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Puisque l’on parle de mobilité en évoquant la liaison sud d’Auxerre et son projet de contournement, on reste dans la métaphore itinérante, au Conseil départemental de l’Yonne. La phrase est signée de son président, Patrick GENDRAUD, qui résume parfaitement la situation si l’hémicycle lui refusait l’autorisation de signer la convention de financement de la section RN6/RN151, sous maîtrise d’ouvrage de l’Etat, lors de cette session. C’est simple : « le train ne passerait pas une seconde fois ! ». Un acte qui aurait été irresponsable de la part de l’assemblée !

 

AUXERRE: C’est presque une formule digne du Far-West qui est employée-là par le président de la vénérable institution départementale ! « Mes chers collègues, précise Patrick GENDRAUD, à Sens, il y avait des ponts mais pas de bande de roulement, mais on est quand même parvenu à réaliser la déviation de la ville - chiffrée au final à 20 millions d’euros au lieu des 30 millions d’euros initiaux soufflera Christophe BONNEFOND -, on est là pour réfléchir ensemble à celle d’Auxerre, même si cela a été un vrai parcours du combattant et avec l’aide supplémentaire (ce n’est pas si souvent !) de l’Etat : je veux donc vous entraîner dans la réalisation de cette belle LiSA ! ». Puis de rajouter : « Le train ne passera pas deux fois… ».

Il faut croire que certains élus de l’Yonne ne possèdent pas du tout la même perception « ferroviaire » que le président en chair, puisqu’ils se sont abstenus au moment du vote. Pour planter le décor, il s’agissait de donner l’autorisation à ce dernier de pouvoir signer la convention de financement relative à la section RN6/RN151, sous maîtrise d’ouvrage de l’Etat. Avec ce particularisme qui mérite d’être signalé : l’Etat a déjà injecté la somme qui lui incombait !

Du côté du Département qui est appelé au projet comme financeur, l’enveloppe s’élève sur cette section à trente millions d’euros. Ce qui n’est pas rien, tout de même.

 

François BOUCHER dégaine le premier !

 

Et, curieusement, parmi les commentaires, une fois que Patrick GENDRAUD fera circuler la parole – « ce qui est respectable dans cet hémicycle, c’est que chacun puisse s’exprimer » -, c’est une voix, sortie des rangs de la majorité, qui alluma la mèche de la contradiction à ce projet dont on ne voyait pas le bout après moult atermoiements et péripéties avec la Région et l’Etat.

L’édile de Migennes François BOUCHER ne se fit pas prier pour dégainer le premier en s’interrogeant sur les sommes colossales consacrées à la réalisation de ce contournement qui le plonge dans l’inquiétude et le questionnement.

« Est-ce que vraiment nous avons les capacités financières d’aller au bout de ce projet-là ? lance-t-il dans le micro placé devant lui, est-ce que vraiment cette infrastructure va développer et rendre plus attractif notre département de l’Yonne ? Je ne le pense pas… ».

On entend les mouches voler dans la salle plénière où le temps semble se suspendre. Mais, très vite François BOUCHER enchaîne avec d’autres arguties : « L’argent public étant rare, il serait judicieux de demander aux autres financeurs (Etat, Région, Agglo, Ville) d’augmenter leur part de financement. Du fait du ZAN, on va détruire des terrains agricoles et on va être contraint de redonner des terres pour développer nos villes. Il y a quand même quelque chose qui m’interpelle dans ce projet : il risque d’être pesant sur nos finances publiques, voire sur nos autres actions… ».

 

 

 

Le maire d’Escamps Yves VECTEN en rajoute une couche…

 

Toutefois, même s’il s’interroge sur le bien-fondé de l’infrastructure, le maire de Migennes n’ira pas, au plan comptable (c’est-à-dire le vote) contre le choix positif de la majorité départementale dont il est l’un des représentants.

Qu’importe ! Dans la foulée, c’est Yves VECTEN qui lui emboîte le pas ! Un Yves VECTEN qui ne fera pas dans la demi-mesure pour montrer son opposition verbale au projet.

