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Pour créer votre entreprise... Retour sur une vie d'entrepreneur pour éclairer votre décision. Le parcours de Laurent STEINMANN et le développement de son (ses) entreprise(s) dans le monde entier sont exemplaires. Sa simplicité et son pragmatisme sont au cœur de l'esprit entrepreneurial, qu'il nous partage. A la lecture de ce témoignage, vous allez renforcer votre envie d'entreprendre. C'est le bon moment pour vous engager dans de nouveaux projets…

TRIBUNE : Quand vous rencontrez pour la première fois Laurent STEINMANN, vous savez, dès la première poignée de main, que vous êtes face à un entrepreneur décidé, convaincu, efficace.

Malin, stratège, exigeant, il annonce la couleur ! Dans le bureau qu'il a aménagé dans sa toute nouvelle usine, vous repérerez, si vous êtes attentifs, un chevalet : « Danger, explosive Boss ! ». Attention à vous !

On ne crée pas facilement, dans le monde agricole, un business de plus de 28 millions d’euros, dans une vingtaine de pays, en partant de zéro.

 Ce dont il ne vous parle jamais, ce sont ces actions qu'il mène pour développer le « handisport », pour aider un ami à rebondir, pour appuyer avec discrétion, et toujours avec la même énergie, une association, une cause ou un partenaire loyal en difficulté.

Je vous propose une rencontre avec « deux » Laurent STEINMANN : celui qui, tout jeune, se lance dans l'aventure entrepreneuriale, et celui qui revient sur les enseignements de cette expérience bien remplie.

Quels sont vos premiers souvenirs du début de votre expérience entrepreneuriale ?  

La première sensation, c'est la peur : peur d'échouer. De ne pas pouvoir nourrir sa famille, de ne pas réussir à vendre les premiers produits. Peur d'être rejeté. Envie de rester dans l'avion plutôt que de se lancer, au risque d'envier les professionnels qui se lancent dans le vide avec simplicité et, croit-on, des émotions contrôlées.

En fait, cette peur est salutaire. C'est votre sauvegarde à vous et à votre entreprise. Cette acuité, ce stress qui vous oblige à prévoir le pire, à anticiper, à imaginer des stratégies... A condition qu'elle ne vous inhibe pas.

Vous vivrez mille fois ces peurs ensuite : peur d'embaucher le premier salarié, peur de ne pas payer vos charges, peur de ne pas vous adapter à une réglementation dix fois trop exigeante, peur d'investir cinq ans de résultat dans un nouveau laboratoire, une nouvelle usine ou une nouvelle mission export. Peur de vous implanter aux quatre coins du monde. Peur de ne pas gérer la somme de galères quotidiennes.

Et comment ne pas être paralysé au moment de se lancer, et ensuite, par toutes ces peurs ?  

Pour moi, la clé c'est de ne gérer qu'une peur à la fois. L'une après l'autre. Pour ne pas se paralyser. Mais surtout derrière la peur, il y a l'envie !

Au moment de vous lancer, demandez-vous si dans dix ans, vous préférerez avoir des souvenirs vécus ou des regrets. Dans vingt ans, votre vie aura-t-elle valu le coup d'être vécue pleinement, ou est-ce que d'observer les autres depuis l'avion vous convient mieux, « envoyer des cartes postales, plutôt que les recevoir ». Prendre des décisions vous fera craindre des cicatrices ou des échecs. Ne pas prendre vos décisions pourrait vous amener à avoir des remords, ou des frustrations.

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Même si l'expérience d'un autre ne se transpose pas,  qu'est-ce qui a aidé le jeune Laurent STEINMANN à réussir ses premiers pas?  

Plusieurs choses : le fait d'avoir peu d'atouts, hors l'envie et la confiance de croire en moi. Pas d'études, pas d'héritage, pas les compétences techniques suffisantes pour qu'on écoute mes intuitions et mes convictions dans le domaine agricole. Donc l'obligation de le faire tout seul, le fait de n'avoir rien m'a vraiment aidé à y aller. Avec cette peur et cet aiguillon de devoir assumer ses responsabilités familiales.

