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Tous les ans, la Chambre de Commerce suédoise, présente sur le sol français à Paris, décerne une distinction honorifique : le prix de l’Excellence. Il récompense  une société industrielle binationale qui s’est particulièrement distinguée pour sa capacité d’innovation et de réussite dans l’Hexagone. Pour cette édition 2019, c’est le groupe SKF qui possède une unité de production dans l’Yonne à Avallon, qui a été plébiscité. Le président de la filiale française, Luc GRAUX, a reçu le précieux sésame des mains de l’ambassadrice de Suède…

PARIS : L’évènement a eu lieu la semaine dernière sous les ors du palais d’Iéna, haut lieu de la capitale. En présence de son Excellence Véronika WAND-DANIELSSON, ambassadrice de Suède dans l’Hexagone, le président de la filiale française du groupe industriel, Luc GRAUX, s’est vu remettre cette honorable distinction. Un accessit qui salue les valeurs sociétales et environnementales de la société  industrielle.

Apparue en 1907, SKF s’est hissée depuis parmi les leaders mondiaux d’une industrie qui est dédiée à la performance des équipements tournants, notamment dans le domaine des roulements, des joints et autres composantes de la mécatronique.

Le jury de la Chambre de commerce suédoise devait retenir plusieurs critères forts qui l’ont guidé dans sa prise de décision.

SKF s’appuie, en effet, sur une démarche d’innovation fondée sur le partage et le mentorat. L’entité franco-suédoise a noué des partenariats R&D avec des start-up françaises et européennes dans le cadre du challenge de l’industrie du futur.

Un programme vertueux qui a pour vocation d’améliorer la performance durable et la qualité de services en milieux industriels. Précisons que ce challenge de réputation internationale est organisé avec le concours des sociétés ATOS, ARIANE GROUPE et les Techniques de l’ingénieur.

Autre vecteur marquant ayant séduit les membres du jury : la politique d’investissements importants et réguliers en France. SKF a des projets ambitieux centrés sur la transformation numérique et l’apport de l’industrie intelligente. En outre, le groupe s’engage ouvertement en faveur de l’économie circulaire favorable au développement d’une société plus durable.

 

 

Les start-up ont besoin des grands groupes, l’inverse aussi…

 

Présente dans plus de 130 pays, SKF dispose d’un réseau d’environ 17 000 distributeurs répartis aux quatre coins du globe. En 2018, l’entreprise réalisait un chiffre d’affaires d’un milliard d’euros en France, employant un effectif de près de trois mille collaborateurs.

Invité à recevoir le trophée, Luc GRAUX, président de la filiale française de SKF, souligna que « l’industrie et l’innovation sont indissociables et l’une ne peut avancer sans l’autre dans une logique de réciprocité ».

Puis, il poursuivit sa prise de parole en rappelant que « dans un monde qui bouge, face aux enjeux d’une transition écologique et numérique nécessaire, il est primordial de savoir s’adapter. Si les start-up innovantes ont besoin des grands groupes industriels pour se développer, l’inverse s’avère une réalité. C’est une combinaison gagnant-gagnant que nous mettons en œuvre au sein de SKF, ajoutant aux travaux de notre département Recherche et Développement un partage de réflexions aux objectifs convergents… ».

Puis de conclure : « c’est dans cette optique que nous avons initié en 2017 le Challenge Industrie du futur, appelant de jeunes pousses à proposer leurs idées et technologies… ».

 


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Le rêve de gosse devient donc réalité pour la jeune éleveuse à peine trentenaire. Elle a touché du doigt le « Graal » de l’entrepreneuriat, encouragée par ses pairs du réseau Entreprendre Bourgogne et bien d’autres personnes issues de l’économie participative qui ont cru en elle. Si les fromages blancs et les yaourts égayeront sa gamme de nouveautés à partir de 2020, il n’empêche que les premiers produits à base de  lait de chèvres se dégustent goulûment depuis peu dans sa ferme modèle, résolument environnementale…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Le bio, rien que du bio ! C’est l’essence même de cette foi inébranlable qui anime la jeune femme dans sa quête professionnelle, elle qui n’a pas hésité à passer outre son poste de commerciale spécialisé dans la nutrition animale qu’elle tenait à bout de bras depuis huit ans. Elle l’exerçait dans la région de Niort.