« Le financement est beaucoup trop important, d’autant plus qu’il n’y a pas la déviation de Saint-Georges en considération dans ce projet ! Donc, je suis complément défavorable, à cette réalisation qui n’incite pas à avoir moins de véhicules sur nos routes et fait tout pour favoriser les déplacements… ».

Mais, au moment du scrutin, Yves VECTEN se rangera dans le camp des… abstentionnistes sans aller plus loin dans sa décision. A l’instar des autres élus de l’opposition dont Cédric CLECH et Frédérique COLAS.

D’ailleurs, Patrick GENDRAUD, dans ses confidences lâchées en public – l’homme aime dire ce qu’il pense tout haut sans langue de bois -, n’en serait pas loin de partager, en partie, ces avis. Surtout au niveau du coût global de la future opération.

« Il faut être réaliste, renchérit-il, mais il existe quand même une belle opportunité alors que jadis on l’a laissé passer avec le projet autoroutier « Troyes Auxerre Bourges ». Cette fois-ci, deux projets étaient dans la balance au niveau régional, le contournement de Besançon et celui d’Auxerre. Et compte tenu de l’origine de la présidente de la Région – Marie-Guite DUFAY est franc-comtoise – je ne vous dit pas quel dossier avait sa préférence ! On a dû se battre pour faire fléchir la Région ! ».

 

 

Les origines bisontines de Marie-Guite DUFAY !

 

Une petite remarque qui ne laissera pas insensible l’élue socialiste et ancienne conseillère régionale, Frédérique COLAS qui retoquera le président GENDRAUD en employant un trait d’humour : « les origines bisontines de la présidente n’apportent pas de préférences sur les politiques et les financements qu’elle mène à la Région. Ni, j’espère, celles du président de notre assemblée départementale sur notre territoire, avec la magnifique route qui relie Beines à Chablis ! ». Et le président de répondre du tac au tac mais avec le sourire « Je suis né à Paris dans le XVIème arrondissement ! ».

Puis, un tantinet agacé, il déplorera la position arcboutée de l’institution régionale qui reste campée sur le montant de son investissement à la réalisation du projet. Soit 25 millions d’euros, pas un sou de plus !

« Je ne suis pas devin, ajoutera-t-il en substance, mais il est vrai que le coût de l’infrastructure augmente régulièrement. Aujourd’hui, on nous annonce au total 148 millions d’euros de travaux. Mais, ce sont des estimations. J’espère que nous n’atteindrons pas ces sommes… ».

Partisan du désenclavement utile d’Auxerre – « des riverains de la ville voient passer tous les jours des dizaines et des dizaines de poids lourds devant chez eux, c’est insupportable ! », Patrick GENDRAUD a donc réussi à fédérer une large majorité d’élus départementaux derrière ce projet. Un concept urbanistique qui permettra à termes de créer des voies douces dans le cœur de la ville d’Auxerre et de le végétaliser. Comme il est stipulé dans le cahier des charges du Projet de Territoire, voulu par Crescent MARAULT.

Le mot de la fin reviendra au vice-président Christophe BONNEFOND : « Certains parlent de désinformation en disant que cela va attirer plus de trafic à l’avenir, c’est faux ! Car, le kilométrage de cette déviation sud est plus long, et dans ce cas-là, les poids lourds passent ailleurs… ».

On ne demande qu’à voir à l’usage !

 

Thierry BRET

 

 


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Elle est light, la brochure 2024 ! Sur la forme, même si la qualité du papier en couché brillant est de belle facture, elle étale ses arguments oniriques sur un cahier de quatre pages, uniquement. Volonté de respecter les engagements de la RSE, oblige ! Sur le fonds, a contrario, elle est des plus réussies ! Dévoilant au premier coup d’œil, les destinations et les journées spectacles ainsi que leurs prix, proposées en grande majorité par autocar. Il n’y a pas à dire mais 2024 regorge de suggestions des plus alléchantes avec les enseignes du groupe PROCARS dont ALBA Voyages et Cars MATHIEU !

