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Connu pour son implication environnementale et la réalisation de plusieurs documentaires en format reportage sur cet item capital pour le devenir de la planète, le réalisateur icaunais Pascal DELAGNEAU est intervenu auprès des élèves des classes de 6ème et 5ème du collège de Saint-Joseph-la-Salle, option nature et développement durable, afin d’y évoquer son dernier opus, « Chemin de Terre et d’Eau ». La sensibilisation des enfants (et de leurs parents) expliquait sa présence…

 

AUXERRE : C’est un exercice inhabituel que celui vécu il y a peu par le réalisateur icaunais Pascal DELAGNEAU. Un chantre de la défense environnementale et de la protection de la planète. D’ailleurs, sa dernière livraison, une commande assurée par plusieurs associations coproductrices dont « Yonne Nature Environnement » et l’ADENY qui devait aussi recevoir le soutien du Conseil départemental de l’Yonne et d’autres mécènes, ne cesse de circuler aux quatre coins de notre territoire depuis sa sortie pour y être projetée.

Limpides comme de l’eau de roche, les images captées par le réalisateur qui a jadis œuvré dans les équipes de la célèbre émission de Nicolas HULOT (« Ushuaia ») représentent une pertinente initiation pour mieux appréhender les enjeux actuels qui planent autour de l’élément aquatique qui est si cher à notre survie. Et vu le contexte actuel en matière de réchauffement climatique et de fulgurantes hausses des températures – plus de trente degrés observés à la mi-octobre dans le Sud-Ouest de l’Hexagone ! – ce n’est pas peu dire…

Ces prises de vues, agrémentées de leurs judicieux commentaires, les élèves des classes de 6ème et 5ème de l’établissement privé de la capitale de l’Yonne les ont visionnées. Logique, car ces jeunes apprenants ont choisi de suivre l’option « nature et développement durable » afin de mieux s’imprégner de la réalité environnementale de l’instant.

 

Le pouvoir des images pour mieux comprendre la bio…

 

Comprendre la bio, l’origine de l’eau et son acheminement, le potentiel économique que ce liquide indispensable à notre survie représente s’inscrivent parmi les axes prioritaires de ce cursus original que le groupe scolaire lassalien a développé depuis plusieurs saisons. Histoire d’être à la page et en connexion directe avec ce monde extérieur qui entoure la jeune génération, le plus souvent (et fort heureusement parfois) éloignée des vicissitudes de la planète. Et pas nécessairement épargnée par la cruauté des hommes.

Alors, pouvoir disserter plus d’une heure durant avec un cinéaste qui n’a pas le melon et qui croit au pouvoir de l’image afin de véhiculer des messages écologiques forts auprès de la population, cela ne pouvait qu’interpeller les jeunes têtes blondes (ou brunes !) de ce public encore dans l’âge de l’innocence.

Au-delà des informations fournies par l’orateur du jour, les élèves, plutôt attentifs et non dissipés, eurent tout le loisir de questionner un Pascal DELAGNEAU très pédagogue sur les ficelles de ce métier de réalisateur, faisant parfois rêver celles et ceux de ces jeunes gens enclins à s’émerveiller devant la toile d’un grand écran au cinéma.

 

 

Un documentaire à réaliser sur l’activité apiculture de l’établissement…

 

Derrière cette causerie, ces jeunes pousses ont la volonté, avec le concours de leurs enseignants, de concevoir leur propre documentaire sur les ruches qui sont accueillies par leur établissement scolaire et gérées par un professionnel de l’apiculture.

Un exercice technique et visuel devant leur permettre à terme de mieux sensibiliser (leurs amis, leurs parents ?) au respect des équilibres naturels et à l’importance des insectes ou la tenue de petits gestes utiles, afin d’endiguer les problématiques inhérentes au dérèglement climatique…

Profitant de cette intervention, Pascal DELAGNEAU tint à rendre hommage à son oncle, Jean-Michel DELAGNEAU, éleveur de métier, aujourd’hui disparu – il est décédé le 02 juin dernier -, qui fut un militant de la première heure en faveur de la bio et de la sauvegarde de l’environnement en France. Cette rencontre avec ces collégiens et la transmission de messages capitaux fut une excellente manière d’honorer sa mémoire…

 

Thierry BRET

 


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C’est un peu comme un jeu vidéo, mais en nettement mieux ! D’autant que le simulateur de conduite d’engins agricoles – huit exemplaires conçus par la PME hexagonale ACREOS viennent d’être acquis pour une enveloppe de plus de 673 000 euros par l’EPL des Terres de l’Yonne, une première en France – offre l’opportunité de suivre la progression pédagogique du pilote néophyte, notes à l’appui. Un sérieux atout afin d’améliorer ses potentialités techniques dans le cadre de son cursus.