La conviction aussi. Être un peu fou ne fait pas de mal. J'étais le seul à penser qu'il fallait traiter l'eau de pulvérisation avant de traiter les plantes. Comme aurait dit Coluche « laver la crasse propre ».  Aujourd'hui, des millions d’hectares ont été vendus sur ce principe, par mon groupe, et maintenant par mes concurrents. Avoir des convictions, ça aide même si vous ne pouvez prévoir tout ce qui va se passer ni comment tout va se réaliser.

La chance aussi. Il y a beaucoup de hasard dans la vie. Mais le hasard est trop important pour le laisser au hasard. Sachez où vous voulez être dans deux ou cinq ans, et adaptez-vous. Mais ne subissez pas.

Le mental, aussi ! Qu'il faut forger, entretenir, développer. Grâce à des plaisirs. Le plaisir d'une rencontre. Le plaisir d'un repas. Le plaisir d'une œuvre d'art. Le plaisir de vivre pleinement chaque jour. Le plaisir de vivre intensément des aventures, des passions.

En terme de stratégie, quels sont les principes que vous avez toujours (eu) à l'esprit?  

Avoir le bon entourage. Par exemple, cinq amis ont misé 500 euros au lancement de mon projet. C'est peu mais cela a aidé beaucoup à ce que le groupe existe aujourd'hui.

Se positionner en amont de la chaîne de votre activité. Pour pouvoir inventer, créer des marges, de la valeur ajoutée. Vous pouvez aussi choisir d'être en aval (sous-traitant) si cela vous convient mieux, mais soyez vigilants du risque d'être dépendants de votre filière.

Jouer le long terme. Votre conviction, essentielle, ne peut pas se nourrir de mensonges ou d'artifices même spectaculaires. Votre offre, vos produits, vos forces doivent être réelles et bâties sur du solide.

Et si on demande au Laurent STEINMANN, patron d'un groupe, membre de commissions très sérieuses, ce qu'il y aurait à retenir de son expérience bien remplie d'entrepreneur ? 

Ce qui me vient immédiatement à l'esprit, c'est une image. Le fait d'avoir dans le cerveau des tas de petites cases à gérer. La case de l'énergie, la case de l'administratif, la case « stratégie », la case « technique », la case « réglementations », la case « sponsoring », la case « gestion du personnel », la case « associés »... On a à peu près tous les mêmes cases, plus quelques-unes spécifiques.

Mais la réussite, ce n'est pas de maîtriser parfaitement toutes ces cases. Non, ce qui compte dans votre vie d'entrepreneur, c'est de savoir doser. Chaque jour ce qui va être passionnant pour vous sera de constituer le bon cocktail. Quand tout va bien, je mets un peu plus de tel ingrédient. Quand tout va mal, un peu plus de tel autre ingrédient. Pour que le cocktail soit toujours bon.

Et continuer sans cesse à apprendre, avec curiosité, passion et avec en tête, le nouveau cap des cinq prochaines années.

Des principes à mettre en application 

- A la lecture de cette interview, demandez-vous si vous êtes excités à l'idée de vous lancer ?

- Comment va se positionner votre entourage ? Quels sont ceux qui vont arroser votre passion à son début pour aider votre projet à pousser puis à devenir un bel arbre ?

- Mettez en œuvre, demain et dans les quinze prochains jours, dix micro-décisions, qui vous font basculer du côté de celui qui entreprend.

Philippe CARPENTIER

Déciderjuste.com


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Le chef de file national du parti des démocrates et des indépendants n’en démord pas. L’institution européenne ne protège pas assez les entrepreneurs français de la concurrence déloyale. A l’intérieur en faisant référence aux travailleurs détachés dont la présence inonde des secteurs cruciaux de l’économie comme le bâtiment ou les transports. Ni à l’extérieur puisque l’abondance de produits américains et chinois sur le marché impacte les marchés sans que les normes soient identiques. Pire : la France rajoute des couches normatives là où il n’y en aurait pas besoin….