 

VENOY : Envie de se dépayser l’existence ? De se ressourcer à l’autre bout de la planète ? De se détendre vers des destinations plus européennes et accessibles en termes de budget ? Voire de se distraire une journée, peut-être un week-end en visitant un lieu magnifique ou bien assister à un spectacle de belle qualité ? La plaquette 2024, éditée par ALBA Voyages et ses partenaires de transport (ProCars, ProCars Champagne, ProCars Icaunais, ACKERMANN Voyages et Cars MATHIEU) apporte les réponses adéquates pour celles et ceux qui aiment profiter de la vie en découvrant de nouveaux horizons. Et en préservant leur confort !

L’art du tourisme procure de très belles sensations, il semblerait à la lecture du document dévoilé devant plus de 250 personnes, à Venoy mais aussi à Charny, que les envies de bouger donneront des ailes l’année prochaine aux amateurs de circuits touristiques ! Prioritairement en autocar, mais pas que !

Parmi les nouveautés incontournables de ce catalogue 2024 figure le séjour de rêve proposé au Cambodge, le pays des dieux ! Un séjour à biffer d’ores et déjà sur son agenda pour les veinards qui auront la possibilité de s’extérioriser du côté de Phnom Penh, du 04 au 15 mars prochain. Un voyage à vivre, non pas en autocar et pour cause au vue de la distance avec la France, mais en avion ! Sur le même registre, les aficionados de la structure spécialisée dans les voyages finement ciselés auront repéré les vols pour se rendre en Corse ou en Egypte, autres lieux gorgés de soleil !

 

Une clientèle de retraités mais aussi d’entreprises et de collectivités…

 

Profitant d’un après-midi très agréable à faire saliver les férus de beaux paysages, de patrimoine et gastronomie exotiques, le dirigeant de la structure ProCars, Frédéric JOUY et les équipes des différentes filiales qui travaillent à ses côtés ont minutieusement décortiqué les fiches produit de ce catalogue à partir d’un diaporama, où la part belle est faite aux excursions et circuits à travers l’Europe (Lac Majeur, Pays-Bas, Belgique, Autriche…) mais aussi l’Hexagone avec ses typicités à l’instar de l’Alsace, la Bretagne, le pays de Montbéliard, la Vendée ou encore la Provence.

Au vu de la fréquentation de ces deux séances explicatives, l’envie de partir n’a donc pas faibli parmi la clientèle, une population majoritairement de retraités. Mais, aussi de comités d’entreprises et de collectivités. Il est vrai que le menu est propice à des besoins de s’oxygéner et d’oublier quelque peu la grisaille persistante en terre de l’Yonne et de rêver de carnaval de Nice, de réveillon du Nouvel An en Alsace dans le décorum féérique de Strasbourg, de la Touraine et de ses promenades au bord de la Loire, des plages du D Day en Normandie.

« Les transports collectifs restent très prisés des touristes, explique Frédéric JOUY, cela offre l’opportunité de découvrir les sites pittoresques au plus près sans fatigue et sans trop de déambulation… ».

 

 

Même le car qui transporte les joueurs de l’AJA était là !

 

Des cars à la qualité optimale qui garantissent le confort de leurs passagers. Des véhicules que le public a pu admirer après coup en se rendant sur le parvis de la salle des fêtes qui accueillait l’évènement. Celui, tout d’’abord, qui transporte à chaque déplacement les professionnels de l’AJ Auxerre durant leur périple à travers la France (la société est partenaire du pensionnaire de Ligue 2), et un exemplaire de la catégorie « grand tourisme », à l’aménagement cosy (velours sur les sièges, cuir, climatisation) et toilettes.

Satisfait de cette présentation du renouvellement de ses offres touristiques et culturelles (le volet spectacle et visite de sites prestigieux n’est pas mal du tout avec le château de Versailles, le zoo de Beauval, le domaine de Chantilly – ah, le restaurant du célèbre VATEL ! -, la découverte du Tréport mais également les spectacles « Hollyday on ice » ou celui de Michel SARDOU), Frédéric JOUY concluait son exercice oratoire en présentant l’ensemble des conseillères. Sous les applaudissements nourris du public, comme l’aurait suggéré le regretté Jacques MARTIN !