 

VENOY : On n’arrête ni le progrès, ni la technologie ! Surtout celle se rapportant au numérique et à l’imagerie virtuelle. Vous en voulez une preuve concrète ? Très facile ! Il suffit de visiter l’espace dédié, ouvert depuis peu, qui a été mis en place au sein de l’EPL des Terres de l’Yonne, une entité pédagogique comprenant sur le même site de La Brosse, le CFA agricole de l’Yonne, le lycée agricole La Brosse et le CFPPA 89, pour en apprécier les effets !

Là-bas, dans cet antre de l’enseignement agricole et viticole – on peut y ajouter aussi le volet de l’équestre et de l’horticole, entre autres -, se vit une expérience unique en Bourgogne Franche-Comté. L’initiation à la conduite d’engins agricoles, mais sous un format bien moins académique que d’ordinaire ! A l’aide de simulateurs électroniques, élaborés par un spécialiste dans la conception, la fabrication et la commercialisation d’outils pédagogiques, réservés à l’apprentissage de la conduite d’engins en tout genre : la structure mosellane, ACREOS.

Une PME qui prône les vertus du « made in France » - elle a réalisé plus de 3,5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2018 – et jongle avec aisance sur la technologie du numérique pour avancer dans le processus pédagogique qu’elle a créée.

 

Un projet de 673 000 euros financés par des fonds européens…

 

C’est avec le concours financier d’un Fonds européen de développement régional (FEDER) que l’EPL des Terres de l’Yonne a réussi le brillant tour de force de l’acquisition de huit de ces « Rolls-Royce » de la simulation digitale pour en doter son site de Venoy. Autant dire une rareté dans le microcosme de l’enseignement agri/viticole de la contrée, pour ne pas dire plus à l’échelle de l’Hexagone ! Soit pour être précis une enveloppe budgétaire s’élevant à 673 420 euros !

Quant aux possibilités offertes par ces appareils de premier cri, elles sont multiples avec les engins agricoles, les tracteurs télescopiques, les moissonneuses, les tracteurs enjambeurs à vocation viticole…Bref : un melting-pot d’opportunités didactiques qui séduisent déjà depuis leur récente installation autant les élèves que leurs enseignants ! Pourquoi ? Parce que la machine leur propose une approche plus que réaliste de la situation. Sensations garanties derrière les manettes ou le volant de ces instruments très utiles à leur formation.

 

 

Apprendre à piloter des engins agricoles sans consommer de carburant !

 

Sous l’œil attentif du proviseur adjoint du lycée La Brosse, Eric PRESTAT, plusieurs élèves ont assuré une séance de pilotage lors d’une visite démonstrative organisée avec la presse. Vertueux, le dispositif l’est à plus d’un titre. D’une part, l’initiation à la conduite s’effectue tranquillement et sans aucune prise de risque. D’autre part, la formation est on ne peut plus écologique car ne consommant aucun carburant ! Même les professionnels de la filière agri/viticole, invités à découvrir les possibilités offertes par cet appareillage newlook, se sont pris au jeu du fait de la qualité fonctionnelle de ce qui leur était proposée.

 

Thierry BRET

 

 


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Le soleil était de la partie en ce jour de grève, qualifiée de « mardi noir ». Dardant de ses chauds rayons un cortège de plusieurs centaines de personnes qui emprunta à pas lents l’itinéraire habituel des manifestations revendicatives. Une de plus, pourrait-on dire ! Mais, il est vrai qu’au sortir de la crise sanitaire de la COVID, la situation sociale ne s’améliore guère dans le pays, tant au niveau du pouvoir d’achat que de la maîtrise de l’inflation. Deux motifs suffisants pour descendre dans la rue à Auxerre…

 

AUXERRE : Flanqués de leurs tenues rouges coutumières, reconnaissables parmi mille, les militants de la CGT, en très grand nombre, ouvraient le cortège de cette manifestation sociale très suivie, organisée contre la baisse du pouvoir d’achat et en faveur du droit de grève. Ils précédaient ceux de Force Ouvrière mais aussi de la FSU ou encore des adhérents de Solidaires.