AUXERRE : Désormais, en matière de sémantique, les consommateurs français devront réviser leur latin avant de faire leurs courses. Une récente décision européenne oblige en effet les producteurs de légumineuses et de fruits à spécifier sur leurs étals la provenance de leurs produits.

Non pas, au plan de la localisation géographique, preuve de leur traçabilité mais bel et bien au niveau de la catégorie scientifique de l’article mis en vente. Ainsi, les variétés de salades et de tomates arboreront leur désignation latine !

Le texte officiel de cette subtilité linguistique émane de l’Union européenne.

« Une décision, parfaitement inutile, ironise le leader national de l’UDI, Jean-Christophe LAGARDE.

Tête de liste de l’Union des démocrates et des indépendants, le député de la cinquième circonscription de la Seine-Saint-Denis livre ses orientations à quelques mois de l’échéance.

La sécurité est l’un de ses chevaux de bataille. « Créons un FBI européen, précise-t-il,  et dotons de plus de moyens humains et financiers FRONTEX, le système de gardes-frontières de l’Europe afin de maîtriser la politique d’immigration… ».      

L’homme politique n’en omet pas moins d’évoquer l’avenir de nos industries. « L’intelligence artificielle a un rôle à jouer pour renforcer notre présence dans ce domaine. Il n’y a pas que la Chine ou les Etats-Unis qui doivent posséder le monopole en la matière ; la France doit intervenir sur ce sujet essentiel mais avec la complémentarité des autres pays européens… ».

Une complémentarité qui existe déjà et fait cruellement défaut à la France.

« Je trouve insensé de ne pas utiliser davantage les crédits européens dans l’Hexagone alors que bon nombre de nos partenaires de l’Union y accèdent à profusion… ».

Il n’y a pas d’Europe sans agriculture…

Pan de l’activité économique capital à ses yeux, Jean-Christophe LAGARDE fait plusieurs propositions. Il souhaite récupérer les trois milliards d’euros initialement versés aux Britanniques en cas de BREXIT pour les attribuer au budget de la Politique Agricole Commune (PAC).  Si la sortie du glyphosate et du cuivre devient une nécessité environnementale, a contrario, il faut aider les agriculteurs à changer de méthode de production.

« L’avenir du monde agricole passe par l’avènement d’exploitations à taille humaine et raisonnable, concède-t-il, en d’autres termes, il est indispensable de privilégier le modèle français ! Cela passe par un plafonnement des aides à 100 000 euros, voire 80 000 euros, pour financer les vraies exploitations ; et non les « usines ». Enfin, et pour simplifier les démarches administratives, il faut préconiser la mise en place de contrats pluriannuels de cinq à six années. C’est devenu tellement compliqué que de nombreux agriculteurs ont recours dorénavant à des prestataires externes. Concrètement, si le professionnel doit investir, changer de méthode ou de produits, les règles ne changent pas durant cette période. Ce qui offre à l’agriculteur de réaliser des économies de paperasses supplémentaires… ».

En revanche, le responsable de l’UDI n’a pas caché son inquiétude pour le monde viticole.

« Le marché souffre actuellement du fait du BREXIT. Les Britanniques disposent aujourd’hui de stocks importants. Cela risque d’être catastrophique une fois que la Grande-Bretagne sera sortie de l’Union européenne… ».

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Avant de sortir de l’Europe, s’inspirer du modèle britannique…

Evoquant la ruralité, la pensée de Jean-Christophe LAGARDE se rapproche de celle du chef de l’Etat : « il faut miser sur les métropoles qui sont des « premiers de cordée ». Mais, il ne faut surtout pas oublier les suivants ! Autrement dit, les métropoles doivent servir à l’ensemble du territoire. Pour ce faire, il ne faut pas fermer tous les services publics et surtout s’assurer qu’il y ait une meilleure redistribution des métropoles à la ruralité… ».

En guise de conclusion à cet entretien, le patron de l’UDI décrochera quelques flèches en direction de personnalités comme Marine Le PEN, Jean-Luc MELENCHON ou encore Nicolas DIUPONT-AIGNANT.

