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Hasard vertueux du calendrier, le ministère des Solidarités et de la Santé a endossé sa houppelande de Père Noël ces jours-ci en débloquant une enveloppe budgétaire de 415 millions d’euros de crédits au niveau national. Conséquence de ce geste prévisionnel, l’Agence régionale de Santé (ARS) de notre territoire a annoncé dans un bref communiqué le 21 décembre qu’une somme de près de 17 millions d’euros sera affectée aux établissements de santé, publics et privés, de Bourgogne Franche-Comté.

DIJON (Côte d’Or) : Chaque année, une partie des fonds servant au financement des hôpitaux sont placés en réserve en début d’exercice, à titre dit « prudentiel ». Ces crédits prévisionnels peuvent être libérés en fin d’exercice. C’est ce qui a été décidé par le ministère des Solidarités et de la Santé en fin de semaine dernière.

En effet, pour l’année 2018, l’engagement et les efforts des différents acteurs de la filière, assurant le respect de l’Objectif national des dépenses d’assurance maladie (ONDAM), ont été observés. D’où l’initiative du déblocage de cette manne financière au plan national.

Ainsi, une enveloppe globale d’environ 17 millions d’euros se répartira aux établissements de santé de la région. Qui en seront les bénéficiaires dans les huit départements de Bourgogne Franche-Comté ?

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Les établissements publics et privés qui pratiquent une activité de médecine, chirurgie et obstétrique (MCO), recevront environ 13 millions d’euros. Les établissements publics profiteront eux-aussi de trois millions d’euros pour leurs activités de psychiatrie et de soins de suite et de réadaptation (SSR).

Enfin, plus de 900 000 euros seront alloués aux cliniques privées qui sont spécialisées dans les soins de suite et de réadaptation ainsi que de la psychiatrie.


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Premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France, l’ESI (Ecole supérieure de l’immobilier) fêtera sa quinzième année d’existence en 2019. Portée sur les fonts baptismaux par la FNAIM, l’établissement pédagogique prépare les acteurs de cette filière incontournable de l’économie aux enjeux de demain et à une profonde mutation intellectuelle et comportementale de ses membres. En y injectant davantage de méthodologies ultra modernes qui ont recours aux outils de la digitalisation et du numérique…Rencontre avec son directeur, le Sénonais Thierry CHEMINANT.

COURBEVOIE (Hauts-de-Seine): L’Ecole supérieure de l’immobilier est-elle une référence dans cette branche professionnelle ?

Oui, on peut l’affirmer. L’ESI a été créée par la FNAIM en 2004 sur un modèle dual : une structure de formation mariant à la fois formation initiale et formation continue. Quinze ans après, les faits sont là : 400 étudiants en formation initiale, tous en alternance, et plus de 35 000 adultes sont formés chaque année. Ce qui fait de nous aujourd’hui le premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France. Et la première école à ne dispenser que des formations pour l’immobilier en alternance qui, toutes donnent, accès aux cartes professionnelles.    

Quelle est sa genèse ? Quel est son mode de fonctionnement ?

Il fallait répondre à deux besoins identifiés : former les futurs professionnels de l’immobilier et former les acteurs déjà en poste dans les entreprises du secteur. Le concept mis en avant à l’époque est que pour être crédible en formation continue, il faut pouvoir démontrer qu’on sait faire de l’enseignement supérieur.

Dès lors, nous avons mis en place au fils des ans, six partenariats avec des Universités françaises, nous permettant de délivrer au sein de l’ESI seize diplômes d’Etat, tous en alternance (professionnalisation ou apprentissage). Ce modèle est bel et bien unique. Nous allons ainsi du BTS professions immobilières au Master 2. Tous les étudiants sont basés dans nos locaux à Courbevoie. Pour ce qui concerne la formation continue, nous proposons aujourd’hui un catalogue de plus de 400 formations entièrement dédiées à l’immobilier. Ce qui représente pour 2018, l’organisation de plus de mille sessions de formations sur la France métropolitaine et Outre-mer (Martinique, Guadeloupe, Guyane et la Réunion).

Pour se faire, nous bénéficions du soutien de nos chambres FNAIM, réparties sur l’ensemble du territoire qui sont nos centres de formation en région. Ce maillage territorial unique pour une organisation professionnelle telle que la FNAIM, est pour nous un atout majeur de notre développement et de notre présence au plus près des territoires. Par ailleurs, nous avons développé depuis 2016 une offre de formation 100 % en ligne sous forme de classes virtuelles (autrement dit « webinaires » ou « visio-conférences synchrones). Aujourd’hui, notre catalogue digital, fort de plus de soixante thématiques, attire plus de quatre mille apprenants par an.