 

Thierry BRET

 

 


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C’est un évènement. Pour les suiveurs de la vie économique et institutionnelle, de manière générale. Mais, aussi, un adoubement dans les règles de l’art pour la nouvelle équipe directionnelle de la CPME de l’Yonne qui a pris ses marques cette année. Un joli coup de pub médiatique qui permet à Auxerre de rayonner sur la scène hexagonale ; d’autant que le responsable du premier syndicat patronal de France aura bien des choses à dire à ses ouailles, lors de la grand-messe programmée le 12 décembre à AUXERREXPO !   

 

AUXERRE : On parlera d’attractivité du territoire. Du nôtre, enfin ! Vu par le petit bout de la lorgnette d’un éminent spécialiste en la personne du numéro un de la CPME, la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne : François ASSELIN.

Lui qui dénonce publiquement sur les ondes et dans ses diverses rencontres l’avalanche de normes administratives qui grèvent le quotidien pénible des entrepreneurs ; lui qui exige que le chef de l’Etat applique enfin l’une de ses promesses électorales non tenue à ce jour, à savoir la simplification administrative réalisée à toutes les strates de l’appareil étatique, il sera là ! En chair et en os, face aux chefs d’entreprise de l’Yonne – celles et ceux qui adhèrent à la CPME mais également tous les autres !-, soit un panel de plus de 250 personnes, à date.

D’ailleurs, le président national de la CPME n’était pas revenu en terre de l’Yonne depuis…bientôt huit ans ! On se souvient encore de sa prise de parole au Moulin de la Coudre où il fut accueilli par les responsables de l’époque, dans un cadre champêtre et sympathique.

 

Une visite nationale comme un cadeau de Noël !

 

Ce 12 décembre, autre lieu et autre registre. Le contact sera direct avec la base de l’économie, représentée par les têtes pensantes de ces TPE et PME au charbon tous les jours, au gré des soubresauts névralgiques de la conjoncture.

Le mot d’ordre en sera le suivant : la mutualisation ! Celle de toutes les forces vives afin de développer l’attractivité et faire valoir ce territoire de la Bourgogne septentrionale, bien au-delà de ses frontières. Un sacré coup de pouce que celui-là dont bénéficie la structure départementale, portée par Baptiste CLERIN. Un joli cadeau à placer sous l’arbre de Noël pour la nouvelle équipe en place. Qui fonctionne et agit différemment. Et qui portera sur les fonts baptismaux dès le premier trimestre 2024 des pôles spécifiques, propres à ses aspirations intellectuelles et progressistes.

« Cet évènement clôt la première année de fonctionnement de la nouvelle organisation, explique Baptiste CLERIN, président de la CPME 89.

Même s’il se déplace dans la partie méridionale de la France pour se rendre à un congrès du RSI du côté d’Aix-en-Provence, l’entrepreneur aux multiples casquettes prend le temps de répondre aux questions de la presse. Evidemment, sans risque de verbalisation, puisque aidé par le système Bluetooth de son véhicule !

 

 

Etre entrepreneur, c’est apprendre à se battre au quotidien…

 

« Chaque année, il y aura désormais deux temps forts dans notre actualité, souligne le conducteur attentif, l’un en juillet, avec un moment de détente approprié pour valoriser la convivialité entre membres autour d’un barbecue ; l’autre en décembre, avec un temps fort incontournable du paysage économique territorial, une conférence… ».

Histoire de se démarquer un tantinet des autres acteurs économiques et institutionnels quant au choix de la date ?! Mais, aussi de faire parler de soi ! Alors, évoquer la mutualisation des forces économiques tombe-t-il à pic ce 12 décembre ?

« Oui, affirme Baptiste CLERIN, il faut que le savoir-faire et les compétences de la CPME soient au service des entrepreneurs de notre territoire ! ».

Partenaire du club sportif, « AuxRJudo » (cela se prononce Auxerre Judo, évidemment !), la CPME 89 encourage les pratiquants de la discipline aux origines nippones pour justement les valeurs que ce sport inspire.

Démonstration, non pas sur tatamis, mais toujours derrière le volant de la part de Baptiste CLERIN : « Etre entrepreneur, c’est apprendre à se battre, combattre, chuter, se relever, persévérer, rester opiniâtre… tout comme les judokas ! ».