Mine de rien : il y a de la pugnacité et une volonté farouches dans ce petit bout de fille qui gère aujourd’hui un troupeau de soixante-dix biquettes ! Sa mûre réflexion qu’elle avait entamée il y a déjà quelques temps s’est muée aujourd’hui en parfaite concrétisation. Son projet, ULTERIA, a donc vu le jour.

Après moult péripéties, il va s’en dire ! Après les instants de doutes inavouables qui sont le lot quotidien de celles et ceux qui entreprennent et veulent porter haut leur projet de vie.  

Ces adorables bestioles à la frimousse si maline sont devenues son sacerdoce au jour le jour. Une fièvre s’est-elle emparée de Claire GENET qui cherche à accomplir son chef d’œuvre avec cette réalisation ?

Que nenni : la jeune femme a les pieds bien enfoncés dans la terre. Comme ses chèvres qui se meuvent dans un complexe moderniste à la sauce environnementale.

Ici, comme le dirait Dieu le père, « l’animal est roi dans son royaume ». Rien que la configuration architecturale du bâtiment faisant office d’étable amélioré rappelle que la condition animale n’est pas un leurre pour celle qui doit en produire la quintessence des produits.

 

Même les chèvres mangent bio !

 

Ventilé, lumineux, éclairé par des LED automatisés, l’édifice qui accueille le cheptel est conçu pour économiser l’énergie nécessaire à une telle exploitation.

Quant à la nourriture des chèvres, c’est le nec plus ultra ! Au menu du jour, et ce chaque jour, des pois, des lentilles, des tourteaux de colza, du bio et du local. Le meilleur en somme, et quand on aime, on ne compte pas !

La jeune fille n’est pas une idéaliste. Ni une marginale, loin s’en faut. Elle a su s’entourer de solides compétences (celles des chefs d’entreprises expérimentés du réseau Entreprendre Bourgogne) pour l’aider à débloquer les chausse-trappes qui auraient pu entraver son sillage.

D’ailleurs, c’est grâce à deux spécimens rares de l’entrepreneuriat, Alexis NOLLET et Sébastien BECKER, le génial tandem de MOBIL WOOD (concepteur d’ameublement en bois et agenceur), que Claire GENET aura pu mener à terme son projet. Dans l’écosystème ambiant qui l’accueille, seront érigés progressivement le nouveau site de l’usine MOBIL WOOD, une école Montessori, une crèche, une exploitation maraîchère, et une maison éco citoyenne. Bref : tout un programme dédié à la mise en lumière de l’homme dans sa phase la plus subtile de la création et du vivant.

Un sacré patchwork qui n’est pas pour déplaire à la jeune femme qui propose à la vente ses premières productions depuis la mi-novembre.

 

 


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Depuis sept ans, le producteur d’énergie exploite une des plus puissantes installations solaires en France. Sur une zone de plusieurs hectares qui est située sur la commune de MASSANGIS dans l’est de l’Yonne. Equipé de 700 000 panneaux photovoltaïques, le site produit l’équivalent annuel à la consommation électrique de 26 000 habitants. Soit 56 MW. D’ici 2021, sept éoliennes devraient compléter ce dispositif…

DIJON : D’une capacité de production de 25,2 MW, les sept nouvelles éoliennes, érigées par le groupe EDF sur le territoire de l’Yonne, devraient être opérationnelles d’ici la fin de l’année 2021.

L’ensemble des structures faites de métal et de béton sera réparti sur les communes de MASSANGIS et de GRIMAULT. Dans un secteur où le vent est propice à se manifester avec relative constance.