L’ESI est-elle entièrement adossée à la FNAIM ? Des professionnels non-affiliés peuvent-ils bénéficier de ces formations ?

L’ESI émane de la FNAIM et appartient entièrement à la FNAIM. C’est notre ADN ! Nous formons tous les adhérents de la FNAIM qui le souhaitent et depuis quelques années, nous sommes ouverts aux entreprises non adhérentes, qui paient un tarif différent bien sûr. Tout le monde peut venir se former chez nous. Je veux également préciser que nous avons des programmes qui s’adressent spécifiquement aux demandeurs d’emploi en reconversion professionnelle. A ce titre, nous en accueillons plusieurs centaines par an.

Que proposerez-vous en matière d’offres de formation pour l’année 2019 ?

Nos catalogues 2019 viennent de sortir fin novembre. Nous avons renouveler près du tiers des programmes. Comme chaque année, l’accent a été mis sur l’éco rénovation énergétique et les nouvelles dispositions de la loi ELAN, entre autres.

Côté étudiants, nous avons proposé  à la rentrée plusieurs parcours nouveaux en licence et master.

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La crédibilité de l’offre, gage de sérieux et de professionnalisme…

L’instauration de la loi ALUR oblige les professionnels de l’immobilier à suivre des formations continues. Comment cela se concrétise-t-il au quotidien ?

Pour nous, cela s’est traduit par un accroissement très important de notre activité en formation continue depuis 2016, de l’ordre de plus 20 % par an. Depuis deux ans, nous avons beaucoup plus d’apprenants dans les sessions et nous avons un taux de maintien de plus de 80 % desdites sessions inter-entreprises.

Si l’on prend comme point de repère les années 2017 et 2018, quels sont les chiffres clés qui caractérisent vos missions ?

L’ESI en 2018, c’est plus de mille sessions de formations en présentiel sur l’ensemble du territoire, y compris l’ultramarin, dans nos cinquante centres de formations accueillis dans les chambres syndicales FNAIM. Soit près de 35 000 jours/stagiaires, et plus de 4 000 personnes formées à travers notre digital Learning (webinaires), sans oublier nos 400 étudiants tous en alternance, préparant du BTS professions immobilières au Master 2.

Le taux de placement des personnes ayant suivi vos séances pédagogiques s’élève à 100 % lorsqu’elles désirent intégrer la vie active. L’ESI dispose nécessairement d’une précieuse « aura » pour obtenir de tels résultats ?

On peut dire qu’aujourd’hui, l’ESI a su prouver la qualité de son modèle et la crédibilité de son offre de formation, faisant de nous un des principaux acteurs de la formation aux métiers de l’immobilier.

Est-il nécessaire pour un jeune qui souhaite se diriger vers cette filière professionnelle de posséder le maximum de diplômes pour réussir ?

Non, pas forcément. Même si les métiers de l’immobilier sont de plus en plus exigeants, avec un encadrement règlementaire qui ne cesse d’évoluer, j’en veux pour preuve la promulgation de la loi ELAN, fin novembre. Nous proposons des parcours accessibles dès le niveau bac, jusqu’à des Masters qui nécessitent un bac + 4. Tout est question de volonté, de motivation et d’intérêt pour ces professions qui sont exigeantes, certes, mais passionnantes. Surtout, il s’agit d’aider les ménages ou les entreprises à se loger, ce qui est un acte récurent et pérenne.

L’ESI propose 17 formations diplômantes et 400 thématiques. Quelles sont-elles ?

Le BTS professions immobilières, puis en partenariat pédagogique avec nos Universités partenaires (Perpignan, Lorraine, Limoges, Aix Marseille, Dijon, Paris VIII): six licences professionnelles, quatre Masters 1 et six Masters 2, tous 100 % immobilier, urbanisme et/ou gestion patrimoniale. Vous avez le détail sur notre site www.groupe-esi.fr...

Par manque de temps, peut-être par ignorance, les professionnels ont parfois du mal à se dégager de leurs contraintes pour suivre une formation, ou envoyer leurs collaborateurs. Comment remédier à cela ?

Déjà, la formation n’est pas une perte de temps. C’est un investissement qui permet de toujours mieux répondre aux exigences de ses clients. La meilleure des réponses pour les « sur- bookés », c’est la formation digitale à travers nos « webinaires ». On se forme, depuis son bureau, en « visio-conférence synchrone », sans déplacement. C’est le formateur qui vient « virtuellement »  à vous ! C’est un énorme gain de temps…

« Avec Jean-François BUET, le président de l’ESI, il n’y a pas de problème entre Bourguignons ! »

Votre siège social est situé à Courbevoie. Une facilité, sans doute, pour faire converger tous les apprenants vers la capitale et l’Ile de France ?

