque qu’une forte tête impose son avis aux autres… selon le vigneron de Saint-Bris Guilhem GOISOT.

 

 

Des vins d’un très haut niveau qualitatif particulièrement le millésime 2020…

 

L’épicurien gastronome et célèbre chroniqueur Gauthier PAJONA, qui officiait en qualité de juré, se félicita pour sa part de la nouvelle règle instaurée par les deux coprésidentes : « tous les gens qui notent sévèrement doivent désormais justifier leur avis et du coup, cela a calmé les velléités injustes de certains et ça fait du bien ! ».
Président de cette trentième édition, le journaliste Guillaume BAROIN ne boudait pas son plaisir à l’issue de la manifestation : « j’ai pu goûter des bourgognes coulanges et tonnerre blanc d’un très haut niveau qualitatif, particulièrement le millésime 2020 de très belle facture, avec notamment un vin coup de cœur que j’ai adoré. Bien heureux de cette belle dégustation… ».

Ce fin connaisseur des vins du Grand Auxerrois qui sillonne le département depuis une trentaine d’années, leur reconnaît une double vertu : « outre une progression de la qualité que ce soit sur le plan technique ou cultural, il est important de dire que ce sont des vins accessibles à tous les palais et à toutes les bourses, des appellations qui sont la base même de la pyramide des vins de Bourgogne et ça, c’est génial…».

Ite missa est ! (La messe est dite…).

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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La table où il accueille le public au terme du dernier spectacle de ces « Misters Class de l’Humour » présente l’un des ouvrages de l’acteur et humoriste. Un opus d’une centaine de pages, publié en 2017, où sont couchées ses « pensées ». Ses meilleurs jeux de mots y côtoient sa propre vision du monde. Avec talent et émotion. Selon lui, « le dictionnaire est une balançoire dans le jardin de l’imaginaire… ». Un imaginaire que l’on sait fertile et débordant d’énergie…

 

CHATEL-CENSOIR : Sur scène, micro à la main, aux côtés du premier élu de la localité Olivier MAGUET, discutant avec le public lors de la réception amicale ou prenant la pose le temps d’une séance photo impromptue après la signature d’une dédicace du recueil dont il assure la promotion, SMAIN se démène comme un beau diable dans la salle des fêtes.

Il virevolte comme un courant d’air, félicitant au passage son « poulain » l’excellent comédien qui incarne le personnage totalement décalé et hors sol de l’aristocrate fauché (Amaury de GONZAGUE) – il vient de livrer une prestation humoristique de très belle facture arrachant les rires d’une salle comble conquise par l’artiste -, et invitant les gens à le rencontrer au terme de ce rendez-vous dominical qui clôture la seconde édition de ces « Misters Class de l’Humour », portés par l’association TRIODARTS.

Entre l’Yonne et SMAIN, c’est devenu une belle histoire d’un amour passionnel.

On se souvient de sa double représentation d’avant COVID donnée chez les troubadours de la poésie de Puisaye, Andrée et Gérard-André, qui l’avaient accueilli dans leur antre de La Closerie à Etais-la-Sauvin. On se remémore tout le travail effectué par une Nadia FENNIRI, en cheffe d’orchestre talentueuse à la baguette de l’association culturelle TRIODARTS qui a nourri ce futur projet collaboratif avec le comédien et humoriste et ce public de néophytes, désireux de s’essayer lui aussi à la pantomime et au rire, devenant le temps d’un stage fructueux en atelier – les Misters Class – beaucoup plus que de simples humoristes en herbe.

 

 

Entre l’Yonne et l’humoriste, une belle histoire d’amour…

 

Durant trois jours de stage et quatre ateliers à suivre avec leurs professeurs, ces férus de rire et de calembours potaches se sont perfectionnés à leur manière sur scène, afin de mieux resplendir dans la lumière. Ce fut le cas lors de la restitution le samedi soir.

Quant à SMAIN, parrain de la judicieuse initiative, il s’est dit ravi de cette opportunité de retrouver le public. « On a passé trois jours merveilleux avec tous ces jeunes, confia-t-il aux spectateurs, il n’y a pas qu’à Paris qu’il y a du talent, il y en a aussi en zone rurale… ».

Puis, il eut un mot agréable pour TRIODARTS, source originelle de ce concept artistique novateur et terriblement efficace.

« J’espère que le concept va se perpétuer dans les années à venir, devait-il souligner, avec pourquoi pas l’organisation d’un premier festival d’humour accueilli ici à Châtel-Censoir ? ».

Avant de conclure sa prise de parole par des souvenirs personnels le renvoyant à sa tendre jeunesse lorsqu’il fréquentait en 1966 le centre de loisirs d’Arcy-sur-Cure, près du lac Sauvin où il donna ses premiers sketches !

Entre l’Yonne et SMAIN, c’est bien de l’amour, avons-nous dit, le vrai !