« Ils veulent que la France se désengage de l’Europe en ayant applaudi par exemple ce qu’ont décidé les Italiens et leur nouveau gouvernement. Mais, avec objectivité, il est important de regarder la situation délétère économique de la Grande-Bretagne. Et je rappelle que les Britanniques ne sont même pas encore partis ! ».

Une petite pichenette en direction de ces autres ténors de la politique avec une dose d’humour à l’anglaise…

 


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L’excitation des grands soirs électoraux n’était guère palpable dans le bureau de vote des élections professionnelles du monde agricole, ce mercredi soir à Auxerre. Bien qu’il y ait des innovations techniques apportées à ce mode de scrutin avec l’avènement de l’expression électronique. Nonobstant cet artifice numérique, devenu incontournable, le taux de participation global, in fine, équivaut à 28,6 %. Opposée à la Confédération paysanne et à la Coordination rurale, la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) n’a connu aucune difficulté pour poursuivre à la tête de la chambre consulaire départementale sa gouvernance, via une nouvelle mandature de six ans à la clé…

AUXERRE : Le nom du successeur du président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, n’est pas encore connu. Mais, déjà, les supputations vont bon train dans le landerneau agricole local.

Pour se faire, les observateurs devront faire montre de patience, jusqu’à la date du 04 mars, pour en connaître davantage sur le profil type de l’heureux élu. Celui qui aura la lourde tâche de présider l’organe indissociable du monde agricole. Organe en pleine mutation du fait de la régionalisation avec la Franche-Comté.

Ce jour-là, le 04 mars, une session spéciale sera organisée dans les locaux de la vénérable institution. Un fait qui a été confirmé par le directeur de la chambre, Hervé MIVIELLE, qui assistait avec beaucoup d’intérêt au dépouillement des bulletins de vote mercredi soir.

Non seulement, les nouveaux élus, issus de ce scrutin, occuperont pour la première fois leur fonction. Mais, en outre, ils auront pour mission initiale à élire leur représentant suprême dans le fauteuil présidentiel. Avant de désigner les membres du nouvel exécutif qui composeront le bureau.

D’ici là, en excellent président investi jusqu’au bout de son mandat, Etienne HENRIOT assurera la gouvernance de l’institution sous un mode intérimaire. Ce dernier conservant par ailleurs de nombreux mandats dans les milieux de l’agriculture.

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Un suffrage très favorable à la FDSEA…

Dans le principal collège, celui des « chefs d’exploitation et assimilés » qui donnent la ligne directrice de l’appareil institutionnel, la FDSEA supplante largement les deux autres forces en présence, remportant le scrutin avec 60,76 % des suffrages. Quatorze sièges tomberont ainsi dans l’escarcelle du syndicat majoritaire. La Coordination rurale obtient un score de 20,05 % tandis que la Confédération paysanne plafonne à la limite des 20 % des votes (19,19 %). Dix-huit sièges étaient dans la balance de cette future représentativité.

Elue également à une large majorité, la FDSEA remporte le scrutin du collège des « propriétaires et usufruitiers ». Le syndicat en fera de même pour le collège des « anciens exploitants et assimilés » avec un score de près de 75 % (74,75 %). La Confédération paysanne récoltant au passage 25,27 %.

Trois personnes occuperont également un poste dans le collège des « salariés de la production agricole ». Ils représentent la CFTC Agricole (27,42 %), la CGT (25,08 %) et la CFDT (19 %). Force Ouvrière (14,72 %) et la CFE-CGC (13,71 %) fermant la marche de ce scrutin.

Quant au collège des « salariés des groupements professionnels agricoles », qui enregistre 2 302 inscrits, il aura vu une légère domination de la CGT (28,37 %) devant la CFE-CGC à 25 %.

Le collège « coopératives de production agricole » livrera aussi son verdict. Un siège reviendra à la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole) avec un score digne d’un plébiscite, soit 100 % des votants !

La FDSEA gagnera sans l’once d’un accroc le collège « autres coopératives » où trois sièges étaient à pourvoir. Score de 100 % des suffrages.