Des valeurs similaires, selon lui, où l’on pourrait ajouter sans renâcler : gagner !

D’où la présence sur la scène de Centre France Parc Expo de l’ancien champion du monde et médaillé de bronze à Sydney (2000) de judo, le natif du Creusot et ex-pensionnaire du club d’Avallon, Frédéric DEMONTFAUCON,

Lors de sa visite icaunaise, il est prévu que François ASSELIN s’entretienne avec les médias, mais aussi les représentants des branches telles le CNPA, l’UMIH, la FFB, l’AFEP. Ainsi que la notabilité institutionnelle et politique du département.

Un rythme assuré sur un bon tempo ! Pas étonnant qu’il soit question de mutualiser ses forces et de se référer au mental des sportifs ! Etre entrepreneur, aujourd’hui, et de surcroît membre de la CPME : cela requiert de la volonté, du mental à toute épreuve et des nerfs d’acier !

 

Thierry BRET

 

 


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Le programme se veut ambitieux. Sa configuration, explicite dans les détails, en aura peut-être surpris plus d’un, lors de sa présentation officielle. Peu importe ! L’amélioration du centre-ville de la commune périphérique d’Auxerre – l’une des plus importantes sur son versant septentrional avec ses potentialités économiques et attractives – possède comme nom de code « Cœur de Village ». Un concept étudié par la nouvelle municipalité, en place depuis 2020. Il a été dévoilé voici plusieurs semaines à la population.

 

APPOIGNY : Pédagogue, il l’est jusqu’au bout des ongles, le maire de la commune, Magloire SIOPATHIS. Toujours à l’écoute et posant savamment les règles de la discussion avec diplomatie. Un élu qui a su faire son lit dans la stature municipale. Lui qui est rodé à la chose publique depuis pas mal d’années déjà. Une expérience acquise aussi, au fil de l’exercice de ses mandats de conseiller départemental et conseiller communautaire au sein de l’Agglo de l’Auxerrois qu’il mène en parallèle de son statut d’édile.

C’est donc un élu fort de son fait, à l’aise dans le maniement de l’oral, qui prendra la parole et s’adressera à ses administrés, il y a quelques semaines, afin d’exposer toutes les subtilités que contient le programme « Cœur de Village », qui comme son nom l’indique a pour vocation d’embellir et de réaménager le centre urbain de cette agglomération importante de l’Auxerrois.

Le déroulé des explications s’est ainsi beaucoup appuyé sur l’étude d’aménagement réalisé par « Terre et Am », en lien avec les élus, lors de cette réunion publique de concertation. Logique : les habitants de la commune devaient en découvrir toutes les arcanes.

 

La grande priorité de ces aménagements : renforcer l’attractivité !

 

Que retenir de cette nouvelle vision de la localité à moyen terme ? Davantage de priorité donnée aux piétons dans leur déambulation, une circulation très apaisée – on ne peut qu’applaudir des deux mains tant l’automobile est dérangeante dans les centres bourg ! -, plus de végétalisation afin d’apporter de la verdure et de l’aération : le « cœur de village » de cet Appoigny newlook forcera forcément le trait sur les valeurs de l’environnement et le bien-être des villageois.

Prolixe dans ses explications, Magloire SIOPATHIS évoqua l’aspect qualitatif de l’aménagement : « La commune entend mettre en valeur la place de la Liberté qui va être réhabilitée – sans que le célèbre végétal qui y trône soit menacé de disparition ! -, la place de la mairie et la place de la collégiale, cette dernière ayant été restaurée… ». Mais, ceci n’est qu’un hors d’œuvre !

En effet, la municipalité entend bien dynamiser le commerce de proximité, incitant de nouveaux entrepreneurs à s’implanter au centre du village. Voire d’autres services, aussi nécessaires pour les citoyens, à s’y installer.

Mais, au-delà de ce projet, c’est aussi pour l’équipe municipale en place de vouloir instaurer un lien avec la stratégie du territoire, dans la perspective de création du futur lotissement censé apporter davantage de population.