C’est un choix qui répondait à notre cahier des charges et nos contraintes financières. Courbevoie, c’est la Défense. Mais, c’est une ville agréable à dix minutes de Paris centre par les transports !

Disposez-vous de représentativité à travers l’Hexagone ?

Nous sommes présents pour la formation continue à travers nos cinquante centres de formation dans nos chambres syndicales. Mais, nous allons proposer dès le premier semestre 2019 un modèle qui va nous rapprocher encore plus des territoires…

Financièrement, quel est votre modèle économique ?

Nous sommes une entreprise comme les autres. La FNAIM a beaucoup investi au départ pour lancer ce projet. Aujourd’hui, nous sommes fiers de pouvoir être un centre d’activité à l’équilibre et qui, je le crois, permet à la FNAIM de faire un réel retour sur investissement.

Comment voyez-vous la formation dans les années à venir ?

La nouvelle loi sur « la liberté de choisir son avenir professionnel », promulguée le 05 septembre dernier, est une révolution copernicienne, comme il est bon de dire… Elle contient des éléments positifs. D’autres qui appellent à la vigilance. Je pourrai vous en dire plus quand les quatre-vingts décrets que nous attendons seront parus. Ce que je peux affirmer, c’est que nous sommes prêts à gérer ce nouveau biotope réglementaire au service de nos adhérents FNAIM et de nos autres clients.

L’ancien président de la FNAIM, Jean-François BUET, est désormais le président de l’ESI. Comment fonctionne votre binôme au sein de l’ESI ?

Entre bourguignons, il n’y a pas de problème ! Jean-François BUET m’a recruté il y a quinze ans (il était à l’époque président de la FNAIM par intérim). Nous avons eu le temps d’apprendre à nous connaître, et je crois, à nous apprécier. La formation est un enjeu majeur pour la FNAIM, et notre nouveau président fédéral Jean-Marc TORROLLION, de même que son président-adjoint, Loïc CANTIN. Ils travaillent également étroitement avec nous sur les dossiers.

Maîtriser la formation, gage d’excellence, demeure-t-il le meilleur moyen de faire front à la concurrence exacerbée qui sévit à l’heure actuelle sur votre secteur d’activité ?

Notre modèle a fait ses preuves désormais, nous essayons d’être « agiles » face à notre environnement. Il en va de même pour les professionnels qui viennent se former chez nous. La marque « ESI », associée à la FNAIM, est aujourd’hui reconnue et représente un gage de sérieux et compétence. Notre travail de plus de quinze années est en train de porter ses fruits.


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Président du syndicat des Architectes contractants généraux (ACG) et ancien président national du groupement des ARCHITECTEURS, Jean-Pierre BOSQUET dont l’actualité professionnelle avec le cabinet ATRIA s’est enrichie en cette fin d’année de l’inauguration de l’Espace agricole et rural du boulevard Guynemer à Auxerre (complexe ultra moderne et pragmatique qui accueille les sièges de la Chambre départementale de l’agriculture, de la Mutualité Sociale Agricole et de GROUPAMA Paris Val de Loire Yonne) livre son regard acéré sur la nécessaire adoption de la rénovation énergétique par tous, salutaire à la sauvegarde de notre environnement et de notre économie…

TRIBUNE : L’approche de la rénovation énergétique dans les faits ? Il s’agit d’une triple urgence. Climatique, d’abord pour réduire notre empreinte carbone. Mais aussi, une urgence économique pour que le prix des consommations d’énergies devienne acceptable.

Il est temps de réconcilier les Français avec la qualité de vie en société, avec l’idée du vivre ensemble, tant à la ville que dans les territoires ruraux.

Depuis 2007, et le Grenelle de l’Environnement, nous savons que le plus important gisement d’économies d’énergies et de gaz à effet de serre réside dans les immeubles déjà construits.

Des professionnels se sont alors mis en mouvement pour expérimenter les solutions pouvant amener à diviser jusqu’à facteur quatre les consommations et émissions réelles.

Ils ont prouvé que c’était possible. Et d’aller, du même coup, encore plus loin, sans que ces preuves ne déclenchent pour autant l’adhésion de la filière et l’enthousiasme du public.

Tour à tour, les différents acteurs ont été accusés de ne pas suffisamment s’engager, depuis les banquiers jusqu’aux entreprises.

De nouvelles professions ont été inventées tels que les diagnostiqueurs. Les labels et les qualifications ont fleuri pour enclencher un mouvement général, pour l’instant sans succès massif.