Le collège « caisses de Crédit agricole » est dévolu à la Caisse du crédit agricole, de manière légitime. Tandis que le collège « caisses d’assurance mutuelles agricoles et caisses de Mutualité Sociale Agricole (MSA) » sera assuré par la MSA GROUPAMA avec là-aussi un score sans appel de 100 %.

Enfin, l’ultime collège, celui des « organisations syndicales à vocation générale d’exploitants agricoles ou de jeunes agriculteurs », il revient à la FDSEA qui a obtenu gain de cause auprès des votants.

 


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Plusieurs mois d’un travail minutieux, millimétré au cordeau, auront été nécessaires aux préparatifs du grand banquet de la Saint-Vincent tournante régionale qui se déroule ce week-end à Vézelay. L’ambitieux pari des organisateurs de pouvoir réunir sous la même bannière les fines fleurs de la gastronomie de l’Yonne est déjà en soi une réussite. Avant même que ne soit donné le moindre coût de fourchette dans ces assiettes royales qui recevront les recettes sublimées par autant de talents. Parmi ces quatre « mousquetaires » de l’ordre d’Escoffier et des arts culinaires à y prendre part, citons la fameuse toque de La Côte Saint-Jacques, l’étoilé Jean-Michel LORAIN et l’incontournable référence de la cuisine française, Marc MENEAU.

VEZELAY : La promesse était de taille pour les organisateurs de l’évènement. In fine, le défi est tenu ! Quatre signatures exceptionnelles des arts de la table et de la gastronomie nationale exerceront de concert leur savoir-faire afin de sublimer les papilles des 700 convives, ayant choisi de participer au banquet de la Saint-Vincent tournante de Bourgogne. Ce rendez-vous est décliné durant ce week-end spécial vécu sur la Colline éternelle, ce samedi 26 janvier.

L’inoubliable chef de L’Espérance, Marc MENEAU, ouvrira le bal de ce copieux programme pour gourmets et épicuriens. Associé à son fils, Pierre, il signera une divine entrée, servie après diverses mises en bouche gustatives.

La figure emblématique de Vézelay concoctera sa célèbre « huître en gelée d’eau de mer », agrémentée de la truite de Crisenon, accompagnée de perles de manioc et de son caviar de truite, sur une gelée de pomme.

Il reviendra au prometteur mais déjà excellent Ryo NAGAHAMA, qui officie au « Fil du Zinc » à Chablis de se livrer à un exercice toute en finesse et en subtilité : la seconde entrée.

Les férus de bonne chair se sustenteront d’une mousseline de brochet et sa crème d’écrevisses. Recette qui sera accompagnée d’un bourgogne Vézelay 2016, de la cuvée spéciale de la Saint-Vincent.

 

Chef doublement étoilé de la Côte Saint-Jacques, établissement que l’on ne présente plus dans le paysage de la haute gastronomie française, Jean-Michel LORAIN abordera le plat principal. L’une de ses spécialités où le maître excelle : la volaille fermière à la vapeur de crémant de Bourgogne. Le plat principal se mariera à un gevrey-chambertin millésime 2014, de la cuvée des vignerons.

Quant aux aficionados du chocolatier-confiseur Olivier VIDAL, meilleur ouvrier de France de la spécialité en 2007, ils se régaleront avec un « amour de cerise », un dessert au nom très évocateur qui augure de succulentes subtilités dont l’artisan a le secret.

Les quatre chefs bénéficieront de l’expertise aiguisée, en matière d’harmonie et de coordination dans le déroulé de ce banquet, du sémillant Daniel AUBLANC, président de l’Amicale des cuisiniers de l’Yonne et du très professionnel Didier CHAPUIS, des FESTINS de Bourgogne, qui confèrera le savoir-faire attendu à ce repas festif peu ordinaire.

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L’opportunité de partager les valeurs de la profession ensemble…

Interrogé sur sa contribution gastronomique à cet évènement qu’il qualifie de « cérémonie exceptionnelle et de retrouvailles inoubliables entre les chefs et les vignerons », Jean-Michel LORAIN est satisfait de cette présence aux côtés de ses pairs.