Un mot, en revanche, est revenu régulièrement dans la bouche du conseiller départemental-maire. Attractivité ! Comment y parvenir ? Très simple, en se dotant de moyens d’aménagement autour de la création d’espaces accueillants, d’optimiser l’accueil de commerces et services supplémentaires, de favoriser l’organisation de manifestations évènementielles, de promouvoir l’usage de matériaux durables et de développer la circulation douce, de privilégier les axes piétonniers du cœur de la commune, de développer la mobilité inclusive, de mettre en exergue une architecture plus lumineuse de la ville et naturellement, de communiquer sur les opportunités touristiques de la localité.

 

 

Une vision futuriste de la commune…

 

Parmi les points névralgiques qui seront concernés par cet aménagement de grande envergure : citons, le carrefour Saint-Fiacre, la rue du professeur Mocquot, la place de la Liberté, la place du marché, la rue Châtel bourgeois, la place de la mairie, la place de la collégiale, la place Jacques Paclin.

Le plan de circulation sera revu et corrigé. En mieux, pour le confort de mobilité des piétons. Tout comme le stationnement, maintenu dans certaines rues, matérialisé au sol dans d’autres. Ici, ce sera la création d’un espace dépose-minute, près d’une agence bancaire. Là, on marquera de nouveaux emplacements au sol.

Privilégier la circulation douce, à pied, avec des cycles sur la commune est dans l’air du temps. Selon les rues et leurs statuts respectifs. La circulation des poids lourds et des transports collectifs sera également réglementé en fonction des impératifs économiques et des besoins de mobilité de la commune.

Bonne nouvelle pour les férus de l’écologie et de la végétation : le réaménagement de la place de la Liberté ne condamnera pas l’unique arbre qui y rayonne de tous ses éclats verdoyants. Mieux, le végétal sera protégé !

Ces aménagements sur les différentes places concernées par ce programme ambitieux se feront avec soin et esthétisme. Même les trottoirs et autres bordures se présenteront sous leurs meilleurs atours ! Jusqu’au choix des matériaux, avec diverses options envisageables, entre le granite, le traditionnel béton ou la pierre bourguignonne, réputée plus résistante au gel.

Nouveaux candélabres, plaques de rues en fonds bordeaux, agrémentées d’une écriture beige et écusson de la commune placé en haut à gauche, mobilier urbain au design avantageux…sont de précieux auxiliaires pour faire de ce grand chantier une future réussite, telle qu’aura été présentée aux habitants de la commune.

Ce projet de grande envergure permettra à Appoigny de réaffirmer son poids structurel au sein de l’Agglomération de l’Auxerrois, elle qui occupe déjà la quatrième place…

 

Thierry BRET

 

 


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Elle est ravie de la tournure des évènements, la vice-présidente du Conseil départemental de l’Yonne, Sonia PATOURET, en charge de l’Emploi, de l’Insertion et de la Santé. Non seulement, le public a répondu présent, en nombre, à ce Forum de l’insertion, accueilli au gymnase de l’ancien collège Bienvenu-Martin à Auxerre, tôt le matin. Mais, en outre, elle a été l’une des signataires d’une convention tripartite (Etat, Département et…Pôle Emploi) dans l’accompagnement des allocataires du RSA vers la vie active.

 

AUXERRE : Peut-être ? Peut-être pas ? En tout cas, micro en main puisque prise de parole oblige, Sonia PATOURET n’a pas ergoté outre mesure sur les qualificatifs à employer face à l’assistance, faisant de cette signature de convention matinale et publique, unissant le Département et l’Etat, par le prisme de Pôle Emploi – bientôt, la nouvelle entité France Travail – l’un des tout premiers évènements de la sorte à exister en France !

Si cela reste à vérifier - mais on ne remet pas en cause les salvatrices paroles de la vice-présidente du Conseil départemental de l’Yonne, car cela fait du bien au moral et surtout aux oreilles d’entendre que notre territoire est devenu précurseur au niveau de l’Hexagone !-, nous aurions vécu un moment quasi historique, mercredi matin, dans les hauts auxerrois, lorsque Michel SWIETON, directeur régional de Pôle Emploi, Yves HUTIN, directeur départemental 89 et elle-même ont apposé leurs griffes au bas des documents, contenus dans le traditionnel parapheur, rose à l’intérieur, noir à l’extérieur !