La filiale du producteur/distributeur d’électricité, EDF Renouvelables, a par ailleurs confirmé avoir d’autres projets de développement de parcs éoliens et de centrales photovoltaïques dans la région.

Sachant en filigrane que le groupe porte l’éolien parmi ses priorités de développement à moyenne échéance.

Depuis 2015, EDF Renouvelables exploite le parc à base d’éoliennes de LOUMONT dans le Doubs. Sa puissance s’élève à 25 MW. Ce site comprend une dizaine d’appareillages de deux mégawatts chacun. Ils occupent un espace géographique compris entre Besançon et Belfort.

Chaque année, la production de ce complexe énergétique représente l’équivalent de la consommation électrique d’environ vingt mille personnes. Toutefois, comme le précisa le directeur EDF Bourgogne Franche-Comté, Yves CHEVILLON, en conférence de presse, « nous sommes en capacité d’installer des machines encore plus puissantes sur site… ».

 

 

Lancement de deux nouveaux projets de centrales solaires…

 

Début mars, deux nouvelles possibilités d’exploitation ont été retenues par la Commission de régulation de l’Energie (CRE). La reconversion de la friche industrielle du quartier de Valmy à Dijon servira de judicieux prétexte à l’implantation de l’une des deux futures centrales solaires de Bourgogne Franche-Comté à l’estampille EDF.

L’ancienne décharge accueillera une zone de production électrique de 16 MW. Elle desservirait les besoins de 8 000 habitants et ce, pour une durée d’une trentaine d’années.

Un autre secteur de Côte d’Or, toujours situé à la périphérie de l’agglomération dijonnaise, est aussi concerné. Celui où l’ancien centre d’enfouissement de Lux se métamorphosera en une centrale solaire de 8,6 MW.

Quant à la mise en place de ces deux structures, elle est prévue pour la fin 2020/début 2021.

Mais, d’autres réalisations pointent déjà le bout de leur nez à brève échéance. Demeurant quelque peu évasif sur les lieux exacts où seront construites ces réalisations, Yves CHEVILLON a précisé toutefois que plusieurs dizaines de projets pourraient voir le jour en Bourgogne Franche-Comté en matière d’éolien et de centrales solaires, à base de panneaux photovoltaïques.

En considérant que le producteur d’électricité souhaite développer à terme un maillage global de 30 000 hectares sur l’Hexagone. Un volume considérable qui représente quatre fois les capacités actuelles de production d’énergie solaire en France.

Précisons pour conclure qu’un projet de construction de quatre éoliennes est dans les starting-blocks du côté de Vermenton à l’orée de 2021. Les machines qui y seraient posées devraient y produire 14,4 MW.

 

 

 


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L’emploi, essentiel à l’essor de ce secteur artisanal, représente un réel motif d’inquiétude pour le parlementaire de l’Yonne. Déjà à l’initiative d’une rencontre novatrice avec les professionnels de la filière en début de semaine afin de leur présenter les solutions existantes en matière de formation et de recrutement, le député de la deuxième circonscription a décidé de prendre le taureau par les cornes. Il vient de solliciter le Premier ministre Edouard PHILIPPE pour que ce dernier lui accorde une audience. Histoire de porter ce récurrent sujet problématique le plus haut possible vers les sommets de l’Etat…

CHABLIS : Dans la catégorie « je pratique l’art et la manière de la langue de bois », pas la peine de rechercher la carte qui identifierait le député de l’UDI de la seconde circonscription de l’Yonne dans ce jeu plutôt trouble et abscons de la scène politique ordinaire.

Adepte coutumier du leitmotiv, « on le dit, on le fait » tout en disant ce qu’il y a à dire, l’élu de l’Yonne le démontre une fois de plus, après son initiative prise, ce lundi 25 novembre, de vouloir rencontrer des entrepreneurs de la filière hôtelière et restauration.