 

Thierry BRET

 

 


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C'est peut-être l'un des terroirs les moins connus de l'Yonne, la « Terre plaine », au sud de l’Avallonnais, avec ses haies ayant résisté au remembrement, son bocage, ses vaches charolaises, limousines ou de race Aubrac. La circulation y est paisible, à l'image de la vie qui semble y défiler un rien à l'écart…

 

SAVIGNY-EN-TERRE-PLAINE : Pour arriver à destination, l'on passe par Saint-André, toujours en « terre plaine », devant le garage « rétro-passion » où un joyeux illuminé passionné de la chose automobile peut vous préparer une Citroën Méhari (le must des soirées friquées sur la Riviera) ou bien faire admirer une SM qui succéda à la DS avec moins de succès et plus de pannes ! A l'ouverture de l'A6, aux débuts des années 70, la Gendarmerie en disposa dans sa brigade rapide, sise à Nemours. Résultat : pannes garanties à peine arrivé à Courtenay !

Bienvenue à Savigny-en-Terre-Plaine et ses 122 habitants. Voilà un demi-siècle, il y en avait le double. Non loin du monument aux morts, se dresse une façade un rien défraichie, celle du restaurant-bar-tabac « Le Bambou's café ». Ainsi dénommé car lors de son rachat en 2015, sur le crépis était peinte cette plante à tige cylindrique ligneuse. A l'époque, point de restaurant encore.

 

 

Un projet de restaurant où sera servi de la bonne cuisine…

 

C'est pour ne pas voir fermer l'unique commerce villageois qu'un jeune et courageux  cuisinier de vingt ans - un enfant du pays -, Gabriel GIRARD, fraîchement sorti de chez LOISEAU à Saulieu le racheta et y créa un restaurant. Son restaurant. Une belle histoire que la sienne, accompagnée tout naturellement de bonne cuisine.

Il est midi et quelques. En poussant la porte, il y a du monde autour de ces tables reposant sur des tommettes couleur brique, nappées de rouge et blanc, un peu comme dans un bouchon lyonnais ! Autour du comptoir, trônent des bocaux de rhums divers et arrangés.

 

 

Asseyons-nous ! Le punch maison est ce jour-là accompagné d'un nectar pimenté. Il faut s'accrocher, mais votre serviteur termina son godet. Ah, mais ! Sur la table, une délicieuse rillette de jambon avec de délicieux croûtons-maison semble provoquer les convives. L'esprit de la maison suinte dès le début du repas : qualité et convivialité y vont de pair.

 

 

Une façon originale de déguster un gastéropode…

 

Au tableau noir de l'école disparue, le menu du jour, à 15 euros la formule complète - sans commentaire - et ses quatre choix d'entrées mais aussi de plats. Va pour la salade de harengs-pommes à l'huile, mais aussi la tarte « escargotine » comme son nom l'indique. La salade est élégamment présentée (à ce tarif, c'est plutôt rare) et parfaitement assaisonnée. Quant à la tarte, c'est une autre façon, un rien originale, de déguster ce gastéropode !

Il est alors quatorze heures. Un couple arrive, vaguement inquiet : « peut-on encore déjeuner ? ». Avec plaisir, installez-vous leur répond l'aimable serveur, sorte de copie conforme du chef !

 

 

 

 

Des carottes coupées en épais sifflets…

 

Les plats arrivent ensuite, avec des légumes différents ! L'échine de porc en cuisson lente se présente avec une délicieuse embeurrée de choux. Quant au bourguignon, il est servi avec des pommes fondantes et de bonnes carottes produites chez le maraîcher MATERNAUD, bien connu à Quarré-les-Tombes.

Elles sont coupées en épais sifflets, ce qui leur donne une mâche appréciable.  Par gourmandise, l'on goûte aussi quelques frites maisons, croustillantes et pas grasses. Le vin de Maranges, conseillé par notre cuisinier à casquette convient parfaitement.

Un délicieux biscuit roulé et son coulis de fruits rouges, pour terminer, ce qu'il me convient de dénommer du doux nom  de festin.

Du cœur à l'ouvrage, ainsi que des projets, notre  jeune « archange culinaire » n'en manque pas. Des adresses campagnardes de haute volée, comme celles-ci, « L’Aile ou la Cuisse » aimerait vous en dénicher un peu plus souvent…

 

 

En savoir plus :

Les - : pour cette petite maison aux belles et légitimes ambitions, pourrait correspondre un choix de vins un brin plus affûté peut-être.

Les + : magnifique rapport qualité/prix. Applaudissements nourris et mérités !  Dire qu'il faudra que je revienne pour goûter les tripes, cuisinées maison comme de bien entendu !

 

 

 

Contact :

Le Bambou's Café

09 Rue des  Forges

89420 SAVIGNY-EN-TERRE-PLAINE

Tel : 03.86.32.58.70 ou 06 44 20 92 13.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Il est prudent de réserver ! 