Un long cortège qui chemina lentement au cœur de la capitale de l’Yonne sur un itinéraire le conduisant depuis son point de départ, place de l’Arquebuse, jusqu’au terme du « voyage », la place de la préfecture où l’Union départementale CGT de l’Yonne demanda à être reçu en audience auprès du préfet de l’Yonne.

Parmi les slogans entendus durant cette déambulation de l’intersyndicale : on aura noté à titre d’exemples quelques phrases choc, « la rue est à nous ! », « augmentons toutes les grilles de salaire dans les branches », « oui au droit de grève » ou encore « revalorisons le point d’indice de la fonction publique ».

 

 

La retraite à 60 ans, la hausse du pouvoir d’achat et le droit de grève défendus…

 

Scandés dans un microphone au son très approximatif par l’une des responsables de la CGT placée en tête du cortège et derrière la banderole, les messages étaient systématiquement salués par une salve de contentement de la part des grévistes.

Seul bémol de ce flot de paroles versé en continu sur le parcours, un tantinet ironique que ne manquera de relever l’oratrice, le credo sur « l’égalité salariale entre les femmes et les hommes au travail » n’obtint pas tout à fait le même succès, du côté des hourrahs ! Intervention de l’intéressée : « ah, et bien là, je ne vous entends pas ! ».

 

 

 

Puis, les messages reprirent en cadence au rythme de l’avancée de la longue procession syndicale. Favorables à la revalorisation des pensions – beaucoup de retraités avaient intégré le cortège -, ou l’obtention de la retraite à l’âge de 60 ans à temps plein. Les emplois dont le service public a grandement besoin furent également évoqués. A l’instar de la diminution du temps de travail.

Il y a quelques jours, l’Union départementale CGT de l’Yonne avait signifié son total soutien aux salariés grévistes des raffineries. S’insurgeant de fait contre la pratique, qualifiée « d’illégale » de la réquisition, voulue par la cheffe du gouvernement, Elisabeth BORNE.

 

 

« Le gouvernement ne nous volera pas nos droits… »

 

« Il est important de préciser qu'ici la réquisition de ces salariés grévistes est illégale puisque non prévue par la loi. La réquisition « légale » des grévistes dans la fonction publique existe et n'est pas une chose nouvelle : prenons l'exemple de l'hôpital public où les salariés ne peuvent plus se mettre en grève, c'est-à-dire ne pas être à leur poste de travail puisque le manque de personnels flagrant entraîne de l'assignation jusqu'à la réquisition de tous les agents, et de fait, aujourd'hui, leurs revendications justes sur les embauches, les conditions de travail et les rémunérations sont étouffées dans un manque de visibilité de la population… ».

Une chose est sûre avec cette démonstration publique dans les rues d’Auxerre, comme partout en France en cette journée de grève nationale : les représentations syndicales ne veulent pas mettre un genou à terre face au gouvernement.

« Il ne nous volera pas nos droits, en montant la population contre nous, confia déterminé l’un des responsables de la manifestation.

A bon entendeur…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il possède incontestablement l’art et la maîtrise de l’oralité, le responsable de la fondation qui porte aujourd’hui son patronyme. Voire de la répartie, non dénuée d’un zeste d’humour, lorsqu’il est prié de donner sa définition de l’art contemporain, répondant à une question décalée du public ! Mais, il ne faut pas se fier aux apparences. Même s’il affirme tout de go avoir achevé sa mission, le projet polyvalent qui s’esquisse avec davantage de certitudes au domaine de l’Abbaye de Pontigny portera durablement sa griffe…

 

PONTIGNY : Il sait manier le verbe et la parole, François SCHNEIDER ! Et surtout donner un sens profond aux arguments qu’il égrène face à un public qui écoute attentif le moindre des mots édictés. Portant beau, scrutant avec intérêt ses interlocuteurs qui lui posent des questions directes au terme d’une conférence de presse qui n’en est pas véritablement une, au vu de l’aéropage conséquent de personnalités politiques et institutionnelles présentes (!), le personnage originaire de Joigny veut faire toute la lumière sur un dossier qui aura suscité bon nombre de polémiques dans le microcosme de l’Yonne : la cession du domaine de l’Abbaye de Pontigny.