 

Aider chacun à revenir vers l’emploi, vers l’espoir, vers la vie

 

Un accord des plus officiels, loin d’être anodin et qui montre bien, toutefois, que le département de l’Yonne a choisi de ne pas rester les bras ballants face à la recrudescence des personnes qui bénéficient des minima sociaux.

« Nous, dans l’Yonne, souligne la troisième vice-présidente de l’exécutif départemental, on a choisi un schéma qui est bien particulier. Un dispositif qui s’inscrit dans le sens des bonnes relations que nous développons avec Pôle Emploi… ».

Chacun attend donc la suite, suspendu aux lèvres de Mme PATOURET. Cette dernière poursuit : « depuis trois années, nous avons mis en place sur notre territoire des procédures concernant les bénéficiaires du RSA afin de pouvoir proposer à chacun une sortie du Revenu de Solidarité Active vers l’emploi, vers l’espoir, vers la vie… ».

Malgré le brouhaha ambiant imputable à la fréquentation certaine des demandeurs d’emploi sur les stands des participants à ce forum, le cercle restreint de l’auditoire ne manque pas un mot du laïus enthousiaste de l’élue de l’Avallonnais.  

« Nous voulons offrir une chance à tous nos bénéficiaires, ajoute l’oratrice, mais nous ne pouvons pas le faire tout seul. D’où ce partenariat avec Pôle Emploi ! Cela se décline à l’aide de parcours d’accompagnement personnalisés pour chacun. Chacun a sa place, il faut la trouver et le Département est là pour vous aider ! ».

 

700 bénéficiaires du RSA qui quittent le dispositif chaque année…

 

Aux côtés de la conseillère départementale, Michel SWIETON, directeur régional de Pôle Emploi et son homologue de l’Yonne, Yves HUTIN, opinent du chef. Ecoutant avec grand intérêt le discours de l’élue. Révélateur de la symbiose parfaite existant entre les deux organismes institutionnels.

« L’objectif de France Travail est de proposer à chacun ce parcours d’accompagnement afin de retourner à la vie active. Pour l’Yonne, c’est un pari. Nous allons confier à Pôle Emploi une partie de nos bénéficiaires du RSA et leur suivi. Soit 70 % de nos bénéficiaires RSA qui feront l’objet dorénavant d’un accompagnement de la part de Pôle Emploi… ».

Dans le cadre de France Travail, l’opérateur spécialisé dans le retour à l’emploi a reçu des moyens de l’Etat, mais aussi ceux que le Département de l’Yonne met à sa disposition. Cela donne un mariage heureux (mais pas pluvieux en ce jour de mercredi, ouf !), possible entre les partenaires, officialisé ce matin via la signature des documents…

Un mariage d’esprit et d’envie, aussi, devait préciser Sonia PATOURET au bénéfice des allocataires du RSA. Un hyménée qui porte ses fruits depuis que le travail a commencé il y a trois ans. Chaque année, à l’échelle du département, 700 bénéficiaires du RSA s’éloignent donc du dispositif en regagnant le marché de l’emploi, voire en adoptant des solutions qui leur conviennent mieux, à l’instar du handicap ou de la retraite.

Quant au forum de l’insertion, il est clair que l’élue de l’hémicycle départemental approuve (« c’est une bonne occasion de mobiliser les bénéficiaires du RSA ») et de découvrir les entreprises qui manquent de personnels.

« Chacun, entre employeurs et bénéficiaires du RSA, est prêt à faire des efforts, constate-t-elle, et au beau milieu, on a le Conseil départemental de l’Yonne et Pôle Emploi qui s’organisent pour trouver des solutions intermédiaires. On est là pour aider… ».

Une logique entre les deux acteurs territoriaux qui se traduit au plus près du terrain grâce à la tenue de six forums annuels orientés autour de l’insertion et de l’emploi dont celui d’Auxerre dans le cadre de France Travail, où l’Yonne est un territoire expérimentateur. Une chose est sûre : rendez-vous est déjà pris en 2024.

 

Thierry BRET

 

 


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