 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Depuis le mois de juin dernier, à la suite de la démission inattendue de la sénatrice Dominique VERIEN, il assurait l’intérim à la présidence de la formation politique départementale avant de connaître le verdict définitif des urnes. Un résultat, tombé le 29 octobre, qui le conforte dans le fauteuil de numéro un du parti du centre droit de l’Yonne. A 45 ans, Sébastien DOLOZILEK ajoute donc une nouvelle ligne à son cursus politique. Après celle d’adjoint à la Ville d’Auxerre en charge de la Sécurité et de la Tranquillité, et d’élu communautaire de l’Auxerrois…

 

AUXERRE : Le contraire eut été étonnant. Le poste ne pouvait pas lui échapper ! Se positionnant en qualité de seul et unique candidat à briguer la succession de la sénatrice Dominique VERIEN, démissionnaire de la présidence du parti centriste en juin dernier après les législatives, Sébastien DOLOZILEK, et ce n’est pas une surprise en soi, ne pouvait décemment pas louper le coche et se voir ainsi privé du mandat présidentiel qui se présentait à lui !

Sur les vingt-huit suffrages exprimés, lors de ce vote interne au sein de l’UDI 89 ce samedi 29 octobre, vingt-sept lui seront revenus favorable ! On imagine aisément que le garçon s’est abstenu de voter pour lui-même, par acte de courtoisie !

 

 

Assurant l’intérim et la gestion des affaires courantes depuis le départ de la présidence de Dominique VERIEN, longtemps cheffe de file du mouvement de centre droit sur notre territoire, Sébastien DOLOZILEK, membre de l’UDI depuis 2012, vient donc de convertir à l’unanimité ses prétentions à diriger une structure politique départementale qui fédère à date une cinquantaine de militants.

Une nouvelle étape pour le quadragénaire natif de Tonnerre qui ajoute à son CV une nouvelle ligne après le poste d’élu communautaire de l’Auxerrois et celui d’adjoint à la Ville d’Auxerre en charge de la Sécurité et de la…Tranquillité.

Occupant jusque-là la fonction de délégué départemental de l’UDI de l’Yonne, Sébastien DOLOZILEK transmettra cette fonction après validation par le bureau national à l’élu de Sens, Amine HIRIDJEE.

 

 Thierry BRET

 

 

 


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Sa prestation sur scène tirera d’un trait définitif la première édition des « Misters Class en Zone rurale », un évènement se déroulant du 03 au 06 novembre à Châtel-Censoir en présence de SMAIN et concocté par TRIODARTS. Incarnant un aristocrate loufoque, décalé et si précieux, l’excellent comédien Amaury de GONZAGUE narrera à sa manière sa « journée du patrimoine ». Vécue en version « sa race » où le public peut donc s’attendre au pire !

 

CHATEL-CENSOIR : Ce spectacle à la verve délicate et à l’humour décapant servira donc de point d’orgue à ce grand rendez-vous porté par l’excellente association TRIODARTS – elle vient de commémorer son cinquième anniversaire – à la campagne. Une représentation satirique de la noblesse et de l’aristocratie qui est confrontée à l’ouverture de ces édifices patrimoniaux faisant le fleuron de l’Hexagone : ses châteaux !

Une journée du patrimoine très particulière attend donc le personnage interprété par l’imprévisible Amaury de GONZAGUE – on peut y ajouter les noms de CHARDON QUIQUETTE au patronyme ! - qui nous fera part durant plus d’une heure de ses états d’âme et de sa réelle situation dans ce monde actuel qui semble être aux antipodes de ses préoccupations.

D’ailleurs, s’il ne comprend rien à rien à l’époque dans laquelle il se meut, notre « châtelain » qui appartient à une espèce en voie de disparition s’interroge avec pertinence sur le sens de son existence. Le tout servi avec un langage fort bien choisi !

C’est drôle, souvent savoureux, et très cocasse. Le parcours de cet aristocrate ruiné et haut en couleur se découvre avec délectation grâce à cette succession de sketchs ubuesques dont on s’abreuve sans relâche avec le même bonheur. Une histoire qui prend pour cadre un camping municipal, bien loin des fastes de la vie à la cour royale !

Après des essais dans l’imitation et la chanson, l’artiste s’est reconverti avec malice dans le milieu des cabarets et de l’humour dans la capitale. On aura pu l’applaudir dans de célèbres maisons : « Le Don Camilo », « La Main au panier » ou encore « Le César Palace ».

 

 

En savoir plus :

Spectacle « Ma Journée du patrimoine sa race »

Avec Amaury de GONZAGUE

A la salle des fêtes de Châtel-Censoir à 15 heures

Le dimanche 06 novembre 2022

Prix d’entrée : 10 euros.

Réservation auprès de TRIODARTS au 06.37.35.37.50.

 

Thierry BRET

 

 


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