« Rénover est un parcours jalonné d’obstacles par méconnaissance… »

C’est alors que les enquêtes ont à nouveau mis à l’évidence que les premières aspirations des habitants, les plus importantes, restaient le confort, le bien-être de la famille et aussi la santé.

Mais aussi que rénover était un parcours jalonné d’obstacles et d’incertitudes majeures : méconnaissance des solutions adaptées à l’immeuble, arbitrages sur les priorités en fonction des coûts et des économies réelles et durables, durée des travaux et impact sur l’usage du logement, absence de garanties.

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Il y a pourtant un moment idéal pour réduire les difficultés liées à l’usage et mobiliser les ressources des deux parties en présence, et les aides publiques. C’est le moment de la vente ou de la cession du bien. Quand le logement change de main. Le moment idoine pour créer de la valeur. Le moment stratégique pour mobiliser la filière autour de l’idée de création du marché de la « meilleure occasion ».

Deux conditions à respecter afin de modifier les lignes…

L’institution par la collectivité nationale d’une obligation réelle de mise à niveau pour les biens mis en vente est la première de ces deux données inéluctables. La seconde repose sur la création du carnet « confort, santé et énergies » qui permet au vendeur et à l’acquéreur de connaître toutes les caractéristiques du bien. De pouvoir en identifier les points faibles et les points forts. Mais, les améliorations indispensables et les meilleures pistes et solutions pour les acquéreurs. Cela fonctionne comme un carnet médical et numérique attaché au bien et qui prenne en compte les usages.

Cette disposition est à l’évidence « gagnant/gagnant ». Le vendeur plaçant son bien sur le marché de la « meilleure occasion » ; l’acquéreur ayant alors la certitude de la qualité de son achat.

Il est possible d’atteindre cet enjeu majeur.

Regardez le monde de la mobilité et l’automobile. Serait-il encore envisageable aujourd’hui de remettre sur le marché en l’état des véhicules des années 1970 en leur appliquant une jolie peinture au prétexte qu’ils roulent encore ?

Il faut casser ce cercle vicieux de la remise en service d’épaves thermiques, inconfortables, malsaines et dangereuses. Nous devons les mettre au rebut ou les recycler.

Ce signal, fort, doit enfoncer toutes les résistances. Il doit déclencher un mouvement pour l’économie des territoires, le développement durable et d’abord pour le confort, la santé des habitants et le bien-être des familles.

La clef de la rénovation « confort, santé et énergies » passe immanquablement par le changement de main…

Jean-Pierre BOSQUET


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Terre d’inspiration auprès du monde agricole comme le stipule son fameux credo, la coopérative YNOVAE est aussi un creuset de transmission des savoirs auprès des jeunes professionnels qui embrassent la carrière. Le développement du club « Atouts Jeunes », concept national déjà adoubé par une cinquantaine de coopératives en France depuis plus d’une décennie, l’atteste. Une douzaine de jeunes gens ont bénéficié sur notre territoire de cet incontestable outil pédagogique. Ce cycle de formation s’est décliné par des visites et immersions au cœur de l’appareil organisationnel de la filière. Il s’est également conclu par un voyage d’études de plusieurs jours dans l’un des pays Baltes exportateurs vers l’Europe, la Lettonie…

AUXERRE : S’ils sont désormais plus de 1 300 jeunes à bénéficier de cet outil pédagogique dans l’Hexagone, l’Yonne a eu l’excellente idée par le biais de la coopérative agricole YNOVAE de rejoindre le mouvement et de soutenir cette initiative. Grâce à cette action, qui intègre un processus national depuis une dizaine d’années, la structure présidée par Laurent PONCET a su renforcer ses engagements auprès de la nouvelle génération de professionnels, ayant choisi la voie de l’installation.

Pérenne, ce lien indispensable avec la relève de la corporation doit être privilégié et renforcé à l’avenir. De l’avis des stagiaires qui ont eu l’opportunité de pouvoir s’exprimer lors de l’assemblée générale de la coopérative, il y a peu, ce concept « Atouts Jeunes » constitue un réel partage d’expériences, très utile pour s’approprier les valeurs intrinsèques de ce milieu professionnel spécifique.

« S’ouvrir au monde de l’agriculture par l’intermédiaire de ce copieux programme étalé sur quatorze mois, nous aura permis d’étoffer notre réseau relationnel, devait confier l’une des participantes à ce groupe, et de mieux en percevoir toutes les subtilités fonctionnelles… ».