Un feuilleton, digne des séries à suspense – mais en moins horrifique fort heureusement ! – que propose les plateformes numériques actuelles, ayant tenu en haleine depuis plus de deux ans les suiveurs de l’actualité du landerneau septentrional de la Bourgogne. Avec en toile de fond un édifice cistercien, fleuron du patrimoine régional de plus de neuf cents ans comme vedette !

Vendu ? Plus vendu ? A quelles conditions ? Sans occulter les prises de position régulières d’une congrégation religieuse qui avait elle-aussi des visées sur ce complexe séculaire universel. Bref, un dossier qui ne ressemblait nullement à la « vie est un long fleuve tranquille » dans son traitement usuel. Rattrapé comme tant d’autre par les vicissitudes de la crise sanitaire, ce qui augurait de sombres perspectives quant à l’issue définitive de ce projet…

 

 

Un projet polymorphe à dix ans, vecteur de rayonnement…

 

Le projet, parlons-en ! Il est polymorphe, tentaculaire, multiple. Rien d’étonnant qu’il surprenne en vérité par sa physionomie et son ambition car des concepts similaires, il n’en existe pas légion à l’heure actuelle dans l’Hexagone. Pays qui connaît la crise économique et sociale profonde – un peu mieux maîtrisé que dans le reste de l’Union européenne -, mais qui est parfois en déliquescence intellectuelle complète au niveau de l’imaginaire et de la créativité…

Alors, vu de l’Yonne, c’est sûr : un tel concept entrepreneurial gargantuesque qui mélange astucieusement l’ouverture d’une infrastructure hôtelière de niveau quatre étoiles, assorti à un restaurant supposé gastronomique, la présence physique d’une boutique où s’écouleraient les produits à l’estampille du domaine (miel, pain, biscuits, liqueurs…) et la culture de produits du terroir en concertation avec des spécialistes des filières agricoles et bio, cela peut faire peur dans les chaumières !

Surtout avec à sa tête une fondation originaire d’Alsace, apparue dans le paysage de l’initiative et la prise de risque en décembre 2000 – elle est depuis 2005 reconnue d’utilité publique – et qui possède déjà à son actif un certain nombre de réussites, à commencer par le Centre d’Art Contemporain, accueilli dans la jolie bourgade alsacienne de Wattwiller.

Un site qui propose plus de 2 500 mètres carrés d’espaces d’exposition consacrés au thème de l’eau. Un outil structurel altruiste, ayant aussi la volonté d’aider les lycéens défavorisés soucieux de suivre un parcours pédagogique dans l’enseignement supérieur avec des bourses.

 

 

La fibre touristique pour permettre à Pontigny de retrouver son universalisme…

 

Au-delà de l’encouragement artistique et du prosélytisme éducatif, la Fondation SCHNEIDER vise encore plus grand avec l’acquisition du domaine de l’abbaye cistercienne icaunaise. Pour la rondelette somme d’1,8 million d’euros à remettre via virement à la Région Bourgogne Franche-Comté, jusque-là propriétaire de l’endroit.

Cela a été confirmé officiellement lors de ce rendez-vous avec les médias (et surtout les nombreuses personnalités !) dans la salle des convers in situ par le maître de cérémonie, François SCHNEIDER lui-même.

L’entité ajoute dans son escarcelle un autre item à sa panoplie déjà éclectique : le développement du tourisme patrimonial. Grâce à ses six mille mètres carrés de bâtiments dont certains seront à réhabiliter et à agencer sur les neuf hectares que compte le domaine, verdoyant et boisé.

L’objectif est simple : rendre son universalisme et sa magnificence à ce joyau de l’art roman. Comment ? Une fois les études préliminaires et les sondages archéologiques réalisés – un delta temporel d’une année, voire peut-être d’un peu plus sera néanmoins nécessaire pour analyser la topographie des lieux -, la Fondation se plongera alors la tête la première dans l’avenir, en aménagement les bâtiments selon le schéma initial requis. Certes, les aficionados du lieu devront s’armer de patience avant de découvrir la configuration définitive, une vertu cardinale de la spiritualité !