Thématique retenue ce jour-là : l’emploi dans un secteur corporatiste qui peut en proposer à la pelle. Mais, faute de candidats motivés et sérieux, la filière souffre de mille maux à ne plus savoir que faire.

Pour aller encore plus loin dans sa quête altruiste envers ces artisans qui endurent leur quotidien avec grande difficulté, le pensionnaire de l’Assemblée nationale a décidé de pousser le bouchon à son avantage.

C’est-à-dire en prenant la main sur ce dossier délicat et en demandant une audience auprès du Premier ministre afin de s’entretenir avec lui de la pertinence des réflexions qui lui ont été faites durant ce débat de près de deux heures, intense et riche d’enseignements.

Les services d’Edouard PHILIPPE ont pris bonne note de la requête effectuée par le représentant du palais Bourbon. Il ne reste plus qu’à fixer la date et l’horaire du rendez-vous.

 

 

 

Des contrats en alternance qui se résilient en nombre chaque année…

 

Le souhait d’André VILLIERS est de faire toute la lumière avec le Premier ministre sur les raisons de ce manque d’appétence chronique des candidats potentiels à répondre de manière positive aux offres d’emploi (très nombreuses) qui existent. Comble de paradoxe, sur un secteur d’activité, fer de lance de la gastronomie et du tourisme vécu dans l’Hexagone à l’international !

Certes, la filière n’attire plus les jeunes. Et André VILLIERS a su noter toutes les dichotomies et autres dysfonctionnements qui prévalaient depuis des lustres dans le modèle actuel qui aboutit à une parfaite hérésie.

Un seul chiffre en résume la teneur : 28 % des contrats d’alternance vécus dans les hôtels et restaurants de France ont été résiliés au cours de cette saison par les jeunes gens malgré la bonne volonté de leurs tuteurs !

Un chiffre qui ne s’applique pas, malheureusement, aux seuls apprenants de cette filière. Tous les métiers de la branche artisanale sont gangrénés par cette attitude négativiste qui pollue de manière virale une frange importante des apprentis

Fort de ses arguments, et désireux d’obtenir des réponses concrètes de la part du chef du gouvernement, André VILLIERS attend désormais la date et l’horaire de l’audience avec impatience.

Il aura peut-être la possibilité de deviser d’un jour à l’autre avec le Premier ministre sur les causes de ce fléau qui mine aujourd’hui l’économie française : l’inertie inacceptable qui ne cesse de s’accentuer dans le recrutement.

 


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Le suspense n’était pas invité à venir troubler l’assemblée générale de la fédération départementale des professionnels de l’immobilier. Sans l’ombre d’une surprise, le président en exercice a vécu le scrutin de son renouvellement de mandat en parfaite quiétude…

AUXERRE : Voilà une échéance électorale qui n’aura pas suscité la moindre once d’inquiétude pour le seul et unique prétendant, candidat au poste suprême ! Tranquille, et dans un calme olympien, l’actuel responsable de la fédération départementale des agents immobiliers de l’Yonne (FNAIM) Stephan SIMPSON a connu un après-midi serein au terme du vote ponctuant l’assemblée générale annuelle.

Reconduit pour un nouveau mandat où il assumera les directives de l’organisme, le professionnel auxerrois n’avait, à vrai dire, pas trop de soucis à se faire en amont de ce scrutin. Il était en effet le seul candidat à prétendre à ce poste.

 

 

Une formalité in fine pour Stephan SIMPSON qui poursuit ainsi l’aventure aux manettes de la FNAIM de l’Yonne. Ses grandes priorités résideront dans l’essor de la formation et le développement de la dynamique impulsées à la structure.

La structure départementale accueille à ce jour une cinquantaine d’agences immobilières qui rayonne dans tous les points névralgiques de l’Yonne. Définissant souvent son rôle comme étant celui d’un médiateur attentif à la vie de l’organisme, Stephan SIMPSON est entouré d’un bureau de fidèles pour accomplir sa mission.

 


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