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Un parcours professionnalisant dédié à la qualité de leur production…

Plongés au cœur de stages leur permettant d’appréhender le métier dans sa globalité la plus éclectique, les douze néo-professionnels ne vont pas lésiner sur les déplacements et les découvertes de sites pour enrichir leurs connaissances. Opérationnel depuis le mois de novembre 2017, le laboratoire SCIENTECH, infrastructure partagée en exploitation entre les coopératives YNOVAE, 110 Bourgogne et les Moulins DUMEE, à proximité de la zone portuaire de GRON, recevra leur visite.

Là, le groupe de néophytes procédera dans le souci de maîtriser la traçabilité à l’analyse de grains de blé, avant de déguster du pain. Une manière intelligente de joindre l’utile à l’agréable gustatif !

Livrant jusqu’à 10 % de sa production céréalière vers le port de Rouen, ce haut lieu du fret fluvial et maritime via la zone du Havre (plus de 8 millions de tonnes de produits manufacturés à l’année) représente un débouché naturel pour la coopérative YNOVAE. Ses jeunes protégés s’y sont rendus pour en apprécier la qualité opérationnelle de ses installations.

Un autre temps fort de ces déplacements opportuns fut le marché de Rungis. Une fourmilière de 234 hectares de stock de marchandises agro-alimentaires où s’affairent au quotidien plus de douze mille personnes dès l’aurore.

Cap vers la Lettonie, un sérieux concurrent à l’agriculture nationale…

Mais, le voyage d’études conçu pour découvrir les perspectives évolutives de l’un des pays européens, positionnés parmi les plus concurrentiels de l’Hexagone, la Lettonie, demeurera le point d’orgue de cette intense période de réflexion. D’ailleurs, les chiffres égrenés par les stagiaires confortent ce propos. Riga exporte aujourd’hui près de 80 % de sa production agricole vers 43 états dont la France.

Indépendante depuis la chute du bloc soviétique, survenue en 1991, cette terre des pays Baltes de deux millions d’habitants ne vit principalement que pour son développement agraire.

Soutenu par l’Union européenne (le financement de séchoirs et l’acquisition de matériel agricole), le pays dispose de solides ressources naturelles dont 60 % de forêts. Bien que sa gouvernance ne soit guère préoccupée par les enjeux environnementaux, la filière peine, néanmoins, à trouver de la main d’œuvre qualifiée pour garnir ses exploitations.

Durant ces quatre jours de voyage, les douze membres du club « Atouts Jeunes » Icaunais ont pu profiter de leur séjour pour s’intéresser pêle-mêle aux coopératives agricoles et à leur rendement, au développement du biogaz ou à l’émergence des brasseries. Précisons que la Lettonie est en train de prendre ses marques exportatrices vers des régions stratégiques importantes pour l’économie française à l’instar de l’Afrique du Nord et l’Afrique de l’Ouest.

 

 


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Le club service a organisé son traditionnel arbre de Noël à la salle des fêtes des PEULONS à Chablis. La présence d’une professionnelle des loisirs créatifs, Christelle, aura permis d’égayer cette séance conviviale où petits et grands ont pu exercer à satiété leurs talents de petits bricoleurs. Créant au passage de magnifiques décorations festives à mettre au pied du sapin ou sur la table le soir du réveillon…

CHABLIS : Le Père Noël fit son apparition à la joie des plus petits qui, pour certains d’entre eux, ne cachaient pas leurs larmes. De crainte de se retrouver aux côtés de ce personnage bizarre !

Des cadeaux et friandises ont été généreusement distribués par l’Homme en rouge, et ses lutins, d’un jour, les représentants de ce club, au service de ces enfants, choisis par le Secours populaire local.

Une trentaine d’entre eux ont ainsi pu bénéficier de la générosité du club service qui a pour credo de « Servir les enfants du monde ». Qu’ils soient malades, handicapés ou issus de milieux défavorisés.

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Plusieurs partenaires ont apporté leur soutien à ce projet…

L’après-midi récréative devait s’achever par la dégustation d’un copieux et savoureux goûter à base de confiseries offertes par la maison chocolatière ROY d’Auxerre, des boissons sucrées, données par le magasin INERMARCHE de Chablis et d’excellentes brioches et autres viennoiseries, préparées par les apprentis du CIFA de l’Yonne, le centre interprofessionnel de la formation par l’apprentissage à Auxerre.

Le KIWANIS Chablis Saint-Vincent recense à ce jour une dizaine de membres. Tous ont eu à cœur de se mettre à la disposition des plus démunis pour leur apporter un peu de joie et de bonheur dans leur quotidien. Le club prépare différentes actions solidaires, prévues sur l’année 2019, dont l’une avec le lycée professionnel Vauban au mois de mai…


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