Si tout se présente bien, c’est durant la saison 2026/2027 que devraient être opérationnels le Centre d’Art contemporain, accueillant les artistes se reconnaissant pour tels, ainsi que la partie inhérente liée à la production agricole locale. Parallèlement, les visiteurs – des touristes cosmopolites en quête de retraites patrimoniales et spirituelles mais pas que – profiteront du cadre confortable du complexe hôtelier grand standing, tout en se sustentant de recettes sympathiques élaborées dans le restaurant haut de gamme.

 

 

Un budget estimé à 20 millions d’euros et une centaine d’emplois…

 

Sur le plan comptable, la Fondation SCHNEIDER injectera l’équivalent estimatif de vingt millions d’euros à la réalisation de ce concept. Un projet gradué qui s’échelonnera sur une décennie, selon les prévisions fournies par son porte-parole éponyme.

Une dizaine de millions d’euros seront affectés à la rénovation des bâtiments devant trouver une nouvelle existence dans le projet. Le complexe hôtelier comprenant une cinquantaine de chambres englobera à lui seul huit millions d’euros. Deux autres millions serviront à l’agencement de la partie restauration.

Se voulant rassurant à une interrogation posée par le président départemental de la Fédération Française du Bâtiment Didier MICHEL – les entreprises de ce secteur artisanal de l’Yonne seront-elles sollicitées pour la réalisation de ces travaux -, François SCHNEIDER a répondu catégorique que « les entreprises de l’Yonne seraient retenues lors de l’appel d’offres, à condition qu’elles soient compétentes selon le cahier des charges requis à respecter et qu’elles ne pratiquent pas des tarifications exagérées… ».

Un clin d’œil, pour le moins amusant, de l’homme d’affaires qui fut naguère industriel et propriétaire de la source d’eau minérale Wattwiller.

Quant aux perspectives d’emploi, générées par ce projet, elles furent également évoquées en conclusion de ce rendez-vous très intéressant : une centaine de postes seront créés dans un intervalle de huit à dix ans sur le site.

De quoi réjouir la classe politique, présente aux premières loges de cette conférence. Y compris la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY suiveuse de l’évènement en visioconférence. Et de lever ainsi les doutes et les craintes sur les réelles intentions de la Fondation SCHNEIDER qui s’engage à redonner vie à ce site séculaire hors du temps…

 

Thierry BRET

 


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Coudre contre la douleur. Coudre, aussi, pour redonner espoir à toutes celles qui souffrent dans leur chair et qui poursuivent avec force le combat avec toujours la même abnégation. Entre volontarisme, courage et pugnacité, l’initiative de la Mission Locale d’Auxerre se veut participative dans le cadre d’un atelier collectif de couture qui vise la sensibilisation et le soutien moral…

 

AUXERRE : Il y eu jadis, un slogan publicitaire qui stipulait que l’on pouvait passer de nombreux messages à l’autre avec des fleurs. Au-delà de la prose « horticole », la Mission Locale auxerroise a semble-t-il trouvé un dérivatif différent, mais tout aussi efficient et visible, à partir de travaux de couture. Confectionner des coussins en forme de cœur afin de les adresser à l’Espace Rencontre et Information (ERI) accueilli au Centre hospitalier de Dijon est en la preuve manifeste.

Une judicieuse opération de sensibilisation qui est orchestrée durant la campagne nationale « Octobre Rose » - celle qui concerne le dépistage du cancer du sein – et qui mobilise le jeune public qui fréquente d’ordinaire le site de cet organisme, voué à l’orientation et à l’insertion dans la vie active.

Plusieurs rendez-vous – le prochain se déroule ce mardi 18 octobre de 13h30 à 16h30 dans les locaux de la Mission Locale d’Auxerre au 1 avenue Rodin – sont ainsi proposés par les responsables de ladite structure. En accointance avec la Ligue contre le cancer, cette animation « coussin-cœur » consiste à confectionner ces objets en forme de cœur afin d’aider de manière psychologique les personnes atteintes de la pathologie dans l’épreuve des douleurs post-opératoires qu’elles subissent après une intervention chirurgicale.

Cette année, les jeunes gens qui transitent par la Mission Locale sont donc invités à participer à ces séances de travaux manuels afin de les sensibiliser à la cause, tout en développant leur esprit de partage et de solidarité.

 

Thierry BRET

 

 


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