« Les préparatifs ont nécessité plusieurs mois de travail et de réflexion, concède-t-il, chacun de nous apportant une recette qui soit un reflet de son authenticité professionnelle. Le banquet de la Saint-Vincent demeure, en cela, un rendez-vous extraordinaire… ».

Le chef de la Côte Saint-Jacques devait expliquer ensuite la portée internationale de cet évènement. La meilleure manière de le traduire fut simple : une quarantaine de ressortissants américains, accueillis dans l’établissement hôtelier de Joigny, et amoureux des vins français n’ont pas hésité à traverser l’Atlantique pour ne rien manquer de l’évènement bourguignon.

Vécue pour la première fois à Vézelay, la Saint-Vincent tournante de Bourgogne aura bien des airs de rendez-vous mondial…


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Le président de la chambre consulaire agricole ne se présentera pas à sa propre succession. Mettant un terme définitif aux quelques rares supputations qui pouvaient encore circuler dans le landerneau ces dernières semaines. Alors que la campagne officielle est lancée, Etienne HENRIOT a confirmé face à la presse son intention, toutefois, de demeurer très actif pour la cause agricole qu’il défend, puisque son patronyme figure sur l’une des trois listes en présence. Le 09 février, jour de la proclamation des résultats, une chose est d’ores et déjà certaine : c’est le nom d’un nouveau responsable qui sortira des urnes pour assurer la gouvernance de l’organisme départemental.

AUXERRE : Présentant ses vœux à la presse, exercice qu’il affectionne tout particulièrement, Etienne HENRIOT a confirmé qu’il ne reprendrait pas les rênes de la Chambre départementale agricole en février prochain.

Commentant le bilan de cette fin de mandat (voir article correspondant), il s’est dit très satisfait du travail effectué depuis son élection il y a six ans à la tête de l’organe consulaire.

Bien entouré, exerçant son mandat en présence de personnes compétentes et motivées, Etienne HENRIOT a souligné que « cette mandature s’est articulée du mieux possible, en bonne intelligence et dans un bon état d’esprit constructif ».

Il en tire, avant de quitter sa fonction, un bilan positif. Même si quelques projets n’ont pu aboutir. Notamment celui du développement et de l’essor des circuits courts, un dossier qui lui tient particulièrement à cœur.

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« Je souhaite l’installation d’un nouvel exécutif »…

Pour autant, le président délégué de la coopérative YNOVAE ne manquera pas d’activités en 2019. Même si les droits à une retraite, amplement méritée, se profilent à l’horizon. Etienne HENRIOT exerce différents mandats à haute responsabilité parmi les instances agricoles départementales et régionales.

Sa décision de ne pas tenter la passe de deux se résume in fine en une seule phrase : « Je considère qu’un président de chambre consulaire doit être en activité professionnelle et non à la retraite… ».

Présent, néanmoins sur la liste coopérative, il rejette même la simple idée de siéger parmi le futur bureau consulaire. Appelant de tous ses vœux à l’installation d’une nouvelle équipe. « Place aux jeunes !, lâchera-t-il avec un zeste d’humour en guise de conclusion.

Président du GIE CRC (Culture Raisonnée Contrôlée), Etienne HENRIOT continuera à prodiguer ses expertises dans le domaine environnemental auprès de la nouvelle équipe dirigeante. Il participera aussi, à ce titre, au futur Salon international de l’Agriculture de Paris où sa présence est déjà confirmée le 27 mars sur le stand officiel du groupement.

Trois listes (FDSEA/JA-Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles et Jeunes Agriculteurs, Confédération Paysanne et Coordination Rurale) tenteront de glaner un maximum de sièges lors de ce scrutin important. La clôture des votes, par correspondance ou via Internet, est prévue au 31 janvier. Le verdict sera rendu le 09 février. Quelques semaines avant la session d’installation qui a été arrêtée en date du 04 mars.

La nouvelle assemblée consulaire agricole présentera un tout autre visage que la précédente puisqu’il n’y aura plus que 36 postes pourvus au lieu des 46 à occuper dans l’ancienne mandature.


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